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    Paranoïa
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    3,2
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    242 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 20 juillet 2018
    Il est très lent, l’histoire n’est pas du tout captivante seul les 5 dernières minutes du film sont intéressante. C’est 2h de perdu dans votre vie.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 22 juillet 2018
    Un suspense convenu voire inexistant. Des incohérences qui nuisent à la crédibilité du scénario. Nous n'avons pas ressenti d'atmosphère angoissante et nous nous sommes même un peu ennuyés... L'idée originale du scénario est intéressante mais le jeu des acteurs et les personnages sont peu aboutis.
    fabichou78
    fabichou78

    3 abonnés 32 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 juillet 2018
    Un super film filmé différemment, bien ficelé à la fois prenant et déroutant! Une intrigue psychologique intense! Un film dur et sur la réalité des choses.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 12 juillet 2018
    Quel navet ! Cela faisait longtemps que je n'avais pas envie de quitter une salle en plein film.
    Un scénario plus que prévisible, une bande son inadaptée, un jeu vraiment moyen,doublage français mauvais... On ne rentre pas dans le film, c'est looong...
    Je déconseille à tous d'aller voir ce film, une vraie perte de temps et d'argent !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 26 juillet 2018
    Une histoire qui fait froid dans le dos....Une actrice qui est impeccable dans son rôle,un suspense qui nous tiens en haleine jusqu'au bout..Un cauchemar réel ou pas? j'ai adorée:)
    Clémentine K.
    Clémentine K.

    165 abonnés 1 427 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 juillet 2018
    Tourné de façon angoissante, ce film ne peut laisser personne indifférent. En tant que spectateurs, on est complètement plongé dans cet institut avec l'héroïne principale. Malheureusement on devine un peu trop vite ce qu'il se trame, j'aurais aimé qu'on nous laisse réfléchir un peu plus.
    Chris58640
    Chris58640

