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    La Lutte des Classes
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    301 critiques spectateurs

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    ffred
    ffred

    1 489 abonnés 3 961 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 avril 2019
    Nouveau film de Michel Leclerc, celui des drôles et délicieux Le nom des gens et Monsieur Sim. Et nouvelle comédie sociale, très contemporaine, pour le réalisateur et sa co-scénariste Baya Kasmi, aussi au casting, et accessoirement sa compagne à la ville. La lutte des classe est d'ailleurs né de leur propre expérience à Bagnolet et dans l'école même où se déroule l'intrigue. Ça sent le vécu donc. Même si quelques scènes de pure comédie ont du être rajoutées (celle avec Laurent Capelluto peut être ? ce dernier absolument hilarant). Écrit avec tendresse, bienveillance et sans jugement, on rit quasi en permanence, même si par moment quelques scènes nous ramènent vers la réalité. Entre tradition, religion et politique tout ce petit monde vit finalement dans une (presque) parfaite harmonie. Les acteurs sont tous très biens, des chevronnés Leïla Bekhti, Edouard Baer ou Ramzy Bedia au débutant Tom Lévy (le petit garçon). Le tout sur une bande son éclectique de la chanson du pape à Jeanne Cherhal. Au final, une comédie rafraichissante et sympathique dans l'air du temps qui nous fait passer un très bon moment.
    L'AlsacienParisien
    L'AlsacienParisien

    591 abonnés 1 402 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 avril 2019
    Abonné aux thématiques politiques (Le nom des gens, Télé gaucho), Michel Leclerc persévère dans sa dissection des contradictions de la gauche en abordant cette fois-ci la question de l'éducation et plus particulièrement celle de la mixité sociale dans les écoles. Le ton de la blague prête au sourire mais le fond, quant à lui, est épineux. On évite pas les caricatures sur les bobos, les réacs et les clichés sur les traditions culturelles de chacun. Mais la grosse part de vrai qui parsème La lutte des classes donne l'impression d'avoir été scruté à la loupe et fait l'effet d'une bonne baffe. Souvent, on ne sait pas s'il faut rire ou pleurer de la situation et en cela, le regard incisif du réalisateur nous permet d'observer avec distance l'absurdité de tel propos ou comportement. C'est très juste socialement parlant, ça ne prend pas de gants et je n'ai pas déceler de parole moralisatrice et accusatrice.
    En fait, je dirais que La lutte des classes soulève essentiellement les bonnes questions grâce au casting qui apporte une justesse irréprochable, confondu avec humour. En effet, quelques scènes font office de bonne comédie populaire afin de plaire aux attentes du grand public tandis que d'autres, plus cinglantes et probables, transforme le ton léger en satire acide. Edouard Baer, dans le rôle de ce batteur en cuir réactionnaire, est transformé et Leïla Bekhti, en belle-mère aimante et inquiète, est très juste et touchante.
    Le scénario est futé et criant d'actualité, et ce, même si le mode de vie représenté n'est pas le nôtre. On constate avec étonnement nos contradictions, nos inquiétudes injustifiées, notre soucis de paraitre aux yeux des autres mais aussi et surtout la crainte de la différence et de l'étranger. Et tout ça, en rigolant à gorge déployée.
    Acidus
    Acidus

    611 abonnés 3 644 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 mars 2020
    Simple et efficace. Cette comédie suit un schéma narratif convenu mais elle remplit bien son rôle. Le film se joue des clichés communautaires pour nous faire rire et faire passer son message de tolérance. Rien de bien nouveau donc "La lutte des classes" fait du bien et c'est là le principal.
    Benito G
    Benito G

    581 abonnés 3 159 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 décembre 2019
    La lecture du synopsis nous mets fasse au sujet délicat que le film va traiter. Apres je pense que parfois c est un peu mal vraiment défini, même si ce soucis d actualité est connu. mais j ai trouvé mis en scène peut-être pas de la meilleur façon au final plus que prévisible et un ensemble assez gentillet. Peut-être maladroitement expliqué ou compris pour ma part. Le réalisateur arrive tout de même a tenir son point de départ et ne pas nous ennuyer avec quelques touche d humour et des acteurs faisant correctement leur prestation.
    ferdinand75
    ferdinand75

    447 abonnés 3 638 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 septembre 2021
    Un film très intéressant qui pose de bonnes questions sur des sujets délicats et complexes , avec beaucoup d'humour, ce qui était un sacré challenge . Mais cette étude de moeurs , sur la fracture sociale, l'éducation, les banlieues , la liberté, trouve son ton , et fonctionne parfaitement bien . Par petites touches impressionnistes Michel Leclerc nous dresse le portrait de personnages attachants , justes, émouvants. beaucoup de bienveillance, pour un scénario très solide , qui aborde beaucoup de sujets. Mais on ne s'ennuie pas car l"humour est toujours au RDV . Le duo d'acteur principal , Bekhti- Baer fonctionnant à merveille ...
    Ti Nou
    Ti Nou

