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    Bandits, bandits
    Note moyenne
    3,0
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    71 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 27 août 2010
    La profusion d'idées nuit quelque peu au propos dans ce film qui comporte quelques bonnes trouvailles mais qui est parfois en décalage par rapport au public jeune auquel il se destine principalement.
    LUNATIN
    LUNATIN

    2 abonnés 20 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 mars 2012
    Un petit bijou cinématographique....plein de poésie et d'humour...on nage en plein rêve dans ce film et la touche monthy python y est pour beaucoup!! à voir et à revoir!!!
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 25 novembre 2009
    du loufoque dans l'esprit monthy python, et l'idée récurrente chez gilliam de l'imbrication du merveilleux dasn la vie réelle. Il y'a pas mal d'idées qui valent le détour, dommage que le style d'ensemble soit si lourd sans avoir le rythme de sacré graal. On peut noterla présence assez étonnante de Sean Connery.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 2 juillet 2014
    Très bon film, à l'exquise drôlerie. Des nains excellents. Un hymne à l'imagination. On suit avec engouement, le jeune Kevin à travers cette aventure burlesque pour la quête des Portes Temporelles.
    En outre, un regard amer sur la société, dans la même veine que les autres Gilliam. A voir, absolument !
    Karda
    Karda

    110 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 décembre 2007
    Bandits Bandits est un conte louffoque moins déjanté et comique que Sacré Graal ou la Vie de Brian. Ce film est la charnière entre l'époque des Monthy Python pur (comme ceux que j'ai mentionné auparavant) et les futurs films de Gilliam, tel que Brazil ou L'armée des 12 singes. A voir absolument si vous aimez Terry Gilliam.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 25 novembre 2009
    Comme à son habitude, Gilliam nous plonge dans un autre monde ! Pour ce film, il choisit un casting parfait (Sean Connery, Les Monty Python...) et sa marche !
    Ce film, quoiqu'un peu fouilli, nous fait passer un bon moment entouré de nains et chevaliers.
    Je noterais tout de même que le film vieillit un peu...
    A voir en famille.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Tout simplement LE film qui fait que je suis en train d'étudier l'histoire à la fac.
    FR Um
    FR Um

    12 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 juin 2022
    40 ans déjà !
    Premier film de Terry Gilliam et premier film au cinéma pour moi qui marquera à jamais ma vie et mon goût pour le fantastique et la SF.
    Ce voyage onirique est une merveille qui a mal vieillit certes, mais elle reste un bijou créatif comme seul Terry Gilliam sait le faire. Meilleur souvenir de mon enfance au cinéma avant Star Wars et Retour Vers Le Futur.
    Clockwork Blue Orange
    Clockwork Blue Orange

    9 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 juin 2023
    Bandits, bandits est le troisième film de Terry Gilliam et quel film !!

    En apparence totalement foutraque et bordélique, "Time Bandits" de son vrai nom est une comédie qui peu paraître très bizarre, à la fois innocente et drôle, mais qui ce révèle être un dialogue avec l’inconscient du spectateur en offrant une vision d'avant garde aussi aboutit que le sera son prochain film : Brazil.

    Car oui, derrière son apparence toute mignonne et désordonné, ce conte pour enfant onirique est en vérité un grand coup de tête à l'avidité du monde des adultes. Je vous propose donc une analyse, je cache les spoilers pour ceux qui n’auront pas vu le film.

    Le protagoniste principal est un enfant du nom de Kevin (nom au combien générique), dont l'affiliation nous renvoi très certainement à l'enfant chez Terry Guilliam développant à son tour la thématique de l'enfant "voyant" que l’on retrouve dans Shining de Stanley Kubrik : C'est à travers ses rêves et ses visions que l’enfant des années 80 tente de trouver des réponses pour survivre à la violence et la cupidité des adultes.

    J'imagine déjà la tête de certain à la lecture de ces lignes (Shelley Duvall est elle là par hasard ?), mais qu'importe le plus simple est d'analyser les époques et symboles ici présent pour en comprendre le sens, tout ou presque, étant vu à travers le rêve, donc dans un dialogue de l’inconscient sur le conscient : Le langage cinématographique pur.

    Vous trouvez ça tiré par les cheveux ? Pas de problème, le film se regarde totalement comme une grande aventure en forme d’odyssée fantastique, pleine de surprise et de délire qui ferra rire, rêver, frémir petit et grand ! Mais si la fin vous laisse un goût bizarre dans la bouche ne soyez pas surpris, Terry Gilliam est un génie.

    La première séquence résume en quelques plans tout le propos du film. C’est dans la banlieue anglaise que ce tapis le mal, dans ses maisons qui se ressemble toute, il oppére déjà à travers le poste de télévision. On nous y présente une cuisine du futur ou tout va toujours plus vite pour toujours plus de temps libre. Le père et la mère, cliché de leur genre jusqu’à leurs pyjamas en bleu et en rose, feuillette des publicités regardant du coin de l’œil : le programme. Tous deux assis sur leurs canapé et fauteuil respectif en cuir (et donc séparé) recouvert de plastique qui symbolise la perte de contact avec la peau. Au fond, habillé de gris, leur fil fait dos à la télévision, plongé dans une encyclopédie sur le monde grec. Tout est résumé ici en quelques plans, les parents sont plongés dans une consommation futile où l'obsolescence et la compétition sociale règne quand l’enfant cherche à apprendre des connaissances utiles. Kevin va se coucher quand les parents regardent désormais une émission TV qui résume bien le problème des adultes, intitulé : votre argent ou votre vie.