    183 abonnés 725 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 juillet 2018
    Steven Soderbergh livre, avec « Paranoïa », un petit thriller des familles relativement efficace sur le fond et assez étonnant dans sa forme. On a l’impression d’être devant un téléfilm : le film est cadré de façon inhabituelle (avec deux bandes noires sur les côtés, comme les anciennes TV carrées), l’image fait très cheap, et avec la bande son un peu décalée, un peu dissonante, cela donne une impression assez bizarre mais qui concoure à donner à « Paranoïa » une couleur particulière, celle de l’authenticité. En plaçant sa caméra dans des endroits étranges, comme au plafond ou au ras du sol, derrière un buisson ou en contre plongée, Soderbergh nous livre un long métrage qui sonne comme un documentaire, on a presque par moment l’impression de la caméra cachée. Forcément, cela est fait pour ajouter à la paranoïa du sujet, comme le scénario nous laisse un long moment dans le flou entre réalité et psychose, le format très particulier du film ajoute à cette angoisse latente qui existe dans tous les films qui traitent de la folie. J’aime bien cette option un peu minimaliste car d’habitude, les thrillers usent et abusent des effets sonores, de la musique criarde, des plans léchés. Ici, même si Soderberg doit se plier à quelques règles du genre spoiler: (l’arrière plan qui fait peur, le rebondissent du « méchant qu’on croit qu’il est mort mais en fait pas tout à fait », etc…)
    , il le fait à sa manière. C’est sur, c’est surement un peu décevant pour les amateurs de grand spectacle et de films d’angoisse mais moi, je trouve que c’est bien aussi parfois de présenter quelque chose de différent, avec un peu plus de personnalité. Pour rester dans cette optique, Soderbergh ne fait pas appel à des stars Il offre à Claire Foy le rôle titre. Elle est très convaincante en femme perturbée, que l’on imagine être au début une victime parfaite mais dont la personnalité s’avèrera plus complexe, moins lisse au fil des minutes. Joshua Léonard est un acteur qui a une bonne tête et que l’on imagine mal dans la peau d’un psychopathe et c’est précisément pour cela qu’il fait très peur, dans le rôle (phantasmé ou pas ?) du harceleur complètement cinglé, capable de tout derrière son image de nounours. Des seconds rôles bien castés et parfaitement tenus, par Amy Irving ou Jay Pahroah, complètent un casting intelligemment construit. Seul entorse à cette règle, une apparition surprise d’une grande star, un habitué du cinéma de Soderbergh à qui il offre le rôle bref d’un spécialiste de la sécurité. Il faut deux minutes montre en main à cet acteur pour faire du spécialiste de la sécurité le second type le plus flippant du scénario ! En fait, les gens qui font fond de commerce de le peur ont tout intérêt à vous effrayer au lieu de vous rassurer, c’est une évidence ! Le scénario joue, pendant une bonne moitié du film, avec l’ambiguïté de la situation : Sawyer a-t-elle des visions ou bien son harceleur l’a-t-il réellement suivi jusque dans cet établissement psychiatrique ? Cette ambigüité, qui fonctionne bien, aurait gagné à être exploitée plus longtemps et un peu plus finement qu’elle ne l’est. Il est évident qu’une fois qu’on a compris ce qu’il en était vraiment, le film perd en intérêt, il arrête de mettre mal à l’aise pour se concentrer sur l’aspect thriller du sujet. Il devient donc à partir de son milieu moins intéressant et plus conventionnel. Néanmoins, il serait exagéré de dire qu’on s’ennuie, qu’on voit arriver les rebondissements et qu’on ne vibre pas avec une certaine angoisse à la mésaventure de Sawyer. Sans vouloir trop en dire sur la paranoïa spoiler: (Vraie ? Supposée ? Un peu des deux ?)
    du personnage de Sawyer Vanlentini, on peut quand même remarquer que le film évoque aussi autre chose, c’est la question de l’internement d’office et des arnaques que le système d’assurance santé américain suscite. La jeune femme cherche de l’aide, on la pousse à évoquer le suicide, on lui fait signer des tas de papier et là voilà internée pour 24 h ou 7 jours, au frais de l’assurance santé et sans aucune justification médicale. L’escroquerie est tellement simple, tellement basique qu’elle sonne immédiatement vraie. C’est la patiente Valentini, à son corps défendant, qui injecte un grain de sable dans cet engrenage mafieux qui aurait pu perdurer très longtemps. C’est cet aspect là du scénario que je trouve le plus pertinent et presque, le plus angoissant ! Pour ce qui concerne le principal de l’intrigue, on ne peut pas trop en dire évidemment. Le film choisit son camp à la fin de la première heure, spoiler: il suffit juste d’une image pour que l’on comprenne et à partir de là, on rentre dans un autre film, efficace aussi mais qui place le curseur de la folie à un autre endroit…
    . La dernière scène est assez conventionnelle pour un thriller psychologique, elle essaie de boucler la boucle en laissant le spectateur sur une note de malaise, c’est assez peu original mais ça fonctionne, alors je valide… D’une manière générale, je valide le dernier Soderbergh dans sa forme particulière comme sur le fond, j’émets juste le petit regret de ne pas avoir vu un scénario plus bluffant, plus ambigu, plus malsain encore que ce qu’il est. Les premières scènes sont remarquables d’ambigüité et de malaise, elles laissaient entrevoir un tout peu plus que ce qu’on obtient final.
    WutheringHeights
    WutheringHeights

    99 abonnés 930 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 juillet 2018
    Steven Soderbergh signe un thriller psychologique étonnant. Claire Foy impressionne dans ce cauchemar mental habilement malsain.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 2 août 2018
    vraiment très très nul, ennuyant à mourir
    aucun intérêt, histoire très légère et ambiance anachronique.
    Flaw 70
    Flaw 70

    253 abonnés 422 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 17 juillet 2018
    Tout juste de retour de sa soit-disante retraite avec Logan Lucky en 2017, Steven Soderbergh n'a pas mis longtemps à se replonger dans le bain car il a de suite enchaîné avec son prochain film, Unsane. Projet d'envergure plus modeste mais qui se veut un pas en avant à l'échelle cinématographique car il l'a entièrement tourné à l'Iphone. Véritable expérimentation technique, Soderbergh renvoie son cinéma dans la continuité de ce qu'il avait commencé en 2009 avec The Girlfriend Experience. Un cinéma faussement plus minimaliste où il explorait les limites du format de l'image et basculait dans l'expérimentation tout en étudiant la fragilité des rapports sociaux et de d'une système déshumanisant sous le prisme de la condition féminine. Unsane et The Girlfriend Experience apparaissent comme deux œuvres jumelles, aussi différentes que complémentaires dans les thématiques abordées mais aussi le regard qu'elles portent dessus. De quoi permettre à Soderbergh qu'il est toujours un cinéaste passionnant et beaucoup trop sous-estimé.

