Mon compte
    Assassination Nation
    Note moyenne
    2,9
    824 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Assassination Nation ?

    102 critiques spectateurs

    5
    13 critiques
    4
    31 critiques
    3
    23 critiques
    2
    14 critiques
    1
    13 critiques
    0
    8 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Marina JULIAN
    Marina JULIAN

    2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 avril 2024
    Super ! Absolument à voir ! Captivant. De belles notions abordées. Un film plein d'émotions, qui nous tiens en haleine jusqu'à la fin. Une suite serait super !
    Sébastien B.
    Sébastien B.

    10 abonnés 146 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 30 juin 2023
    Sam Levinson (connu depuis par ses séries « Euphoria » et récemment « The Idol ») réalisait en 2018 ce film choc pourfendeur du puritanisme américain et ancré dans l’époque des échanges numériques (et de leur danger sous-jacent de fuite de données). Bourré d’idées de cinéma (plans séquences, split screen, inversion, tout y passe brillamment) et de références (on ouvre avec un clin d’œil à « Shinning », on cite Carrie, la ville US s’appelle Salem, etc), faisant une place importante aux dialogues très crus et aux excès de violence, ça secoue brutalement et le brio du réalisateur s’impose. Seul bémol possible, qui suivra d’ailleurs Sam Levinson par la suite suscitant la polémique, on peut s’interroger sur l’ambiguïté des messages. En effet si la charge est, sans équivoque, féministe dans le propos, la complaisance à filmer le corps des jeunes filles peut irriter (comme cela sera repris à sa charge par de nombreux détracteurs lors de ses séries). De même la dénonciation de la culture des armes est présente mais les dernières séquences, de par l’esthétisme de leur mise en image, peuvent brouiller le discours. Cette ambivalence sur la violence fait penser aux polémiques suscitées par le « Tueurs Nés » d’Oliver Stone (autre grand film choc enraciné dans son époque), celle sur la perversion supposée de l’exposition des corps de jeunes filles aux débats sur le sous estimé « Sucker Punch » de Zack Snyder. Si on accorde le bénéfice du doute sur ces quelques points, en ne retenant que la puissance de l’argumentaire féministe et la folle audace de la mise en scène, on passe un vrai bon moment de Cinéma (parfois avec des petits morceaux d’anxiété dedans).
    fred b.
    fred b.

    9 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 juin 2023
    Excellente surprise ! Cela fait réfléchir et très belle mise en scène ... sorti en 2018 et encore plus réel à l'heure actuelle .
    GéDéon
    GéDéon

    54 abonnés 444 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 décembre 2022
    Petite pépite du cinéma indépendant américain, ce long-métrage de Sam Levinson, réalisé en 2018, constitue un thriller tout droit sorti de l’univers de la série « Black mirror ». Si l’aspect film d’action présente quelques défauts avec notamment des séquences de violence parfois saugrenues, la critique de l’influence des réseaux sociaux est particulièrement efficace. Le réalisateur n’oublie pas non plus de brosser un portrait sans concession des suprémacistes blancs puritains et homophobes. La mise en scène assez pop confère un rythme soutenu et les discussions très crues entre filles donnent un ton vraiment décapant auquel on n’est peu habitué. Bref, une peinture au vitriol de la société américaine qui émancipe la cause féministe.
    Roub E.
    Roub E.

    729 abonnés 4 820 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 décembre 2022
    Pas la peine de tourner autour du pot : j’ai adoré. Assassination Nation est un film qui brocarde la société moderne, l’hyper connectivité qui paradoxalement entraîne un individualisme exacerbé. Sa première partie (la plus soft visuellement) est la plus effrayante finalement, nous décrivant un microcosme où les jeunes filles doivent toujours être dans le paraître et doivent constamment jouer un rôle; ou le tribunal public agit vite et quasi aveuglément, ou tout le monde est prêt à juger son voisin tout en posant un mouchoir sur ses propres turpitudes. En fait on nous décrit un univers totalitaire ou l’on se met volontairement. Monté comme un teen Movie dans sa première partie il enchaine des plans très cutté et des musiques très pop. La seconde partie ultra violente qui fait beaucoup penser à American Nightmare s’interroge sur la violence qui semble incrustée dans un pays et qui se déchaîne régulièrement quelque soit l’étincelle qui la déclenche. Bref un portrait trash et peu reluisant de la société numérique bien loin de ses promesses.
    Hotinhere
    Hotinhere

    416 abonnés 4 736 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 décembre 2022
    Une chronique un peu racoleuse mais trippante des maux d'une société à la dérive, avant de tourner au vinaigre sanglant. 2,75
    Sosa
    Sosa

    7 abonnés 358 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 novembre 2022
    Alors je suis pas une femme cependant je doute fortement qu'entre elles elles ne parlent que de mec.
    J'ai cru m'être trompé de film à cause du générique du début, effectivement ce n'est pas un film de Gaspar Noé. , rien ne peut le sauver pas même la subtile référence à Shining où celle à Fight Club.

