Avis : Shaft - Page 5

Après trois longs-métrages et une série TV, revoici le flic black le plus cool de la planète, le bien-nommé Shaft, qui surfe indéniablement sur le petit revival qu'a subi la blaxploitation après le succès de Jackie Brown, film-hommage par excellence mené par Quentin Tarantino. Mettant en scène l'inévitable Samuel L. Jackson, classe au possible, balançant vanne sur vanne avec un air décontracté, cette suite/remake/spin-off incertaine de Shaft, les nuits rouges de Harlem ne vaut hélas pas son prédécesseur et n'apporte au final pas grand chose de neuf au genre. En effet, outre son personnage légendaire, le film n'est tout au plus qu'une simple double-enquête menée par notre bon vieil inspecteur insubordonné qui va affronter un fils à papa raciste et intouchable (Christian Bale, remplaçable) ainsi qu'un baron de la drogue bling-bling à la langue bien pendue (Jeffrey Wright, ridicule). Le scénario simplissime bourré de petits rebondissements prévisibles où se côtoient racistes, gangsters, indics et ripoux, nous entraine donc dans un univers épuré où l'originalité n'est pas de mise. Cette refonte n'a donc rien de nouveau à proposer aussi bien pour les fans du genre que pour les néophytes de la blaxploitation. Regardable voire sympathique, Shaft n'est en soi qu'un banal épisode de la série TV porté sur grand écran, court mais un temps soit peu efficace, le réalisateur John Singleton allant droit au but avec une réalisation inégale, à la fois brute et trop lisse, passant outre les ficelles intéressantes du métier pour ne servir que des scènes d'action et des thèmes cent fois abordés. On appréciera donc cette enquête peu passionnante heureusement menée par un Samuel L. Jackson au top de sa forme, une B.O. fidèle et rythmée et quelques cameos rigolos comme Gordon Parks (réalisateur du film de 1971) et Richard Roundtree, le Shaft originel.

Un film policier classique et assez décousu qui mérite toutefois le coup d’œil grâce au jeu sobre mais tellement efficace de Samuel L. Jackson. L'ambiance groovie, retro et "street" et l'univers Afro-américains est aussi bien agencé parmi l'enquête de l'agent Shaft.
Enfin Christian Bale est parfait dans le rôle du jeune bourgeois prétentieux et violent.
Un film convenable.

Un film plutôt décevant!

Brillamment, Samuel L. Jackson mène la danse et se démène tout seul dans un casting plutôt fade. Le scénario est bien mené et l'intérêt est bien présent.

Le film en lui même n'est pas bien, même pas bien du tout. On a une intrigue à deux balles camouflée par du dézingage gratuit même pas amusant, mais sinon j'ai bien ri de la nullité de certains passages et de certains autres qui étaient bien trouvés mais trop rares pour rattraper quoique ce soit.

une caricature vulgaire et sans trop d'intérêt...dommage, les acteurs sont bons ...

Une nouvelle aventure de Shaft ( suite ? remake ?) ave un changement d'acteur et surtout un changement d'époque. Helas, ce nouveaux Shaft a perdu tout le charme des anciens et ce n'est pas quelques apparitions de Richard Rountree et la B.O. toujours aussi bonne qui sauveront le film. On assite à une avalanche de cliché pour un polar prévisible de bout en bout malgré un Samuel L. Jackson qui fait ce qu'il peut.

Nul. Un fils bien sous tous rapports tiré à quatre épingles mais sans fusil.un père très audacieux et défenseur d une histoire bancale.
Qui répète sans cesse à son fils comment se défendre et le fils empoté..comme s il avait 5 ans..ça m a franchement énervée.et j ai abandonné..

On retrouve l'esprit et la BO (un peu trop présente à mon goût) de la série des années 70 avec un Samuel L. Jackson dont la cool attitude nous permet de passer un bon moment. Le scénario n'est pas très original et sans grande surprise mais pas pour autant inintéressant. Ce film repose avant tout sur les deux personnages centraux avec un second coup de chapeau pour Christian Bâle, plus cynique que jamais.

Enfin un flic qui tire bien ! casting sympa, l'histoire l'est aussi, et c'est franchement efficace.

Shaft est un polar honnête qui possède un capital sympathie considérable.Mais à l'évidence ce n'est dûe ni à la réalisation faiblarde,ni au scénario convenu,ni aux traditionnelles course-poursuites et autres gun-fights.Non ce qui sauve Shaft c'est sa bande-originale funky,très classe et le jeu "cool" de S.L.Jackson qui porte le film sur ses épaules.On peut ajouter la présence de R.Roundtree(le Shaft originel)qui donne un certain cachet à l'ensemble et une touche d'humour bienvenue.

On s'ennui beaucoup dans cette grosse production mal réalisé. Hormis la très bonne interprétation de Christian Bale qui est tout le poids du film, Shaft ne vaut vraiment pas le coup. S;Jackson joue mal j'ai l'impression qu'il se fout de la gueule du film originale en parodiant avec une très mauvaise mentalité l'interprétation du flic noir. Le film vaut son visionnage pour Bale dont c'est là est de loin sa meilleur prestation à ce jour, il est toute la mentalité de salaud de son personnage qu'il retransmet à merveille avec un jeu toute en intériorité. On dirait un personnage échappé d'un bon film.

rien a dire sur ce film !! il est note a sa juste valeur rien dexcepionel ici un film americian d action de base avec un gentil un mechant une tite histoire et des peripeties smpa le film est ien tourne dans l ensemble belle distirubtion meme si je trouve christian bale pas genial ici bizarre !! jackson assure l rle lui va plutot bien et il le joue bien avec son style le film pas a laise sans accros on se matte un bon ti film d action comme il faut sans pretentions ,une bonne BO bien sur de isaac hayes je mattarde pas dessus rien de nouveau rien de trop mauvais a voir une fois

Encore un classic de John Singleton

Même si ce polar est presque sans surprise, La main et l'expérience de la rue de John Singleton plane. En effet grace à une bande son, des acteurs à leur place et a la maestria de John Singleton ce polar devient un petit bijou. La jungle urbaine y est dépeinte de manière trés pyramidale et sous plusieurs angles vraiment bien traîtés. Bref ce film a été une trés bonne surprise pour moi et confirme l'intérêt de que j'ai pour le cinéma de John Singleton.