    Le scénario aura ses lacunes vis à vis de sa façon de gérer le suspense de son histoire et de sacrifier très vite son ambiguïté. Il ne sera pas très fin dans le déroulé de son récit, notamment dans le dernier acte, mais il compense cette faiblesse par une densité symbolique assez impressionnante. Le film dispose de plusieurs niveaux de lecture, tous plus intéressants les uns que les autres. Allant de la critique du système hospitalier déshumanisé au service d'une hiérarchie irresponsable et tortionnaire tout en passant par la peur constante d'être femme dans un monde de plus en plus cryptique où le prédateur peut se cacher partout mais aussi en évoquant l'insécurité mentale où l'aide ne devient qu'illusoire et incompétente victime de sa propre incompréhension. Ici les personnages serviront surtout de fonctions autour du protagoniste qui se voit isolée au milieu d'individus vidés qui préfèrent détourner le regard sur sa détresse ou de simplement l'étouffer. La folie et la dépression étant des moyens d'accabler le personnage pour la pousser à ne plus être crue et à ne plus pouvoir être aidée. Sur cet aspect, Unsane arrive à toucher des vérités pertinentes sur le monde d'aujourd'hui où les personnes se dissocient de plus en plus les uns des autres. Dans The Girlfriend Experience, on payait les interactions sociales et physiques pour palier à la solitude et dans Unsane on force ces interactions à correspondre à nos besoins, indépendamment de la volonté d'autrui. La solitude ayant mutée vers une forme beaucoup plus violente.

    Le personnage principal se trouve au milieu de ça, développé avec. finesse. Nuancée et complexe, elle s'impose comme une personne diablement authentique dont on s'identifie facilement, Unsane n'en profitant jamais pour jouer à fond la carte "la femme victime". Elle a un caractère tel qu'elle ne paraît jamais forcée et s'impose par son intelligence et son pragmatisme étant même par moments agaçante dans son comportement hautain et égoïste. Elle est autant la victime que l'instrument de la société qui l'a broie que pour se protéger elle devra se résoudre à la quitter. Le film dispose en ça d'une ironie et d'un humour noir assez cinglant, où l'aide devient l'oppression et notre façon de vivre notre propre prison, bien montrée dans la scène où on explique à Sawyer que pour éviter son harceleur elle devra changer de vie. Une société qu'on alimente mais qui se retourne inlassablement contre nous, elle vient de là la folie évoqué par le titre. Le casting est dominé par l'excellente performance de Claire Foy, qui offre une prestation subtile et brillante de justesse, tandis que les seconds rôles font tous un travail impeccable malgré peut-être un jeu un peu trop forcé de la part de Juno Temple.

    Clairement vendu sur l'argument "filmé à l'Iphone", Unsane est un film qui a bien plus à offrir mais qui ne déçoit vraiment pas sur cet aspect. Steven Soderbergh, n'en déplaise à ceux qui le voit comme un faiseur sans grande personnalité, est un esthète de génie et tire de l'Iphone des fulgurances visuelles insoupçonnées. Grâce à une photographie impeccable, faîte par ses soins, il travail le grain de l'image pour approcher une texture des plus réalistes possibles et use de l'Iphone comme un vrai moyen de gonfler le fond du film. Avec une mise en scène ingénieuse, à base de cadres inventifs et de jeux impressionnants sur les échelle de plans, il crée une atmosphère anxiogène qui se joue en deux temps. Des plans voyeuristes et distants au début du film qui symbolise la menace qui plane sur son personnage, puis des cadres beaucoup plus resserrés et proche d'elle pour montrer son enfermement. Le film joue d'ailleurs avec brio sur les jeux de lumières et se rythme parfaitement avec un montage acéré mais aussi une composition musicale inspirée, qui détonne avec les images mais embrasse parfaitement le côté hypnotique de l'oeuvre. Toujours avec son côté très clinique et froid, mais loin d'être impersonnelle, Soderbergh signe un film qui n'appartient qu'à lui étant dans la continuité de ses obsessions visuelles. Dans sa composition des plans et de sa manière inventive de placer sa caméra, il impressionne et joue de la folie de son personnage dans des fulgurances plastiques mémorables. Que ce soit dans une image tremblante ou une séquence halluciné qui use d'un effet de trouble et de reflet pour montrer la crise dissociative de son personnage, ou encore un dernier acte qui vire au sublime, il prouve faire mieux avec un Iphone que beaucoup d'autres de ses comparses avec de grosses caméras.

