OSS 117: Alerte rouge en Afrique noire : Critique presse
OSS 117: Alerte rouge en Afrique noire
Note moyenne
2,8
32 titres de presse
Marianne
20 Minutes
Elle
Femme Actuelle
Franceinfo Culture
L'Obs
La Voix du Nord
Le Figaro
Le Parisien
Les Echos
Télé 7 Jours
Télé Loisirs
CNews
Closer
Le Journal du Dimanche
Le Monde
Télérama
CinemaTeaser
Critikat.com
Ecran Large
Elle
GQ
L'Humanité
La Croix
Le Journal du Geek
Libération
Positif
Première
aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
Filmsactu
Les Inrockuptibles
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
32 critiques presse
Marianne
par Olivier De Bruyn
Avec son mauvais esprit et son sens très sûr de l’humour noir, OSS 117 : Alerte rouge en Afrique noire remplit son contrat et honore un genre, la comédie populaire, souvent maltraité par les cyniques et plébiscité par le public. Un « genre de films » qui fait assurément du bien.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
20 Minutes
par Caroline Vié
Nicolas Bedos tape sur le politiquement correct avec une belle énergie. OSS 117 : Alerte rouge en Afrique noire reste fidèle à l’esprit de la saga.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Elle
par Alix Girod de L'Ain
POUR : Reprocher à OSS d'être toujours pareil, c'est comme reprocher à Tintin de ne jamais changer de chien.
Femme Actuelle
par La rédaction
Un festival de bêtises qui force tôt ou tard le rire, même quand c'est au trente-sixième degré.
Franceinfo Culture
par Anthony Jammot
Le troisième volet des aventures de l'agent secret Hubert Bonisseur de la Bath – toujours incarné par Jean Dujardin – s'inscrit dans la lignée de ses prédécesseurs. Peu importe l'évolution des mœurs, OSS 117 reste le même macho, raciste et arrogant et fait toujours recette auprès des mordus d'humour irrévérencieux.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par David Caviglioli
Ce troisième volet parvient à rester fidèle aux codes des deux premiers films tout en semblant aller où il veut. Il accomplit brillamment sa mission : faire de OSS 117 un héros immortel.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Disons-le, cet opus n’est sans doute pas au niveau des deux précédents. [...] Mais on applaudit Nicolas Bedos [...]. Il avait le bon profil pour perpétuer ce festival de blagues douteuses et jouissives tout en assurant le spectacle. On a bien rigolé, et on n’a même pas eu honte.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par Éric Neuhoff
Cette troisième mouture, qui aurait gagné à avoir un quart d'heure de moins, ne démérite pas.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Catherine Balle
Enlevé, bourré de scènes d’action, cet « OSS 117 » est un festival de situations hilarantes.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Une comédie incorrecte et réjouissante.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Aux manettes, Nicolas Bedos, en digne successeur de Michel Hazanavicius, réussit, avec moins de punchlines, un film très drôle qui établit un parallèle piquant entre misogynie XXL et préférences sexuelles refoulées.
Télé Loisirs
par Claire Picard
Mission accomplie pour Nicolas Bedos et Jean-François Halin, qui parviennent à conserver les particularités de la saga originelle. Si la parodie du film d'espionnage est moins présente, c'est au profit d'un humour plus noir encore, lui-même au service de la satire, celle de la « Françafrique » et du Français « franchouillard » qu'incarne Jean Dujardin.