    400 abonnés 3 347 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 avril 2019
    Une comédie sociale de très bonne tenue, drôle et intelligente, qui aborde un thème passionnant. Michel Leclerc bouscule les idéaux de ses personnages en les confrontant aux fractures sociales sans basculer dans le pessimisme et le misérabilisme.
    moket
    moket

    432 abonnés 4 198 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 mars 2020
    Michel Leclerc force un peu le trait mais livre une comédie légère et drôle. Si globalement on s'en fiche un peu de l'histoire, les seconds rôles sont hilarants, notamment Ramzy en directeur pas très pédagogue ou encore la maîtresse qui parle d'"apprenants".
    PLR
    PLR

    405 abonnés 1 471 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 avril 2019
    Une comédie avec une forte charge sociétale, caustique et ironique, impertinente. Tout y passe : le vivre ensemble, le communautarisme, la religion (toutes !), l’éducation, au travers d’un couple mixte qui tente par respect pour ses valeurs de résister aux relents de boboïtude. Ces parents (Leïla Bekthi et Edouard Baer) se trouvent confrontés au travers de leur enfant (excellent Tom Levy) à leurs contradictions, entraînés par celles de leur entourage amical moins scrupuleux qu’eux. Survie en milieu non pas hostile mais issu de la diversité. Ce n’est pas le premier fil, ni le dernier (filon inépuisable) sur le sujet de la (proche) banlieue parisienne qui, dans ses rares maisons anciennement ouvrières des quartiers populaires attire quelques parisiens ayant fait une bonne affaire avec la revente de leur précédent bien immobilier. Après, il faut faire avec la carte scolaire ! Quelques scènes et dialogues, provoquant une franche hilarité parmi les spectateurs, resteront à coup sûr cultes. Les messages ne manquent pas. Seul petit bémol, sur la fin le sujet s’essouffle. Comme un manque d’inspiration pour conclure le propos d’une façon ou d’une autre. Du coup, les dernières scènes s’empilent de manière assez brouillonne. Je mets quand même 4 étoiles pour tirer la note vers le haut car à 3,2 seulement au moment où j’écris, ce film le mérite amplement.
    bsalvert
    bsalvert

    317 abonnés 3 460 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 novembre 2019
    Sous forme de comédies un réflection sur les classes sociales et le mélange des populations. On regrettera néanmoins qu'Edouard Baer fasse du Edouard Baer pour attirer la caméra sur lui.
    PLV : à érserver à ceux qui ne veulent pas sortir de chez eux
    Hotinhere
    Hotinhere

    410 abonnés 4 728 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 juillet 2020
    Une comédie sociale qui aborde avec humour la mixité scolaire en banlieue, portée par un duo Baer/Bekhti qui fonctionne très bien.
    Chris58640
    Chris58640

