Avis sur 60 secondes chrono

Un divertissement correct dans l'ensemble mais le scénario n'est qu'un prétexte a voir des courses poursuite et de l'action lambda saupoudré d'un humour typique a l'Américaine comme on en voit toujours dans ce genre de film d'action .
Le tout se base uniquement sur des voitures ( ça fait penser a du Fast And Furious ) donc a conseiller au amateur de grosses cylindré principalement .
La prestation de Nicolas Cage est bonne mais trop basique sans grand charisme .

Même si l'on pourra au fond vaguissimement se distraire avec ce "60 secondes chrono" qui garde une toute petite efficacité Hollywoodienne, force est de reconnaître qu'une nouvelle fois, cette production signée par le grand manitou Jerry Bruckheimer est fort limité. D'abord par son histoire bien sur, mais de ce point de vue là, on attendait évidemment pas grand chose. Non, c'est surtout par sa mise en scène franchement lourdingue, ces effets de caméra totalement inutiles et cette musique pétaradante que le film nous saoule assez rapidement. Et ce n'est en rien les scènes d'action qui nous feront changer d'avis : très moyennement filmées et proche de l'épileptique, elles ne font en définitive que confirmer cette impression pénible de manque absolu de subtilité et d'élégance. Reste Nicolas Cage, réussissant l'exploit d'être bon au milieu d'autant de bras cassés, mais reste que ce "60 secondes chrono" n'en demeure pas moins un spectacle sans grand intérêt à tout point de vue. Dispensable.

Ce qui est sûr avec 60 Secondes Chrono (2000), c’est que le film ne brille pas (et ne se distingue pas) par l’originalité de son scénario et ni par sa mise en scène !
Mais qu’y a t-il donc d’intéressant dans ce film ? Le réalisateur d’Opération Espadon (2001) ne révolutionne pas le genre mais parvient à retenir l’attention avec peu de chose (n’en demandons pas tant, ce n’est qu’un film de « bagnoles » !). Ici, seul le défilé de berlines et autres coupés sport retient notre attention, jusqu’à ce que le film arrive à sa fin et là, le réalisateur se lâche, en nous offrant une brillante course poursuite dans la ville et sur les docks. Haletante et violente, Dominic Sena termine en beauté un film qui démarrait plutôt mal, et ce, malgré l’agréable distribution, où l’on peut retrouver : Nicolas Cage, Angelina Jolie, Robert Duvall & Delroy Lindo.
A titre de comparaison, on préfèrera amplement son original (La Grande Casse - 1974) !

Un joli casting et le réalisateur du très réussi "Kalifornia" (7 ans avant tout de même !) on pouvait espérer un très bon film d'action. Ce qui n'est pas vraiment le cas.
Le scénario est d'un classicisme ennuyant, les rebondissements sont attendus et donc il y a un gros manque de surprise. Les cascades et l'action sont mis en scène à l'ancienne, efficace sans doute mais pas assez moderne pour plaire aux plus grand nombre.
Un film médiocre donc qui ne tient pas ses promesses.

Dans mon esprit je fixais le début de la déchéance de Cage vers le premier Benjamin Gates en 2004. Alors oui il a fait des navets avant, mais peut-être pas avant de majesté que ces derniers temps. Mais là avec 60 secondes Chrono il s'était déjà surpassé. On a l'exemple typique du film pour beauf, de la musique de merde, des voitures, le tout mal filmé, avec un scénario débile qui n'est même pas filmé.

Non parce que sérieusement... Le type veut voler 50 voitures en trois jours, premier jour il faut son équipe, deuxième jour il fait du repérage et troisième jour il vole. Ok... Non mais sérieusement ? On en voit prendre 4 ou 5... Comment veux-tu que j'y crois une seule seconde... si déjà tu as un postulat de départ impossible, mais fait en sorte de m'émerveiller, trouve une astuce pour que ça soit possible... Fais quelque chose ! Propose au moins une idée. Non là l'idée c'est l’ellipse. Ben oui, tellement plus pratique.