    La suite nous invite à trouver une vrai porte de sortie. L'enfant est un guerrier solitaire et incompris, l’action du film va donc ce dérouler dans son sanctuaire : sa chambre. Perdu dans l'histoire et le temps (du film, comme dans celle de l'humanité), c'est au travers de ses fantasmes et de ses symboles que Kevin va se chercher des valeurs, des professeurs, des issues à ce monde devenu prison où les gardiens sont ses parents inertes et cupide. On dit que les monstres sortent du placard et pourtant, ici ce seront bien des nains pirates, des "freaks", eux aussi perdu dans le temps et l'espace qui vont le sortir de la. Ces adultes à l’apparence d’enfant débarquent dans son monde pour agrandir les murs de sa trop étroite « chambre devenu prison » bien trop étriqué pour sa soif de connaissance. Kevin hésite puis poussé vers sa destiné par la manifestation de l'être suprême omniscient, part maintenant en croisade pour affronter le mal de ce monde. Pour celà rien de tel qu’un petit voyage au origine de tout ce bazars avec plusieurs morceaux choisi de l'histoire :

    Spoiler alert :
    spoiler: - La défaite anglaise : l'invasion de Napoléon, un homme obsédé par sa taille et celle des autres qui n'aime que voir des gens ce battre. La frustration est le moteur. - Le royaume des voleurs : Robin des bois contre la monarchie, pourquoi volons nous ? Pour rétablir l'équilibre. - Vision du mal : Tapie dans le royaume de l'invisible, la mal, dans sa forteresse steam punk cherche à corrompre les âmes pour sortir, pour prendre corps dans le réel et avoir, je vous le donne en mille, le pouvoir. (ici on retrouve la notion du plastique sur ces sbires, déconnecté de leur propre peau qui ne savent même plus ce qu'ils sont, croisement entre machine, homme et animaux). L'objectif premier du mal est la connaissance des nouvelles technologie et des ordinateurs, futur outils de l'asservissement suprême. - La Grèce antique, le temps des héros : Achile (joué par le plus grand héros anglais, Sean Connery, à savoir James Bond) versus le minotaure. Ici le minotaure est un homme déguisé en taureau, Achile est sauvé par hasard grâce à Kevin. Kevin devient lui aussi un guerrier et un héros en rencontrant un maître. - Le Titanic, ou le naufrage de la civilisation industrielle : Les adultes ne pensent qu'a batifoler, les nains sont corruptibles, Kevin découvre ses valeurs. - La bateau pirate, l'ogre et le géant : Découverte du pays du fantasme et de l'imaginaire. C'est ici dans le royaume de l'invisible que le mal est enfin visible. Les nains ce précipite dans un labyrinthe pour avoir la cuisine moderne de leurs rêves aidé par le présentateur TV, ils seront fait prisonnier. Ce n'est qu'en ce jetant à corps perdu dans le vide, qu'ils retrouverons leurs libertés. - Confrontation contre le mal : Kevin habillé de blanc (vous pourrez admirer l'évolution des couleurs sur ses costumes au fil de l'aventure) se fait voler la carte de l'espace et du temps quand les nains surgissent de toutes part pour le sauver avec toutes les armes de sa chambre d'enfant. Il faudra pourtant l'intervention de l'être suprême pour briser le mal apparaîsant dans le corps d'un homme agé (la sagesse et le savoir) qui possède la connaissance usant des nains pour ramasser les morceaux afin d'enfermer le mal de nouveau (vous remarquerai que la mal est enfermé dans une grande boite à lettre ou l'on peu lire : bureau et banque, LOL). Ici, une réponse plus qu’intéressante est donné par l'être suprême à Kevin qui demande : pourquoi le mal existe ? - Retour à la réalité, l'enfant se réveille dans une maison en feu (notre société, donc), sauvé par l'âme de son héros : le pompier Sean Connery. Ici on comprend que l'enfant c'est servi de la technologie, l'appareil photo (le cinéma donc) pour ramener des preuves de son voyage. L'origine de l’incendie est du à la représentation du consumérisme moderne : la cuisine. Dans le four se tiens l’origine du mal, Kevin à la vision de ce fragment restant averti immédiatement ses parents qu'il ne faut pas le toucher, ce qu'ils font bien sûr, ses parents explosent laissant Kevin seul dans le monde moderne. Le pompier Sean Connery, lui lance un dernier clin d’œil avant de partir : maintenant, vous savez. Fin.


    Sacrée voyage pour un sacré graal non ? Je ne peu que conseiller bandits, bandits, à tous ceux qui ont gardé leur âme d’enfant et ceux qui souhaite répondre à certain question comme le sens de la vie peu être ? Non je le conseille à tous le monde, petit et grand, Time Bandits est pour moi un chef d’œuvre incontestable qu’il faut découvrir ou redécouvrir d’urgence !!
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 27 novembre 2009
    Mon tout premier Terry Gilliam. J'ai trouvé se film, super imaginatif. Les effets spéciaux et la réalisation ont un peu vieillit, mais cela donne un côté loufoque à tout l'ensemble. Bien sur, Gilliam était jeune et on est encore un peu loin de "Brazil" ou "L'armée des douzes singes". Ceux qui aime les réalisateurs avec un univers particulier comme Del Toro ou Tim Burton regardez le, juste pour vous faire une idée.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 4 janvier 2012
    du grand Terry Gillian ,quoi que un peut enfantin quelque fois! ce qui n'enleve pas grand chose au film et apporte un peut de poesie;...SUPER
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