Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
James Caan prouve qu’il en a encore sous le capot en jouant le vieux monsieur têtu et attachant de Holy Lands.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Ouest France
par La Rédaction
Un voyage entre New York et Israël sur les chemins de la réconciliation, joliment dirigé par Amanda Sthers. Avec en prime, le plaisir de retrouver l'immense James Caan et la trop rare Rosanna Arquette.
Le Parisien
par La Rédaction
Très ambitieux, « Holy lands » compte deux ou trois scènes maladroites, mais il est aussi émaillé de moments drôles ou très émouvants et de répliques écrites au cordeau.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Paris Match
par Fabrice Leclerc
La romancière cinéaste a un goût pour la chronique familiale en milieu aisé et, si le résultat est inégal, ce portrait iconoclaste offre de beaux moments, grâce au talent retrouvé de James Caan et de Rosanna Arquette.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Romancière et réalisatrice, Amanda Sthers adapte à l’écran sans trop convaincre son livre Les Terres saintes sur une famille d’Américains dispersée des deux côtés de l’Atlantique.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Un récit choral qui entend aborder la notion de non-dit… mais qui nous en dit tellement trop !
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Monde
par Murielle Joudet
Loin de renouveler le récit sur la famille conflictuelle, Holy Lands n'en propose qu'une série de lieux communs (...). Malgré tout, le film parvient à une plaisante étrangeté.
Ouest France
par La Rédaction
Un drame familial confus, sauvé par la présence minérale du légendaire James Caan.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Comédie-dramatique existentielle qui ne se focalise pas suffisamment sur les personnalités qui foulent sa terre sacrée, Holy Lands préfère sacrifier ses personnages sur l’autel casse-gueule du film choral chiadé.
Le Figaro
par La Rédaction
Amanda Sthers adapte son propre roman. James Caan, juif apostat, a quitté New York pour élever des cochons à Nazareth. Son ex-femme est malade du cancer, son fils est homosexuel et il sympathise avec un rabbin. Israël, terre de clichés.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Positif
par Grégory Valens
"Il devrait y avoir des médecins pour le chagrin", dit la jeune et jolie Annabelle (Efrat Dor) vers le début du film. [...] Et les médecins contre les migraines dues aux navets, ça existe, dis ?
Première
par Cédric Page
Amanda Sthers signe un drame lelouchien confus, qui ouvre de nombreuses pistes narratives mais n’en explore aucune jusqu’au bout. Reste James Caan, impérial en pépé bourru déterminé à défier Dieu.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Hélène Marzolf
Amanda Sthers adapte son roman avec l’ambition d’explorer des questions comme la transmission, la tolérance… Hélas, cette tragi-comédie vire à la leçon de vie maladroite et complaisante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
James Caan prouve qu’il en a encore sous le capot en jouant le vieux monsieur têtu et attachant de Holy Lands.
Ouest France
Un voyage entre New York et Israël sur les chemins de la réconciliation, joliment dirigé par Amanda Sthers. Avec en prime, le plaisir de retrouver l'immense James Caan et la trop rare Rosanna Arquette.
Le Parisien
Très ambitieux, « Holy lands » compte deux ou trois scènes maladroites, mais il est aussi émaillé de moments drôles ou très émouvants et de répliques écrites au cordeau.
Paris Match
La romancière cinéaste a un goût pour la chronique familiale en milieu aisé et, si le résultat est inégal, ce portrait iconoclaste offre de beaux moments, grâce au talent retrouvé de James Caan et de Rosanna Arquette.
La Croix
Romancière et réalisatrice, Amanda Sthers adapte à l’écran sans trop convaincre son livre Les Terres saintes sur une famille d’Américains dispersée des deux côtés de l’Atlantique.
La Voix du Nord
Un récit choral qui entend aborder la notion de non-dit… mais qui nous en dit tellement trop !
Le Monde
Loin de renouveler le récit sur la famille conflictuelle, Holy Lands n'en propose qu'une série de lieux communs (...). Malgré tout, le film parvient à une plaisante étrangeté.
Ouest France
Un drame familial confus, sauvé par la présence minérale du légendaire James Caan.
aVoir-aLire.com
Comédie-dramatique existentielle qui ne se focalise pas suffisamment sur les personnalités qui foulent sa terre sacrée, Holy Lands préfère sacrifier ses personnages sur l’autel casse-gueule du film choral chiadé.
Le Figaro
Amanda Sthers adapte son propre roman. James Caan, juif apostat, a quitté New York pour élever des cochons à Nazareth. Son ex-femme est malade du cancer, son fils est homosexuel et il sympathise avec un rabbin. Israël, terre de clichés.
Positif
"Il devrait y avoir des médecins pour le chagrin", dit la jeune et jolie Annabelle (Efrat Dor) vers le début du film. [...] Et les médecins contre les migraines dues aux navets, ça existe, dis ?
Première
Amanda Sthers signe un drame lelouchien confus, qui ouvre de nombreuses pistes narratives mais n’en explore aucune jusqu’au bout. Reste James Caan, impérial en pépé bourru déterminé à défier Dieu.
Télérama
Amanda Sthers adapte son roman avec l’ambition d’explorer des questions comme la transmission, la tolérance… Hélas, cette tragi-comédie vire à la leçon de vie maladroite et complaisante.