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    Hannah
    Note moyenne
    2,8
    20 titres de presse
    • Bande à part
    • L'Obs
    • Les Fiches du Cinéma
    • Transfuge
    • L'Humanité
    • La Croix
    • La Septième Obsession
    • La Voix du Nord
    • Le Journal du Dimanche
    • Positif
    • Studio Ciné Live
    • Voici
    • L'Express
    • Le Dauphiné Libéré
    • Les Inrockuptibles
    • Paris Match
    • Première
    • Sud Ouest
    • Télérama
    • Le Monde

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    20 critiques presse

    Bande à part

    par Olivier Bombarda

    Entièrement lové autour de son actrice, Andrea Pallaoro offre à Charlotte Rampling l’un de ses rôles les plus forts avec "Hannah", beau film triste et fascinant.

    La critique complète est disponible sur le site Bande à part

    L'Obs

    par François Forestier

    Portrait de femme, donc, magistralement brossé par Andrea Pallaoro ("Medeas"), en une palette de couleurs sombres (images signées par le Canadien Chayse Irvin). Le film est austère, elliptique, dur. Mais Rampling s’approprie tout, avec passion. Art et essai ? Oui. Mais art consommé et essai réussi.

    La critique complète est disponible sur le site L'Obs

    Les Fiches du Cinéma

    par Romain Tourbillon

    Un film traversé d’une douce étrangeté, qui dresse le portrait saisissant d’une femme s’enfermant dans le déni et le silence. Avec une Charlotte Rampling méconnaissable.

    La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma

    Transfuge

    par Nathalie Dassa

    (...) un film énigmatique sur le vide d'une existence paralysée par la dépendance au souvenir de son mari. Récipiendaire de la Coupe Volpi de la meilleure actrice à la Mostra de Venise, Charlotte Rampling s'approprie ce rôle difficile, livrant une performance remarquable et d'une intensité rare.

    L'Humanité

    par Vincent Ostria

    Incarnée par la superbe Charlotte Rampling, l’héroïne au masque las est impressionnante de stoïcisme et de minéralité – à un tel point qu’on finit parfois par l’oublier. La mélancolie n’est certes pas absente du tableau, mais elle est si intériorisée que seule la mécanique du vivant reste visible. Au point de laisser perplexe.

    La critique complète est disponible sur le site L'Humanité

    La Croix

    par Corinne Renou-Nativel

    Ce portrait énigmatique repose presque entièrement sur Charlotte Rampling qui s’est vu décerner un prix de la meilleure comédienne à la Mostra de Venise.

    La critique complète est disponible sur le site La Croix

    La Septième Obsession

    par Jean-Sébastien Massart

    "Hannah" est peut-être son rôle le plus important de Charlotte Rampling depuis "Sous le sable" de François Ozon.

    La Voix du Nord

    par Christophe Caron

    Énigmatique et dérangeant.

    La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord

    Le Journal du Dimanche

    par Alexis Campion

    Pas plus aimable qu’hypnotique, le film est conduit par une mise en scène maîtrisée assumant son nuancier blafard et ses silences (...). Un tour de force ? À prendre ou à laisser.

    Positif

    par Vincent Thabourey

    Les quelques informations portant sur le basculement dramatique du destin de cette femme se font désirer et ne sont délivrées qu'à regret, de manière elliptique. Cette rétention maniérée finit par assécher la mise en scène, dont émerge malgré tout, telle une rescapé, Charlotte Rampling.

    Studio Ciné Live

    par Véronique Trouillet

    Charlotte Rampling est magnifique (...). Mais son fardeau devient peu à peu aussi monotone et pesant que le film.

    Voici

    par La Rédaction

    Un beau et très austère portrait de femme.

    L'Express

    par Christophe Carrière

    Le film en lui-même, s'il est soigneusement mis en scène, est d'une complaisance confondante, soulignant le pathos avec des séquences interminables (...) qui suscitent plus l'ennui que la compassion.

    Le Dauphiné Libéré

    par Jean Serroy

    Un film à la visée intimiste qui se veut pénétrante, mais qui tourne un peu à l’exercice de style autour d’une Charlotte Rampling errante et meurtrie : on est plus intéressé qu’ému.

    Les Inrockuptibles

    par Vincent Ostria

    Il y a quelque chose d’immuable et d’irréductible qui fait la singularité de Charlotte Rampling depuis ses débuts. Même ici, où son masque de vieillesse un peu las nimbe le film d’une aura mélancolique. Peut-être que le réalisateur Andrea Pallaoro s’est justement trop reposé sur elle, pensant qu’il suffisait de la filmer pour qu’il advienne quelque chose sur l’écran.

    La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles

    Paris Match

    par Karelle Fitoussi

    Un film âpre et mutique qui joue un peu trop sur l’ellipse et l’opacité pour ne pas risquer de provoquer chez le spectateur un certain ennui.

    La critique complète est disponible sur le site Paris Match

    Première

    par Thierry Cheze

    Fasciné – et on le comprend ! – par le visage de Charlotte Rampling (récompensée à juste titre du prix d’interprétation au dernier festival de Venise), le cinéaste en oublie tout ce qui l’entoure et s’enferme dans une monotonie terne étouffante.

    La critique complète est disponible sur le site Première

    Sud Ouest

    par Sophie Avon

    Plan après plan, Hannah va ainsi sur son chemin de croix, né d’un passé mystérieux. Mais la mise en scène manque de puissance pour élaborer une matière émouvante qui à défaut d’éclairer l’intrigue, permettrait au moins d’entrer dans un univers.

    La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest

    Télérama

    par Pierre Murat

    Reste qu’Andrea Pallaoro, dont on devine les influences (Michelangelo Antonioni, Michael Haneke et Chantal Akerman) filme le vide avec un rien trop de suffisance, ce qui nous empêche de plonger totalement dans son ima­ginaire.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    Le Monde

    par Isabelle Regnier

    Spectateur masochiste, ce film est pour toi ! Une heure trente d’une Charlotte Rampling mutique, grise, confite de mal-être et de haine d’elle-même que le cinéaste se plaît à filmer sous toutes les coutures, révélant sans ménagement les marques du temps sur son corps avec délectation.

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