    "Pourquoi t'as fait ça"
    ''' spoiler: Je sais pas, pour les like
    "
    Quel critique contre l'utilisation des réseaux sociaux.

    Tout n'est pas à jeter, le deuxième tiers du film est pas si mal, le reste en revanche direction le broyeur à ordure directement, rien de mieux n'a été fait contre le patriarcat.
    NotThatYouThink
    NotThatYouThink

    31 abonnés 251 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 juin 2022
    “Assassination Nation” souffre des mêmes tares que la plupart des super-productions, le contenu est intéressant, ambitieux, plein d’idées, mais ça tourne toujours au désastre par des dialogues peu subtils et profonds. Pourtant l’atmosphère a vraiment beaucoup d’atouts pour plaire, c’est techniquement propre, les personnages évoluent avec leurs personnalités,, notamment Lily (Odessa Young) qui se démarque du reste. La bande son est très contemporaine et colle superbement à l’histoire. La tension est également bien présente et monte sur toute la première heure jusqu'à la prise en otage dans la maison de Em. Ensuite arrive la chute, celle d’un monde hors de contrôle, mais les raisons de la rébellion sont floues et il nous faut trouver des coupables. Et c’est là que ça se complique. spoiler: Une fois que Lily trouve la table remplie d'armes à feu (pourquoi toutes les armes sont là, sur une table ?),
    le film perd toute sa crédibilité, tout le charme qu’il présentait, aspiré avec l’innocence de ce groupe de 4 copines. Si on devait résumer “Assassination Nation” avec un mix entre 3 films, ça serait : il parle du sujet des réseaux sociaux comme “Disconnected” de Andrew Stern avec moins de sensibilité, il aborde la révolution et l’incivilité à l’image de “The Purge” de James DeMonaco sans en atteindre la violence. Il aborde la sexualité à la manière des “American Pie”, sans jamais ne voir un nombril, ni parler franchement de sexualité (si ce n’est le “manger le minou” à maintes reprises qui représente à lui seul tout l’enjeu du film…symbole du féminisme ?). De plus, le film revendique le droit des femmes sans en montrer la force et l’audace. spoiler: La découverte du hacker laisse également songeur, c’est vraiment pris à la légère et cela ne m’a pas du tout plu, tout se mal pour du LOL. Je ne sais pas quel est le message dernière cette fin si légère, remplie d’indifférence.
    Philippe G.
    Philippe G.

    113 abonnés 509 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 mai 2022
    Le plan de fin montre à lui seul qu'un vrai cinéaste est aux manettes, et qu'il faudra le surveiller.
    Sinon le film est plein de défauts, notamment une exposition bien trop longue (en fait ça démarre au bout de 45 minutes) avant que tout parte en sucette.
    Mais, même les scènes sans intérêts sont toujours bien filmées, et on va suivre le fils de Barry Levinson.
    Fredo
    Fredo

    5 abonnés 61 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 3 mars 2022
    Très déçu
    jamais pris par le rythme de ce film qui m'a juste mis mal à l'aise
    je comprends la critique de la société américaine mais il vaut mieux garder son temps à regarder Euphoria plutôt que ce film
    maxime ...
    maxime ...

    195 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 janvier 2022
    Il y'a des films qui comme ça vous surprennent, sans au fond que ce dernier soit en fin de compte si " bon " que cela mais qui viennent creuser le fillon qu'il faut, au moment opportun. Il y'a d'ailleurs dans Assassination Nation une pluie de références explicites et d'autres d'une filiation plus comptemporaine pour suscité le malaise un peu moins nommé mais assez identifiable. Comme ça, a la volée me vienne Get Out, The Purge, Joker et évidemment le film totem par excellence, Spring Breakers signé de la main d'un Harmony Karine au coeur du Game !

    Sortie des comparaisons, Assassination Nation trouve le moyen de démarquer à sa guise de tout ces appuits pour filer a son rythme. Son inscription dans l'espace temps et le regard porté sur la condition de son époque et notamment de son engeance aux forceps gagne à être vécu dans des conditions plus que saines. La vrai force de ce film est qu'il ne se prive de rien et carbure, on rentre dans le tas tout en posant de bonnes questions. Son réalisateur tiens la une sacrée recette et refilé de bons tuyaux a ses comparses. Le choc générationnel a belle et bien lieu !