CNews
par La rédaction
Si Jean Dujardin ne boude pas son plaisir de retrouver OSS 117 et forme un duo hilarant et efficace avec Pierre Niney, on regrette un scénario qui peine à tenir la route - avec une fin expédiée - et des répliques drôles, certes, mais qui ne déclenchent pas toutes des éclats de rire. Du politiquement incorrect, on en voulait plus.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Closer
par La rédaction
Sympathique.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Le goguenard Jean Dujardin peut compter sur quelques armes bien affûtées pour nous faire rire : son talent pour mettre les pieds dans le plat, son élégance dans les cascades, ses tentatives pour défendre sa virilité ébranlée… Tout ça avec une irrévérence joyeuse qui manie la blague potache aussi bien que racisme et le machisme mal placés.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Clarisse Fabre
Le film renvoie dos à dos, en quelque sorte, d’un côté les machos et les Blancs qui se croient supérieurs, et de l’autre les militants qui mènent actuellement le combat féministe et produisent une réflexion critique sur l’ère coloniale. So what ? Une fois que le spectateur a saisi le message – que l’on est en droit par ailleurs de contester –, il ne lui reste plus qu’à suivre une intrigue un peu plate et réchauffée, que le jeu des acteurs parvient parfois à faire oublier.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télérama
par Samuel Douhaire
Bedos n’a pas cherché à s’approprier OSS 117, mais à se fondre dans le moule en respectant les deux piliers de la saga : un humour qui se sert des clichés racistes, xénophobes, coloniaux, misogynes, etc., pour mieux les retourner ; et un pastiche des codes de représentation cinématographique de l’époque à laquelle se déroule l’intrigue.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
CinemaTeaser
par Alex Masson
Le scénario d’ALERTE ROUGE EN AFRIQUE NOIRE est problématique. Pas tant par la désinvolture avec laquelle est traitée son intrigue – au début des années 80, OSS est envoyé aider un despote africain à mater des révolutionnaires – ou son quasi-refus du politique – la Françafrique mollement pointée du doigt – que par un twist structurel.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Critikat.com
par Sylvain Blandy
Si les deux premiers volets se présentaient comme le pastiche méticuleux d’un genre, Nicolas Bedos, qu’on devine peu nourri par le film d’espionnage à la française, n’a rien d’autre à offrir qu’un pastiche d’Hazanavicius.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Alexandre Janowiak
Moins vif, moins drôle, moins inventif... OSS 117 : Alerte rouge en Afrique est inférieur en tout point aux précédents opus, les surpassant dans un seul domaine : le malaise ; Nicolas Bedos ne réussissant jamais à gérer le politiquement incorrect de l'espion avec malice et lucidité.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par P.Di.
CONTRE : Tout était là [...] mais les dialogues sont bien timides.
La critique complète est disponible sur le site Elle
GQ
par Adam Sanchez
Pendant près de deux heures, Nicolas Bedos va chercher à faire dialoguer les années 80 avec l'actualité, notamment au travers d’un clin d'oeil à #MeToo, tout en loupant à peu près tout le reste à l’écran : l’intrigue est poussive, épuisée par d'innombrables digressions, tandis que les seconds rôles ne dépassent pas le stade de faire-valoir.
La critique complète est disponible sur le site GQ
L'Humanité
par Cyprien Caddeo
Un film qui s’assume comme résolument à contresens de la franchise, jusqu’à devenir souvent embarrassant (on pense à la scène qui raille #MeToo). Le dispositif peine à provoquer plus que quelques rires.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Céline Rouden
Mais si le scénariste Jean-François Halin n’a rien perdu de sa verve et cisèle une fois de plus quelques répliques cultes, le tout manque de rythme et d’entrain. Et surtout de surprises, malgré les efforts d’un Jean Dujardin toujours impeccable.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Geek
par Julie Hay
Dans la saga, l’humour ne répond plus et on se demande si tout ça valait bien la peine. Faussement audacieux, le récit se vautre dans la surenchère de politiquement incorrect.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Libération
par Julien Gester et Sandra Onana
C’est hélas tout le film ici, et non pas son seul protagoniste, qui manque terriblement de groove – tout, des gags à la plastique de l’affaire, y transpire l’effort et la frime mais semble conspirer à une tiédeur généralisée –, et jamais l’entreprise n’y trouve sa rythmique, pas plus que le lieu assumé de son rire.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Ariane Allard
Il suffit de quelques plans liminaires, d’une ironie ostentatoire, pour comprendre que le troisième volet des aventures cinématographiques de l’impayable OSS 117, pris en main par Nicolas Bedos, va être moins mordant que (très) content de lui. Donc superficiel et lourdaud, in fine.
Première
par Thierry Chèze
Et pourtant quelque chose cloche. Le fait que le scénario semble faire suivre chaque vanne audacieuse ou gonflée sur l’Afrique et les Africains par une scène qui ressemble à une justification ou une excuse. Tout l’inverse des deux premiers volets qui affrontaient les questions du racisme et de l’antisémitisme par la seule arme de l’absurde, sans se soucier du quand dira t’on.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Une comédie sympathique et agréable. Mais du tandem Bedos-Dujardin, on attendait davantage de verve et d’irrévérence.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Marcos Uzal
A force de vouloir démontrer qu’il est bien de 2021, le film désamorce l’anachronisme qui faisait le sel des deux précédents épisodes tout en paraissant plus à la traine que jamais.
