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    Les Éblouis
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    Enki Dou
    Enki Dou

    2 abonnés 43 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 décembre 2019
    Sans doute pas un chef d’œuvre de cinéma, mais peu importe : c'est un film qui devrait être vu par le plus grand nombre possible de spectateurs de tous âges et de toutes croyances. Comment une personne psychologiquement fragile, et qui souffre de se sentir insuffisamment soutenue ou écoutée, tombe dans le piège sectaire, où elle croit trouver (trouve ?) cette écoute et ce réconfort. Comment elle y entraîne toute sa famille. Comment le piège se referme insidieusement (insidieux, ainsi Dieu ...). Comment le piège, comme un trou noir, maintient ses proies, ou comment les proies s'obligent à y demeurer, notamment par le déni de la réalité de l'enfermement psychologique dans lequel ils sont tenus, et des dérives qui se déroulent sous leurs yeux. Et finalement quelle force, et/ou quel concours de circonstances, il faut pour réussir à s'en échapper ... La psychologie des personnages est à peine esquissée, et on peut le regretter, mais le sujet du film n'est pas tant le phénomène de basculement vers la secte, que l'ensemble des processus qui lui permettent de se maintenir : l'emprise psychologique du gourou, bien sûr, mais aussi la pression du groupe sur les individus, l'attachement qui lie les membres d'une famille ... Et même si l'essentiel de ce qui est montré relève clairement de la dérive sectaire, il est difficile de ne pas s'interroger sur l'ensemble du phénomène religieux - et sur la frontière, si ténue, qui les sépare. Bref, un beau film grave sur un sujet grave, et dont on sort assez chamboulé.
    ninilechat
    ninilechat

    68 abonnés 564 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 décembre 2019
    Sarah Suco a passé dix ans de sa vie dans une communauté du Renouveau Charismatique. Et ça se sent: d'abord parce que, qui connait actuellement ce mouvement à part ceux qui l'ont vécu? Qui s'y intéresse? Toutes les communautés n'atteignaient cependant pas le stade de celle que Sarah nous décrit, qui est carrément une secte.
            Le renouveau charismatique s'est positionné comme une contagion aux milieux catholiques et (un peu) orthodoxes, du pentecôtisme protestant. Au début, la hiérarchie catholique a vu d'un très bon oeil ces fidèles qui pratiquaient la charité dans la joie mais, ces hiérarques qui, contrairement aux protestants, aiment bien ne voir qu'une seule tête se sont petit à petit méfiés et détournés des zozos illuminés qui sentaient le Saint Esprit descendre sur leurs têtes, et je pense qu'à l'heure actuelle il reste assez peu de communautés vraiment intégrées à l'église catholique.
            La famille Lourmel est unie et aimante. Ils chérissent leurs quatre enfants et sont encore très amoureux l'un de l'autre. Il est prof, elle cherche à reprendre une activité de comptable; on voit bien qu'ils sont isolés dans leur petite ville de province, ont peu d'amis et voient surtout les grands parents maternels. Ils sont cathos par habitude, pas pratiquement fervents. 
            Au cours d'une messe, ils rencontrent un curé vraiment sympa, qui les invite dans la communauté qu'il dirige. Enfin des amis, des gens gais, joyeux, joueurs, qui s'épaulent, se soutiennent, et consacrent leurs loisirs à aider les pauvres. Rien de mal à ça, bien au contraire! Ils sont hameçonnés. Quels beaux débuts. On chante (beaucoup), on danse, on joue au ballon, on prend des repas en commun... on nourrit les pauvres..;
            L'aînée, Camille, qui a seize ans (Céleste Brunnquell très convaincante) fréquente assidûment l'école du cirque. Elle adore son apprentissage de clown, même s'il ne fait pas forcément toujours rire.... Premier accroc: le prêtre, que tous appellent "le berger" est formel: il faut qu'elle cesse, c'est dégradant. Elle cesse, dans la douleur, et c'est dans la douleur qu'elle va être, des mois durant, tiraillée entre sa confiance aveugle dans ses parents, qui savent forcément ce qu'ils font, qui ont forcément raison, et l'incompréhension de ce qu'on lui demande. C'est que Christine (Camille Cottin, excellente dans un rôle a priori à contre emploi et Frédéric (Eric Caravaca) sont entrés à fond dans la machine. Pappy (Daniel Martin) est plutôt anticlérical; le repas de famille tourne au drame; malgré les efforts de Mammy (Laurence Roy) c'est la rupture. Le berger a très bien compris que pour tenir son troupeau, la rupture avec la famille s'impose. Au cours de séances de "thérapies" avec descente de l'Esprit Saint, il arrive à mettre les "malades" dans un état de transe qui leur "remémore" des souvenirs d'enfance oubliés: mais c'est bien sûr! elles ont été abusées par leur père.... On sait que des analyses orientées tendant à persuader la patiente qu'elle fût victime de viols dans son enfance ont été beaucoup pratiquées aux US. 
            La aussi, on pense de prime abord que Jean Pierre Darroussin, le gentil Darroussin des films de Guédiguian est à contre-emploi. Mais en fait, non! Si tous les gourous avaient un faciès illuminé à la Sacha Pitoeff, leur petite affaire marcherait moins bien.... c'est parce qu'ils inspirent confiance qu'ils sont dangereux.
            Les parents partent en retraite avant de prononcer leurs voeux définitifs. Le grand frère (13 ans peut être) est en révolte ouverte; le plus petit (8 ans?) est complètement délabré. Il n'ose plus manger une bouchée avant d'avoir dit les prières, car le diable viendrait le chercher. Il finit par ne plus parler.
            Camille soutient toujours ses parents, soutient la communauté, avec un comportement de plus en plus erratique. Elle change, dans la rue, sa jupe aux genoux pour un jean serré pour qu'au lycée, personne ne parle d'elle mais c'est inutile, tout le monde le sait: Camille vit dans une secte.... Elle cherche du réconfort auprès d'un petit amoureux, Boris (Spencer Bogaert), du temps de l'école du cirque. Et puis, elle vole la communauté, s'oppose, rejetée par ses propres parents, la voilà au cachot jusqu'à ce qu'elle demande pardon. Il faut qu'elle voit son petit frère se faire abuser par un des membres de la communauté et que, demandant du secours à sa mère, elle s'entende répondre que le diable l'a reprise pour qu'elle se décide à aller à la police, tout raconter, trahir donc, dans le désespoir....
            Impressionnant. Sarah a t-elle vécu des situations aussi extrêmes? Sans doute pas, elle n'arriverait pas à en parler. Mais c'est le côté mesuré, factuel, presque raisonnable du récit de cette descente dans l'enfer des sectes qui en fait tout le prix. Trop peu? Bof. Trop? le risque de tomber dans l'anti-catholicisme facile, le grand guignol, l'Exorciste.... Sarah Suco a su éviter tous les pièges pour donner un récit fort et utile, qui doit beaucoup donner à réfléchir..... Bravo!
    PLR
    PLR

