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    Bonhomme
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    benoitG80
    benoitG80

    3 312 abonnés 1 464 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 septembre 2018
    « Bonhomme », après l’avoir digéré et compris comme tel, est à mon avis un très bon film qui risque d’en bouleverser ou secouer plus d’un par le sujet traité...
    Autant y être préparé à l’avance pour celles et ceux, déjà confrontés aux accidents de la vie, où les lendemains ne sont brutalement plus ce que l’on croyait !
    Il est difficile, de sortir indemne de cette histoire, avant tout bien sûr pour nos deux héros à l’écran, atrocement atteints dans leur âme et dans leur chair par cet événement soudain qui fera tout basculer, mais aussi par le spectateur plus tout jeune, parent ou même déjà grand-parent qui sera amené à réfléchir à la fragilité de la vie quant à ses propres descendants...
    C’est ainsi que ce film difficile où la nécessité de survivre, de revivre et même se renaître est intensément et formidablement montrée, devient franchement intéressant !
    Si l’axe développé à travers la sexualité débridée de Piotr, peut sembler réducteur, voire même déstabilisant, c’est pourtant un excellent moyen de mesurer l’impact de cette trou béant, par tout ce pan de vie que l’on a ôté à cet homme réduit à quasiment des seuls besoins physiques, alors que tout le côté émotionnel n’a plus sa place !
    C’est bien là, dans ce registre extrêmement difficile qu’excelle Nicolas Duvauchelle, complètement habité par son rôle au point de devenir effrayant, par ce comportement si imprévisible, dérangeant et cependant compréhensible.
    Une performance incroyable que vient d’ailleurs conforter Ana Girardot, qui par là même en tant que compagne amoureuse, aidante et soignante, surprend et convainc brillamment !
    Ce couple va vivre ce changement de cap radical, pour ne pas dire cette descente aux enfers, avec un rendu d’un réalisme très impressionnant au cœur de cette cité où se mêlent les habitants, quelques parkings et commerces ainsi que des franchises de grande distribution aux sordides objectifs !
    Évidemment, ici point d’intrigue ou de rebondissements sensationnels, mais des choix de vie, des combines, du bricolage pour colmater le tout, afin d’essayer avec amour de continuer coûte que coûte ce bout de chemin avec un Piotr devenu complètement différent.
    Quelques choix à ce sujet au niveau du scénario sont peut-être discutables, mais il faut reconnaître que par le jeu de ces deux acteurs, tour à tour creusés, vidés, la peau de plus en plus blanche et les yeux fatigués, Marion Vernoux a su réaliser un film extrêmement puissant, juste et essentiel !
    Un seul bémol quant à la scène finale et ce qu’elle laisse supposer, un peu trop belle dans ce contexte très précaire.
    Maintenant le thème de cette réalisation peut évidemment faire peur, déstabiliser, angoisser et faire craindre le pire, car ce genre de drame n’arrive malheureusement pas qu’aux autres...
    labellejardinière
    labellejardinière

    71 abonnés 274 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 11 septembre 2018
    "Bonhomme", c'est du "placement de produit" ("But" et "Go Sport" en particulier), de la gaudriole spoiler: (obsessionnelle, puis tarifée - par opportunisme de survie financière - variable introduite dans le récit, façon cheveux sur la soupe)
    , un pauvre chat témoin des égarements et "dysfonctionnements" du couple Piotr (Nicolas Duvauchelle)/Marylin (Ana Girardot), un médecin peu scrupuleux, des parents attirés par un pactole spoiler: (assurance)
    annoncé, des copains..... Et le prétexte du handicap, pour faire du spectateur un voyeur (pas de jeunes enfants pour visionner ce film de Marion Vernoux !), à défaut de pouvoir lui communiquer une émotion sincère, et de lui donner matière à réflexion..... Scénario racoleur et plutôt mal bâti, réalisation brouillonne.
    Restent les acteurs, enfin AG surtout.
    PLR
    PLR

    405 abonnés 1 471 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 septembre 2018
    Impressions étranges à la limite du mal être pour le spectateur qui ne sait pas trop dans quel registre se situer. Les situations peuvent à l'occasion être drôles mais ce n'est pas drôle en fait puisque c'est de handicap qu'il s'agit. Un jeune homme accidenté : après une période de comas, il revit mais avec l'âge de 5 ans dans la tête et 15 ans... sous la ceinture. Ce qui entraînera des situations pour le moins sordides et assez crues à l'image. Puis, la vulgarisation médicale portée en toile de fond aidant on finira par s'acclimater et s'apitoyer sans pathos excessif car le parti pris du film est justement de ne pas tomber dans le pathos. Une illustration musicale sortie du répertoire ("Le temps de vivre" (1970), Georges Moustaki, c'est aussi le titre d'un film) viendra nous confirmer, si on en doutait, qu'on est bien dans une histoire de couple, une histoire d'amour par-delà et envers contre tous les aléas de la vie.
    dominique P.
    dominique P.