Filmsactu
par Pierre Champleboux
Souvent gênant, rarement drôle, très bancal, désespérément vulgaire et ennuyeux, le film de Nicolas Bedos laisse un goût amer en bouche.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Le grand retour annoncé de la meilleure franchise comique française post-2000 s’engouffre dans une impasse d’autocitation fatiguée et fatigante.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
Avec son mauvais esprit et son sens très sûr de l’humour noir, OSS 117 : Alerte rouge en Afrique noire remplit son contrat et honore un genre, la comédie populaire, souvent maltraité par les cyniques et plébiscité par le public. Un « genre de films » qui fait assurément du bien.
20 Minutes
Nicolas Bedos tape sur le politiquement correct avec une belle énergie. OSS 117 : Alerte rouge en Afrique noire reste fidèle à l’esprit de la saga.
Elle
POUR : Reprocher à OSS d'être toujours pareil, c'est comme reprocher à Tintin de ne jamais changer de chien.
Femme Actuelle
Un festival de bêtises qui force tôt ou tard le rire, même quand c'est au trente-sixième degré.
Franceinfo Culture
Le troisième volet des aventures de l'agent secret Hubert Bonisseur de la Bath – toujours incarné par Jean Dujardin – s'inscrit dans la lignée de ses prédécesseurs. Peu importe l'évolution des mœurs, OSS 117 reste le même macho, raciste et arrogant et fait toujours recette auprès des mordus d'humour irrévérencieux.
L'Obs
Ce troisième volet parvient à rester fidèle aux codes des deux premiers films tout en semblant aller où il veut. Il accomplit brillamment sa mission : faire de OSS 117 un héros immortel.
La Voix du Nord
Disons-le, cet opus n’est sans doute pas au niveau des deux précédents. [...] Mais on applaudit Nicolas Bedos [...]. Il avait le bon profil pour perpétuer ce festival de blagues douteuses et jouissives tout en assurant le spectacle. On a bien rigolé, et on n’a même pas eu honte.
Le Figaro
Cette troisième mouture, qui aurait gagné à avoir un quart d'heure de moins, ne démérite pas.
Le Parisien
Enlevé, bourré de scènes d’action, cet « OSS 117 » est un festival de situations hilarantes.
Les Echos
Une comédie incorrecte et réjouissante.
Télé 7 Jours
Aux manettes, Nicolas Bedos, en digne successeur de Michel Hazanavicius, réussit, avec moins de punchlines, un film très drôle qui établit un parallèle piquant entre misogynie XXL et préférences sexuelles refoulées.
Télé Loisirs
Mission accomplie pour Nicolas Bedos et Jean-François Halin, qui parviennent à conserver les particularités de la saga originelle. Si la parodie du film d'espionnage est moins présente, c'est au profit d'un humour plus noir encore, lui-même au service de la satire, celle de la « Françafrique » et du Français « franchouillard » qu'incarne Jean Dujardin.
CNews
Si Jean Dujardin ne boude pas son plaisir de retrouver OSS 117 et forme un duo hilarant et efficace avec Pierre Niney, on regrette un scénario qui peine à tenir la route - avec une fin expédiée - et des répliques drôles, certes, mais qui ne déclenchent pas toutes des éclats de rire. Du politiquement incorrect, on en voulait plus.
Closer
Sympathique.
Le Journal du Dimanche
Le goguenard Jean Dujardin peut compter sur quelques armes bien affûtées pour nous faire rire : son talent pour mettre les pieds dans le plat, son élégance dans les cascades, ses tentatives pour défendre sa virilité ébranlée… Tout ça avec une irrévérence joyeuse qui manie la blague potache aussi bien que racisme et le machisme mal placés.
Le Monde
Le film renvoie dos à dos, en quelque sorte, d’un côté les machos et les Blancs qui se croient supérieurs, et de l’autre les militants qui mènent actuellement le combat féministe et produisent une réflexion critique sur l’ère coloniale. So what ? Une fois que le spectateur a saisi le message – que l’on est en droit par ailleurs de contester –, il ne lui reste plus qu’à suivre une intrigue un peu plate et réchauffée, que le jeu des acteurs parvient parfois à faire oublier.