    Le constat va dans ce sens pour ses interprètes. Odessa Young entre dans une cour de prestige. Son personnage à tout d'une icône dans son registre de guerrière 2.0. Quand aux vernis superflus, il est évidemment dans la lignée de faire grandir la batterie de détails démesurés. On tiens la une déclaration d'indépendance qui se doit d'être assimilés au risque de se faire dénoncé ou dégommé ... Il y'a dans toute cette histoire une drôle d'idée de la justice et de l'hypocrisie qui s'en découle dans une image de porcelaine qui n'en a au fond rien que le nom. J'en reviens au. acteurs et actrices de cette démesure, leurs implications est extrêmes, totales, fantasques et jouissifs !

    Un film qui a du coffre, une expérience pas vraiment agréable mais que j'aime parfois vivre tant dans ses bousculades ressort un intérêt de bien commun à analyser et à comprendre qui donne de sacrée lettre de noblesse à un Art qui s'en gave pour mon plus grands plaisir.
    moket
    moket

    434 abonnés 4 201 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 janvier 2022
    Un pamphlet sur les dérives et les excès des réseaux sociaux, la place réservée aux femmes dans notre société, la bien-pensance, l'hypersexualisation. Portrait au vitriol d'une société sclérosée, choc, hyper violent dans son propos comme dans ses scènes d'action. Tout le film nous fait habilement sentir qu'on finira par atteindre un point de non retour, climax de violence, où tout le monde pète les plombs en étant persuadé d'agir dans son bon droit et d'œuvrer pour le bien. Effrayant.
    Nico P
    Nico P

    1 critique Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 31 décembre 2021
    Assassination Nation raconte le quotidien de 4 lycéennes (Lily, Sarah, Bex et Em), bouleversé lorsque les données personnelles des habitant.e.s de leur ville sont piratées et dévoilées au grand public. Entre chasse aux sorcières du 21ème siècle et American Nightmare , Assassination Nation dépeint d’explosion d’une société névrosée aboutissant à un survival divertissant et très bien réalisé. Si ce film reprend les codes classiques qui font le succès du genre horreur/teen, il parvient à porter un propos pertinent en restant accessible au-delà d’une « minorité éclairée ». Porté par une bande son, une réalisation et une identité visuelle parfaitement choisies, ce thriller/film d’horreur pose une question: à quoi aurions-nous le droit si American Nightmare avait su porter son concept jusqu’au bout, tout en étant fun et en portant son propos avec plus de justesse ?

    Pour commencer, il convient de souligner une qualité majeure de ce film. Assassination Nation, n’en déplaise aux critiques traditionnels, se permet d’utiliser toute la palette d’outil du réalisateur tout en nous livrant un film accessible au plus grand public.
    Jouant entre bande sonore vivante, usage créatif de la caméra, photographie expressionniste et effets spéciaux mécaniques , Sam Levinson donne vie à un film extrêmement divertissant qui, loin de certains productions Netflix ou des grandes franchises, sait conserver une identité forte. A cet égard, la scène d’invasion de la maison d’Em offre un parfait exemple, en se permettant un plan séquence qui met en exergue l’étau se refermant sur les protagonistes et annonce une scène brutale, sans échappatoire. En parallèle, et anticipant les critiques qui souhaiteraient prendre un peu trop au sérieux leur propre regard sur ce film, le réalisateur leur adresse un clin d’œil appuyé en dernière réplique, rappelant que ce cinéma est avant tout, « for the LOLs ».
    La bande originale d’Assassination Nation mérite également d’être mise en avant, tant elle sait porter les propos du film, magnifier sa narration et sublimer ses personnages. Elaborée en majeur partie par Ian Hultquist, qui a récemment travaillé sur la BO de Night Teeth. Ce dernier film, s’il ne partage pas nécessairement les qualités de Assassination Nation, parvient à créer une ambiance particulière, ce qui est également le cas pour l’œuvre de Sam Levinson. La musique « Slay’em High Kill » est à ce titre un parfait exemple, tant l’usage des basses apporte une parfaite transition vers les éléments qui sous-tendront le dénouement du film. Par son ton à la fois sobre, inquiétant et lancinant, il vient rappeler que la succession d’actions qui sont à l’œuvre à l’écran ne sont que le prélude d’événements bien plus graves. Il convient également de souligner le travail d’Isabella Summers, dont le travail sur la musique « Rage », à la fois brutale et minimaliste, vient parfaitement accompagner une scène qui parle de conflits intérieurs forts.
    Il convient de s’attarder sur une scène en particulier, celle de la fête. Cette dernière est fascinante en ce qu’elle montre ce à quoi peuvent servir les outils qu’offre le cinéma moderne pour exprimer l’état des personnages ou l’ambiance d’une scène. Dans cette séquence, c’est bien l’ébriété, les mauvaises décisions, la dimension éclatée de notre esprit dans certains fêtes (trop ?) arrosées qui sont soulignées par la réalisation. La représentation de l’état d’ébriété et de ce qui l’entoure à été mise en scène à de nombreuses reprises au cinéma, et Sam Levinson n’a pas à rougir de l’usage qu’il fait du split screen, qui porte parfaitement son propos tout en préfigurant les nombreux facteurs qui seront potentiellement à l’origine du dramatique dénouement de l’histoire. Lumière, bande originale, caméra, photographie sont parfaitement maitrisés pour porter le propos du film.

