Mon compte
    Parasite
    Note moyenne
    4,5
    28689 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Parasite ?

    1 431 critiques spectateurs

    5
    492 critiques
    4
    551 critiques
    3
    185 critiques
    2
    107 critiques
    1
    48 critiques
    0
    48 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    novemberromeo
    novemberromeo

    27 abonnés 648 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 janvier 2020
    Le cinéma sud-coréen révèle souvent d'excellentes surprises....et plus rarement les palmes d'or du festival de Cannes. Pourtant, là, il s'avère que les deux coïncident parfaitement. Ce film est une perle...à la fois comédie, drame et thriller, il est servi par de très bon acteurs, une belle photographie et une musique tout aussi juste. Le scénario nous surprend constamment et la tension est constante. Pour finir, l'intelligence des personnages soulignent une morale bien présente amenée avec finesse. Chapeau.
    philhag
    philhag

    24 abonnés 360 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 29 mai 2019
    je ne savais rien du film en allant le voir. J'avais vu un très bon film. pas nécessairement génial, mais très bon. Rien qu'une critique aussi neutre soit-elle peut spolier ... Ce film a une intensité dramatique croissante et surprenante ce qui en fait son premier charme. le second est la beauté et le jeu des acteurs, beauté un peu décalé pour la famille de ... parasites .... Et puis c'est très bien emmené, très bien filmé. Un très beau moment de cinéma. Du vrai cinéma. Une Palme d'Or de Cannes méritée (ce qui n'est pas toujours le cas).
    Donne envie de revoir le fil japonais : un air de famille.
    Loïck G.
    Loïck G.

    282 abonnés 1 628 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 juin 2019
    Il est impossible de parler de ce film dans son intégralité sous peine d'en révéler l’essence même, le raisonnement profond d’un réalisateur véritablement habité par son histoire, ses personnages et les répercussions qui en découlent plus ou moins joliment. Un sujet ahurissant, extravagant et parfois horrifique et toujours la même mise en scène. Une élégance décalée dans ce monde de faux semblants, où l’on s’approprie les histoires, les identités . Deux récits en parallèles, l’un ignore l’autre, mais se complètent peu à peu subrepticement pour aboutir à cette somme d’images inouïes par leur beauté, leur cruauté, leur humour et leur pertinence. Un humour mortifère en quelque sorte dont on sort indemne si l’on croit aux vertus du septième art et à la résonance de ses images. Ce que Cannes a pu entrevoir. Et que le cinéma nous confirme, grandeur nature.
    Pour en savoir plus : lheuredelasortie.com
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    223 abonnés 1 597 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 juin 2019
    Film domestique, film sur les inégalités sociales, farce burlesque, thriller flirtant avec l’épouvante, comédie noire… Parasite est tout cela à la fois, porté par une narration maligne, surprenante, jubilatoire, et par une mise en scène assez virtuose. Bon Joo ho continue d’oeuvrer à la lisière du cinéma d’auteur et des cinémas de genre populaires, dans ce qui constitue l’un de ses films les plus aboutis. Une Palme d’or réjouissante.
    tisma
    tisma

    254 abonnés 1 860 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 juillet 2019
    Parasite est un film très intéressant ! Il a été primé à Cannes et il le mérite. On suit les aventures d'une famille avec des difficultés financières, le fils de la famille va réussir à rentrer dans une famille des quartiers aisés et cela que l'engrenage va commencer, malgré un début un peu long pour la mise en place. On se laisse emporter par le talent des acteurs et par la folie de l'histoire. Humour, drame, suspens, rebondissement, inquiétude, tout est mis en place dans ce film pour nous le faire adorer. La morale de l'histoire n'est pas montré comme une leçon punitive au spectateur, et en plus, plein de petits symboles sont représenté tout au long du long métrage
    LeFilCine
    LeFilCine