    Unsane est un brillant "petit" film. Qui montre que Steven Soderbergh n'a pas son pareil dans sa façon de mettre en scène et qu'il est aujourd'hui un des rares cinéastes à s'essayer à de vrais expérimentations techniques et une vraie envie de renouveler son cinéma. Mais plus que ça encore, il continue à poser une réflexion intelligente sur le monde dans lequel on vit où les rapports humains ne sont plus que des moyens que l'on s'approprient. Constat d'une société malade, d'un système déshumanisant et une peur moderne insaisissable comme peu prise au sérieux, Unsane arrive à développer des niveaux de lecture passionnants qui lui font dépasser le simple exercice de style dont il aurait pu s'enfermer. Le réduire à son expérimentation technique serait passer à tout ce qu'il a à offrir, quand bien même il manque par moments de finesse dans ses aspects narratifs, Unsane reste un film passionnant par sa densité au casting impeccable, sublime Claire Foy, et à la mise en scène incroyable.
    Cinememories
    Cinememories

    439 abonnés 1 431 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 septembre 2022
    L’ère du braquage prend une petite pause pour laisser place à des œuvres plus psychologiques. Steven Soderbergh revient, de nouveau, de sa retraite anticipée derrière la caméra. Parlons-en d’ailleurs. Le concept de l’œuvre, filmé à l’IPhone 7, suscite des débats, mais il ne s’agit que d’un outil que le cinéma met à disposition et il n’y a pas lieu d’en discuter avec insistance, sachant que la qualité visuelle propose des teintes plutôt intéressantes. Mais ce qui pose un problème dans ce nouvel univers claustrophobique qu’il nous présente, c’est sa crédibilité et la manière de la conter.

    La folie est toujours de nature rebelle à l’écran. Sans le bon domptage donc elle a besoin, il serait aisé de buter sur une narration cahoteuse, ce qui est le cas, passé un certain stade. Sawyer Valentini (Claire Foy), performante dans son travail, mais solitaire à ses heures perdues, se trouve piégée sur un malentendu en faveur d’un hôpital psychiatrique. Evidemment inspiré de faits réels, ce genre de situations a déjà fait courir des bruits concernant les méthodes peu orthodoxes du système médical assisté. Certains établissements sont taclés pour cela, mais on ne poussera pas plus loin dans cette direction, car on préfère rester à proximité du personnage. Ce qui perturbe le plus ce sont donc les mauvaises décisions d’une héroïne qui abandonne sa personnalité. L’ambiance viscérale s’installe alors sans problème, mais on désamorce trop rapidement le pourquoi du comment on doit douter de la folie de Sawyer.

    On ne reste pas toujours auprès de la victime et c’est ce qui finit par trahir la narration. A-t-elle à faire à un fantôme du passé ou bien un véritable harceleur ? Cela ne constitue pas un enjeu suffisant pour développer toute une intrigue qui repose davantage sur la forme que sur le fond. On ne fera qu’enchaîner caricature sur caricature, sans que l’on soit véritablement investi dans la quête d’un personnage maladroitement introduit. Cela dit, il existe des passages assez forts en tension, mais cela ne reste qu’un artifice sans saveur. On s’inquiète relativement peu du fait d’un environnement dont on connaît presque tout dès les premiers pas. L’atmosphère qui aspire à asphyxier le spectateur est banalisée et se trouve en marge émotionnelle, ce qui manque cruellement dans cette réalisation plutôt discrète et conventionnelle.

    À l’image de « Shutter Island », « Paranoïa » tente d’entretenir le doute jusqu’à un dénouement qui questionne. Le pari d’être immersif est tout de même réussi, à défaut de nous vendre de l’originalité à souhait. Classique de bout en bout, il ne restera que l’appareil de poche dans les mémoires d’une victime qui ne progresse pas ou peu dans un récit peu élaboré et peu consistant. Si dénoncer le système ou prévenir du harcèlement furent les raisons de cette folle aventure, ce n’est pas ce qui ressort en premier lieu, étant donné l’angoisse qui s’essouffle trop rapidement à l’instar de la performance appréciable de l’interprète de Sawyer, qui aurait mérité un traitement moins théâtral.
    Vanessa L
    Vanessa L

    257 abonnés 821 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 juillet 2018
    Dès que j’ai vu la bande annonce, j’ai su qu’il fallait que j’aille voir ce film. On ressentait une telle tension un tel mal-être qu’on ne peut qu’être intrigué par ce film. Réalité ? Folie ? Au début, on a clairement le doute ! Dès les premières secondes, on ressent le stress de Sawyer, on sent qu’elle n’est pas à l’aise, elle voit toujours son stalker partout et on ne comprend pas forcément son attitude avec ses collègues. Elle va voir une psychologue pour pouvoir parler de ses peurs, ses angoisses et ce qu’elle pense voir. Elle veut se délivrer de son mal-être et finalement en ne lisant pas les papiers qu’elle signe elle s’interne toute seule !

