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    Un jour de pluie à New York
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    Rourkewhite
    Rourkewhite

    40 abonnés 912 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 12 août 2020
    J'avais lu des opinions divergentes, pour moi c'est très clair: un mauvais cru! Parce que la mayonnaise ne prend pas. Jamais. Les personnages et les situations sont terriblement invraisemblables et caricaturaux, tout est forcé et superficiel, les dialogues sont sur-écrits sans aucune fluidité et l'humour, très référencé, tombe à plat. Woody se transforme ici en une caricature de lui-même et sonne comme un mauvais imitateur. Gênant...
    Avoine M.
    Avoine M.

    46 abonnés 276 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 septembre 2019
    Dans la même veine que Magic in the Moonlight ou Minuit à Paris, remarquablement écrit et interprété (Elle Fanning, en particulier, est irrésistible), filmé sans temps morts, le meilleur film de Woody Allen depuis 2014
    selenie
    selenie

    5 425 abonnés 6 014 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 septembre 2019
    On passera sur l'hypocrisie totale de ces revirements et de ces déclarations (il est temps de réagir sur des faits qui datent de 1992 et sans qu'il y ait jamais eu aucune condamnation ou preuve tangible)... En tous cas, en France nous avons la chance de pouvoir voir son film qui évoque les comédies romantiques de l'Âge d'Or. Si on s'amuse de ces atermoiements new-yorkaises dans une sorte de canevas allenien on s'aperçoit que le tout est assez vain, les personnages sont beaucoup trop antipathiques (la pauvre Ashleigh/Elle Fanning est carrément insupportable, seule Chan/Selena Gomez s'en sort) pour qu'on s'y attache malgré quelques moments de grâce. Un Allen de base ni plus ni moins.
    Site : Selenie
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 18 septembre 2019
    Woody rajeunit et se réincarne en Timothée Chalamet. Elle Fanning est brillante, éblouissante. Du Allen 100% pur jus, pleinement revigorant.
    poet75
    poet75

