Avis : Dancer in the Dark - Page 2

"Dancer in the Dark" est un film vraiment génial... Il y a tout d'abord cette magnifique histoire d'amour familiale, les magnifiques émotions ressenties dignes des plus grands chefs d'œuvres de Coppola ou Ridley Scott, et cette musique envoutante. Tous les ingrédients sont réunis pour faire un excellent film et on ne voit pas le temps passé. C'est mon film préféré et je le recommande à tous ceux qui ne l'ont pas encore vu. Toujours aussi magique 15 ans après.

après avoir découvert lars von trier avec nymphomaniac et mélancholia(que j'avais apprécié mais ne m'avais pas transcendé).Je décidais de me pencher sur ce fameux dancer in the dark décoré d'une palme d'or en 2000 à Cannes qui avait eu l'aire de bouleverser pas mal de monde.
dans un premier temps,je n'était pas vraiment tenté car je DETESTE les comédies musicales,mais avec von trier aux manettes je me doutais bien que ça n'allais pas être du high school musical.
On débute alors le film sur une succession d'images psychédélique(d'on je ne comprend toujours pas l'utilité)et au bout de plusieurs minutes le films débutes,premier hic,la caméra. ça bouge dans tout les sens et cela donne vraiment un côté amateur vraiment gênant,je sais que c'est voulu de la part de von trier mais quand même c'est pas compliqué de tenir une caméras.
sinon à part ça le film à vraiment été une bonne surprise.On est tout de suite pris d'affection pour ce personnage tellement gentil q'est Selma(qui est d'ailleurs magnifiquement interprété par bjork).Les passages chanté passe plutôt bien,même si la voie de bjork est très particulière.On ne peut pas dire que le film respire la joie de vivre,car il met en scène la descente aux enfer de son personnage principal jusqu'à un final brutal(bien qu'un peut démonstratif je trouve).
Au final un beau film,touchant mais quelques défaut tout de même.

Il faut passer un cap : celui de la première demi-heure. Cet obstacle franchi, l'intérêt gagne et culmine au moment d'un climax absolument magistral. On est bouleversé et émerveillé à la fois par tant d'audace, d'originalité et de maîtrise, et on se dit que ce film mérite bien sa palme. Mais on s'attend à ce que ce sentiment perdure jusqu'au clap de fin, ce qui malheureusement n'est pas le cas. Malgré tous les efforts d'un scénario et d'un réalisateur qui ne démérite pas, la surprise est passée et la magie s'estompe. C'est un beau film quand même, à voir sans hésitation, mais qui donne cette impression finale qu'il manque un petit quelque chose pour en faire un chef-d’œuvre.

Von Trier fait de "Dancer In The Dark" sa meilleure oeuvre réalisé jusqu'ici.
Il filme à la manière d'un documentaire le quotidien d'une aveugle pris à partie dans une société peu complaisante. A défaut d'avoir un message quelque peu moralisateur et simpliste tel que "la justice est mal faite", l'effet provoqué fait très mal tel un uppercut. En effet, on en ressort gêné, et ceci est bien dû par la façon dont le film a été réalisé, très proche de son actrice : Bjork. La bande-son et les chorégraphies sont magistralement mis en scène, nous faisant oublier chacun des moments de sa vie difficile. Point noir : la naiveté persistante du personnage, qui irritera et agacera de grands nombres de spectateurs.

Un chef d'oeuvre de pessimisme qui parvient à émouvoir, révolter, désespérer son spectateur, un film très intéressant que ça soit sur la forme, comme sur le fond, cette mise en scène étrange et chaotique renforce l'idée de malaise qui dure durant tout le film… une petite merveille qui trouble comme jamais…

La force de ce film tient en la vraisemblance de son propos. On pourrait s'y croire. La mise en scène de Lars Von Trier met un point d'honneur à donner une image imparfaite qui ne serait pas à l'image de ce que peuvent voir nos yeux mais à la vue de l'héroïne brillament interprété par Bjork. On sombre progressivement vers un plus noir dessin. Où la violence s'accentu au fur et à mesure de son avancé vers m'aveuglement. Pour ne pas raconter la fin je vous insiste fortement à le voir. Car elle n'est pas définissable autrement. Si on devait critiqué on chercherait à démontré que la comédie musical dénote avec l'univers du film. Mais ce serait changer l'histoire vu qu'elle s'intègre par une logique de mouvement et de chant aiguissant les sens de l'ouïe et du toucher.