    183 abonnés 725 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 avril 2019
    C’est le grand retour de Michel Leclerc sur les écrans et il retrouve avec « La Lutte des Classes » ce qui avait fait le sel et la pertinence du « Nom des Gens », c'est-à-dire que sous des airs de comédie alerte, réussie, enthousiasmante parfois, se cache une vraie réflexion sur les convictions, sur les idées, sur ce qu’est devenue la société française aussi. Son film est très réussi dans sa forme car on sent que tout est très soigné, le rythme est soutenu, les dialogues sont très écrits, et la bande originale, sans être exceptionnelle, donne une couleur optimiste au film. Evidemment, je ne parle pas des morceaux du groupe de rock de Paul, son personnage principal, qui parodie un peu les Béruriers Noirs avec des textes outranciers quasiment éructés sur des guitares saturées. Michel Leclerc filme la banlieue comme on ne voit pas souvent, pas celle des Cités mais celles des petits pavillons, des écoles de quartiers de petite taille, la banlieue des marchés du samedi matin et des salles polyvalentes colorées. Il apporte aussi un soin particulier aux costumes, qui ici en disent toujours très long sur les gens qui les portent. Que ce soient des perfectos élimés, des tailleurs pantalons ou des hijabs, c’est par le vêtement d’abord que les personnalités s’affirment ici, comme si cela avait presque autant d’importance que les idées. Construit autour de trois rôles principaux, campés par Edouard Baer, Leïla Bekhti et le jeune Tom Levy, le film fait la part belle aux seconds rôles. Si Leïla Bekhti est parfaite en jeune avocate (véritable incarnation du mérite républicain), et si Tom Levy est très attachant en gamin turbulent, c’est Edouard Baer qui tient le haut du pavé. Batteur de rock, très ancré dans la gauche militante (visiblement c’est de famille, comme c’est souvent le cas), il ne veut rien renier de ses engagements, et se retrouve presque prisonnier de ses propres certitudes. Edouard Baer est formidable, et dans certaines scènes il est même plus que ça ! Je trouve ça bien qu’Edouard Bear flirte ainsi avec une certaine autodérision, en ce moquant gentiment de lui-même et de l’image qu’il renvoie parfois. Quant aux seconds rôles, qui sont nombreux et très bien croqués, ils sont tenus par Ramzy Bedia, Baya Kasmi, Claudia Tagbo ou encore Eye Haïdara et leur personnages mériteraient presque plus de lumière qu’il en ont, tellement ils semblent riches et pétris de contradictions eux aussi ! Le scénario est finalement bien plus complexe et riche que le pitch du film pourrait le laisser supposer. Le propos de « La Lutte des Classes » va bien au-delà de savoir si on peut continuer à être « de gauche » tout en scolarisant ses enfants chez les cathos. Evidemment, c’est le point de départ du film mais, en dépit parfois du manque de finesse de certaines scènes, le long-métrage en dit long sur la France d’aujourd’hui, une France de plus en plus communautariste, ou paradoxalement tout le monde est arc-bouté sur ses propres certitudes tout en marchant en permanence sur des œufs à propos de tout ! Quand je parlais du manque de finesse du scénario sur certains points, c’est le cas lorsqu’il rentre dans l’école. Ici, soit l’école est riche et catholique au point d’en être une caricature, soit l’école publique est dénuée de moyen au point aussi d’en être elle aussi une caricature. Et je ne parle pas du pédagogisme ridicule de l’institutrice, qui n’existe que des comédies du cinéma et dans les phantasmes des réactionnaires de tous poils. Quand le film parle de l’école, il tombe dans la caricature et c’est bien dommage car quand il parle du reste, il vise juste. Dans « La lutte des Classes », ce que je trouve très réussi, c’est que tous les personnages cristallisent toutes les ambigüités de l’époque, tous ont raison et tous se trompent, tous leur arguments font mouche même quand ils se contredisent, parce que la vérité est complexe, les arguments pour la démontrer le sont tout aussi. C’est une société qui n’a plus les repères binaires d’il y a 30 ans : la Gauche, la Droite, le Bien, le Mal, le laïc, le religieux, tous les repères sont brouillés, et il faut désormais vivre dans cette époque confuse, et fonder une famille, avoir des enfants, les élever, les scolariser, avoir des amis, côtoyer ses voisins, faire carrière, avoir un mode de vie plus ou moins en rapport avec nos convictions, c’est devenu difficile, et le film le montre parfaitement. Du coup, on peut passer l’éponge sur l’institutrice ridicule, le voisin juif orthodoxe qui construit des murs, la maman femme au foyer et donneuse de leçon et toutes ces petites choses un peu caricaturales. La fin du film et certes inattendue mais elle aussi un peu caricaturale. Le dénouement final, très politiquement correct pour le coup, est presque aussitôt désamorcée par Michel Leclerc, et j’aime bien cette fin douce-amère qui explique que si les choses semblent réglées en apparence, au fond elles ne le sont pas plus qu’avant ! « La Lutte des Classes » est une comédie intelligente, très bien écrite et qui permet à Edouard Baer de composer un personnage truculent, alors fermons les yeux sur les petites exagérations et sur les petites facilités du scénario, ne boudons pas le plaisir de ce moment de cinéma réussi.
    framboise32
    framboise32

    130 abonnés 1 286 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 avril 2019
    La lutte des classes est un film social, et politique. La comédie est actuelle, moderne. Le sujet est sérieux mais il est traité d’une façon drôle, assez légère, tendre et attachant. Michel Leclerc aborde la question de l’éducation et des écoles à travers l’histoire de Sofia et Paul. Un couple qui décident de partir vivre en banlieue pour inscrire leur enfant dans le public. La première partie est mieux réussie. On regrette la deuxième partie du film avec une série de clichés ou encore la morale (qui semblent assumés). Mais l’ensemble reste sympathique

    Sofia et Paul sont incarnés par Leïla Bekhti et Edouard Baer impeccables .Ils ont l’air de s’amuser autant que le spectateur.

