Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
L'Humanité
par Vincent Ostria
À ce titre, le film, formellement inventif malgré le contexte vieillot, s’avère émouvant et prenant.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaro
par Etienne Sorin
Pour son premier long-métrage, Marcelo Martinessi, 45 ans, brosse le portrait magnifique et émouvant d'une femme qui s'émancipe.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Un drame démodé qui prend le goût acide d'une comédie mélancolique mais actuelle. Dans sa quête de vérité, son réalisme cru frôle volontiers l'absurde et l'ironie sans jamais perdre son bel équilibre.
Le Parisien
par La Rédaction
Un film de femmes (les hommes sont quasiment absents) sensible et impeccablement interprété.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Autour de la déchéance sociale d’une sexagénaire au Paraguay, le premier film de Marcelo Martinessi évoque avec finesse le marasme d’un pays hanté par la dictature.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marie Claire
par Emily Barnett
Et même si cette trajectoire intime a un goût inachevé, les troubles érotico-existentiels du personnage ont le talent secret de nous émouvoir.
Ouest France
par La Rédaction
Un beau portrait de femme.
Positif
par Denitza Bantcheva
[...] il se dégage du film un optimisme inattendu, d'autant plus appréciable qu'il sonne juste, à la différence du ton positif des "feel good movies".
Télérama
par Frédéric Strauss
Un premier film émouvant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Culturopoing.com
par Emmanuel Le Gagne
Il faut saluer l’audace de ce premier long métrage d’oser braquer sa caméra tout le long sur une femme d’âge mûr, plutôt ronde, loin de la beauté de Sonia Braga dans "Aquarius" de Kleber Mendonça Filho auquel on songe parfois. D’en faire une héroïne magnifique, qui ne soit ni une laissée pour compte, ni un personnage haut en couleur.Juste une bourgeoise passive en pleine reconversion. Qui va peut-être découvrir la seule chose qui lui manquait : la liberté.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
La Croix
par Céline Rouden
Ce premier long métrage évoque avec beaucoup de pudeur, le « sentiment d’enfermement » vécu par ces femmes, éduquées à l’ombre d’une dictature, dans un pays toujours en proie à l’ordre moral et aux commérages.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Le film de Marcelo Martinessi raconte cette libération qui ne va pas sans hésitations ni atermoiements. La route est longue ainsi, et le film s’en ressent, qui traîne un peu trop en serrant de trop près son personnage, plutôt que de s’intéresser à ce qui se passe dehors : le peu qu’on en aperçoit aurait mérité qu’il s’y arrête. Mais cela ne va pas non plus sans un certain charme auquel on finit par se laisser prendre.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Un film délicat sur l’émancipation forcée d’une sexagénaire.
Les Inrockuptibles
par Emily Barnett
Plus encore qu'un women's picture, "Les Héritières" est un film de femmes au pluriel, drôles, gouailleuses, contrastées, et c'est à elles que le cinéaste rend hommage à travers un regard mi-taquin mi-attendri, nous laissant en contrepartie le sentiment d'une fin un peu bâclée et inaboutie.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Yannick Vely
Les films les plus simples sont parfois les plus émouvants. Le premier long-métrage du réalisateur paraguayen Marcelo Martinessi est d'une limpidité thématique exemplaire.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Thierry Chèze
Confus dans sa mise en place et un peu trop aride, Les Héritières emporte le morceau grâce à la délicatesse minutieuse avec laquelle Ana Brun (primée à Berlin) incarne cette métamorphose intérieure.
La critique complète est disponible sur le site Première
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Morne, répétitif, le film souffre de ne rien vraiment développer et de faire du surplace.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
L'Humanité
À ce titre, le film, formellement inventif malgré le contexte vieillot, s’avère émouvant et prenant.
Le Figaro
Pour son premier long-métrage, Marcelo Martinessi, 45 ans, brosse le portrait magnifique et émouvant d'une femme qui s'émancipe.
Le Journal du Dimanche
Un drame démodé qui prend le goût acide d'une comédie mélancolique mais actuelle. Dans sa quête de vérité, son réalisme cru frôle volontiers l'absurde et l'ironie sans jamais perdre son bel équilibre.
Le Parisien
Un film de femmes (les hommes sont quasiment absents) sensible et impeccablement interprété.
Libération
Autour de la déchéance sociale d’une sexagénaire au Paraguay, le premier film de Marcelo Martinessi évoque avec finesse le marasme d’un pays hanté par la dictature.
Marie Claire
Et même si cette trajectoire intime a un goût inachevé, les troubles érotico-existentiels du personnage ont le talent secret de nous émouvoir.
Ouest France
Un beau portrait de femme.
Positif
[...] il se dégage du film un optimisme inattendu, d'autant plus appréciable qu'il sonne juste, à la différence du ton positif des "feel good movies".
Télérama
Un premier film émouvant.
Culturopoing.com
Il faut saluer l’audace de ce premier long métrage d’oser braquer sa caméra tout le long sur une femme d’âge mûr, plutôt ronde, loin de la beauté de Sonia Braga dans "Aquarius" de Kleber Mendonça Filho auquel on songe parfois. D’en faire une héroïne magnifique, qui ne soit ni une laissée pour compte, ni un personnage haut en couleur.Juste une bourgeoise passive en pleine reconversion. Qui va peut-être découvrir la seule chose qui lui manquait : la liberté.
La Croix
Ce premier long métrage évoque avec beaucoup de pudeur, le « sentiment d’enfermement » vécu par ces femmes, éduquées à l’ombre d’une dictature, dans un pays toujours en proie à l’ordre moral et aux commérages.
Le Dauphiné Libéré
Le film de Marcelo Martinessi raconte cette libération qui ne va pas sans hésitations ni atermoiements. La route est longue ainsi, et le film s’en ressent, qui traîne un peu trop en serrant de trop près son personnage, plutôt que de s’intéresser à ce qui se passe dehors : le peu qu’on en aperçoit aurait mérité qu’il s’y arrête. Mais cela ne va pas non plus sans un certain charme auquel on finit par se laisser prendre.
Le Monde
Un film délicat sur l’émancipation forcée d’une sexagénaire.
Les Inrockuptibles
Plus encore qu'un women's picture, "Les Héritières" est un film de femmes au pluriel, drôles, gouailleuses, contrastées, et c'est à elles que le cinéaste rend hommage à travers un regard mi-taquin mi-attendri, nous laissant en contrepartie le sentiment d'une fin un peu bâclée et inaboutie.
Paris Match
Les films les plus simples sont parfois les plus émouvants. Le premier long-métrage du réalisateur paraguayen Marcelo Martinessi est d'une limpidité thématique exemplaire.
Première
Confus dans sa mise en place et un peu trop aride, Les Héritières emporte le morceau grâce à la délicatesse minutieuse avec laquelle Ana Brun (primée à Berlin) incarne cette métamorphose intérieure.
Les Fiches du Cinéma
Morne, répétitif, le film souffre de ne rien vraiment développer et de faire du surplace.