Je déteste les films musicaux, les chansons de Bjork c'est pas mon truc. Mais l'histoire est tellement touchante que pour ce film je change mon fusil d'épaule. Terrible destin qui nous est conté ici, la larme n'est pas loin, bravo.

Dans ce film, il y a du bon partout, mais il faut savoir l'aimer : la façon de filmer, constamment caméra au poing, est originale mais devient vite fatigante ; la musique est extrêmement bien introduite dans le scénario et semble répondre à la question "pourquoi les personnages se mettent-ils soudain à danser et à chanter dans les comédies musicales ?" qu'un des personnages pose. Mais là encore, le genre musical est très spécial et nécessite qu'on apprécie Björk. On ne peut en revanche pas nier que c'est une oeuvre très forte où la performance des acteurs compte beaucoup.

Certes le film est un peu lent mais côté émotionnel ça monte en puissance et ça déménage. On reste scotché par la fin. Je n'avais jamais vu ça : une salle entière de cinéma pleuraient. Ce film est vraiment à voir et restera pour moi un film exceptionnel.

Un chef d’œuvre... Somptueux et laid, "Dancer in the Dark", dégoute et fascine. Emplie de violence et d'innocence, l’œuvre de Lars Von Trier depeind l'incompréhension de notre société sans doute trop peu "ouverte d'esprit "et trop réglée, vis à vis d'une jeune femme, Selma, incarnant la pureté absolue.
Un langage cinématographique inédit nous permet de distinguer réalité et onirisme, laideur et beauté. En outre, l'intrigue nous transporte littéralement dans l'univers intime, vierge et incompris de Selma, un être aux multiples aspects héroïques. La morale formidable prône la diversité, la liberté, la tolérance. Sa force d'évocation provient de l’émerveillement, des rires et des larmes que tout spectateur se doit d'avoir au visionnage de ce film. Elle découle de l'identification parfaite que nous avons vis à vis du personnage principal et du dégout que nous éprouvons face à tant d'injustice; une injustice pourtant dès le début inéluctable.
Toute l’œuvre nous tient en haleine, au travers de la quête de Selma et de la découverte de la conscience de cette dernière; mais aussi au travers de la découverte de notre propre conscience face à la doxa.
Comparable à "L’étranger" de Camus, ce chef d’œuvre s'est joué de mes sensations. Mon esprit exaltait comme celui de Selma,lors des passages musicaux fantaisistes, époustouflants et originaux. Et tout comme celui de Selma, il souffrait, lorsque le pathos, aussi puissant que celui que nous trouvons dans les tragédies sophocléennes, se déchainait sur cette dernière.
A noter la performance de Bjork qui nous envoute par son talent d'actrice et de musicienne.
Ce film atteint le sublime, cela ne fait aucun doute.

Avant de sérieusement partir en sucette, Lars Von Trier avait montré un formidable potentiel, et ceci à travers plusieurs films (ce qui n'était donc plus le fruit du hasard). "Dancer in the dark", palmé à Cannes voici neuf ans, fait justement partie de ses créations que je tiens en assez haute estime. Ayant transformé sa charte dogmatique en un style visuel plus général, Von Trier a ici fait preuve une fois de plus de son exceptionnelle maîtrise des outils vidéos. Pas seulement la caméra à l'épaule, non. Egalement une image parfois un peu crade, directe en tout cas, des mouvements volontairement hésitants et omniprésents, un montage "cut" assez typé, l'utilisation récurrente de (très) gros plans, une lumière tranchant radicalement avec un cinéma plus traditionnel... Bref, toute une école, une façon de voir les choses assez moderne qui a donné un coup de jeune à des auteurs Européens un peu mollassons à la fin de la décennie 90 et n'est pas sans rappeler (toutes proportions gardées) l'effervescence du mouvement néoréaliste de la grande époque, lequel avait complètement chamboulé ce que l'on appelle (de façon pédante) le septième art... Captant à la base une réalité sociale pour imposer ensuite plus largement des conceptions artistiques remettant en cause les procédés traditionnels, Von Trier, est, avec Vintenberg, celui qui a su le mieux exploiter ce concept. Ajoutez à cela une comédie musicale tournée dans des décors inhabituels et non sans décalage par rapport à ce que l'on est censé en attendre normalement et vous obtenez un résultat souvent éblouissant même s'il a de temps à autres tendance à grossir le trait (essentiellement dans les dilemmes moraux des protagonistes) et à jouer un peu primairement sur nos émotions. Mais peu importe. Le travail esthético-visuel est si virtuose que "Dancer in the dark" mérite qu'on lui rende hommage. Quant à Bjork, elle est magnifique et excellente. Un Von Trier intelligent en plus d'être audacieux, autrement dit remarquable.