    256 abonnés 703 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 20 septembre 2019
    Interdit de projection aux États-Unis du fait d’un litige avec Amazon, détenteur des droits du film outre-Atlantique, et de rumeurs diffamatoires concernant son contenu, Un jour de pluie à New-York peut néanmoins être programmé en Europe et vient enfin de sortir sur nos écrans. C’est d’autant plus réjouissant qu’il s’agit, sans nul doute, d’un grand cru. À 83 ans, malgré son impressionnante filmographie, à quoi s’ajoutent aujourd’hui l’accusation d’agression sexuelle dont il fait l’objet et qui, selon lui, est calomnieuse, le cinéaste n’a manifestement rien perdu ni de ses talents de metteur en scène ni de ses capacités de création. Qu’on le veuille ou non, il demeure un grand cinéaste.
    Preuve en est ce film qui raconte l’aventure new-yorkaise d’un couple d’étudiants d’une petite université du Nord-Est des États-Unis. Lui porte un nom improbable qui ouvre, à lui seul, des perspectives alléchantes : il se prénomme Gatsby comme le personnage de Fitzgerald et se nomme Welles comme le réalisateur génial de Citizen Kane (1946) et est interprété par l’acteur Timothée Chalamet. Elle se prénomme plus prosaïquement Ashleigh (avec gh, elle tient à le préciser), porte le nom d’Enright et elle a la grâce et la fraîcheur de l’actrice Elle Fanning. Or cette dernière a réussi à obtenir, pour le journal de sa fac, une interview d’un cinéaste de renom de New-York. Bien décidé à profiter de cette aubaine pour passer du bon temps avec son amoureuse, Gatsby se propose pour l’accompagner.
    Bien évidemment, une fois sur place, rien ne se déroule comme prévu. L’interview avec le grand cinéaste (Liev Schreiber) a bien lieu, mais sous le signe de l’insatisfaction. L’homme n’est pas content de sa dernière réalisation et tient à démontrer à Ashleigh que son mécontentement est fondé en la conviant à une projection. Du coup, au lieu de poursuivre son séjour à New-York, comme cela avait été programmé, avec Gatsby, la jeune femme se trouve non seulement séparée de ce dernier mais, au gré du hasard, et du fait de sa naïveté, devient tour à tour la compagne de Ted Davidoff (Jude Law), un scénariste découvrant que sa femme le trompe avec son meilleur ami, puis de Francisco Vega (Diego Luna), un acteur de renom qui n’est pas insensible à son charme, c’est le moins qu’on puisse dire. De son côté, Gatsby n’est pas en reste : séparé de son amoureuse, il fait la rencontre, sur un tournage, de Chan (Selena Gomez), la petite sœur d’une de ses ex, une jeune femme d’un grand charme qui, pour les besoins du film, doit l’embrasser à pleine bouche ! Plus tard, il a affaire à une escort-girl, à qui il propose, pour une grosse somme, d’essayer de se faire passer pour quelqu’un d’autre.
    Que ce soit dans le registre de l’émotion ou que ce soit dans celui du burlesque, le film étincelle d’inspiration et, parfois, de malice. C’est le cas, par exemple, lorsque Woody Allen met en scène un jeu de cache-cache dans un musée où, au milieu des pièces égyptiennes, Gastby tente d’échapper à une rencontre qu’il juge importune. L’émotion, elle, affleure souvent, mais toujours de manière discrète, sous une apparence de légèreté, un peu comme dans le théâtre tchekhovien. À cela s’ajoute, comme une cerise sur le gâteau, de multiples références, plus ou moins explicites, à de grands films de l’âge d’or d’Hollywood, comme La Griffe du Passé (1949) de Jacques Tourneur. Or c’est précisément le fil rouge du film que la question du temps, passé, présent, futur… Une journée à New-York, journée marquée aussi par le temps qu’il fait, puisqu’il pleut abondamment, une journée suffit à chambouler les existences et redistribuer les cartes. C’est plus ou moins vrai de tous les protagonistes du film d’ailleurs, y compris, par exemple, de la mère de Gastby qui fait à ce dernier d’étonnantes confidences sur son passé. Quant au futur, un peu comme dans Elle et Lui (1939 et son remake de 1957) de Leo McCarey, il se laisse entrevoir à l’occasion d’un rendez-vous dans un endroit précis de New-York, près d’une horloge précisément. Mais qui sont donc les deux protagonistes qui s’y retrouvent ? Mystère, mystère… Pour le savoir, précipitez-vous donc vers vos salles de cinéma et délectez-vous en regardant ce film !
    Scénario Catastrophe
    Scénario Catastrophe