    784 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 août 2018
    Cette comédie dramatique est très bien, elle est de bonne facture, on ne s'ennuie pas, c'est relativement bien rythmé et intéressant.
    Elle est originale et j'ai vraiment bien aimé.
    Les deux acteurs principaux s'en sortent parfaitement.
    Juste une remarque : il ne faut pas aller voir ce film avec des enfants car cette histoire tourne pas mal autour du sexe et ce de façon crue.
    Caine78
    Caine78

    5 991 abonnés 7 396 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 14 septembre 2018
    Avant, j'aimais bien Marion Vernoux. Mais ça, c'était avant... D'autant que si « Et ta sœur » gardait un minimum d'intérêt quant aux enjeux, ce n'est même pas le cas ici. Je n'irais pas jusqu'à écrire que tout est raté, mais nous n'en sommes pas loin. Malgré un joli potentiel, ça ne fonctionne pas. On tourne souvent en rond, l'histoire n'est pas très intéressante, la réalisatrice ne semble pas quoi faire de ses personnages, notamment secondaires. Elle hésite entre drame et comédie, ce qui est rarement probant. Même les quelques idées intéressantes deviennent presque gênantes dans leur traitement spoiler: (la prostitution de Piotr, notamment)
    , arrivant presque comme un cheveu sur la soupe, sans réelle cohérence avec le comportement de Marilyn auparavant. Alors c'est vrai : cela évite la bien-pensance totale, permettant de mettre en avant jusqu'où certains doivent aller pour faire face à une situation financière plus que compliquée. Maintenant, si c'est pour ne pas en faire grand-chose, à l'image d'une Vanessa Guide totalement sous-exploitée, ça ne mène nulle part. Idem pour le regard sur le travail : entre vision simpliste de ce dernier, discours caricatural (et pas totalement faux) sur les techniques de communication des patrons et protagonistes changeant de comportement presque du jour au lendemain, là encore le propos ne va pas bien loin. Et je ne parle même pas de la famille du « malade », presque réduite à une caricature pesante et silencieuse. Heureusement, et histoire de ne pas être totalement injuste, ce n'est pas un supplice non plus. Les repas et discussions entre amis ont beau manquer de contenu, j'ai trouvé ça sympa. Et niveau casting, Nicolas Duvauchelle s'en sort plutôt bien, même si c'est surtout Ana Girardot qui retient l'attention : à la fois touchante, drôle et pleine d'énergie, elle est un vrai rayon de soleil. Au point de se demander ce qu'elle fait avec son « bonhomme », tant celui-ci fait (très) mauvaise impression dans les premières minutes, au passage une belle occasion manquée de s'interroger quant au fait que peut-être Piotr est-il, d'une certaine façon, beaucoup plus tendre et attentionné depuis son accident... Enfin, si j'espérais que Vernoux saurait au moins conclure de façon satisfaisante, il n'en est rien : spoiler: bons sentiments (presque) totaux et banalité presque digne d'un téléfilm sur TF1
    . Bref, si les intentions étaient sans doute bonnes, le film, lui, est loin de l'être. Reprends-toi, Marion !
    Daniel C.
    Daniel C.

    131 abonnés 715 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 31 août 2018
    Une fois sorti de la salle, je constate que ce film m'a emmené dans son histoire. J'y étais, je vivais avec les personnages, j'étais pris dans ce qui les agitait, ce qui les animait. Nicolas Duvauchelle est magnifique dans son rôle, Ana Girardot lui donne la réplique avec brio. La prestation de Béatrice Dalle est savoureuse. Mais il y a aussi le contexte de ces gens, qui vivent modestement, qui travaillent dans des zones commerciales. Ce pourraient être des "petites" gens, mais il n'en est rien. Ils vivent et leur dignité est là. Le cadre de tout ça, c'est un accident de la circulation lors d'un différend conjugal. La tête de Piotr heurte le pare-brise. Trauma crânien, syndrome frontal avec sa symptomatologie embarrassante. Comment se débrouille-t-on pour survivre, revivre peut-être, continuer, croire en l'autre, qui a perdu la mémoire et donc l'appétit sexuel est débridé ? L'immersion, que nous propose -que dis-je ! - que nous "offre" Marion Vernoux est un voyage émouvant, drôle parfois, mais tellement vivant... La famille de Piotr veut le récupérer, considérant que Marilyn, sa compagne, ne peut savoir ce qui est bon pour lui. Il y a les soignants, les assurances, la justice, les employeurs, tous ces acteurs de la vie quotidienne prennent place dans le déroulement de cette belle histoire, qui nous renseigne aussi sur le statut du handicap. Un vrai beau moment de cinéma ! Longue vie à ce film !
    Michel C.
    Michel C.