Télérama
Bedos n’a pas cherché à s’approprier OSS 117, mais à se fondre dans le moule en respectant les deux piliers de la saga : un humour qui se sert des clichés racistes, xénophobes, coloniaux, misogynes, etc., pour mieux les retourner ; et un pastiche des codes de représentation cinématographique de l’époque à laquelle se déroule l’intrigue.
CinemaTeaser
Le scénario d’ALERTE ROUGE EN AFRIQUE NOIRE est problématique. Pas tant par la désinvolture avec laquelle est traitée son intrigue – au début des années 80, OSS est envoyé aider un despote africain à mater des révolutionnaires – ou son quasi-refus du politique – la Françafrique mollement pointée du doigt – que par un twist structurel.
Critikat.com
Si les deux premiers volets se présentaient comme le pastiche méticuleux d’un genre, Nicolas Bedos, qu’on devine peu nourri par le film d’espionnage à la française, n’a rien d’autre à offrir qu’un pastiche d’Hazanavicius.
Ecran Large
Moins vif, moins drôle, moins inventif... OSS 117 : Alerte rouge en Afrique est inférieur en tout point aux précédents opus, les surpassant dans un seul domaine : le malaise ; Nicolas Bedos ne réussissant jamais à gérer le politiquement incorrect de l'espion avec malice et lucidité.
Elle
CONTRE : Tout était là [...] mais les dialogues sont bien timides.
GQ
Pendant près de deux heures, Nicolas Bedos va chercher à faire dialoguer les années 80 avec l'actualité, notamment au travers d’un clin d'oeil à #MeToo, tout en loupant à peu près tout le reste à l’écran : l’intrigue est poussive, épuisée par d'innombrables digressions, tandis que les seconds rôles ne dépassent pas le stade de faire-valoir.
L'Humanité
Un film qui s’assume comme résolument à contresens de la franchise, jusqu’à devenir souvent embarrassant (on pense à la scène qui raille #MeToo). Le dispositif peine à provoquer plus que quelques rires.
La Croix
Mais si le scénariste Jean-François Halin n’a rien perdu de sa verve et cisèle une fois de plus quelques répliques cultes, le tout manque de rythme et d’entrain. Et surtout de surprises, malgré les efforts d’un Jean Dujardin toujours impeccable.
Le Journal du Geek
Dans la saga, l’humour ne répond plus et on se demande si tout ça valait bien la peine. Faussement audacieux, le récit se vautre dans la surenchère de politiquement incorrect.
Libération
C’est hélas tout le film ici, et non pas son seul protagoniste, qui manque terriblement de groove – tout, des gags à la plastique de l’affaire, y transpire l’effort et la frime mais semble conspirer à une tiédeur généralisée –, et jamais l’entreprise n’y trouve sa rythmique, pas plus que le lieu assumé de son rire.
Positif
Il suffit de quelques plans liminaires, d’une ironie ostentatoire, pour comprendre que le troisième volet des aventures cinématographiques de l’impayable OSS 117, pris en main par Nicolas Bedos, va être moins mordant que (très) content de lui. Donc superficiel et lourdaud, in fine.
Première
Et pourtant quelque chose cloche. Le fait que le scénario semble faire suivre chaque vanne audacieuse ou gonflée sur l’Afrique et les Africains par une scène qui ressemble à une justification ou une excuse. Tout l’inverse des deux premiers volets qui affrontaient les questions du racisme et de l’antisémitisme par la seule arme de l’absurde, sans se soucier du quand dira t’on.
aVoir-aLire.com
Une comédie sympathique et agréable. Mais du tandem Bedos-Dujardin, on attendait davantage de verve et d’irrévérence.
Cahiers du Cinéma
A force de vouloir démontrer qu’il est bien de 2021, le film désamorce l’anachronisme qui faisait le sel des deux précédents épisodes tout en paraissant plus à la traine que jamais.
Filmsactu
Souvent gênant, rarement drôle, très bancal, désespérément vulgaire et ennuyeux, le film de Nicolas Bedos laisse un goût amer en bouche.
Les Inrockuptibles
Le grand retour annoncé de la meilleure franchise comique française post-2000 s’engouffre dans une impasse d’autocitation fatiguée et fatigante.