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Un visiteur
3,5
Publiée le 3 septembre 2014
Un film qui à été rendu classique par l'incroyable jeu d'acteur de Viven Leigh (récompensée par un oscar) et surtout de Marlon Brando qui est ici vraiment révélé! Les thèmes traités dans ce film (sexe, violence,...) sont nouveau pour un film de 1951, voila aussi une surement un des raison de son succès. Cependant, je trouve que le film manque cruellement d'intrigue ce qui fait que ce film est assez dur a suivre sans s'ennuyer. Ce film est sans aucun doute un grand classique, mais un classique quelque peu désuet que je conseille en particulier aux cinéphiles qui souhaite parfaire leur culture cinématographique!
Adapté de la pièce de Tennesse Williams, on retrouve dans le film linfluence du théatre, dans le peu de décors comme dans la mise en scène qui se focalise sur les personnages. Des personnages retranscrit dans toute leur densité par une Vivien Leigh habitée et un Marlon Brando magnétique, des rôles dêtres complexes qui permettent autant daborder la peur de la mort que le manque damour, et qui font osciller constamment le film entre pathétique et tragique. Une vrai réussite qui sinscrit dans la lignée des chefs duvres de Elia Kazan.
Une histoire hyperréaliste portée par des acteurs extraordinaires. L'adaptation de Tenessee Williams est plus que réussie, grâce à des acteurs venant du théâtre. L'animalité de Brando opposée à la sophistication de Leigh fait ressortir les différents contrastes de cette histoire qui se déroule presque exclusivement dans un 2 pièces. A noter également le rôle de Karl Malden, plus connu dans les "Rues de San Fransisco".
N'etant vraiment pas fan de la pièce de Tennessee Williams le film m'a lui aggreblement surpris. C'est tonique ca s'enchaîne , Brando est brillant qu'il en peut plus , vivian Leigh touchante. Les péripéties s'enchainent a un rythme agréable. La mise el scene a viellie mais ca joue toujours sa race. A voir pour retourner au bases du cinema. Ce film restera a jamais comme celui qui a révèle Brando.
"Un tramway nommé désir" d'Elia Kazan est un grand classique. Son atmosphère, basée sur d'ingénieux clair-obscurs, est particulièrement oppressante. C'est un film marquant et qui met mal à l'aise.
On y suit Blanche Dubois, une sorte de Scarlett déchue, dans la fin de son inexorable descente aux enfers. Déjà fragile, son beau-frère Stanley achève de la rendre folle en la harcelant, violentant et finalement violant.
Outre une très bonne réalisation qui fait honneur à la pièce de théâtre de Tenessee William, on notera que l'histoire est particulièrement réussie. Les personnages sont intéressants car très creusés et contrastés et la folie de Blanche est parfaitement bien rendue.
Le film tient également à ses acteurs d'exception. On y voit la confrontation entre le vieux Hollywood avec l'incroyable Vivien Leigh, touchante et agaçante, et la nouvelle génération avec le grand Marlon Brando. Si le jeu de Leigh est plus théâtral, il n'en reste pas moins très beau et parfaitement ressenti. Quant à Brando, il a cette présence bestial et ce jeu si intériorisé. On notera également que les acteurs de Mitch et Stella sont excellents.
En bref, malgré quelques longueurs, un classique et très bon film à avoir vu.
Blanche dubois rejoint sa soeur à la Nouvelle Orléans et découvre que celle-ci vit dans un taudis avec un mari brutal. Tennesse williams signa lui-meme le scénario de cette adptation de sa piece , déjà mise en scéne à broadway par Elia Kazan:dissection des ravages de l'alcoolisme, de la folie et de la violence conjugale, homosexualité sous-jacente, sentiments exacerbés jusqu'à l'hystérie, le film est un résumé de toutes les obsessions de son théâtre.c'est également l'oeuvre qui emblématisera à jamais le jeu "Actor's Studio",grâce à Marlon Brando époustouflant!
Comment L'Amérique fordiste cherche à faire table rase de son passé sudiste pendant les trente glorieuses! D'"autant en emporte le vent" à "travailler plus pour gagner plus". Le sud et le Nord de l'après guerre se réconcilient dans la croissance industielle et le culte de l'automobile. La culture sudiste, ridiculisée en la personne de l'insuportable Blanche la perverse, ne fait pas le poids face à l'ouvrier costaud honnête et très "nature" joué par Marlon Brando. Mais tout cela est caricatural, vieilli, totalement ridicule.