    233 abonnés 1 367 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 août 2018
    La bande annonce était attirante, le film correspond en tous points à l'attente ! un couple original composé de Nicolas Duvauchelle - excellent encore et d' Ana Girardot extraordinaire. Marion Vernoux réussit ici un exercice assez incroyable. Le scénario est explosif, un rythme très soutenu, mêlant fraîcheur, gêne, passion, intimité, bref un cocktail curieux et puissant. Cru aussi, il faut le dire..... il fallait oser, et dans ce sens, nos 2 jeunes acteurs font merveille et mieux encore. Pour moi, il n'y a que Béatrice Dalle qui fait tâche et dont on aurait pu se passer. Je reste époustouflé de cette remarquable et émouvante illustration du thème délicat du handicap et de l'Amour - A voir !! **
    Hermione -Granger
    Hermione -Granger

    1 abonné 7 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 août 2018
    Film bouleversant sur un sujet peu traité au cinéma.
    Ana Giradot, lumineuse et Nicolas Duvauchelle tout en justesse dans ce rôle de traumatisé crânien.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 août 2018
    Découvert ce matin... grande claque. Nicolas Duvauchelle est merveilleux, soutenu par une Ana Girardot magnifique de justesse. Le handicap n'est pas traité de manière lourde. C'est un film lumineux... Cette histoire d'amour ne laissera personne indifférent. A voir absolument !
    Guiciné
    Guiciné

    126 abonnés 1 203 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 septembre 2018
    Un film qui débute très bien et qui termine de façon intéressante, hélas tout ce qui se passe au milieu est laissé quasi à l’abandon, c’est dommage car il y avait du potentiel et les personnages sont bien campés.
    Yves 4.
    Yves 4.

    91 abonnés 620 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 septembre 2018
    Superbe , les rapports humain jusqu'à l'extrême , l'amour avec le handicap.
    N.Duvauchelle et Ana Girardot , le couple merveilleux.
    Jorik V
    Jorik V

    1 194 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 septembre 2018
    Marion Vernoux ne choisit pas la facilité en prenant comme sujet de son nouveau film les conséquences post-accidentelles d’un traumatisé crânien sur la vie de son couple. Là où on aurait pu attendre de la tendresse, de l’émotion et une pointe d’humour, la réalisatrice prend des chemins de traverse pour le moins imprévisibles en bifurquant vers une comédie qui se veut potache et polissonne doublé d’un manifeste de la débrouille. Le résultat est complètement boiteux et le spectateur de plus en plus ahuri devant ce qui se passe à l’écran en vient à ne plus savoir sur quel pied danser. Proclamée comédie dramatique, « Bonhomme » n’est ni une comédie et encore moins un drame. Plutôt un film hybride qui se veut original et plutôt provocant mais qui part surtout dans toutes les directions sauf celles voulues. Car une chose est sûre, on ne rit quasiment jamais devant ce film et on n’est encore moins ému.

    Dès le départ, quelque chose cloche. La réaction du personnage de Maryline face au coma de son petit ami est un temps soit peu étrange. On ne la sent ni émue ni impliquée. Difficile dès lors d’avoir de l’empathie pour ce qu’elle ressent. Cette sensation s’amplifie lorsqu’elle se réjouit de pouvoir toucher une assurance à la suite des incapacités au travail de son conjoint. Quant au comportement de Piotr au réveil de son coma, il est tout de même quelque peu excessif et étrange, bien qu’on espère que la réalisatrice se soit inspirée de patients réels pour écrire son personnage. En effet, la manière dont évolue leur couple paraît constamment dépourvue de logique, voire même ubuesque. Et plus « Bonhomme » progresse, plus le scénario prend des directions hasardeuses et dénuées de sens pour aller jusqu’à flirter avec le proxénétisme féminin. On peut rire de tout si c’est bien fait, on peut également traiter presque n’importe quel sujet par l’angle que l’on souhaite, mais la gaudriole et les blagues sous la ceinture qui s’égrainent plus le long-métrage avance nous apparaissent de mauvais goût et complètement à côté du sujet.

