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    Le Journal d'une femme de chambre
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    pierrre s.
    pierrre s.

    348 abonnés 3 235 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 novembre 2018
    Luis Buñuel réalise un drame critique et très sombre sur le genre humain. De nombreux personnages sont soit détestables soit carrément des monstres. La fin n'est d'ailleurs guère rassurante. On reprochera toutefois un rythme parfois trop lent.
    Napoléon
    Napoléon

    115 abonnés 1 539 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 3 août 2019
    Malgré un début prometteur fait avec des personnages très imposants et une histoire intriguante, le film part finalement dans tous les sens en amenant diverses histoires n'ayants rien à voir entre elles. Une oeuvre qui laisse un fort goût d'inachevé.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 7 janvier 2011
    Interessant, dommage que la mise en scène manque de dynamisme et de profondeur.
    Sylvain P
    Sylvain P

    299 abonnés 1 330 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 14 juillet 2011
    Finalement, le scénario a beau se cantonner au poncif du genre, ce film d'un Maître décrit l'extrême droite et le France profonde d'une époque. Tout un programme.
    oranous
    oranous

    131 abonnés 1 097 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 6 mai 2008
    Buñuel fait encore une critique de la bourgeoisie mêlée ici a la montée de l’extrême droite et notamment des ligues dans les années 20. Sujet très intéressant au demeurant. Bien sur on peut dire que les acteurs sont très bien que se soit Jeanne Moreau ou Jean Ozenne mais Buñuel me déçoit, dans une mesure toute relative et toutes proportions gardées. On ne comprend pas forcément tout, les buts des uns et des autres, c’est assez lent, il n’y a pas vraiment d’enquête mais pourtant on arrête quelqu'un. J’ai largement préféré Le charme discret de la bourgeoisie qui était encore plus virulent contre la bourgeoisie (même si ici, on ne peu pas vraiment dire qu’elle soi mise en valeur).
    DAVID MOREAU
    DAVID MOREAU

    104 abonnés 2 176 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 février 2008
    UNE FEMME DE MENAGE. Un Bunuel c'est comme un tableau au Louvre.
    Max Rss
    Max Rss

    168 abonnés 1 713 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 janvier 2024
    Je vais vous dire une chose : regarder un film qui ne parvient jamais à vous intéresser est frustrant, mais, il y a encore plus frustrant : regarder un film et vous désintéresser au fur et à mesure qu'il progresse. C'est exactement ce qu'il m'est arrivé avec "Le journal d'une femme de chambre". Il y aurait bien d'autres raisons à cela mais, la principale, c'est que passée la première demie heure, le personnage de Célestine ne m'intéressait plus du tout. Et, par ricochet, toutes ses relations avec les autres personnages non plus. A mes yeux, et même s'il reprend des thèmes fétiches, c'est un Bunuel assez faible que nous avons là, ça arrive. Et j'aime autant vous dire (même si vous vous en doutez) que Jeanne Moreau, Piccoli, Georges Géret et Ivernel ont aisément su être nettement meilleurs.
    ronny1
    ronny1

    29 abonnés 910 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 mai 2021
    Si Jean Renoir en 1946 était resté fidèle à l’esprit du roman d’Octave Mirbeau en respectant la lutte des classes et son inévitable droit de cuissage, battu en brèche par le choix de Célestine, il n’en est rien dans cette nouvelle version. En décalant l’action du roman dans les années trente, Jean-Claude Carrière et Luis Buñuel (première d’une fructueuse collaboration), se livrent à une attaque en règle des bases du nazisme qui allait s’étendre en Europe. Ainsi, le coupable du viol et du meurtre de la petite Claire est ici clairement désigné, contrairement au livre. Il s’agit d’une brute, antisémite et militant actif de l’extrême droite (très convaincant Georges Géret). Au passage également, les militants défilent au cri de "Vive Chiappe", sinistre et fascisant directeur de la police, qui fit interdire L'ÂGE D'OR en 1930. Mais surtout c’est avant tout un règlement de compte avec la bourgeoisie décadente. A l’abri d’un patriarche fétichiste et pervers, la frigide et avare Madame Monteil humilie à plaisir son mari (Michel Piccoli), veule et violeur d’une petite servante qui sera ainsi élevée au rang de bonne. Le tout avec la complicité d’une église bienveillante en la personne d’un prête aussi lâche qu’hypocrite (Jean-Claude Carrière) qui donne des conseils à Madame quant à des caresses sexuelles palliatives pour son mari. Dieu et le sexe. Bourgeoisie dégénérée et église coupable. Au milieu de tout cela Célestine, ange vengeur qui se donne au palefrenier pour fabriquer une preuve menant à son arrestation (dans le livre elle l’épouse et se dit prête à le suivre " jusqu'au crime" - les derniers mots du roman). Mais en vain, la justice, complice de l’extrême droite, le relâchant. Jeanne Moreau offre une performance exceptionnelle, qui impressionna Luis Buñuel lui-même. Elle campe une femme douce mais volontaire, sexy et sur d’elle, intelligente et dominatrice comme le prouve l’ascendant qu’elle a sur les hommes, y compris sur son mari qu’elle dominera complètement dans une ascension sociale inattendue. En bénéficiant aussi d’une qualité photographique au plus près des intentions du réalisateur, malgré une trahison certaine du roman en rendant secondaire son aspect social au profit de règlements de comptes chers au cinéaste, cette actrice hors pair, apporte une dimension incroyable et séduisante à son personnage. Elle permet d’élever cette adaptation au niveau d’un grand film.
    yayo
    yayo

