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Stargate
263 abonnés
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3,0
Publiée le 26 octobre 2019
J'ai plutôt apprécié cette production clairement inspirée de Superman, enfin d'un Superman inversé, et qui aurait 12 ans. Avec un côté "possession par un démon" en plus, même si j'ai quelques doutes sur la chose vu comment l'enfant est arrivé jusqu'à ses parents adoptifs. Ce n'est pas vraiment un film d'horreur à voir pour sursauter, mais plus pour la violence des scènes, un peu à la "Destination finale".
Un film horrifique au concept vraiment original et attrayant. Hélas, le film peine vraiment à démarrer et quand le tout s'emballe, qu'on commence à prendre véritablement son pied... On se rends compte que la fin est proche.... Et c'est le cas. En bref, un film vraiment sympathique mais inégal à cause du première partie à la limite du soporifique....
Brighburn est une sympathique variation autour du mythe de superman. Ce mélange de film de super héros et d'épouvante type Damien, la malédiction manque d'originalité dans le traitement des situations mais est dynamisé par des scènes gores assez réjouissantes et de plutôt mauvais goût. Si on sent, par intermittences, la patte de James Gunn, son producteur, le film reste un peu propret notamment dans son traitement de la cellule familial. Néanmoins l'ensemble est divertissant, parfois drôle, et la fin assez nihiliste. Bref, pas mal du tout pour une soirée ciné entre amis.
brightburn l'enfant du mal est un film d'horreur nous proposant un scénario intéressant au vu des sorties actuelles dans le genre. Certes la base du scénario mettant en scène un enfant possédé n'a rien de bien original,mais certaines scènes gore valent le coup d'oeil et la trame est bien réalisé pour nous tenir intéressé pendant les 1h30 du film.
Un film d’horreur qui sort pour une fois des sentiers battus dans son approche se mêlant à la tendance super-héros et grand spectacle hollywoodienne. Malheureusement, ça n’empêche pas les grosses ficelles de mise en scène avec accumulations d’effets sonores et jump scares.
Assez décevant finalement. L'idée de départ est bonne mais au final elle n'est qu'effleurée. Les acteurs sont vraiment bons c'est le gros point positif du film mais le reste ne suit pas et l'histoire n' est finalement pas assez poussée.
C'est exactement ce que l'on pourrait imaginer avec un tel synopsis, y'a zéro surprise. Du coup, pas déçu, mais pas agréablement surpris non plus. Le genre de film qu'on peut mettre en fond sonore quand on bosse chez soi en télétravail et qu'on s'ennuie.
Brightburn – L’enfant du mal est un film produit par James Gunn et c’est un peu tout si l’on en croit le démarrage de la promotion du film. Heureusement que les bandes-annonces en montraient un peu plus de ce côté permettant de confirmer que ce film était une espèce de Superman en version maléfique (même si comme d’habitude, Sony en montre un peu trop et trop facilement). D’ailleurs, la première partie du film ressemble vraiment à ce que l’on retrouve dans un origin movie de Superman et la seconde partie tombe un peu trop dans ce que l’on pourrait retrouver dans une production Blumhouse. La seconde partie permet de constater que même si le film a une idée intéressante, le développement du film reste assez superficiel et que l’on ne va pas assez loin. D’ailleurs, les passages dans le générique de fin auraient pu faire une troisième partie bienvenue même s’il avait fallu réduire les deux autres parties. Ce n’est qu’au moment où le personnage n’a plus d’entrave que le film se termine. À croire qu’une suite est possible alors que ce serait une erreur. Derrière la caméra, on retrouve David Yarovesky, après le méconnu, mais surprenant The Hive, démontre qu’il a un talent réel pour mettre en scène aussi bien les scènes plus dans la lignée d’un Man of Steel, que les scènes d’horreur et de gore apportant une réelle attention aux détails surtout du côté de la lumière. Jackson A. Dunn fait le travail dans le rôle de ce méchant Superman, on regrette que les adultes en font un peu trop pour combler le manque d’écriture de leurs personnages trop insipides. Brightburn est un film plutôt sympathique et qui offre une idée intéressante, mais pas assez développée.