    163 abonnés 560 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 juin 2019
    Parasite est cette palme d’or que l’on n’attendait pas lors d’un festival de Cannes 2019 marqué par le retour de réalisateurs à grande renommée. Pourtant le sud-coréen Bong Joon Ho faisait office d’outsider sérieux au vu de la réception très positive de ces deux derniers longs métrages, Snowpiercer et Okja. Et Parasite a obtenu la palme d’or à l’unanimité du jury ! C’est dire le coup de maître réussi par le réalisateur asiatique. Catégorisé comme simple thriller, son film est d’une richesse assez époustouflante à la croisée de nombreux genres. On y trouve de la comédie, du drame social, du policier et presque même de l’horreur. Ce ton multi facette qu’il donne à son film est véritablement emballant. Le spectateur ne sait jamais vraiment à quoi s’attendre et les surprises s’enchainent à bon rythme. On ne peut d’ailleurs s’empêcher de penser à la palme d’or précédente, Une Affaire de Famille de Kore-eda, qui était une sorte de parallèle japonais à l’œuvre de Bong Joon Ho. Parce que, en effet, il s’agit là aussi d’une affaire de famille ! D’une de ces familles déclassées, solidement tenus par une solidarité familiale de tous les instants. Sauf qu’en opposition à la douceur de Kore-eda, le sud-coréen nous propose avec Parasite une palette d’émotions et de sensations beaucoup plus larges. Parasite est sans cesse surprenant et offre quelques séquences difficilement oubliables. Une palme d’or amplement méritée.
    HamsterPsycho
    HamsterPsycho

    91 abonnés 1 180 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 juin 2019
    Un coup de maître que ce Parasite. Fable à la fois tendre et cruelle sur la Corée d'en bas et celle d'en haut; à ceci près que ce qui nous dérangera c'est le fait que personne ne juge personne. Les parasites ne sont pas d'horribles malandrins et les riches ne sont pas arrogants et sans valeurs. La famille pauvre dira même plusieurs fois que la famille riche est "gentille" quoique crédule pour certains de ses membres. C'est bien écrit, l'humour est grinçant et noir, les acteurs bien dans leur rôle et le tout est très réussi. Une palme méritée.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 19 août 2019
    Un film qu’il faut sans doute découvrir vierge de toute attente pour bien apprécier la magnifique réalisation, la photographie qui dessine de très belles atmosphères, cet humour et ce mélange des genres très coréens, ce scénario imprévisible et la partition jouissive des comédiens, en particulier les 4 parents. Mais entre le nom de Bong Joon-Ho, la Palme d’or et les critiques unanimes, j’avoue que j’espérais un peu plus. C’est un très bon film, mais cette outrance et ces ruptures de ton commencent à avoir un air de déjà-vu. Le huis-clos central m’a moyennement convaincu, alors que le film m’a paru très fort quand il s’épanouit dans une temporalité plus elliptique et des lieux plus variés (en gros toute la mise en place et la fin). Memories of murder faisait quand même un meilleur candidat à la Palme.
    Reodan E
    Reodan E

    18 abonnés 23 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 avril 2020
    Le scénario est original du début à la fin. On arrive immédiatement à s'attacher aux personnages et à cette famille aux idées débordantes. La fin est imprévisible. Un film sociétal qui peut faire réfléchir ou juste divertir.
    coperhead
    coperhead

    19 abonnés 468 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 août 2019
    Voilà un film qui mérite bien sa palme d'or 2019 . Il s'agit d'une sorte de comédie satirique voir burlesque qui vire au drame puis au au thriller avec une facilité déconcertante grâce à un scénario virtuose et original . Le réalisateur BongJoon-Ho qui a déjà quelques grands films à son actif nous offre un cocktail détonant de satire sociopolitique à travers deux familles de classes sociales très différentes ,les plus riches enfermés dans leur villa bunker à l'abri de la misère ambiante et les plus pauvres souvent victimes d'humiliations et qui finiront par exploser . Mais au final c'est bien la famille des déshérités certes amoral mais intelligent et manipulateur qui montre le plus de cohésion face à la famille Park déshumanisée . Le récit regorge ainsi de rebondissements et de scènes burlesques qui capture l'attention tout du long . Je pense qu'on peut le qualifier de Chef d’œuvre sans problème .
    Stephenballade
    Stephenballade