    406 abonnés 1 474 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 novembre 2019
    Un film sur l’intégrisme ou le fondamentalisme religieux. Sujet plusieurs fois traité au cinéma au travers de ses conséquences et menaces sur la société mais quand il s’agissait « des autres », c’est-à-dire de l’Islam. Ici, recentrage du propos. La communauté religieuse observée s’insère dans le Catholicisme, branche du Christianisme qui, comme chacun sait ou pas, est une secte (juive) qui a réussi. On y porte d’ailleurs volontiers le voile et la barbe aussi ! Et les conséquences se limitent à la sphère familiale. Il n’y a pas de guerre sainte, sinon contre soi-même (ce qui est d’ailleurs le sens du Jihad). Il est évident qu’un tel sujet ne peut conduire qu’à un jugement sévère non pas forcément sur les religions (tolérance oblige) mais sur les germes toxiques qui peuvent être en elles et qui ne demandent qu’à éclore. Film coup de point, puissant, prenant, démonstratif même s’il apparaîtra sans doute un peu caricatural par des détails qui, dans une comédie prêteraient à sourire mais ici pas du tout ! C'est au contraire glaçant. Caricatural peut-être mais qui sait, sinon la réalisatrice et scénariste puisque les secrets de tournage évoquent un récit inspiré de son propre vécu. Le générique de fin contient d’ailleurs une dédicace à sa fratrie.
    PaulGe G
    PaulGe G

    101 abonnés 607 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 décembre 2019
    quand la religion devient toxique et méprisable. une famille sans prétention mais catholique pratiquante entre dans un "cercle de fanatiques" et tout dérape. une jeune ado (magnifiquement interprétée) cherche a sauver sa famille de l'enfer que fait endurer le gourou démoniaque sous couvert de la religion. la "secte" devient de plus en plus tyrannique et malfaisante, mais la parole d'une enfant déboussolée sera t elle utile ? un film fort, intense magnifiquement interprété et réalisé;
    Maite.ferhat
    Maite.ferhat

    56 abonnés 46 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 17 décembre 2019
    Le film de Sarah Suco est poignant. Nous sommes plongés dans l'histoire bouleversante de cette famille, qui pourrait être la vôtre, la nôtre, la leur. Le scénario est porté par des comédiens extras, avec une justesse sans artifice.
    Les Eblouis est captivant et terrifiant à la fois.
    Galactus
    Galactus

    7 abonnés 353 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 janvier 2020
    Très bon film, c'est très crédible. Darroussin est parfait dans son rôle, avec un naturel incroyable.
    Santor
    Santor