    55 abonnés 1 221 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 juillet 2013
    Un film d'une mise en scène très bonne (certains cadrages sont magnifiques tout comme la photographie) servis par des acteurs exceptionnels. L'histoire est une critique assez cinglante de la bourgeoisie (mais aussi de l'église et de l'extrême droite) et des travers humains. Je trouve dommage que l'ensemble perde en intensité une fois le point de basculement du film passé. Du coup le générique nous laisse sur notre faim.
    Nicolas S
    Nicolas S

    38 abonnés 514 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 juillet 2017
    Tout en non-dits, souvent drôle, et en même temps d'une extrême noirceur. La fin du film fait froid dans le dos. Les acteurs sont tous excellents.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 30 janvier 2008
    Revu cette vieille Bunuellerie. C’est toujours aussi bien. Dignement démodé. Jeanne Moreau est parfaite comme toujours quoique dans un emploi bien étrange pour elle.
    Pascal
    Pascal

    117 abonnés 1 391 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 juin 2021
    Le roman d octave Mirbeau, violemment naturaliste, semblait fait pour Bunuel, tant il dénonce la pourriture de la société bourgeoise, l exploitation des domestiques, l hypocrisie d une religion réduite à une pratique superficielle. Dans leur adaptation, Bunuel et Carrière, n ont pourtant retenu qu un épisode ( le passage de Célestine en Normandie), auprès du catalogue, d'ailleurs très outré, de Mirbeau. De plus, l action a été transposée des années 1900 aux années 1928/1930. Bunuel retrouve ainsi des préoccupations de sa jeunesse : le surréalisme, les camelots du roy, les ligues. Il règle des comptes en passant. Ce film remarquable à maints égards marquait pour lui un nouveau retour au cinéma français. Ce film est de ceux que je préfère du réalisateur. Un chef-d'oeuvre !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 11 octobre 2008
    Un des meilleur Bunuel, techniquement c'est parfait. Un film d'une extrème violence dans l'ambiance feutrée de la bourgeoisie, sans doute le meilleur rôle de Jeanne Moreau.
    SebD31
    SebD31

    78 abonnés 553 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 mars 2008
    Un film engagé, et malheureusement comme on n'en fait plus! Un chef-d'oeuvre!
    Antoine D.
    Antoine D.

    34 abonnés 343 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 juin 2018
    Le journal d’une femme de chambre met en scène un personnage très atypique et ambiguë, Célestine, campée par la sublime Jeanne Moreau. Quittant la capitale, elle accepte le poste de bonne et se met au service de la maîtresse de maison, hautaine et maniac.

    Le film se met en place rapidement et dévoile au fur et à mesure la psychologie de tous les personnages jusqu’au voisin ancien soldat.
    La scène la plus mythique est la séquence où le patriarche de la famille fait marcher Célestine à travers la pièce, grandiose.

    C’est le premier film en France de Luis Buñuel et le plus compréhensible. Après Renoir et Martov, c’est à Buñuel d’adapter le roman d’Octave Mirbeau et d’y apporter son art du récit et de la mise en scène.
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