    353 abonnés 1 235 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 juillet 2019
    Le réalisateur Bong Joon-ho prouve ici qu’on peut faire un excellent film à partir d’un scénario tout simple. D’autant qu’il parle de choses bien concrètes, rendues de plus en plus probables par la profondeur sans cesse grandissante des fossés séparant les classes sociales, et cela à cause de programmes politiques inadaptés. Et la preuve en est que certains, quand ils sont au fond du gouffre, sont prêts à tout pour regagner la dignité et le droit de vivre décemment, après avoir fait le constat amer que l’honnêteté ne paie pas. Pas besoin de penser forcément à mal, le but étant de prendre une revanche sur la vie et que pour ce faire, un plan minutieusement préparé au préalable suffit en toute logique à se mettre à l’abri de toute mauvaise surprise et de s’assurer un meilleur avenir. Et plus aucune contrée ne semble être à l’abri de cet état de faits, le réalisateur, également co-scénariste étant parti du constat que pour des personnes issues de milieux différents, cohabiter n’est pas chose facile. C’est effectivement de plus en plus vrai dans un monde où les relations humaines fondées sur les notions de coexistence et de symbiose se délitent, et où chaque couche sociale devient… étrangère voire parasitaire les unes envers les autres. Au milieu d’un tel monde, qui pourrait montrer du doigt une famille qui lutte pour sa survie en l’affublant de parasite ? Il me semble que le système permet de vivre sur le dos de la société, et il serait opportun de dire que ces parasites ont raison de profiter des avantages offerts par ce même système. Hélas, les aides sociales ne sont pas accessibles à tout le monde, et quand elles le sont, pas souvent au même taux, quand elles ne sont pas attribuées de façon aléatoire. Mais là n’est pas le sujet puisque ces aides ne sont pas évoquées. Y-en-a-t-il seulement en Corée du Sud ? Ne comptez pas sur moi pour le savoir, je n’en sais fichtre rien ! Non, l’histoire se focalise sur des gens comme vous et moi, des gens qui n’étaient pas forcément des parasites au départ, des gens qui étaient vos voisins, vous amis ou même vos collègues et qui ont été poussés malgré eux vers le précipice par un chômage qui vous colle à la peau, parfois agrémenté de petits boulots souvent mal payés. Bong Joon-ho a bien compris cela et il a si bien maîtrisé son sujet qu’il a fait de son film une comédie sans clown et une tragédie sans méchants. Et il maîtrise si bien qu’il a su prendre le temps de décrire jusque dans les moindres détails l’arnaque qui se met en place sans que le spectateur ne prenne à partie cette famille dans le besoin. En effet, le public est invité à partager le quotidien de cette famille qui a décidé de se battre pour contrer une triste fatalité. Le plus étonnant est que toute cette première partie ne souffre d’aucun problème de rythme, mais à la longue on se demande quand même jusqu’où ça va aller. Et au moment précis où se pose la question, intervient le coup de théâtre, inattendu par sa forme, ce qui le rend percutant. Dès lors les circonstances vont conduire tout le monde (les protagonistes et les spectateurs) dans un enchevêtrement de violences au cours duquel là aussi le spectateur va se demander jusqu’où ça va aller. Eh bien au gré du rythme grandissant, la situation va basculer dans une escalade sans fin et aboutir dans une chute vertigineuse vers la bestialité cachée au fond de chaque être, une bestialité synonyme de fond du gouffre, tout cela dans une logique implacable, avec toujours cette même question qui reste : jusqu’où ça va aller. Mais avant d’en arriver là, le rythme est formidablement aménagé pour faire comme si le temps s’arrêtait, laissant alors s’exprimer les moments de tensions dans leur plus belle mesure. Il en ressort à ce moment-là un suspense assez savoureux et il nous est alors impossible de savoir dans quelle direction l’épilogue va se diriger. Mais là où réside en plus tout le génie du cinéaste, c’est d’avoir su capter par moments plusieurs actions simultanées dans un seul et même cadre. Aussi le sous-titrage, pourtant nécessaire, s’en trouve vite gênant pour tous ceux qui n’ont pas l’habitude de regarder les films en V.O. car on craint de louper quelque chose, à commencer par l’expression corporelle des différents acteurs (ils sont tellement excellents, ma préférence allant toutefois vers Park So-Dam dans le rôle de Ki-Jung). Fort heureusement, on s’en accommode finalement assez vite. Mon seul problème se trouve dans une scène de chute que je n’ai pas trouvée très convaincante dans sa mise en scène. Pas la chute pour laquelle l’ensemble de la salle étouffe un cri de stupeur, non… la première chute. Une tragicomédie impitoyable et cruelle à la fois qui me réconcilie pour cette fois avec la Palme d’or de Cannes.
    Fabien S.
    Fabien S.

