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    En Guerre
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    garnierix
    garnierix

    195 abonnés 412 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 30 mai 2018
    On a l’impression éprouvante avec ce film que les gens sont cuits, et qu’il ne leur reste que les extrêmes comme recours. Pas seulement ceux du film. Les gens semblent cuits de s’être trop laissés aller, endormir, bercer, tandis que les plus forts devenaient de plus en plus forts, au point qu’il n’y aurait plus rien à faire pour les sauver (‘aurait’ : conditionnel). Mais c’est l’impression d’un spectateur, rien n’est théorisé, et l’on n’en dira pas plus ici sur la cuisson et sur l’extrême dans le film. Il faut aller le découvrir. Nous sommes donc dans un zoom social, résolument réaliste, qu’on ne quitte pas pendant une heure et demie, sauf pour quelques parenthèses très courtes dans la vie privée du personnage principal. On y vit un concentré de malaises et d’espoirs, qui ne laisse aucune place à l’imagination, aux clins d’œil, aux vannes, au rêve –mais on est dans le rêve social de l’un d’eux. C’est un film bien français, et bien fait (pour changer?). La mise en scène, la caméra, nous incruste avec confort dans les scènes où il n’y a pas de confort. La musique est une vraie découverte (Bertrand Blessing), dès l’introduction, quasiment un rôle dans le film, qui s’impose ici pour couvrir les bruits des hommes, ou là pour les accompagner dans leurs réflexions. Le sujet proprement dit est maîtrisé ; ça rappellera des choses à certains, des forces et des faiblesses, tandis que d’autres les découvriront, des choses vraies. Les acteurs ne sont pas majoritairement des acteurs, paraît-il (sauf Vincent Lindon), mais ils jouent plus vrai que les vrais (ils ne déclament pas, ils ne surjouent pas, ils ne cherchent pas leurs meilleurs profils), ce qui fait, curieusement, qu’un des intérêts du film est de s’interroger sérieusement sur les autres films, en général. Stéphane Brizé est un sacré chef d’orchestre, et l’orchestre un bel exemple d’équipe.
    btravis1
    btravis1

    97 abonnés 529 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 mai 2018
    Noble combat dont l'issue est malheureusement souvent courue d'avance. Le film en posant sa caméra au plus près des négociations montre bien les différentes étapes du processus et les objectifs divergents entre ouvriers/travailleurs et patrons/actionnaires. Le casting est parfaitement réussi, Vincent Lindon en tête, admirable, et le réalisateur ne ménage aucun parti. Chez les ouvriers, notamment, les différents points de vue, liés à la situation de chacun, sont très bien argumentés et prouvent la réelle difficulté de ces négociations, où, même si la solidarité est le maître-mot, elle n'est pas toujours facile à conserver. Sur la forme, le film m'a parfois moins convaincu, le mélange fiction/docu, les intermèdes télévisés d'une chaîne d'info continue, l'utilisation de la musique n'ont pas forcément l'effet escompté. Et la toute fin ne me paraît pas du tout correspondre à l'image qu'on se fait et qui est montrée du meneur des négociations.
    Jrk N
    Jrk N

    33 abonnés 238 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 mai 2018
    En Guerre (2018) pose toutes les questions : a-t-on raison de laisser les entreprises fermer des usines pour délocaliser et augmenter les profits ? doit-on résister jusqu'au bout ou prendre les primes offertes en négociant ? comment résister : faut-il voir le patron, mettre les groupes en grève, chercher des appuis politiques ? mais il ne donne pas de réponse.
    Pour moi, il est clair que toute fermeture d'usine remet en cause le capitalisme et qu'à un moment la seule solution est la réquisition par l'état sans indemnités ni rachat. Mais pour d'autres la réponse est autre chose.
    C'est donc un très bon film car il pose les questions et n'impose pas de réponses. Jamais ils fait dans le mélo ou le psychologisant : il cille simplement à son propos : décrire la lutte contre la fermeture d'une usine rentable dans un groupe rentable après que les salariés aient accepté de travailler 39h payées 35 en contrepartie du maintien de l'emploi. Que faire ? et Comment ? Le film ne part jamais dans l'anecdotique ou le psychologisant.
    Surtout ne pas dévoiler la fin.
    Bravo Lindon, Brizé et toute l'équipe.
    brunocinoche
    brunocinoche