    Globalement, ce film est plutôt réussi, en ce qu’il vient proposer quelque chose de frais, de parfaitement réalisé et d’engagé. C’est une critique qui est plutôt partagée de l’autre côté de l’Atlantique, mais absolument pas en France. Cela pose la question du regard que porte le milieu du cinéma français sur ces œuvres plus accessibles aux différents publics, ainsi que sur la représentation de la sexualité au cinéma.

    Revenons donc sur la question de la sexualité à l’écran, et plus particulièrement dans le film de Sam Levinson. La critique la plus récurrente est celle de l’utilisation de la sexualité comment un argument commercial. Cependant, cette représentation vient également porter un autre propos. Les protagonistes sont vêtues de façon sexy, comme des femmes qui assument leur corps et portent un point de vue critique sur un quelconque droit de regard de la société quant à leur apparence. Finalement, ce film porte un propos : « si cela te dérange, ne regardes pas », quelque peu évident. Cependant, et c’est bien là tout son intérêt, en sexualisant ces personnages principaux, qui seront ensuite la proie de plusieurs hommes du fait notamment de l’interprétation que ceux-ci font de leurs tenues, ce film vient rappeler une leçon importante : les protagonistes (et les femmes de manière plus générale) ont un droit absolu à disposer de leur corps, à gérer leur sexualité, qui ne donne en retour aucun droit aux personnes qui les entourent, et ne justifie donc aucune agression. Il est parfois important de le rappeler.
    Si cet angle sur les agressions sexuelles est relativement classique, Assassination Nation parvient cependant à se démarquer par la façon dont il porte sa critique. Dans ce film, la violence sexuelle n’est pas cachée. AN vient rappeler que, dans ce type de situation, c’est bien à l’agresseur d’avoir honte et non à l’agressée. Il se démarque ainsi du cinéma mainstream qui, en suggérant généralement l’agression (si ce n’est en la cachant), vient supposer que celle-ci mènerait à une désacralisation de la protagoniste en la mettant dans cette position de personne violée. Être une personne violée n’est pourtant absolument pas un problème. C’est le viol et le fait d’être un violeur qui pose un problème. Ensuite, ce film parvient à montrer l’agression sans tomber dans le travers de certaines œuvres du même genre, gratuitement violentes. Au contraire, et plus justement, Sam Levinson choisit de dépeindre plus spécifiquement la situation qui précède l’agression sexuelle, sa dégradation, le moment de ces choix souvent contraints où la peur monte et la fatalité s’approche. Cette dimension de l’agression sexuelle est presque toujours oubliée au cinéma, alors qu’elle représente une part importante du vécu des survivantes.

    Enfin, le début du film vient presque nous prévenir des critiques que certains pourraient en faire. A travers un message sur le ton du « trigger warning », Assassination Nation vient prévenir, sur le ton de l’humour, les commentateurs qui portent un regard trop élitiste ou universaliste sur le sujet. Si cette approche est plutôt destinée à une audience nord-américaine, elle a cependant une pertinence très importante dans le contexte français. Face à des médias mainstream et une classe politique qui tend à s’insurger face à la moindre remise en cause des modèles dominants (esthétiques, littéraires, idéologiques, etc.), Sam Levinson prévient son audience française que le contenu de son œuvre pourrait heurter leur sensibilité et leurs égos.
    𝓂𝒶𝓉 𓆈 𝒽𝒾𝓈
    𝓂𝒶𝓉 𓆈 𝒽𝒾𝓈

    125 abonnés 1 143 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 décembre 2021
    Audacieux et surprenant ! Sam Levinson nous propose là quelque chose de frissonnant… Le rythme est très bon, j’ai étais complètement absorbé par l’histoire, les actrices principales tiennent le file et sont convaincantes. Le dénouement est bien, même très bien. De très bons plans. Film qui peut laisser perplexes certains, moi il m’a fasciné. À découvrir à l’occasion !
    Liliane G
    Liliane G

    5 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 13 décembre 2021
    Le seul point positif : leur bande son. Je comprend le message au cœur de ce film, mais il n'a pas réussit à être bien passé malheureusement.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top