Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
I'm A Rocket Man
217 abonnés
2 856 critiques
Suivre son activité
2,5
Publiée le 29 mai 2023
Pffff... quelle barbe ! Autant Dr Jekyll & Mr Hyde était passé autant là c'est beaucoup... En fait ce que je n'ai pas aimé dans ce film c'est qu'on prend Mr Griffin une fois qu'il est déjà invisible... aucune trace de ses expériences, de sa métamorphose physique & morale... et du coup j'ai trouvé ça inintéressant de le voir arriver à l'hotel déjà enrubanné ! En prime ses envies des vengeance sont pénibles & son agressivité n'apporte pas grand chose au film... bref un raté ! Dommage car ca aurait pu etre vraiment bien si on avait suivi son histoire du début...
"L'homme invisible" s'inscrit dans la période bénie durant laquelle Carl Laemmle Jr. a impulsé les changements au sein des Universal Monsters.
On retrouve ce qui fait le charme de ces oeuvres sorties durant la Grande Dépression : un rythme rapide, un monstre marquant, des effets spéciaux très efficaces et une belle maîtrise de la lumière.
Mais là où "L'homme invisible" se différencie un peu, c'est dans ses personnages secondaires, quasiment tous transparents (sans mauvais jeu de mot). Je n'en ai trouvé qu'un seul d'intéressant : le docteur Kemp.
Même l'homme invisible semble un peu trop manichéen.
Cela dit, on passe malgré tout un bon moment et je n'ai toujours pas compris comment ils avaient réussi de tels effets spéciaux dans les années 30 !
L'homme invisible fait parti de ces "créatures" mythiques qu'Universal à produit avant les années 50. Ayant vu le remake je savais d'avance que le personnage est loin d'être un enfant de coeur ou un héros. C'est tout l'inverse, plus enfoiré tu meurs. Certes le produit n'a pas fait que du bien à ses neurones, mais le mec va quand même loin quand on y regarde de près. Du coup on a un film où on ne ressent jamais d'empathie pour le personnage principal et les secondaires sont loin d'être sympathiques (la copine on a juste envie de lui foutre des baffes). J'ai quand même apprécier le film pour cette prise de risque car une fois accepté le fait que le mec est irrécupérable ça se suit bien et les effets spéciaux sont marrants.
Mis à part la vieille de la taverne au début du film (la même que dans la fiancée de Frankenstein) qui est particulièrement insupportable, (à tel point que je n'espérait qu'une seule chose, c'est que l'homme invisible la zigouille ), j'ai totalement adhéré à ce classique du cinéma fantastique. C'était un film très ambitieux pour son époque et l'histoire ainsi que le scénario est excellent. Un vrai plaisir de voir ce genre de film issu d'un cinéma d'une autre époque certes, mais qui sont réellement des pionniers. Si le cinéma a évolué, il n'en demeure pas moins vrai que ce sont ces films anciens qui ont inspiré tout ce qui est venue après.
Premier rôle pour Claude Rains et seconds chef d'oeuvre de James Whale ("Frankenstein" 1931). Le scénario est génial, occultant l'injection du produit pour se focaliser sur l"expérience directe de l'homme invisible. Le film ne connait aucun temps mortsn chaques scènes ayant son importance. Ce film est sans aucun doute un des films le splus impressionnants du point de vue effets spéciaux, n'oublions pas qu'on est en 1933 et que ce film n' arien a envié à certains films contemporains ! Eblouissant !
Cette célèbre adaptation du roman de H.G. Welles par James Whale doit sa créativité et son immense succès public (qui en firent le film le plus rentable des années 30 pour les studios Universal) à la qualité des effets spéciaux de John P. Fulton. Cette prouesse visuelle qui rendit invisible à l’image le personnage principal interprété par Claude Raines a fait de ce film fantastique un classique du genre. Au-delà de cette démonstration technique révolutionnaire qui inspira de nombreuses suites oubliables, on peut reprocher au scénario de ne pas rendre plus ambigu le caractère de ses protagonistes, bien qu’à travers eux on puisse aisément lire une métaphore effrayante de la situation géopolitique de l’époque.
