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    Love, Cecil (Beaton)
    Note moyenne
    3,4
    8 titres de presse
    • Bande à part
    • L'Humanité
    • Le Monde
    • Les Fiches du Cinéma
    • Télérama
    • L'Obs
    • Libération
    • Positif

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    8 critiques presse

    Bande à part

    par Hélène Robert

    Lisa Immordino Vreeland aurait pu se contenter de raconter une vie professionnelle et privée somme toute remarquable. Mais le charme de "Love, Cecil" tient à la multiplicité des points de vue et des portraits qu’on y découvre.

    La critique complète est disponible sur le site Bande à part

    L'Humanité

    par Vincent Ostria

    L’évocation de Lisa Immordino Vreeland souligne de façon piquante et pertinente le rôle clé de cette figure de l’art anglais.

    Le Monde

    par Murielle Joudet

    Preuve de sa réussite, "Love, Cecil (Beaton)" nous permet finalement d’accéder à la vérité des grands photographes : en photographiant les autres, Beaton a livré en creux un splendide autoportrait.

    La critique complète est disponible sur le site Le Monde

    Les Fiches du Cinéma

    par Amélie Leray

    Pédagogique sans être trop scolaire, extrêmement bien documenté, "Love, Cecil" est une plongée passionnante dans la vie de Cecil Beaton, un homme aux mille vies qui a su affirmer sa vision singulière de la beauté en faisant fi des tabous de son époque.

    Télérama

    par Louis Guichard

    Ce superbe documentaire signé Lisa Immordino Vreeland (déjà auteure de "Peggy Guggenheim, la collectionneuse") exalte le romanesque d’un parcours qui serait déjà captivant en soi, si Cecil Beaton n’avait rien laissé derrière lui.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    L'Obs

    par Xavier Leherpeur

    Cette biographie, sorte de fiche Wikipédia richement illustrée d’images d’archives et d’entretiens, lui ressemble, élégante et esthétique. Elle se feuillette comme un luxueux magazine de mode, autrement dit sans déplaisir ni grande passion.

    La critique complète est disponible sur le site L'Obs

    Libération

    par Elisabeth Franck-Dumas

    Pour être consacré à cette immense et très théâtrale figure de la photographie de mode, le Britannique Cecil Beaton, qui se rêvait aristocrate et signa notamment la direction artistique de My Fair Lady, le documentaire "Love, Cecil (Beaton)" manque singulièrement d’extravagance et d’humour.

    La critique complète est disponible sur le site Libération

    Positif

    par Denitza Bantcheva

    À défaut de nous proposer une vision cohérente de l'homme, le film donne l'impression que la réalisatrice elle-même n'arrive pas à s'en faire une opinion.

    Les meilleurs films de tous les temps
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