    69 abonnés 1 071 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 octobre 2018
    « En guerre » aurait pu s’appeler « La loi du marché », film précédent du couple Brizé Lindon.
    Pourtant, bien que dans la continuité idéaliste de dénoncer un monde libéral cruel et inhumain, les 2 films ne se ressemblent pas : « La loi du marché » suivait le parcours intimiste d’un chômeur, « En guerre » raconte la lutte sociale au sein de groupes sociaux.
    Mise en scène au scalpel, rapide et nerveuse pour filmer les affrontements souvent verbaux, parfois physiques, entre syndicalistes et patronat ou inter syndicalistes.
    La limite de ce genre de films est qu’ils prêchent pour des convertis mais la démarche de Brizé est très intéressante. Même si on sait de quel côté il penche, il n’angélise pas les travailleurs et ne diabolise pas les employeurs. Il montre les coulisses de ce que les médias ne nous montrent pas.
    Seuls points communs d’ « en guerre » avec le film précédent, la présence impeccable de Vincent Lindon, rare vedette du cinéma français actuel crédible dans le rôle de l’homme de la rue et l’utilité publique de réaliser un tel film, fort témoignage sur notre monde actuel.
    Yves G.
    Yves G.

    1 273 abonnés 3 282 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 mai 2018
    Laurent Amédéo (Vincent Lindon) est délégué syndical chez Perrin Industrie à Agen. Le sous traitant automobile bât de l'aile. Deux ans plus tôt, un plan quinquennal de sauvegarde de l'emploi a été signé avec la direction en échange d'ue augmentation de la durée de travail sans contrepartie salariale. Mais le groupe allemand auquel Perrin appartient ne veut rien entendre : Agen n'est pas assez compétitif et doit fermer. Laurent Amédéo va se battre. Il ne veut pas du chèque que lui fait miroiter la direction. Il veut sauver son emploi et celui de ses 1100 camarades.

    Avec son septième film, Stéphane Brizé est au sommet de son art. Chacun est meilleur que le précédent. Déjà "Le Bleu des Villes" en 1998 et "Je ne suis pas là pour être aimé" en 2004, qui racontaient le mal être d'une pervenche pour le premier et d'un huissier de justice pour le second, avaient ce je-ne-sais-quoi qui retenait l'attention. Puis c'est la rencontre avec Vincent Lindon. "Mademoiselle Chambon" en 2008 d'une rare délicatesse. "Quelques heures de printemps" en 2012, un film sur l'euthanasie que je défie quiconque de voir sans en être durablement traumatisé. Puis "La Loi du marché" en 2015 qui vaut à Vincent Lindon, qui campe un chômeur en fin de droit arc-bouté sur le peu de dignité qu'on lui laisse, une Palme d'Or de la meilleure interprétation masculine amplement méritée.

    "En guerre" met en scène le même acteur dans un rôle similaire. Ceux qui ont aimé "La Loi du marché" y trouveront le même plaisir. C'est le seul défaut de ce film. Et, vu le plaisir qu'on avait pris il y a trois ans au précédent film de Stéphane Brizé, c'est un défaut vite pardonné.

    "En guerre" raconte moins une guerre qu'une grève. Et si le titre n'avait déjà été utilisé avec la postérité que l'on sait par Eisenstein, il lui aurait mieux convenu. Cette grève, c'est celle que Laurent Amedeo et ses camarades de lutte décident de mener contre la decision inique de l'entreprise. Une fermeture et une vague de licenciements doublement injustes car elles interviennent en violation de la parole donnée deux ans plus tôt et qu'elles frappent un site de production qui, nous dit-on, dégage des profits, quand bien même les actionnaires se plaindraient qu'ils ne soient pas suffisants.

    Sur un mode quasi documentaire, Stéphane Brizé filme la grève. L'effet de réalité est amplifié par l'utilisation autour de Vincent Lindon d'acteurs non professionnels frappants de vérité. On n'oubliera pas de sitôt Mélanie Rover, la militante CGT à l'accent chantant et aux réparties bien senties, qui a son avenir tout tracé au cinéma si la rage du syndicalisme l'abandonne.

    Des grèves au cinéma, on en a déjà filmées beaucoup sans remonter à Eisenstein. Ces dernières années j'ai particulièrement été marqué par deux documentaires : "La Saga des Conti" en 2013 et "Des Bobines et des Hommes" en 2017.

    Mais ce qui frappe ici, c'est la cohérence du geste cinématographique. Le scénario, la musique, le cadrage, le montage participent tous d'un même but : filmer un combat qu'on croit perdu d'avance. Car c'est cette trajectoire tragique et rectiligne que semble annoncer le film. On ne sait s'il faut saluer sa rigueur ou déplorer son absence de surprise.

