Avis : Pupille - Page 2

un film qui nous montre de façon géniale le parcours d'un petit garçon
du début quand la maman le laisse jusqu'à l'adoption finale.
c'est empli d'émotion , de moments de joie et de peine
mais un formidable message d'espoir.
Olivia Côte et Gilles Lellouche sont formidables.

Magnifique, tellement juste et émouvant. Cela faisait longtemps qu'un film ne m'avait autant touché. Bravo

Un chef d’œuvre
Une belle galerie de portraits
Des acteurs formidables
Une éloge des professionnels de l’aide à l’enfance

Le montage du film m'a complètement décontenancé. Je n'ai vu qu'un scénario brouillon. Le film a du mal a quitter le mode documentaire. Je n ai ressenti presque aucune émotion. J ai trouvé maladroit la façon dont la caméra s intéresse aux mains. Reste la précision et le détail, autour du mécanisme d adoption. A de nombreux moments, les discussions sont trop didactiques.

Une grande réussite sur tous les plans. Extrêmement bien documenté, pédagogique et réaliste (autant que je puisse en juger), j’ai appris énormément de chose sur le processus d’abandon et d’adoption. Mais au delà de cet aspect technique, c’est aussi un concentré d’émotion, de justesse. La réalisation crée une ambiance calme, les dialogues sont posés sereinement, pas d’agitation ou d’action inutile et malgré ce rythme apaisant pas une minute d’ennui. Ce film est une véritable nécessité.

Très beau film sur l'adoption d'un jeune pupille de l'état avec tout le déroulé, de l'accouchement et l'abandon jusqu' à l'adoption à proprement parlé. Le processus est très bien retranscrit, avec ses différents acteurs (assistante sociale, famille d'accueil, équipe de l'ASE, etc..). si bien qu' on a presque l'impression de le vivre comme un documentaire.
L'interprétation est excellente, Gilles Lelouche est très convaincant mais aussi Sandrine Kiberlain ou Elodie Bouchez.
La réalisation est aussi très bonne, la mise en scène parfaite. La réalisatrice a eu aussi le mérite d'éviter le patos et les scènes larmoyantes même si l'émotion est bien présente. Un petite bémol sur le caractère "trop parfait" de l'histoire mais on est heureux de voir cette femme accueillir cet enfant et bien que se soit une fiction, ça frappe fort dans la poitrine dans les scènes ultimes. Du très bon cinéma français, à ne pas rater

Quel beau film! De l'amour à chaque plan, toutes les formes de l'amour, celui qui fait souffrir, l'indicible amour, l'infidèle, l'amour d'un parent pour son enfant si fort si puissant qu'on peut se sentir incapable de le vivre. Et pourtant, l'amour qui fait vivre justement. Et puis Elodie Bouchez jouant la joie, la tristesse, l'espoir, la peur, la désillusion, la vie tout simplement et toute la palette des émotions. Quel talent!

Pas mal dans son ensemble.
Mais des exagérations, tout le monde il est beau tout le monde il est gentil, évidemment c'est un film, la réalité de ce milieu est malheureusement tout autre.
Les représentations des travailleurs sociaux sont un peu à côté de la plaque mais ça c'est habituel, l'assistante sociale qui parle à la jeune femme comme ci elle était arrièrée, son air constamment étonné, même son look etc... ça gonfle un peu ces représentations cinématographiques constamment similaires et en plein dans les prejugés. Ici elle est forcément vielle, moche avec un look affreux, animée d'une bienveillance qui frise la niaiserie ... ( ou alors totalement sévère et injuste dans d'autres films ou série ... )
Je ne comprends pas pourquoi on a fait mâcher Sandrine Kiberlain tout le long du film, c'est pour inssuporter ceux qui n'aiment pas les bruits de bouche ? Lol franchement aucun intêret sinon agacer le spectateur.
Sinon Yvan Attal est convaincant, l'actrice qui joue la mère adoptante aussi.
J'ai bien aimé l'aspect accent sur le " développement de l'enfant " même si la encore je me demande s'il n'y a pas exagération ou du moins raccourci...

Magnifique film sur le travail formidable des agents de la protection de l'enfance et de l'adoption. À recommander à tous les parents qui souhaitent adopter pour découvrir ce processus du côté de l'enfant.
Sandrine Kiberlain et Elodie Bouchez sont admirables !

