Mon compte
    Une Valse dans les allées
    Anecdotes, potins, actus, voire secrets inavouables autour de "Une Valse dans les allées" et de son tournage !

    À l'origine, une nouvelle

    Une Valse dans les allées est tiré d'une nouvelle, In the Aisles, issue du recueil All the Lights de Clemens Meyer. Dès sa lecture, le réalisateur Thomas Stuber est tombé sous le charme : "L’idée de cet homme solitaire qui se fond dans les allées d’un supermarché ne me quittait pas. Le bruit de l’autoroute près de l’aire de chargement, la pause cigarette, la machine à café, le gérant de nuit qui serre la main à tout le monde à la fin du service… L’histoire de Clemens Meyer est profonde et tragique, mais il y a beaucoup de nondits". 

    Travail d'adaptation

    Le récit dont est issu Une Valse dans les allées ne fait que 25 pages. Le réalisateur Thomas Stuber a collaboré avec l'auteur de la nouvelle, Clemens Meyer, pour adapter le texte et en tirer un scénario. Travailler à partir d'un matériau aussi épuré a été "un exercice aussi intéressant que difficile" pour Stuber. Il poursuit : "D'un côté, c'est évidemment commode d’avoir une base écrite que l'on n'a pas à inventer, mais d'un autre côté, ce n'est pas de la littérature classique, ce n'est pas un roman. J'ai relu la nouvelle il y a peu et j'ai été surpris de constater que nous avons bien couvert ce qui était déjà dans le texte. Un passage de deux lignes a été transformé en trois scènes de 14 minutes au total. C'est le noyau, tout est là".

    Influences

    Thomas Stuber revendique l'influence du Suédois Roy Andersson et du Finlandais Aki Kaurismäki sur son film, deux cinéastes connus pour le ton absurde de leurs oeuvres. Mais c'est surtout dans les thématiques abordées par ces réalisateurs scandinaves que se reconnaît Stuber : "La solitude est un motif très important dans mon cinéma. Pour Kaurismäki aussi il me semble et j'adore la manière dont il combine cela avec l'amour. C'est pour cette raison que ses films sont si formidables".

    Voix-off

    Le réalisateur a décidé d'avoir recours à une voix-off car il ne voulait pas donner "l'impression que l'histoire se passe au moment où on la regarde. Pour moi, le but d'un procédé dans le style 'laissez-moi vous raconter une histoire qui m'est arrivée', c'est de vous communiquer toujours une sorte de mélancolie – parce que c'est fini, que c'est déjà du passé et que c'est toujours différent de se rappeler un moment et de le vivre dans le présent". Il trouvait ce procédé plus cohérent avec ce qu'il appelle le "réalisme magique" de son long-métrage.

    Les secrets de tournage des films les plus populaires lors des 30 derniers jours
    • Il reste encore demain (2023)
    • Pas de vagues (2023)
    • Dune : Deuxième Partie (2024)
    • La Promesse verte (2024)
    • Nous, les Leroy (2024)
    • Une vie (2023)
    • Civil War (2024)
    • Le Jeu de la reine (2023)
    • Kung Fu Panda 4 (2024)
    • Hors-saison (2024)
    • Et plus si affinités (2024)
    • Godzilla x Kong : Le Nouvel Empire (2024)
    • Heureux gagnants (2024)
    • Une famille (2023)
    • S.O.S. Fantômes : La Menace de glace (2024)
    • Immaculée (2024)
    • Black Flies (2023)
    • Bis Repetita (2023)
    • Quelques jours pas plus (2024)
    • La Malédiction : l'origine (2024)
    Back to Top