    452 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 novembre 2019
    Un très bon film macabre japonais sous la forme d'un huit clos pesant comme une bonnne histoire de meurtres .
    Vinz1
    Vinz1

    122 abonnés 2 289 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 novembre 2019
    Ce film coréen, sorte d’allégorie de la lutte des classes, présente des personnages que tout oppose : d’un côté, les riches, froids, distants et de l’autre, les pauvres, vivant dans les bas-fonds mais qui se serrent les coudes et suscitant le plus d’empathie aux yeux des spectateurs. Comme d’habitude chez Bong Joon-ho, les protagonistes ne sont pas parfaits mais hyper débrouillards et c’est le cas ici, avec cette famille de prolétaires qui va tout faire pour que tous ses membres soient embauchés dans une famille bourgeoise, plus exactement dans leur maison, véritable personnage à part entière car recélant bien des surprises ! Mais réduire « Parasite » à cela serait réducteur, tant ce métrage regorge de qualités. Au premier rang de celles-ci, figure le scénario qui est parfaitement construit et nous tient en haleine jusqu’à une fin magnifique. Il faut également porter aux nues l’alternance des genres de ce long-métrage qui, en un clin d’œil, passe du drame intimiste à l’horreur pure en faisant un détour par la comédie et le thriller, c’est très fort ! Ainsi, grâce à cet amalgame d’acteurs incarnant magnifiquement de superbes rôles très attachants, de dialogues ciselés dans lesquels aucun mot n’est laissé au hasard, d’un script aussi fluide que prenant, d’une esthétique léchée qui magnifie la maison idyllique dans laquelle se déroulent les faits, « Parasite » est un grand film, véritable fable humaine et sociale alternant avec une facilité déconcertante les genres, mais surtout qui nous montre ce qu’est vraiment l’humain, à travers les envies, les doutes et les failles de cette famille pauvre, unie malgré tout.
    Fan2ciné
    Fan2ciné

    22 abonnés 102 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 juillet 2019
    Franchement un superbe film à la palme d'or bien méritée. Un thriller à la fois social et économique pour cette famille modeste coréenne qui va envahir une famille très aisée mais qui va tomber sur une surprise qui va tout bouleverser. Photo impeccable, bon jeux d'acteur et un réalisateur qui nous tient en haleine de bout en bout, bravo !
    montecristo59
    montecristo59

    33 abonnés 288 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 juin 2019
    Métaphore acide d'une lutte des classes sans issue, "Parasite" nous donne à voir les dominés en engeance souterraine, pullulant dans les bas-fonds glauques au pied des mégapoles, s'installant discrètement dans les caves des élites. Il leur donne "l'odeur cassos", ce remugle que l'enfant des riches détecte bien avant ses parents. Mais pas de manichéisme chez Bong Joon ho : les déshérités sont calculateurs et retors, ils ne valent pas mieux que les dominants ignobles qu'ils veulent arnaquer. Son film est un savant mélange des genres, lorgne autant du côté d' un E.Scola signant "Affreux sales et méchants", que de Chabrol dans "La cérémonie" ou "Violette Nozière", voire de Tarantino ou les frères Cohen pour le côté gore débridé de la dernière partie, avec une fuite sous le déluge qui vaut son pesant de cacahuètes. Son scénario, malin comme tout, installe l'air de rien une ambiance de thriller accrocheur sans se priver de nous amuser, tant la débrouillardise et la malice retorse de sa version coréenne des "Groseille" sont réjouissantes. Déjanté, loufoque autant que sombre, sans pitié voire désespérant, en tous cas brillant comme une palme d'or.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top