Avis sur El mar

Ce film est GAY et je me dis que le film doit être surtout fait pour, Gay people compositeurs gays. Le film est réservé à la gent GAY. Le film est passionnant et confus à la fois quand à RAMALLO la violence est de mise dans les années de la Guerre Civile en Espagne, il n'y a pas de télé et la population en général est attiré par le sexe le soir ce qui est loin d’être passionnant. Le film n'est pas clair. IL faut savoir qu'en Espagne être Gay en 1936 est un délit, on vous considère comme un paria le Machisme Règne les femmes sont surveillées par les hommes qui ont peur qu'elles fassent la même chose qu'ils font (escapades et aventures friandises avec les femmes d'une nuit) ce n’est pas toujours très clair et il faut connaître l'Espagne et cette époque pour bien comprendre le contexte et les rôles des personnages. Le réalisateur semble faire porter à la guerre civile espagnole et à la ligne répressive du franquisme une partie de la violence des personnages qui ont un rôle "obscur" et il est très difficile de comprendre tant le contexte de ces trois jeunes garçons espagnols. IL faut aussi savoir que dans les îles Canaries la vie est très différente que dans le continent ce sont des îles tout le monde se connaît. Et il est difficile de cacher que l'on est GAY. Manuel découvre qu'il est GAY et est donc plus attiré par les Hommes que par les femmes. En plus Majorque est une île où vivent 80% des habitants sont des Allemands et l’homosexualité le réalisateur a voulu mettre en avant l'homosexualité et les difficultés, rejets de la société etc., un homosexuel. Papi qui paye les prestations en argent (il est riche) et couche avec jeune homme tandis que le garçon est tombé amoureux de son meilleur ami et il souffre de jalousie de voir qu'il couche avec le papi, mortifie parce qu’incapable de supporter les sentiments et les désirs qu’il éprouve pour son ami au point de basculer dans la folie. EN conclusion ce film me rappelle Oscar Wilde et son homosexualité l'a amené en prison et obligé de s'exiler. Un film passionnant aux thématiques Homosexuelles, au scénario nébuleux, traînant les pires stéréotypes sur l’homosexualité ; bref pas très intéressant. Le film, est une œuvre sociale pour mettre à nu les difficultés de la vie dans les îles espagnoles en Espagne pour la gent GAY, afin de projeter son regard plus loin encore que d’habitude : dans l’avenir nébuleux de l'homosexualité. Au cours des derniers jours, il a été remarquable de voir autant de temps et d’espace médiatique consacrés à un un film dramatique et dont le sujet nébuleux on dirait un film de sicnce fiction dont le réalisateur est un spécialiste.

Quand je vois les notes que la presse a données à ce film je suis assez dubitatif et je me dis que le film doit être surtout fait pour des amateurs éclairés de cinéma et des experts du 7ème art, parce que de mon côté je suis loin d’avoir envie d’encenser le film. J’ignore quelle était la qualité du roman dont le film est tiré, mais son adaptation au cinéma est loin d’être passionnante. Le scénario pour commencer n’est pas toujours très clair et on est parfois un perdu quand aux situations et aux agissements des personnages. On ne voit pas trop ce que le cinéaste veut exprimer, s’il exprime quelque chose, et on est donc amené à suivre le destin de ce trio d’enfants, particulièrement les garçons, dont les souffrances et les motivations sont parfois un peu floues. Le réalisateur semble faire porter à la guerre civile espagnole et à la ligne répressive du franquisme une partie de la violence, parfois intériorisée, que manifestent les personnages, mais là encore tout est un peu trop abscons pour toucher un spectateur dubitatif. Mais finalement ce qui, pour moi, a été le plus pénible c’est la vision douloureuse et sordide de l’homosexualité que véhicule le film, vision un peu trop souvent portait par les films qui traitent du genre. Les deux personnages homosexuels sont soit un vieil homme qui se sert de son argent et de son influence pour obliger un jeune homme à coucher avec lui, soit un garçon qui se mortifie parce qu’incapable de supporter les sentiments et les désirs qu’il éprouve pour son ami au point de basculer dans la folie. Donc en résumer l’homosexualité rythme avec prostitution et haine de soi. C’est franchement pénible et à la limite de la caricature. Un film assez peu passionnant donc, aux thématiques floues, au scénario nébuleux, traînant les pires stéréotypes sur l’homosexualité ; bref pas très intéressant.

Jongé de nombreuses scènes difficiles mais aussi de bons moments de cinéma : «El Marr» est un film qui indéniablement est très bien mis en scène. On retrouve dans ce film des thèmes chers au cinéaste espagnole dont l’impacte du franquisme. J’ai trouver les questionnements autour de la sexualité réprimer par chacun des personnages à leurs façons intéressantes même si pour moi cela mériterait d’être un peu plus creuser. La photographie est dingue mais surtout le film est porter par deux acteurs éblouissants. D’un côté Roger Casmajor qui offre une interprétation troublante et angoissante de son personnage littéralement habité par son rôle que cela en est effrayant et d’un autre Bruno Bergonzini qui est superbe. Pour autant «El Marr» reste un film dure, éprouvant à regarder en particulier sur la fin et qui vous chamboule totalement. C’est subversif et je pense que tout comme «Vol au dessus d’un nid de coucou» et «Joker» je ne le reverrais pas.

El mar est un film difficile qui brasse énormément de thèmes dans un style volontairement lyrique et excessif qui peut indisposer ou charmer. Pour ma part, j’ai chéri ce long-métrage depuis que je l’ai découvert. Doté d’une superbe réalisation et d’une photographie travaillée, le film a le mérite d’évoquer l’Espagne franquiste sans jamais aborder le terrain politique. En réalité, l’auteur livre une version intime du conflit, en en faisant notamment la métaphore d’un conflit intérieur. Le personnage principal lutte ainsi contre sa propre nature (homosexuelle) au nom d’une morale chrétienne qui s’impose comme une chape de plomb sur l’Espagne d’alors. Aucun personnage ne peut ainsi échapper à la mort ou à un destin tragique dans ce bal macabre particulièrement dur et violent. Le genre de métrage excessif comme on en tournait dans les années 70 et que j’adore.