" MMMhhh, le film "Brightburn, L'enfant du mal" n'est pas un mauvais film du tout ... Voyez-le comme le début d'un "Superman maléfique ", ce qui est une bonne idée mais c'est dommage que le réalisateur David Yaroveski n'ait pas su exploiter et développer davantage la personnalité du bon gamin qui bascule du coté obscur ! Le personnage est trop transparent à mon goût ! Il n'y a pas d'âme du psychopathe ! Je préfère même revoir le film "Le bon fils" avec Macaulay Culkin. Quelques maladresses dans le scénario qui n'explique pas l'origine du mal ! Ah oui, c'est parce qu'il est devenu ado que le mal apparaît ! Dommage car ce film avait un bon potentiel ! Justement, pourquoi pas faire un "Superman maléfique ou qui a mal tourné dans son enfance " ! Par contre, les scènes chocs sont très réussies ! Très difficiles à regarder avec les mains posées sur des accoudoirs ! Ames sensibles à s'abstenir ! MMMMmmmhh, pas mal, ce film !
L'idée est intéressante, celle de présenter un être doté de pouvoirs extraordinaires qu'il mettra au service du mal. Présenter ce dernier sous les traits d'un enfant, faisant un parallèle avec Superman, est également intéressant. Le tout est plutôt bien réalisé et les acteurs sont bons.
Très bon film, assez gore sur certains rares passages, le seul regret que j'ai c'est le non-développement du jeune homme, on ne sait absolument rien. Mais est-ce vraiment nécessaire ?
Et si les pouvoirs de Superman étaient à la portée d’un ado psychopathe? Voilà le pitch de ce Brightburn qui reprend la genèse de l’enfant de Krypton mais en dévie pour faire de l’enfant venu du l’espace un gamin qui prend conscience de ses pouvoirs et que surtout rien ne peut arrêter. Du coup Brightburn est un thriller horrifique qui après un démarrage un peu poussif utilise parfaitement son idée de base assez simple mais qui va être parfaitement exploitée. C’est brutal, désespéré et sans concession, bien loin des standards actuels des films de super héros ou tout est sous contrôle et aseptisé. Comme exemple je prendrais la scène de la mort de l’infirmière que je ne suis pas prêt d’oublier. Alors même s’il n’est pas parfait il a au moins le mérite d’être honnête et de s’assumer jusqu’au bout.
James Wan à la production, ça nous fait de l'œil. Le résultat Brightburn nous a vraiment moins convaincu que prévu. L'Enfant du mal est donc une sorte de version horrifique de la jeunesse de Superman, ici devenu un pré-ado qui, au lieu de lancer des "j'te déteste" à ceux qui lui diront "non.", préfère lancer des lasers mortels qui feront fondre sur place les caboches des figures autoritaires. Sale gosse. Car, c'est le principal point noir de Brightburn : on n'a aucune compassion pour le gamin tout mignon (au départ) en proie à un changement majeur, la puberté revue et corrigée en mode envie meurtrière. Son faciès est bloqué en moue boudeuse, ses doutes sur la moralité de ses actes sont inexistants, actes d'ailleurs disproportionnés par rapport à "l'affront" (on ne comprend pas bien comment il raisonne). Bref, au lieu d'avoir peur ou d'être pris de pitié pour un enfant qui paniquerait à l'idée de changer contre son gré (ce qu'on espérait voir, pour épaissir le personnage principal), on n'a qu'une seule envie : le tarter. La fin ne fait aucun doute, les acteurs secondaires s'ennuient peut-être autant que nous (le père ? Peut-on le réveiller ?), et vraiment on ressort de Brightburn en étant persuadé que le potentiel à été gâché par la seule idée de création qui est de faire du gore gratuit (mais pas trop, il faut que ça reste un -12, ce qui donne ces plans gamins sur la mâchoire ou la tête du père...). Ne restera que la production de Wan qui donne suffisamment de sous pour avoir des effets spéciaux corrects, et des sursauts prévisibles mêlés à du gore léger que les ados aimeront certainement.