Parmi les films fantastiques produits par Universal dans les 30's, cette première version du roman "Invisible Man" a conservé beaucoup de charmes. Même si l'ensemble n'est pas aussi fascinant que "Frankenstein", du même réalisateur (on n'y retrouve pas la même touche expressionniste), l'ambiance est prenante. Claude Rains, jouant à travers des bandelettes ou uniquement vocalement, est assez jouissif dans son rôle de savant fou devenu mégalomane hyper-agressif et sociopathe. On regrette simplement que le scénario, assez court, dévoile ses pouvoirs très vite. Le même film, tourné de nos jours, aurait sans doute pris plus de temps pour poser le personnage. Mais cela a l'avantage d'être efficace, d'autant plus que les effets spéciaux, excellents pour l'époque, ont très peu vieilli, et que le design du personnage habillé est assez classe. Un classique.
La première version de l'homme invisible, étonnante, visionnaire, remplie d'effets spéciaux bluffants pour l'époque et un scénario noir laissant place à l'humour (les crises de l'hôtelière sont hilarantes). A voir!
A l'instar de "Nosferatu" de F.W.Murnau et de son vampire arpentant le pont du bateau, j'ai toujours gardé en mémoire cette image de "L'homme invisible" au moment où il retire ses bandages avec un rire démoniaque. Même si l'ensemble a forcément beaucoup vieilli, un film qui reste prenant grâce notamment à une excellente atmosphère paranoïaque et des effets spéciaux tout à fait impressionnants et ingénieux pour l'époque.
Avis : Superbe première apparition de L'Homme invisible au cinéma adapté du roman de H.G. Wells. J'adore toutes les adaptations faites à son égard et de terminer (du moins je pense avoir vu toutes ou presque les autres adaptations) par le premier là où tout a commencé cinématographiquement parlant est extra. Remonter aux origines est toujours une bonne chose que ce soit en bien ou en mal ça reste toujours intéressant. Ici dans cette première apparition de ce mystérieux homme invisible, le réalisateur James Whale grand maître du macabre de l'époque nous sert une adaptation qui tombe directement dans l'horreur et maîtrise son sujet de bout en bout. Les effets spéciaux sont tout à fait remarquables car même en le voyant aujourd'hui on a du mal à voir que l'on est en 1933 tant c'est déjà très ingénieux avec un rendu excellent. Le casting fonctionne bien et l'acteur principal Claude Rains que l’on ne verra finalement que réellement à la fin offre une très bonne interprétation.
Un mot sur la BO : Bonne mais qui n'a que très peu de présence un peu comme beaucoup de films de l'époque et pour cela on ne leur en veut pas. Ma note : 8/10 !
Les effets spéciaux de ce film sorti la même année que King Kong sont remarquables et fascinent encore aujourd'hui. Le film n'a rien d'effrayant au contraire de Frenkenstein mais l'idée d'une science des excès est abordée. En effet ici on accentue le côté mégalomane du scientifique Jack Griffin. Claude Rains n'est vu qu'au dernier plan du film ce qui rend ce classique des Universal Monsters singulier.
Un film formidable, un scientifique bien bien barré, des effets spéciaux très bon, et un scénario qui tiens bien la route. Les acteurs son très bon également. Rien a redire sur se film, qui est a voir absolument!!!!!
Ce qui fait l'humain, c'est le regard de ses semblables. L'homme invisible est une histoire adaptée au cinéma de manière récurrente, les uns y voyant un défi technique, les autres l'ingrédient idéal pour un thriller efficace et d'autres encore le matériau de prédilection pour explorer la face sombre de l'homme. Ici, l'homme invisible est un savant dont l'expérience a mal tourné. Souhaitant retrouver sa forme initiale, il s'enferme dans une auberge avec son attirail de Chimie 2000 pour travailler au calme. Le truc, c'est que les occupants de la dite auberge sont tellement casse-bonbons que ça va finir par franchement l'agacer. Dans ce film, il s'agit clairement d'un numéro de truquiste. Les effets spéciaux sont saisissants à tel point que cela donne à penser au bon vieux Méliès pour qui magie et cinéma ne pouvait qu'aller de paire. Le spectateur guettera la moindre faille dans ce numéro de prestidigitation et il ne la trouvera pas. Le rythme est dynamique et le pétage de câble de l'homme invisible est assez jouissif parce que drôle et parce que ses victimes sont de toute façon insupportables. Et c'est là la limite du film. Peut-être est-ce dû à la VF mais les personnages de l'auberge sont caricaturaux et passent leur temps à nous casser les oreilles en mono d'origine. On pourra également regretter que la profondeur du personnage principal ne soit pas assez traitée, délaissant du même coup les questions morales et philosophiques. Peu importe, le numéro technique est bluffant et l'aspect philosophique sera parfaitement traité 67 ans plus tard dans l'excellent Hollow Man de Verhoeven.