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Rotten Tomatoes
91 abonnés
695 critiques
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4,0
Publiée le 20 mai 2014
We Only Live Twice, le YOLO de l'ancien temps, est un très bon James Bond. Lewis Gilbert a bien pris la relève et a conservé la même équipe qui marche pour réaliser ce 5ème James Bond. La scène d'introduction est probablement la meilleure de tous les films, et la musique est là aussi devenue un classique. 4/5
Un bon divertissement qui peut, de nos jours, se regarder d'un œil tout en vaquant à d'autres occupations. Indéniablement, çà a quand même bien mal vieilli. Sans compter que depuis 1967 avec "You only live twice" à aujourd'hui avec le tout récent "47 ronin" la vision du Japon dans ses mentalités à travers des yeux occidentaux semble toujours aussi ridicule...
Dans ce cinquième opus de la saga, notre très cher agent 007 doit combattre le SPECTRE, une organisation criminelle qui n’a qu’un seul objectif : devenir les maîtres du monde. Et dans cette nouvelle aventure Sean Connery nous montre sa classe habituel et impose un charisme que finalement peu d’acteur auront su imposer pour ce personnage. Ce long-métrage possède aussi comme atout la beauté des décors naturels du Japon, mais aussi la présence de quelques très belle James Bond Girls dont Karin Dor et les charmantes actrices japonaise Akiko Wakabayashi et Mie Hama. La mise en scène de Lewis Gibert est également de qualité et nous propose quelques bonnes scènes d’actions, la partition de John Barry est comme à l’habitude superbe et l’histoire sans être exceptionnelle possède suffisamment de rebondissements pour nous tenir bien en haleine. A noter aussi les très beaux décors concernant le repaire du SPECTRE qui est incrusté de manière très ingénieuse dans le cratère d’un volcan. Au final, je peux dire que "On ne vit que deux fois" est l’un des meilleurs opus de cette saga que j’ai pu visionner jusqu’à présent.
Cinquième mission du célèbre agent secret britannique James Bond spectaculaire. Un scénario bien manipulé sur toutes les détails entre la manipulation de l'organisme du spectre et le Japon. On en peut rien reprocher de Sean Connery qui est toujours là pour nous attirer dans sa perfection accompagné par des jolies asiatiques et d'une belle rousse. Des scènes de combat époustouflants comme la scène dans le bâtiment secret. On a droit à une belle course-poursuite aérienne qui met en valeur les gadgets de James Bond. Une vraie complicité entre les alliés et les femmes. Une situation comme le vol de plusieurs navettes spéciales nous attirent de regarder le film jusqu'à la fin pour savoir ce qu'ils sont devenus. Le Japon nous offre de beaux décors, ainsi que les costumes. Un très bon James Bond à voir même si vous n'avez pas vu les précédents.
Après un "Operation Tonnerre" qui marquait un certain essoufflement, ce cinquième James Bond tient toutes ses promesses. Ici, la majeure partie de l'action se déroule au Japon et cet "exotisme" est salvateur.
On ne vit que deux fois est un bon film de la saga James Bond : l'histoire de base et le scénario sont intéressants, Sean Connery est très bon comme à son habitude et les scènes d'action sont plutôt réussies pour l'époque notamment au moment du dénouement du film, c'est assez spectaculaire. Mais, je trouve qu'il manque un peu de profondeur dans les personnages pour élever le niveau du film. Bref, un film d'espionnage vraiment très divertissant qui se laisse regarder tranquillement.
A voir pour Sean Connery, impeccable dans son plus célèbre rôle. Mais pour le film de cette 1ère génération James Bond au cinéma, c'est mitigé, notamment un scénario très linéaire et une mise en scène parfois approximative avec ses incrustations un poil foireuses (et même si ce sont les effets spéciaux de l'époque). Sinon ça reste sympa et divertissant.
Difficile de passer après le raz de marée des cinq premier opus (notamment "Goldfinger" ou encore "Opération Tonnerre"), malgré tout grâce au budget deux fois plus conséquent que pour les précédents épisodes, "On ne vit que deux fois" est une pure réussite de bout en bout. Plus de décors pharamineux, plus d'action spectaculaire, plus d'exotisme, plus de suspense, plus d'ambition, tel est le défi de cette cinquième mission d'en faire toujours plus sans tomber dans la surenchère et sans lasser ses spectateurs. Il faut reconnaitre que le pari est largement réussi. Digne d'une grande BD d'aventure adapté sur grand écran (Roald Dahl est à l'écriture du scénario), le spectacle qui nous est offert permet d'accrocher en permanence avec à la clé des péripéties non stop mené à un train d'enfer durant 110 minutes sur une mise en scène soigné, ne laissant jamais une seconde d'ennui à son prochain et le phénomène James Bond incarné depuis 1962 par l'excellent Sean Connery (le meilleur 007 pour les puristes) est alors sur tous les sommets. La poursuite avec la petite Nelly, Blofed et sa cicatrice, le chaleureux dépaysement Japonais, la sublime BO de John Barry et la très belle chanson de Nancy Sinatra sont autant d'éléments plutôt "marquants" qui font de cet opus (un peu kitch mais possédant un charme fou), l'un des meilleurs de la série assurément.