    De fil en aiguille, on découvre que l’hôpital n’est pas clair et qu’ils font exprès d’interner des gens pour toucher des sous de leur mutuelle lorsque celles-ci peuvent payer. Mais l’histoire ne s’arrête pas là, elle se retrouve à voir son stalker en tant qu’infirmier de l’hôpital, est-ce vraiment lui ? Au début elle se croit réellement folle mais l’est-elle vraiment ? Personnellement, quand on voit les conditions de l’hôpital ça fait très peur. En effet, ils sont tous dans la même pièce, hommes et femmes et avec tout type de maladies, le dernier endroit où l’on aimerait être sur terre ! On ne peut pas dire que le film soit ultra passionnant mais son ambiance fait beaucoup sans compter Claire Foy qui joue merveilleusement bien ! Les rebondissements sont nombreux sur la fin et on est totalement sous le choc ! Il monte réellement en puissance au fur et à mesure que l’on avance !

    En résumé, Paranoïa est un film déconcertant et unique en son genre qui change de l’ordinaire mais c’est aussi un film dérangeant dont l’ambiance est pesante jusqu’à la dernière seconde ! Mention spéciale pour Claire Foy qui est magistrale dans son rôle ! Une très bonne surprise pour ma part que je ne peux que vous encourager à aller voir !
    Gfa Cro
    Gfa Cro

    46 abonnés 573 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 juillet 2018
    Vu et avis le 30180720

    Bien, bien fait et fonctionne bien

    Le film est globalement très crédible et cohérent.

    George est là dès le premier soir,. La fille qui courre dans les bois, admettons qu elle trouve les doigts. La police identifie alors les empreintes digitales
    Caine78
    Caine78

    5 991 abonnés 7 396 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 septembre 2018
    Steven Soderbergh a beau avoir loué ce tournage sous format iPhone, je reste plus que dubitatif. D'ailleurs, je le regrette d'autant plus que niveau scénario, le film n'est pas sans potentiel : il joue assez bien de l'ambiguïté quant à la paranoïa avérée ou non de l'héroïne, le réalisateur restant suffisamment habile pour que certaines scènes créent vraiment la confusion, si bien que l'on hésite vraiment sur l'interprétation à avoir des événements. C'est anxiogène sans être abrutissant, plutôt bien interprété, notamment par une Claire Foy qui, sans être exceptionnel, fait le job avec implication. Malheureusement, j'ai beau retourner le problème dans tous les sens : « Paranoïa » a donc été réalisé avec un iPhone et moi, je n'aime pas ça. Alors, bien sûr, c'est quand même Soderbergh derrière la caméra, donc c'est quand même très au-dessus du niveau de votre pote bourré en soirée. Maintenant, on peut me raconter ce qu'on veut : cela limite méchamment les possibilités techniques et visuelles de l'ensemble : j'ai parfois vraiment eu du mal. C'est fatigant, étriqué, limitant le potentiel de nombreuses scènes qui auraient pu être mémorables : j'ai beau avoir adhéré un minimum au récit, ça n'est clairement pas ma vision du cinéma, et si je suis ravi pour l'ami Steven qu'il expérimente tout ce qu'il veut, j'aurais infiniment préféré qu'il fasse une œuvre « normale » : nul doute que cette histoire volontiers oppressante y aurait grandement gagné. Appeler des gens et leur écrire des SMS, je crois que cela reste la vocation principale d'un téléphone.
    ANDRÉ T.
    ANDRÉ T.

    68 abonnés 482 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 juillet 2018
    Il y a des films comme ça; on y va avec un préjugé favorable...de plus, Soderbergh a du "savoir faire" c'est brillant, bien filmé, sous tous les angles.Il sait créer une ambiance inquiétante, machiavélique : notre héroïne fantasme t'elle ou bien est-elle réellement harcelée?
    Voilà que malgré cette débauche d'efforts des comédiens, du chef op, du réalisateur, je suis resté à distance! Pourquoi ?
    Peut-être un scénario qui laisse une impression de déjà vu?
    Une recherche d'effets de caméra qui nous éloigne d'un "cinéma vérité"?
    Tant de savoir-faire pour que je reste extérieur au film.......
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