    Mais la surprise viendra à la fin du film. Une fin qui précisément semble ouvrir les possibles alors qu'on les croyait jusqu'alors condamnées. C'est une fin à tiroirs que je vous laisse découvrir. Il y a d'abord une rencontre qu'on pensait impossible. Et puis il y a un geste insensé, glaçant, monstrueux, tout aussi inattendu que logique. Et ce geste ouvre une perspective que la voix d'un journaliste, la même que celle qui avait ouvert le film deux heures plus tôt, esquisse.
    Ufuk K
    Ufuk K

    463 abonnés 1 395 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 mai 2018
    " en guerre " présente lors du dernier festival de Cannes est un drame social criant de vérité. En effet le film qui retrace le combat de salariés pour éviter la fermeture de leur usine est tourné d'une manière quasi documentaire porte par un Vincent lindon au sommet de son art dans ce récit cruel dénonçant les dérives du capitalisme.
    I'm A Rocket Man
    I'm A Rocket Man

    214 abonnés 2 847 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 14 novembre 2018
    Là c'est beaucoup ! J'adore pourtant les films réalistes, j'adore pourtant les films sociaux, j'adore pourtant Vincent Lindon mais là non ! Trop c'est trop ! Les scènes à rallonge et le côté trop documentaire ont eu raison de moi et je n'ai pas réussi à adhérer malgré toute ma bonne volonté. Vraiment dommage car c'est le genre de films que j'aurais aimé adorer.
    Ninideslaux
    Ninideslaux

    67 abonnés 222 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 mai 2018
    Il nous aura tout fait! Petit patron en faillite après la filouterie de son assureur, chômeur devenu agent de sécurité, et maintenant leader cégétiste dans une usine menacée de fermeture, même en chien, comme on l'a vu récemment, il incarne le cabot contestataire, celui qui n'aboie pas avec la meute! ll est bien loin, le temps où Vincent Lindon était le chevalier servant d'une princesse. En défenseur de la classe ouvrière, il est bluffant. Tout le film de Stéphane Brizé est bluffant d'ailleurs. Ca démarre comme un documentaire sur un conflit social qui pourrait se situer chez Lipp, Arcelor-Mittal, Florange....., et ça relève le défi de nous passionner jusqu'au bout. Je crois que beaucoup parmi les acteurs sont des non-pro, et nous avons l'impression d'être dans un reportage... On ne peut les citer tous; ils sont parfaits! mentionnons Mélanie Rover, qui interprète la représentante de la CGT-jeune, et qu'on reverra sûrement.

           C'est une multinationale allemande qui a deux filiales en France, Perrin Industrie à Agen et à Montceau les Mines. Elle a signé avec les syndicats un protocole, au terme duquel elle s'engageait à maintenir l'activité au moins cinq ans; en échange les travailleurs renonçaient à leurs primes, et acceptaient de travailler cinq heures de plus par semaine. Au bout de deux ans, les Allemands s'assoient sur leurs engagements: on ferme! Pourquoi? l'usine est rentable, mais ne fait pas assez de bénéfices au gré des actionnaires teutons..... Les syndicats, au départ sûrs de leur bon droit, ne se heurtent qu'à des portes fermées. L'action en justice leur donne tort. Le Medef est aux abonnés absents. Le gouvernement les soutient, bien sûr, mais se doit d'être impartial: l'éthique lui interdit de peser sur les affaires de l'industrie. Par ailleurs, c'est une affaire allemande....  Chez les syndicats en grève qui bloquent le site, vient vite la division. Le syndicat maison, réformiste, plus lucide sans doute, a bien compris que la direction ne cédera jamais et qu'il faut avant tout essayer d'obtenir une sur-prime de licenciement la plus élevée possible. Laurent, délégué cégétiste, entraîne une partie du personnel dans un jusqu'auboutisme qui ne peut que mal finir....C'est extrêmement didactique, à travers les discussions où interviennent l'avocate des salariés, le conseiller social du gouvernement, on comprend beaucoup de choses. 

           Il est un peu dommage que le film, passablement manichéiste,  élude des données importantes: beaucoup d'entreprises doivent fermer, non pas à cause de la voracité des actionnaires, mais parce qu'elles ne sont plus viables. Et si elles ne sont pas assez compétitives, c'est parce qu'en France elles supportent les charges sociales les plus élevées du monde...

           On souhaite juste que Stéphane Brizé ne se cantonne pas au film social, car il nous avait enchanté dans un registre plus tendre: Quelques heures de printemps, Mademoiselle Chambon...