    27 abonnés 156 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 24 septembre 2019
    Je ne comprends pas que l'on puisse encore réaliser des films de ce genre aujourd'hui. Je pense avoir été agacé dès la première scène, alors que l'on voit les deux acteurs principaux parler en tournoyant autour d'une petite place avec des bancs. Tous deux placent grossièrement la situation initiale du récit. Ils sont sensé être amoureux mais aucune alchimie ne transparaît. On découvre alors un film assez mal écrit, expéditif et qui se veut drôle. On découvre aussi des personnages nunuches à souhait, sortis d'une comédie musicale pour enfants...et tout est tellement sage. La musique est toujours aussi insupportable, le personnage de Ashleigh est certainement l'un des pires qu'il m'ait été donné à voir au cinéma : elle joue une gourde naïve aux allures de fille coincée, et on ne cesse de clamer sa beauté et son intelligence tout le long du film (à laquelle on ne croit donc pas). L'actrice Elle Fanning est sublime, mais certainement son personnage, qui côtoie d'autres personnages aussi inconsistants. Il n'y a en effet aucun travail mis en œuvre pour leur donner de la vie : le temps qu'ils passent à blablater stérilise totalement leur existence. Je n'ai pas senti un regard fasciné du réalisateur pour ses acteurs, qui semblent faire partie du casting simplement pour se vanter d'avoir tourné dans un Woody Allen, et je les félicite pour leur jeune et brillante carrière. Les acteurs sont filmés de loin, ou à travers des vitres où ruissellent des gouttes. Jude Law est à peine discernable, la rencontre avec le personnage de Francisco Vega n'a aucune intensité, et le personnage de Roland Pollard est assez mou : tous les autres personnages vantent ses mérites, mais le spectateur ne voit qu'une espèce d'artiste starlette hystérique. Thimothée Chalamet est un brillant acteur, mais ne joue ici qu'un rôle dans lequel on a trop l'habitude de le voir : l'étudiant poético-romantico-bohème-cultivé-pianniste. Quant à Selena Gomez et bien d'autres personnages additionnels, on se demande tout simplement comment ils se sont perdus ici. C'est un film sans tripes, où les scènes ennuient car la mise en scène est inexistante et sans émotions, les mouvements de caméras très lourds et les images souvent vêtues d'une lueur infâme. Tout cela est bien poussiéreux, des costumes aux discours (et ne parlons même pas de la lourdeur de la scène finale).
    bendelette
    bendelette

    16 abonnés 234 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 septembre 2019
    Quel plaisir ces répliques qui fusent pleines d'humour et d'intelligence.Les acteurs sont au top.La jeune idiote est délicieuse,l'étudiant érudit amoureux du piano bar ne l'est pas moins.Et c'est l'occasion de revoir New York au travers des yeux de Woody Allen ,un pur bonheur.Je ne sais pas par contre ce que pourrait en penser un habitant de l'Arizona ridiculisé via Ell Fanning ,mais c'est tellement New Yorkais!
    KaabIbnAchraf
    KaabIbnAchraf

    9 abonnés 38 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 septembre 2019
    Le soir de sa sortie, j'ai vu le film au Balzac, le dernier cinéma art et essais sur les Champs avec le Lincoln ... Ambiance formidable avec applaudissements à la fin... C'était seulement la petite salle, il y a tellement de médisances sur le réalisateur... En avril 2018, Gregory Valens dans la revue Positif avait admirablement démonté les attaques contre Woody Allen, les conclusions des juges, etc, mais cela ne fait rien face au tribunal des réseaux sociaux... Impression de revenir au temps du lynchage. Maintenant le film... D'une justesse incroyable sur les sentiments et comment les conditions influent sur la fidélité, les principes... D'une certaine manière ceux qui sont psycho-rigides n'aimeront jamais Woody, son oeuvre représente la "souplesse" et comment la vie est un tourbillon où l'on essaie de s'aimer, de faire avec ses limites et de tenter d'y échapper...
    gaetan1.arnould
    gaetan1.arnould

    44 abonnés 385 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 septembre 2019
    On s'ennuie pas mal une bonne partie du film jusqu'à la dernière demi-heure avec quelques scènes savoureuses. La patte de Woody Allen est clairement identifiable et ceux qui apprécient son style s'y retrouveront. Mais la thématique des névroses urbaines est cette fois-ci traitée de en trop grand décalage avec la réalité et j'ai fini par décrocher un peu.
    lionelb30
    lionelb30

    382 abonnés 2 494 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 septembre 2019
    Le woody allen annuel. Un cru moyen surtout au debut avec une espece de marivaudage un peu intello mais la deuxieme partie un peu plus amusante avec des situations cocasse remonte l'interet.
    colombe P.
    colombe P.