    Si on sent l’interprétation de Nicolas Duvauchelle pleine de sincérité dans un rôle vraiment pas facile du tout, son Piotr est souvent à la limite du ridicule comme certains moments du film. Quant à Ana Girardot, elle s’en tire avec les honneurs. Si la direction d’acteurs et le script laissent à désirer, elle fait ce qu’elle peut avec ce qu’on lui donne. Et elle le fait plutôt bien, donnant à « Bonhomme » un côté terre-à-terre. Sans elle, et sachant que la parfois trop intense Sara Forestier était prévue à l’origine, on se demande si le long-métrage n’aurait pas fini par être complètement irritant. Alors il y a bien quelques jolies scènes (la scène du scooter, celles avec le médecin, …) et de bonnes idées (la sexualité débridée de Piotr, si cette partie ne finissait pas par prendre toute la place en dépit du bon sens) mais on a surtout l’impression que Marion Vernoux a perdu le fil artistique de son film. Soit elle est passée à côté d’un beau sujet à la fois drôle et tendre, soit elle n’a pas été assez loin dans l’originalité et le politiquement incorrect. Bref, un film raté mais pas dénué d’intérêt qui a le cul entre deux chaises.

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    dejihem
    dejihem

    117 abonnés 658 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 septembre 2018
    Ana Girardot et Nicolas Duvauchelle incarnent un couple aimant dans la dèche économique. Suite à un accident du susdit bonhomme, il régresse. Leur destin change et le film s'en trouve transformé. De comédie dramatique il passe au statut de comédie priapique. Marylin Moreau (ouaf !) et Piotr (ça c'est un prénom !) baisent à tout-va et les débordements phallique du bonhomme sont propices à d'excellents moments de comédie dignes d'un San-Antonio.
    Mais au-delà de cet aspect grivois, c'est surtout un portrait très touchant d'un couple qui veut s'en sortir.
    Mention spéciale à la mère d'Ana Girardot incarnée part Béatrice Dalle, aussi excessives qu'attentionnée.
    traversay1
    traversay1

    3 081 abonnés 4 620 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 septembre 2018
    Trouver la voie de l'équilibre entre comédie et drame. Beaucoup de cinéastes ont essayé et s'y sont cassés les dents. Marion Vernoux ne fait pratiquement que cela depuis Love,etc, et échoue la plupart du temps comme dans l'exécrable A boire. En conséquence, il y avait peu d'espérance concernant Bonhomme, avec un sujet pareil (un violent traumatisme crânien et ses séquelles tant individuels que dans la vie de couple). A cœur et à priapique, le film trouve étonnamment son chemin avec un mélange assez bigarré de chronique sociale et de développement intime, se jouant de pas mal de tabous et assumant un certain mauvais goût qui ne dépasse les bornes que rarement et uniquement par volonté de faire rire plus que de choquer. Il est fréquent que dans une même scène de Bonhomme, l'on soit tour à tour estomaqué, désemparé puis ragaillardi par un ton qui passe sans transition de la souffrance à la tendresse. Au fond, Bonhomme est une histoire d'amour vécue comme un défi permanent face à la bien-pensance de la société et de la famille. Nicolas Duvauchelle, si uniformément animal dans nombre de ses prestations antérieures, sidère ici par sa façon nuancée (bon, pas toujours) de jouer le délabrement intérieur et trouve une partenaire de choix en Ana Girardot, excellente de bout en bout et qui réussit le prodige de rendre l'alchimie avec son bonhomme crédible. Et pour une fois dans le cinéma français, les seconds rôles ont de la moelle et de la présence, à commencer par François Rollin inénarrable en médecin complaisant et libéré.
    jeff21
    jeff21

    52 abonnés 296 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 septembre 2018
    La prestation de Nicolas Duvauchelle dans ce film est remarquable de vérité, de sincérité et d'émotion. Il porte le film avec un talent incroyable méritant assurément un prix. Le reste du casting est idéal. Comédie dramatique sur le traumatisme et l'accompagnement d'un traumatisé, sans retenue, montrant les réelles difficultés au quotidien dans notre société et le monde du travail nullement prêts pour aider ces malades. ,On réfléchit. On comprend. On apprend de ce film rempli d'amour et d'émotion. A voir absolument malgré la dureté du sujet et de certaines scènes.
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