16/20 Après un très bon début, le film commence a etre des fois un peu long. Le film reste quand meme exellent. Le premier film d'Elia Kazan réalisé de manière réaliste (jeu d'acteur et surtout décors et lumière), les acteurs sont tous convaincant a commencé par Vivian Leight. Un grand classique a voir mais ce n'est pas le meilleurs Kazan...
Une Scarlett fanée, ruinée, loin des bals dAtlanta, jouant la facétie des illusions poétiques dun monde de rêve, et qui ne peut cacher bien longtemps dans lombre des cache-ampoules sa double nature plus déroutante et pourtant si émouvante. Seul lenfant de Darjeeling, Vivien Leigh, trop « Blanche » dans la vie, pouvait affronter le jeune Brando, dont la sensualité transpire à chaque instant sur lécran. Oui! Stanley, un jeune loup, brutal, macho, assoiffé de plaisir, prêt pour violer les débris du vieux sud américain de Williams et pour le conduire au terminus de la folie. Et pourtant, son magnétisme animal impose le pardon dans ses cris pour « Stella », elle-même coincée entre ce duel des monstres sacrés du désir
"Un tramway nommé désir" est un film extrêmement dense tant dans sa filmographie que dans les idées de fond traitées. Pour autant, chaque aspect est abordé avec une justesse qui en fait un excellent film.
Le réalisateur joue admirablement bien avec le ton de chaque scène et la profondeur de l'image pour offrir des volte-face majestueux qui prennent le spectateur à contre pied; ceci permet de souligner l'intensité de certains moment bien choisis.
Le noir et blanc est totalement maitrisé et offre des jeux de lumière qui créent de la tension là où il faut et soulignent les caractères de chaque personnage. Ce dernier point est aussi porté par par les superbes performances d'acteurs, avec notamment un Marlon Brando qui affiche un charisme teinté de violence impressionnant.
Dans son traitement d'idées, le film décide de s'attaquer à la fois aux thèmes de la vieillesse inéluctable, de l'anxiété, de la violence et de l'amour et des folies qui en découlent. Si tous ces thèmes sont abordés de façon très juste (ils touchent dans le mille 70 ans plus tard), il y en a tout simplement... beaucoup. En conséquence, il est difficile de suivre les 2h sans une grosse concentration et on se retrouve vite à analyser plutôt qu'à être porté par l'histoire tant le contenu est dense. D'où, à mon sens, les longueurs en deuxième partie qui en font un film peut être trop exigeant.
Un film très ambitieux qui se donne les moyens de traiter de tous ses thèmes avec justesse, supportés par une technique impeccable. Était-il possible de le rendre plus digeste sans en occulter les aspects principaux? J'en doute... je n'en suis pas encore au niveau ou des films aussi exigeants passent comme une lettre à la poste!
un film somptueux, des acteurs magnifiques! une atmosphère très lourde où règnent violence et haine dans un huis-clos à trois... mention spéciale à Marlon Brando, inoubliable dans le rôle du bestial Stanley Kowalski. définitivement un chef d'oeuvre!
///Ce film est un des monuments du cinéma contemporain.///
Grandiose ! Fascinant ! Brillant !
Les dialogues sont nombreux mais touours porteurs de sens. L'interprétation est sensible, réaliste, violente. Les acteurs jouent aussi bien avec leur coeur, qu'avec leur âme et leur corps ! Ainsi,Marlon Brando interprète un rustre à l'esprit affûté et à la virilié irrésistible: LE sex-symbol. Vivien Leigh joue une femme fragile mais manipulatrice avec beaucoup de grâce et de beauté. Les décors sont sombres, glauques, angoissants, même si le film n'est pas totalement dénué d'humour. Finalement, le film s'interroge sur le désir: ce qui le fait naître ou au contraire l'entrave. Deux femmes, un homme pour l'un des films les plus proches de la vie et des passions humaines de toute l'histoiire du cinéma. A VOIR ! ! !
Le huis-clos domine avec une mise en scène théatrale jusque dans le jeu hyper classique, surjoué d'une Vivien Leigh nymphomane et bi-pôlaire (pov mme Scarlett...). Et puis il y a la grâce, cette sensualité de brute épaisse de Brando qui pue le cul et la baston: les plans érotiques sur sa sueur découlant dans ses reins au bas d'un trapèze monumental et d'un cul béton. Et là on se laisse embarquer dans cette histoire sordide, malgré des rapports violents que même le plaisir sado-maso n'excuse pas.