Je passe sur les dialogues pathétiques : "l'amour d'un frère, c'est l'amour d'un frère", cette phrase pourrait illustrer "truisme" sur wiktionnaire aux côtés de la citation de Johnny "pour faire un couple, il faut être deux". Non mais tu te rends compte de l'indigence du truc. Les mecs n'en avaient clairement rien à branler du début à la fin. Les courses poursuites de bagnoles sont chiantes comme la pluie et je suis désolé mais voir un mec parler à sa voiture et la caresse, j'appelle un hôpital psychiatrique. Qu'est-ce-que c'est beauf !

J'aimerai sauver un truc, dire ouais c'est un nanar, la coupe de Cage est rigolote, mais même pas... même pas... Je me suis juste fait chier pendant presque deux heures à suivre un truc improbable dont tout le monde se fout totalement. Perte de temps.

Alors oui, ce n'est pas le meilleur film que j'aie pu voir, ni celui de Nicolas Cage. Par contre, il est vrai que le générique de début est bien foutu, que pour moi le seul bon moment du film c'est la poursuite de la fin, c'est vraiment fendard. Bref rien de fabuleux, il n'y a rien a faire, Bullit restera vraiment dans ma mémoire, ainsi que les Mad max pour les poursuites de bagnoles.

J'adore les films qui font l'apologie d'instincts et comportements qui détruisent notre planète. L'industrie de la voiture de luxe est le symbole ultime du consumérisme et de l'achat guidé par une recherche de reconnaissance de statut social. C'est exactement ce sur quoi 60 secondes Chrono joue. Avoir une grosse bagnole n'est plus un moyen d'expression de liberté individuelle, c'est la promesse d'être valorisée par sa possession et potentiellement un moyen d'être populaire et d'emballer des gonzesses au QI d'huitre qui ont toutes le même cul. C'est désolant et comme en plus il n'y a aucun cinéma développé autour des engins, je n'ai vu dans ce nanar aucun intérêt. Un film de beaufs pour les beaufs.

Drôle d'idée que de réunir plein d'acteurs connus pour commettre un vol à grande échelle puisque Nicolas Cage doit voler 50 voitures de luxe en 1 nuit pour sauver son frère. La police, bien évidemment, est sur les dents...
Quel ennui de voir ce film... le temps passe à une lenteur phénoménale. Rien ne ressort d'intéressant.
Bref : 60 secondes de visionnage suffisent !

Fort de ses succès dans Rock, Volte/face ou encore Les ailes de l'enfer, Nicolas Cage retrouve le producteur de blockbusters Jerry Bruckheimer pour le remake d'un vieux film d'action peu connu du grand public : La grande casse. Reprenant les grandes lignes du film original, ce remake y incorpore les ingrédients classiques du film d'action soit une équipe de voleurs hétéroclites, un méchant très méchant, deux flics obstinés et une histoire de fraternité centrée sur un ex-voleur de voitures qui reprend du service pour sauver son jeune frère embarqué dans une sale histoire. Les années 90 l'ayant boosté pour enchaîner les films d'action à gros budget, le polyvalent Nicolas Cage inonde l'écran d'une classe incommensurable aux côtés de Robert Duvall, Giovanni Ribisi et d'une Angelina Jolie hélas sous-exploitée en voleuse de voitures méga sexy. Se joignent également à la team de voleurs professionnels l'imposant Vinnie Jones, le black de service Chi McBride et le sympathique Will Patton, complétant donc cette bande de fripouilles déterminés à mettre la ville sans dessus dessous pour débusquer 50 voitures soigneusement sélectionnées par leur employeur en seulement 72h. Courses-poursuites haletantes, cascades en tout genre, explosions multiples et punchlines à perte de vue sont donc au rendez-vous pour un film résolument moderne, bourré d'action, de personnages atypiques et d'humour cinglant, surpassant de loin son prédécesseur terni par le temps. En somme, ne cherchez pas plus loin : 60 secondes chrono est un remake réussi l'on ne s'ennuie jamais et qu'on regarde de temps en temps pour passer agréablement le temps.

Uniquement pour les amoureux de belles cylindrées et de la vitesse....mais un film à ne pas rater sous aucun pretexte!...collé au siège j'vous dis!!

Génial! Le personnage de Nicolas Cage est juste énorme, comme toute l'équipe autour! Ca dépote!