    3 abonnés 39 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 décembre 2019
    Un très beau premier film de Sarah Succo sur une famille prise dans une secte catholique dans une petite ville de Province.
    L'atmosphère d'oppression monte en puissance jusqu'à la scène finale.
    Les acteurs sont magnifiques à commencer par la jeune Céleste Brunnquell qui crève l'écran. Camille Cottin joue un rôle à contre emploi, de même Jean Pierre Daroussin excellent comme Eric Caravaca.
    Min S
    Min S

    49 abonnés 437 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 novembre 2019
    Un film pas très original, sujet déjà vu pas mal de fois à l'écran. Ça montre tout de même la complexité de la situation dans laquelle les enfants se retrouvent .
    Anonyme M
    Anonyme M

    45 abonnés 1 540 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 22 janvier 2022
    très mauvais film. le discours de la véritable fille victime des sectes a été vraiment touchante sur youtube mais là.........non tu passe ton temps a acélérer encore et encore rien ne fonctionne chaque scènes censé être touchantes sont juste lourdes et pas du tout convaincantes, la plupart du temps c'est si scandaleux que jamais ça ne pourra fonctionner le film enfile les scandales et les scènes INSSUPORTABLES !!!!
    gigitop
    gigitop

    1 abonné 30 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 décembre 2020
    Quel film , quelle claque. On est sidéré par l emprise que ce prêtre manipulateur gourou prend petit à Petit sur les parents Les acteurs sont fantastiques. Camille Cottinn, jp dartoussin et les enfants Je n avais pas entendu de parler de ce film jusqu à le voir ce soir en vod. A voir absolument
    Dionys C.
    Dionys C.

    6 abonnés 89 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 16 février 2022
    Il n'y a presque rien à redire sur ce film tant tout y est criant de vérité, la sinistre vérité sur le phénomène sectaire qui ne touche pas que des religions exotiques mais également l'église catholique, voire les églises protestantes (évangéliques et autres). L'emprise psychologique qui va même s'étendre aux contraintes physiques (enfermement, jeûne, abus sexuels etc.) va rendre les adeptes complètement dépourvus de leur humanité, réduits à de simples animaux grégaires, des moutons bien dociles sous la direction implacable du "berger" (Daroussin). La jeune Camille (L'excellente Céleste Brunquell, voir "En thérapie"), l'ainée des enfants (14 ans) va devoir endosser le rôle des parents défaillants pour littéralement "sauver" ses 3 frères et soeurs de cet enfer carcéral. Pour avoir connu ce genre d'éducation religieuse malsaine je peux vous dire que tout est conforme à la triste réalité de ces communautés religieuses ! Si vous croyez encore aux religions après cela c'est que vous avez raté votre éducation, que vous êtes restés des enfants n'ayant pas accédé à la raison et à l'âge adulte ! Ouvrez les yeux !
    FaRem
    FaRem

    7 394 abonnés 8 816 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 avril 2020
    Pour son premier long-métrage, Sarah Suco s'inspire directement de sa propre expérience après avoir vécu pendant dix ans au sein d'une communauté similaire. La réalisatrice est gentille avec son titre, car j'aurais plutôt parlé d'illuminés ou de détraqués, mais je suppose qu'ébloui est un mot moins provocant. Avec ce film, la réalisatrice cherche tout de même à dénoncer ce genre de dérive sectaire. Il ne s'agit pas d'attaquer les croyants qui vivent tranquillement leur foi de façon isolée ou pas, mais bien ces fous qui font tout pour laver le cerveau des gens avant de les forcer à couper les liens avec leurs proches et de leur prendre tous leurs biens. Sarah Suco a déclaré que ce qu'elle a vécu était bien pire que ce qu'elle raconte dans son film et qu'elle a attendu suffisamment longtemps pour ne pas être dans la haine. On peut dire qu'elle a respecté sa parole, car elle dénonce, mais sans en faire trop. Je trouve même qu'elle a été trop gentille avec le personnage de Camille qui leur laisse beaucoup de chance. Le personnage de Camille qui est le personnage central est très bien écrit. On découvre une fille suffisamment forte pour se battre, mais encore trop jeune pour tout faire toute seule. On peut dire qu'elle se laisse endoctriner pour rester auprès de ses frères et sœurs et continuer à les protéger de l'intérieur. Céleste Brunnquell, qui a été nommé pour le César du meilleur espoir féminin pour ce rôle, est bluffante pour son premier rôle. Ce que j'aurais aimé, c'est comprendre un peu plus pourquoi les parents se sont fait avoir aussi facilement. Dès le début, on sent que Christine, la mère, est étrange, mais on dirait que c'est exactement ce qu'elle cherchait comme si elle voulait lâcher prise sur tout. D'un autre côté, ça montre aussi que personne n’est à l'abri. Ce n'est malgré tout qu'un détail, car "Les éblouis" est un film fort avec un final bouleversant.
    Jorik V
    Jorik V