    Sincère et drôle, la comédie est portée avec talent par Leïla Bekhti et Edouard Baer
    Eponaa
    Eponaa

    178 abonnés 1 084 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 mai 2019
    Caustique et juste , ce film a de quoi faire réfléchir. Édouard Baer est parfait dan son rôle de gauchiste figé dans l'adolescence. Beaucoup de justes remarques sur la scolarité. .. Le tout émaillé de moments drôles même si parfois on rit jaune.
    andika
    andika

    93 abonnés 320 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 avril 2019
    La lutte des classes est un concept politique théorisé par Karl Marx, mais c'est aussi le titre d'un film français sorti en 2019. Il lorgne vers la comédie mais son propos est en réalité très sérieux au sujet du fameux "vivre ensemble" dans ce pays. On doit ce long métrage au réalisateur Michel Leclerc qui avait fait le remarqué Le Nom des Gens en 2010. 

    On y suit les aventures d'une famille parisienne qui décide de vendre son petit appartement pour un pavillon en Banlieue à Bagnolet, afin d'avoir plus d'espace pour les enfants qui viennent agrandir cette famille. Mais le choix de Bagnolet n'est pas anodin, il s'agit de la ville de naissance Sofia, incarnée par une excellente Leila Bekhti. En plus d'être sa ville de revenir dans sa ville de naissance, elle emménage dans la maison de ses rêves, un pavillon qu'elle pouvait voir de la chambre son son HLM lorsqu'elle était enfant. Son compagnon Paul, incarné par un Edouard Bear qui n'a besoin de fournir aucun effort pour dépeindre un gauchiste convaincant, souscrit totalement à ce projet. Oui, à ce stade, inutile de préciser que tout ce beau monde est de gauche, tolérant, multi culturaliste, bobo, mange bio et j'en passe !

    Mais une fois confronté à la vie en banlieue, toutes ces convictions de gauche vont peu à peu vaciller. Mais par l'acte même d'opérer une plus-value sur la vente de l'appartement parisien, le pêcher originel était déjà commis. Par la suite, notre couple sera de plus en plus testé, notamment sur la scolarisation du petit dernier. L'école élémentaire publique du quartier semblant toute indiquée pour notre couple. Pourtant, au fil du temps, l'évidence ne va cesser d'être contestée par la réalité. Les tensions et incompréhensions sont inévitables dans cette école républicaine laïque mais pas tout à fait imperméable au fait religieux. Surtout avec une maîtresse apeurée qui ne cesse de s'exprimer avec un jargon inintelligible tout droit sorti des directives du ministère de l'éducation nationale (hilarante Baya Kasmi). Les différences culturelles entre les enfants de différentes origines sont aussi parfois sources de problématiques. La violence enfin, ne tarde pas à effrayer quelque uns de nos bobos bien pensants qui ne tardent pas à envoyer leur marmot dans le privé ! Sacrilège, pourtant ils votent à gauche, mangent bio et cultivent des légumes dans un jardin partagé. Ce que pointe ce film, c'est une certaine hypocrisie d'une gauche hors sol qui prétend défendre les plus faibles, les opprimés. Mais qui, une fois confrontée à tout cela dans le quotidien, prend ses jambes à son cou pour fuir. 

    Mais cette dénonciation se fait sans méchanceté et avec beaucoup de pertinence. D'une part, en montrant que non, il n'y a pas de territoire perdu dans la République, et que lorsqu'on y met du sien, on peut parvenir à coexister avec des personnes différentes. Ainsi, le rôle du directeur de l'école interprété par un fabuleux Ramzy Bédia est une bouffée d'oxygène permanente à chacune de ses scènes.  

    Dans ce contexte très naturaliste, on force à peine les traits. Et pourtant, la démarche cinématographique n'est pas oubliée dans la construction des plans et surtout dans l'écriture du scénario, des rebondissements et des dialogues. De sorte que, s'il y a une morale dans ce film, c'est que tant que nous pourrons dialoguer, nous pourrons résoudre les problèmes. Une sorte de Deus ex machina montre quant à lui ce qui menace réellement le pacte républicain, le manque de moyens dans le service public. Et dans une inspiration malicieuse, un objet qui crée parfois des tensions va s'avérer être un instrument permettant un véritable sauvetage. 

    La lutte des classes est un film intelligent, drôle qui donne à réfléchir et qui parle mieux d'une certaine France que bon nombre de personnes qui ont leurs ronds de serviette dans les médias.
    maatkare
    maatkare

    70 abonnés 20 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 mai 2019
    une comédie très enlevée et qui aborde le sujet sous beaucoup d'aspects. un petit bémol pour quelques seconds rôles que l'on aurait souhaité plus développé (Sébastien Chassagne est totalement sous-employé, par exemple) et une fin un peu trop convenue.
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