Jeanne Herry confirme qu'elle n'est pas qu'une (double) "fille de" (Sylvette Herry dite "Miou-Miou", actrice de talent, et Paul-Alain Leclerc dit "Julien Clerc", chanteur chevrotant), mais une réalisatrice de mérite (après "Elle l'adore"). Son "Pupille" sait en effet (excellent montage) allier la rigueur documentariste (le processus de la mise en adoption d'un nouveau-né, dont la jeune génitrice accouche sous X), et la délicatesse des sentiments (les plus beaux, ceux de l'amour dû à l'enfant). De sa mère, dans un petit rôle, à Gilles Lellouche (en homme au foyer et assistant maternel), en passant par Sandrine Kiberlain (déjà de son premier film), ou Elodie Bouchez (l'adoptante), la cinéaste a su (il faudrait aussi mentionner les nombreux rôles secondaires...) s'entourer d'une distribution parfaite. Un bel hommage à tous ceux qui savent concourir à trouver à des enfants perdus les meilleurs parents possibles - et non l'inverse... Il n'y a pas "de droit à l'enfant", mais des droits pour les enfants : Défense et Illustration....

L'adoption en France est un parcours du combattant. Et c'est ce que souhaite montrer ce film en exploitant tous les points de vue qui interagissant dans le processus. On suit le parcours d'une femme qui depuis 8 ans souhaite adopter et tous les bouleversements et changements qu'elle affronte. Et en parallèle on suit les deux premiers mois de la vie d'un petit garçon abandonné à la naissance. Entre l'attente interminable d'un parent semée d'embuche et la rapidité de permettre à un enfant d'être adoptable, on a une vision assez claire des tenants et aboutissants d'une adoption en France. C'est très prenant et émouvant, surtout grâce à la réalisation sobre et aux acteurs qui sont incroyables. Gilles Lellouche est époustouflant. Sandrine Kimberlain et Elodie Bouchez sont très touchantes. Ce film est une véritable réussite.

Film émouvant car il met en scène un bébé qui à lui seul permet de susciter une certaine émotion. En ce qui concerne l'adoption de l'enfant, toutes les étapes nécessaires ont été bien expliquées et spoiler: tout s'est très bien passé dans ce film
. Mais est-ce le cas tout le temps ? J'en doute, le choix de la commission étant totalement subjectif. Quant aux personnages adultes de l'histoire, ce n'est pas du tout la même histoire. spoiler: On a un assistant maternel dépassé par les événements, une assistante sociale qui fait son travail machinalement, une éducatrice spécialisée très instable émotionnellement.
La psychologie des adultes est assez réaliste surtout quand vient le débat sur le choix des parents adoptifs pour le petit. spoiler: On privilégie d'emblée le couple. C'est la culture du couple forcément meilleur pour élever un enfant ! La célibataire n'y a droit qu'après le refus du couple !

Émouvant dès la première image. Ça sonne vrai dans Pupille. Tout. Chaque personnage nous entraîne dans son quotidien et nous fait l'aimer, de l'assistante sociale qui cherche du réconfort contre la solitude sur des sites de rencontre à la jeune femme qui ne peut dire au revoir à son bébé que dans le silence. Du grand cinéma. Et les voix sont magnifiques dans ce film, on pourrait - comme les spectateurs aveugles riant à la description d'une scène de vaudeville - entendre simplement cette histoire se construire avec la voix de ses comédiens remarquables. Bref, allez-y les yeux fermés.

Un film magnifique .
Acteurs authentiques qui décrivent avec justesse cette merveilleuse chaîne humaine qui accompagne ce bébé vers sa maman adoptive.
Ce film parle aussi de la puissance de l’expression de la vérité par les mots salvateurs pour cet enfant .
Merci a vous tous , acteurs exceptionnels .
Merci à Sandrine Kimberlain, Gilles Lellouche , Elodie Bouchez et tous les autres acteurs de ce film .
Merci à la réalisatrice.
Merci pour ce film qui fait du bien .

Ce film tient plus de la brochure d'information sur l'adoption qu'autre chose, on nous livre un scénario aussi aseptisé qu’une chambre d’hôpital, qui ne s’attache qu’à matraquer le spectateur avec des process administratifs, sans jamais chercher à développer des ressorts plus poussés, des personnages moins balisés, ou tout simplement des émotions. Le casting semble lui aussi sous anesthésie générale, se contentant de réciter le texte dans une plateur sans nom. Le montage bancal à base de flashbacks complètement inutiles, traduit lui-aussi un manque d’inspiration qui atteint ici son paroxysme à tous les niveaux.