Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
7 critiques presse
Critikat.com
par Jérôme Provençal
Suivant ces apprenties mécaniciennes en route vers leur avenir (que le plan final, un peu appuyé par le ralenti, laisse ouvert), en s’attachant en particulier à certaines d’entre elles, la cinéaste ne les instrumentalise aucunement. Elle ne réalise pas un film sur elles mais avec elles.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Christophe Foltzer
Riche, sensible, humain et passionnant, "Ouaga Girls" est définitivement un film à voir, au-delà de la question de la femme dans la société africaine d'aujourd'hui. Theresa Traoré Dahlberg réalise un film qui parlera à tout le monde, d'une grande subtilité, avec intelligence et sans s'éparpiller et nous prouve qu'au fond de nous, nous sommes tous un peu ces femmes destinées à devenir mécaniciennes. Très fort.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Transfuge
par Jean-Christophe Ferrari
Le documentaire de Theresa Traore Dahlberg ne se contente pas de suivre la formation professionnelle de trois Burkinabaises mais, en parvenant grâce à une mise en scène fluide et inventive à conférer une intensité fictionnelle à ses personnages, brosse un portrait riche, vivant et nuancé des femmes d’aujourd’hui, en Afrique.
Les Fiches du Cinéma
par Julie Loncin
Chaque femme devrait avoir le droit d’exercer le métier qu’elle souhaite : c’est ce que proclament haut et fort les protagonistes de Theresa Traoré Dahlberg, héroïnes opiniâtres de ce documentaire humble, délicat et qui, par-dessus tout, évite le misérabilisme.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Alexandre Bernard
Un documentaire aussi fort que touchant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Frédéric Strauss
Le documentaire évite cependant les effets de discours et capte d’abord la charmante timidité de ces élèves : même en ayant choisi une orientation professionnelle anticonformiste, elles préservent leur jardin secret. Le directeur de l’école les fait applaudir en les désignant comme des « braves femmes du futur ». Mais elles ne veulent pas être des symboles : elles veulent vivre. C’est joliment vu.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Isabelle Regnier
Déjouant les stéréotypes, le documentaire donne à voir une jeunesse africaine urbaine, certes abîmée par les fardeaux structurels de la pauvreté et du patriarcat, mais en prise avec la marche du monde moderne et avide d’émancipation.
Critikat.com
Suivant ces apprenties mécaniciennes en route vers leur avenir (que le plan final, un peu appuyé par le ralenti, laisse ouvert), en s’attachant en particulier à certaines d’entre elles, la cinéaste ne les instrumentalise aucunement. Elle ne réalise pas un film sur elles mais avec elles.
Ecran Large
Riche, sensible, humain et passionnant, "Ouaga Girls" est définitivement un film à voir, au-delà de la question de la femme dans la société africaine d'aujourd'hui. Theresa Traoré Dahlberg réalise un film qui parlera à tout le monde, d'une grande subtilité, avec intelligence et sans s'éparpiller et nous prouve qu'au fond de nous, nous sommes tous un peu ces femmes destinées à devenir mécaniciennes. Très fort.
Transfuge
Le documentaire de Theresa Traore Dahlberg ne se contente pas de suivre la formation professionnelle de trois Burkinabaises mais, en parvenant grâce à une mise en scène fluide et inventive à conférer une intensité fictionnelle à ses personnages, brosse un portrait riche, vivant et nuancé des femmes d’aujourd’hui, en Afrique.
Les Fiches du Cinéma
Chaque femme devrait avoir le droit d’exercer le métier qu’elle souhaite : c’est ce que proclament haut et fort les protagonistes de Theresa Traoré Dahlberg, héroïnes opiniâtres de ce documentaire humble, délicat et qui, par-dessus tout, évite le misérabilisme.
Première
Un documentaire aussi fort que touchant.
Télérama
Le documentaire évite cependant les effets de discours et capte d’abord la charmante timidité de ces élèves : même en ayant choisi une orientation professionnelle anticonformiste, elles préservent leur jardin secret. Le directeur de l’école les fait applaudir en les désignant comme des « braves femmes du futur ». Mais elles ne veulent pas être des symboles : elles veulent vivre. C’est joliment vu.
Le Monde
Déjouant les stéréotypes, le documentaire donne à voir une jeunesse africaine urbaine, certes abîmée par les fardeaux structurels de la pauvreté et du patriarcat, mais en prise avec la marche du monde moderne et avide d’émancipation.