    1 195 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 décembre 2019
    On ne peut que féliciter la jeune réalisatrice Sarah Suco d’avoir couché sur papier et d’avoir porté à l’écran une partie de sa jeunesse dans cette histoire que l’on sait à haute teneur autobiographique. Surtout vu la teneur du sujet et le fait que ce soit un premier film. Un peu de la même manière qu’Andréa Bescond avec « Les Chatouilles » sorti à la même époque l’an passé, la jeune réalisatrice se sert du média qu’est le cinéma comme un exutoire. Non pas sur le sujet des attouchements sexuels ici mais sur celui tout aussi polémique et souvent réduit au silence des communautés religieuses qui s’apparentent à des sectes. Des œuvres qui agissent comme des catharsis pour leurs auteures mais surtout basées sur des faits réels qui les ont traumatisées dans leur plus jeune âge. On voit ici de la manière la plus réaliste qui soit, l’influence néfaste et l’emprise malfaisante que peuvent avoir ces groupes sur des familles entières, souvent des familles dont les parents sont faibles et désemparés. Le fait que la cinéaste ait vécu la plupart des événements montrés à l’écran permet une immersion totale dans le sujet et donc une validation inconsciente et bienvenue de notre part.




    Si certaines scènes nous paraissent ahurissantes voire à la limite du ridicule (on pense notamment à ces adeptes qui bêlent littéralement pour appeler leur berger ou à celles s’apparentant à des exorcismes), on sent et on sait que rien n’est exagéré mais que ça respire le vécu, que de telles pratiques n’auraient pu être inventées. Et ça fait froid dans le dos, en prenant soin d’éviter à chaque fois le sensationnalisme. Il y a peu de films sur le sujet en France, voire pas du tout et si on regarde du côté du cinéma américain ou étranger, les exemples sont rares qui traitent ce thème de manière réaliste et sociale comme ici. On pense à « Martha, Marcy, May, Marlene » ou au tétanisant « The Invitation » de Karyn Kusama resté inédit chez nous mais les approche étaient encore différentes, plus proches du thriller psychologique. Ici, on est clairement dans le drame et le constat sociétal. Sarah Suco a donc investi un terrain inédit dans le paysage cinématographique français avec brio. Le tout début du long-métrage est un peu hésitant et il est vrai que durant un quart d’heure le film patine un peu. On a du mal a bien percevoir la manière dont cette famille décide d’intégrer cette communauté mais une fois dedans on est captivés de bout en bout.




    Par petites touches, sans forcer, le script a la bonne idée de montrer intelligemment la manière dont les sectes pratiquent insidieusement l’endoctrinement sur des personnes faibles. On entre dans ce milieu particulier grâce aux yeux du personnage principal, impeccablement incarné par la jeune Céleste Brunnquell qui devrait figurer parmi les révélations de cette année, un personnage partagé entre indignation et résiliation. Certaines séquences sont édifiantes et font froid dans le dos comme celle avec les grands-parents rejetés ou celles de réunion avec un prêtre terrifiant de froideur et de force tranquille. Un rôle difficile dans lequel Jean-Pierre Darroussin se glisse à la perfection. N’oublions pas Camille Cottin qui ne cesse de surprendre par la variété de ces choix de rôle et qui, comme Virginie Efira, a définitivement gagné ses galons de grande actrice ici. Elle est impressionnante en mère qui offre sa famille à cette communauté. « Les éblouis » est une œuvre forte magnifiquement éclairée par la lumière d’Yves Angelo qui donne une patine singulière et intemporelle au film. C’est une histoire bouleversante qui n’est pas sans contenir quelques imperfections (longueurs, petite histoire d’amour maladroite, …). Mais c’est surtout un témoignage d’utilité publique qui marque par petites touches, fait réfléchir et marque la naissance d’une réalisatrice à suivre.


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    Ti Nou
    Ti Nou

    405 abonnés 3 355 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 février 2021
    La réalisatrice s’appuie sur une expérience personnelle douloureuse pour son premier long-métrage. Elle signe un film dur sur l’intégrisme religieux. Camille Cottin est formidable dans le rôle de cette mère qui va entraîner toute sa famille dans une prison intellectuelle.
    Hotinhere
    Hotinhere

    416 abonnés 4 736 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 février 2021
    Inspiré de sa propre enfance, la réalisatrice Sarah Suco signe un drame poignant, au récit saisissant qui décrit minutieusement l'endoctrinement sectaire, porté par une interprétation remarquable, avec notamment une Camille Cottin complètement habitée.
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