60 secondes chronos souffre d’une réputation très négative, et c’est vrai que j’ai vu mieux quand même. Maintenant cela reste un divertissement d’action sans grande prétention, qui fonctionne par la roublardise qu’il dégage.
Au niveau des atouts Nicolas Cage en est un, et certains seconds rôles efficaces. Cage est à l’aise, dans un genre de film qu’il aime bien, et dont il est souvent d’ailleurs un des piliers d’intérêt. Le seul à être doté d’un personnage à peu près travaillé, il se démène comme il peut pour enlever le morceau avec sérieux et conviction. Il est bien entouré par un Delroy Lindo percutant, et un Robert Duvall, qui malgré ses faibles apparitions montre clairement qu’il reste une pointure. Pour le reste malheureusement il y a de sérieux ratés. En particulier Angelina Jolie, qui ne fait rien. Alors pas forcément parce qu’elle ne le veut pas, mais parce que son rôle est transparent, qu’elle n’apparait quasiment pour rien (se maquiller, se faire toucher les seins, je crois que c’est à peu près tout). De la même manière des acteurs potentiellement intéressant comme Vinnie Jones ou Timothy Olyphant passe le film avec deux ou trois scènes qui auraient presque pu être supprimé du métrage tant elles sont inutiles. De fait, c’est frustrant.
L’histoire est quant à elle portée par un certain dynamisme, bien que la première partie tende à être trop longue. Le film est nettement coupé en deux, et la première partie ne contentera pas l’amateur d’action et de grosses bagnoles. Autre atout du scénario, il a le mérite de ne pas se prendre trop au sérieux, et donc d’assumer son statut de divertissement plutôt béta. Maintenant les défauts. D’abord des incohérences assez monumentales, ensuite une très faible exposition des voitures. C’est assez intolérable, car on ne verra par exemple jamais les fameuses mercedes, et la plupart des voitures apparaissent cinq secondes à l’écran. C’est très frustrant, surtout par rapport à des concurrents comme les Fast and Furious qui ont au moins eu le mérite de combler les amateurs à ce niveau.
La réalisation est signée d’un Dominic Sena à fond sur les effets clipesques et la mise en scène tape à l’œil. C’est propre aux films de voitures, donc rien de surprenant, d’autant que le réalisateur à quand même une marque de fabrique à ce niveau. C’est plutôt pas mal fichu, car pas trop épileptique, et finalement Sena assure assez bien, offrant un métrage correct, avec des scènes d’action bien emballée. Ce n’est pas le cas de la photographie, qui surjoue les contrastes de lumières, les effets écrasants de soleil, et qui use fort mal du potentiel des scènes nocturnes. Là c’est un ratage. Les décors quant à eux, bien qu’acceptables, ne laissent pas une impression démente. Côté action donc des courses poursuites, des fusillades, quelques combats aussi, brefs, c’est assez variés, même si le décalage entre la première partie et la deuxième à ce niveau est net. Enfin, une bande son nerveuse, et urbaine, pas de grosse surprise, je crois que les habitués seront en terrain connu. C’est assez réussi.
En somme 60 secondes chrono garde quand même quelques atouts assez sérieux. Cage, quelques seconds rôles solides, un rythme tenable, des scènes d’action efficaces, pas d’abus d’effets spéciaux foireux, une réalisation bien maitrisé de Sena. Cela compense en partie le gros problème des voitures invisibles, de la photographie pourrave, de certains rôles transparents, et d’un scénario très simple. Je donne la moyenne, mais il faut quand même être un vrai amateur de ce genre de film pour réellement adhérer. 2.5.

L'histoire est parfois incohérente mais l'ensemble reste très divertissant avec son lot d'actions et de courses poursuites !! A noter, une BO très sympa

Malgrés un scénario un peu bidon et le titre qui ne correspond en rien a l'histoire du film!
C'est un film a voir pour les belle voitures et pour les course poursuite a coupé le souffle!!!

Ce film d'action qui tourne autour des bagnoles est un vague remake d'une série B de 1974 : "la Grande Casse". On ne s'ennuie guère même si on attendait mieux de ce film assez convenu qui bénéficie d'un beau casting ; mais Cage se détend visiblement entre 2 rôles plus consistants, et Angelina n'est guère là que pour faire honneur à son nom, c'est à dire jouer la potiche bimbo. Un sujet mal exploité bien que distrayant.