           Mais c'est évidemment à voir.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    578 abonnés 2 743 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 26 avril 2019
    Nous avons sous les yeux une œuvre de colère, un coup de poing balancé à la figure de tout un système qui nie l’humain au détriment du chiffre. Nous avons sous les yeux cette triste réalité qui, depuis des années maintenant, pullule sur nos écrans, marque les journaux de son terrible sceau. La question, maintenant, se formule ainsi : comment changer le dialogue social – et la lutte qui en découle – en énergie cinématographique ? et surtout : qu’est-ce que le cinéma va apporter à la réalité ainsi captée ? La réponse n’est pas claire. Tout se passe comme si l’urgence sociale actuelle conférait une légitimité aux fictions qui s’efforcent de coller au plus près de la réalité, dans une approche de reportage pourtant exagérée, disons redoublée, par une musique amplificatrice et assourdissante, par une esthétisation de l’image qui pourtant la rejette en bloc. Les scènes intimistes brisent le huis clos réaliste et donnent l’impression de servir une démonstration politique assez forcée, sur un sujet qui se suffisait à lui-même. Car c’est justement dans son refus de la fiction qu’En guerre fonctionne, lorsque vibrent des corps devenus entre-temps décors dans le paysage français. Immergée au cœur de l’action, la caméra rapporte les tensions inhérentes aux camps en présence avec un réel talent. Ici, c’est le choix du registre fictionnel qui dissone puisque tout ici hurle le vrai, jusqu’à ce cri de désespoir final totalement déchirant. Faire naître l’épique au sein du genre documentaire aurait, en revanche, décuplé l’impact émotionnel et l’immersion d’un spectateur ici pris entre deux eaux et qui soupçonne davantage un opportunisme social qu’une véritable vision artistique.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 20 mai 2018
    Film trop manichéen qui baigne dans le pathos ( surtout la fin ) ou tout est noir ou blanc et où les protagonistes se parlent mais ne s écoutent pas. C’est un film dans l air du temps qui plonge dans une certaine facilite et fait un peu suite commercial par rapport au précédent . Le monde du travaille et la protection des droits ne se résume pas à celui qui criera le plus fort. Il n y a aucune subtilité . Cela dit ma note est peut être trop faible mais je fait la balance avec toute la bien pensance actuelle. On ne cherche qu à montrer au final une vérité que pour faire pleurer la mère de famille. Ç est pathétique.
    axelle J.
    axelle J.

    106 abonnés 501 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 mai 2018
    C'est un film dénonciateur d'une puissance rare.
    Pour moi les rares critiques négatives émises sont inadmissibles et injustifiées car ce film ne dit que la stricte vérité que tout un chacun doit normalement et honnêtement approuver.
    LaureP
    LaureP

    10 abonnés 199 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 mai 2018
    Un rôle sur mesure pour VIncent Lindon. Film remarquable d’engagement, de passion. Parfois un peu trop manichéen à mon goût contre les méchants patrons sans coeur qui ne pensent qu’à l’argent. Quelques longueurs et la caméra à l’épaule supportée par cette musique trop prenante seraient aussi mes autres bémols. Ceci étant dit, je ne peux que conseiller. J’ai particulièrement aimé le rôle des politiques très bien illustré ici
    Jonathan M
    Jonathan M

    111 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 7 juin 2018
    Quand on a comme moi était emporté par la vérité désarmante de l'humiliation du capitalisme et ces fracas sur l'homme dans "La loi du marché", à le considérer même comme un chef d'oeuvre, regarder "En guerre" est à côté un véritable fardeau. Tout le travail méticuleux du duo Brizé-Lindon qui donnait une image du gaucho autre de ce que peu nous décrire les médias aujourd'hui part avec ce film en fumée. En plus de la déception qui est grande - et je pèse mes mots - il ne faut pas avoir peur de dire qu'ici le duo s'est trompé de combat. Le film m'a très vite fait pensé à la seconde palme de Ken Loach - "Moi, Daniel Blake" - qui montré à l'écran de la revendication "tiède". Attention, je ne dis pas que le destin dans le réel de ces laissés-pour-compte n'est pas affligeant, mais le cinéma doit proposer autre chose de ce qu'on a communément l'habitude de voir depuis 30ans, et surtout où le débat n'est pas plus élevé qu'un reportage de BFMTV. Le film laisse cette impression même - et c'est le pire - de laxisme dans l'écriture. Tout a été dit - et beaucoup mieux dit - dans le "Ressources Humaines" de Laurent Cantet, que je recommande chaudement.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 20 mai 2018
    Si vous voulez vous changer les idées des grèves, des manifestations, des conflits sociaux, de la CGT et de Sud Rail, un conseil fuyez ce film tout social moralisateur !
    Helene C
    Helene C

    1 abonné 6 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 mai 2018
    Un film puissant et intelligent, porté par un Vincent Lindon exceptionnel. Une analyse sans complaisance du néolibéralisme qui piégé TOUS les humains. On comprend bien qui sont les perdants. Maus aussi que ceux qui semblent du bon côté sont piégés s'ils veulent garder la place qu'ils ont. Il y a des vies broyées mais la grandeur de ce film est d'être tout sauf manichéen. L' accusation porte sur le système et c'est réussi.
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