    124 abonnés 695 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 septembre 2019
    Excellent cru de ce réalisateur.
    J'ai particulièrement adoré le rôle joué par Elle Fanning.
    En effet, c'est une fille enthousiaste, intelligente, sympa, marrante.
    J'au lu que certains ont été agacés par ce personnage, moi c'est exactement tout le contraire.
    Elle a un rôle qui "pétille", qui est plein de charme et fait beaucoup dans la réussite de ce film.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 22 septembre 2019
    Le film inquiète pendant un moment : mal éclairé et photographié, filmé avec un effet grand angle qui rend les décors froids, pas assez rythmé, surjoué... Puis progressivement, on comprend où Woody veut en venir. La photographie très artificielle de Vittorio Storaro (quand même moins inspiré que dans Wonder Wheel) finit par faire sens: ce ne sont plus les personnages ni leurs histoires (toujours plus ou moins les mêmes) qui intéressent le réalisateur, mais les décors qu’ils traversent et qui déterminent leurs sentiments. Un changement de lumière, trois gouttes de pluie et tout peut arriver. Bien que le film reste bancal (notamment à cause d’un Chalamet pénible de minauderie et d’une image qui reste relativement laide), il finit par émouvoir dans sa quête de la nuance et de l’infiniment petit.
    cosette2010
    cosette2010

    44 abonnés 110 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 octobre 2019
    C'est du pur Woody et les aficionados sont comblés : jazz mélancolique, héros neurasthénique et bavard, maris trompés et flagrants délits, tout y est. Le plus intéressant est la remarquable mise en abîme du hashtag me too avec le personnage de la ravissante écervelée de service Elle Faning, qui tente de faire l'intello journaliste: tous les mâles qu'elle croise n'ont que faire de son cerveau ! Ils la veulent dans leur lit et rien d'autre. La gamine a vite fait d'oublier son fiancé maigrichon qui saura heureusement se consoler. Merci Woody, tu es un pestiféré aux US, mais tu gardes un sacré sens de l'autodérision !
    Boris Vassiliev
    Boris Vassiliev

    4 abonnés 31 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 septembre 2019
    Que j'ai eu peur de ne jamais voir ce film sortir dans les salles ! Et que je ne regrette pas qu'il soit sorti ! Woody Allen n'est peut-être plus aussi génial, plus aussi incisif, corrosif, mais il garde toujours cette touche si personnelle, ce talent pour filmer, diriger, créer de la beauté, bref, pour nous faire passer un moment délicieux, notamment grâce à des dialogues toujours riches, agrémentés de quelques saillies verbales dont il a le secret. Le jeu d'acteurs n'est pas le meilleur, mais cela ne nuit pas à l'ensemble. Une petite friandise pleine de vie et de charme !
    tixou0
    tixou0

    629 abonnés 1 969 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 1 octobre 2019
    "Un Jour de pluie à New-York" ?... Une sorte de "jeux de l'amour et du hasard", mais plutôt en mode "niaiseux" (comme disent nos cousins du Québec), hybridée avec une sorte d'"impromptu" (de N-Y - pour temps pluvieux), mais ici c'est de cinéma dans le cinéma, qu'il est question. Cependant Woody Allen n'est ni Marivaux, ni Molière, et à peine WA, en fait ! On ne perçoit qu'une très vague lueur de son ancienne manière, caustique et alerte. C'est tristounet, redondant, et globalement....vide. Le couple central (une godiche et un indécis) n'a aucune épaisseur - pas plus que les personnages secondaires, d'ailleurs. Ces rôles, à peine esquissés, sont mal défendus. Qui sauver ?.... Hélas, aucun interprète ! Ai dû m'assoupir (ce qui ne m'arrive quasiment jamais au cinéma), car, émergeant à un moment, un détail du peu substantiel dialogue, saisi au vol, faisait à l'évidence allusion à une "péripétie" de "Ashleigh", relevée par "Gatsby" (notons au passage l'effort intellectuel des parents parvenus de chaque "héros", quant au choix du prénom de leur progéniture), que j'avais "zappée" (pour autant sans dommage...). 84 ans aux tisons, Mr Allen... il est sans doute temps d'arrêter le cinéma : votre style n'est même plus essoufflé, il est carrément tari.
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