Dancer in the Dark et un film a la fois sublime et tragique, je ne vous apprendrez rien en vous disant que que bjork joue incroyablement bien sont personnage Selma, incompris au niveau des chanson car je l'avoue je suis fan de bjork.
par contre jais remarquer quelque similitude entre le personnage Selma, et bjork dans la vraie vie ( sont tic avec la langue, et l'impression qu'elle est toujours un peux distraite etc..... ) mais de toute manière se ne change en aucun point mon avis sur se film.
Par contre âme sensible a s'abstenir, car la scène final du film et a la limite du supportable ( ses le genre de film a ne pas regarder quand ont n'est joyeux ).

Ah qu'il en est passé du temps depuis le jour où j'ai loué ce film à la médiathèque, tout simplement parce qu'il était proposé en tant que l'un des films les plus tristes du monde sur SensCritique... Je me souviens comme d'hier du jour où j'insérais le DVD dans mon lecteur de... DVD (ouais là ça commence à devenir chaud en terme de langage technique). Sur le coup je ne connaissais rien à la filmographie de Lars von Trier et je regardais nonchalamment ce film assez particulier au rythme lent qui se complaisait dans l'immigration et la chanson et puis voilà quoi... Bof. Mais à ce époque j'étais jeune et par extension pas forcément trèd futé (comme le sont tout les jeunes) et j'ai plus "consommé" ce Dancer in the Dark que vraiment cherché à la regarder. Depuis les années sont passées et j'ai découvert le style de von Trier et compris ce dernier... Et finalement vient le seul vrai "défaut" que je donnerais à ce Dancer in the Dark : ce film est génial quand on le met en rapport avec la filmo de von Trier mais autrement on risque juste de le trouver "tristounet" sans plus... et c'est pire encore si on ne fait pas l'effort de comprendre le thème du film qui se résume très simplement dans sa scène d'ouverture : une musique prenant des dimensions d'aveugles à en devenir épileptique tout ça pour montrer des danseurs sur une scène de théatre... Voilà, tout le film est résumé là : une aveugle qui s'échappe dans le monde la musique. Et pour peu que vous ayez saisi cette idée de décalage, là vous verrez le film sous un autre angle et vous comprendrez en quoi il est si génial. Et c'est ainsi que vous savourerez la scène finale qui a traumatisé plus d'un, des personnages aux réactions disproportionnées en musique et surtout cette ambiance où les états unis sont en fait tournés en Suède... Personnellement ce film je l'ai surkifé à rebours, seulement au deuxième visionnage... mais maintenant plus je le vois, plus je l'adore (carrément monté dans mon top 3 de mes films préférés !!). Bref, c'est à voir !

Un drame poignant, bien interprété par Björk et par les seconds rôles. Les chansons passent encore mais elles arrivent à n'importe quel moment, ce qui devient vite pénible à force. ... Même si c'est une critique de l'Amérique et de la peine de mort, le film force un peu trop sur le pathos à certains moments, et il souffre de pas mal de longueurs.

Dancer in the dark, que dire dessus si ce n'est que c'est un film magnifique, mon film préféré parmis tous ceux que j'ai vus. C'est le seul film qui a réussit a m'émouvoir et il m'a fait pleurer la première fois que je l'ai vu. Je recommande à tout le monde de ne pas le louper et de le voir, ils ne le regretteront pas.
je dis bravo avec une Björk brillante et un David Morse machiavélique.