Ce film est un excellent Bond bourré d'humour et d'action. L'aventure se déroule au Japon, décors encore inédits dans l'univers Bondien. Le scénario est un peu faible du point de vue de l'intrigue qui prend par moment des raccourcis et est bourrées d'invraisemblances. Les personnages manquent cruellement de profondeurs et que dire des filles qui sont ici de véritables potiches. Les points forts sont l'attaque d'hélicoptères et l'attaque du quartier général de blofeld. Dans l'ensemble le film reste très divertissant et sympathique qui garde un charme indéniable même plus de 40 ans plus tard.
Dès l’ampleur de sa scène d’ouverture, on peut déterminer que cette cinquième aventure de James Bond saura se distinguer de ses prédécesseurs en termes d’enjeux et de qualité visuelle. Lewis Gilbert réussit en effet à envoyer l’agent britannique au cœur d’un Japon filmé avec une beauté picturale ahurissante. Là-bas, notre héros, encore une fois interprété par l’insubmersible Sean Connery, a bien moins recours à son attirail de gadgets (qui avait pris trop de place dans Opération Tonnerre) pour étudier le ninjatsu, draguer quelques ‘James Bond girls’ locales (on ne refait pas!) mais surtout déjouer une nouvelle conspiration du SPECTRE. L’organisation criminelle, qui tente une nouvelle fois de tirer parti des tensions entre russes et américains, nous permet enfin de découvrir le visage de son n°1, interprété ici par Donald Pleasence et qui devint une figure iconique au moins au si incontournable que son ennemi. A l’image de sa fusillade finale, parmi les plus spectaculaires de la saga, On ne vit que deux fois est un grand moment de cinéma et peut-être le plus formellement réussi des James Bond de la génération Connery.
Cinquième mouture des aventures de James Bond au cinéma - et un film charnière dans la saga. Dernière apparition de Sean Connery dans le rôle qui a fait sa gloire, avant le retour tardif de "Jamais plus jamais". Premier passage derrière la caméra de Lewis Gilbert, qui signera deux autres opus par la suite - l'un d'entre eux, "L'espion qui m'aimait" présente d'ailleurs de nombreuses similitudes avec "On ne vit que deux fois". Contribution éclair d'un scénariste inattendu, Roald Dahl, auteur du célèbre "Charlie et la chocolaterie", qui donne un peu de substance à une intrigue bien pâlotte. Ken Adam toujours préposé aux décors. Le film tient la route, et a moins vieilli que certains autres de la série. D'abord parce qu'il y a la classe de Sean, qui ne sera jamais remplacé dans ce registre là. Ensuite parce que le cadre japonais, bien que très "de carte postale", donne un couleur à la fois exotique mais (presque) crédible au film. On retiendra les superbes démonstrations d'arts martiaux, le combat de sumo, les beaux intérieurs (kitsch, évidemment, mais pas complètement bidon), qu'ils soient traditionnels ou typique du modernisme japonais des années 60. Première apparition d'un Donald Pleasance très classe en super méchant qui fera des émules. Par contre, les James Bond girls font vraiment pot de fleur - même si Wakabayashi Akiko est mignonne. Ca se regarde encore avec plaisir.
Cinquième mission pour James Bond et encore un franc succès. Sean Connery est toujours excellent. Dans cet opus nous découvrons une des plus belles scènes de la saga pour moi, je veux bien sur parler de l'intervention de la petite Nelly (petit hélicoptère lourdement armé). Les scènes finales dans le volcan sont très bien réussies et nous découvrons enfin le visage de Blofeld (Donald Pleasence). L'intrigue du vol des engins spéciaux est intéressante. Comme toujours action, classe et humour garanti. Deux bémols pour moi. Le premier est le fait que le film se passe en Asie de l'est(Japon) car je n'aime pas trop les scènes asiatiques et le second est la façon dont sont filmés les scènes se passant à l'intérieur des voitures( la voiture ne roule pas le compte tour est sur 0).L' atterrissage de la navette spatiale est aussi digne d'une scène datant des années 50. Je pense que c'est le film qui à le plus vieillit de la saga, mais il reste très bon et est à voir.
Effectivement, c'est le James Bond qui a achevé de donner naissance 30 ans plus tard à Austin Powers ! Mais il est comparable au précédent (sans "s", vraiment celui d'avant). Si ce n'est que c'est celui où les effets spéciaux sont les plus présents (des 5 premiers, cette fois), et... à l'époque, sans doute était-ce "magnifique", mais de nos jours, le moins que l'on puisse dire, c'est qu'ils ont pris un sacré coup de vieux !