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    High Flying Bird
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    FaRem
    FaRem

    7 387 abonnés 8 816 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 31 décembre 2019
    "High Flying Bird" est le deuxième film que Steven Soderbergh réalise avec un iPhone après "Unsane" sorti un an plus tôt. Si j'avais adoré l'expérience qu'il proposait dans cet établissement psychiatrique, je suis complètement passé à côté de ce film. Il centre son histoire sur l'univers du basket, mais ne met jamais un pied sur un terrain. Il propose plutôt de découvrir l'envers du décor du milieu en pleine période de lock-out qui est une période où tout s'arrête, car les joueurs sont en grève pour faire entendre leurs revendications. Le réalisateur filme cette crise de l'intérieur avec un agent qui essaie de trouver une solution autant qu'il essaie de profiter de la situation. Je ne vais pas dire que je n'ai pas aimé le film parce que je ne suis pas un grand fan de basket. J'ai adoré des films de Baseball et pourtant je n'y connais rien. Bien sûr, être attiré par ce milieu et le connaître est un gros plus, mais on peut bien apprécier le film en étant totalement étranger à ce sport même si je trouve qu'il s'adresse quand même à un cercle restreint de spectateurs. C'est assez pointu au niveau des dialogues avec pas mal de termes techniques. J'ai souvent été dépassé et je ne suis jamais entré dans l'histoire. En plus, le film est très froid et ne dégage pas grand-chose. Cela vaut également pour les personnages qui sont peu attachants et qui ne donnent pas envie de s'intéresser à ce qui leur arrive. Bref, je ne vais pas dire que c'est un mauvais film, car je sens qu'il n'était pas pour moi, mais je n'ai pas aimé et me suis vraiment ennuyé.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    2 801 abonnés 3 956 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 février 2019
    Je ne savais pas que Soderbergh avait cédé aux sirènes de Netflix et suis toujours aussi surpris qu'il tourne toujours autant malgré sa retraite anticipée et franchement je vais me répéter, mais ses films n'ont jamais été aussi bon que depuis qu'il veut arrêter le cinéma.

    Alors évacuons tout de suite un aspect, oui c'est tourné à l'iphone, oui c'est un grand angle, oui c'est dégueu... autant dans son film précédent ça rajoutait un peu à l'anxiété générale, autant là... je ne suis pas sûr de voir l'intérêt... mais je dois dire que je trouve la photographie de quasiment tous les Soderbergh immonde.

    Mais passé ce parti pris inutile, le film est vraiment bon. On retrouve comme dans Ocean's Eleven ou Logan Lucky des gens qui vont arnaquer le système, faire un casse, façon de parler. Mais ce qui est intéressant c'est l'évolution. Ocean c'était du blingbling, des gens riches en costard, Logan Lucky c'était des prolos (et il y avait une dimension antispectaculaire vraiment géniale) et là on s'intéresse à la communauté noire américaine aux USA.

    Alors le film insiste beaucoup là-dessus, allant même jusqu'à comparer la NBA à l'esclavage et disons que si le scénariste avait été plus malin il aurait pu se rendre compte que c'était juste le salariat et plus qu'un film sur l'émancipation des noirs c'est avant tout un film sur une mini révolte d'une classe laborieuse, mais je suppose que le communisme n'est toujours pas à la mode aux USA.

    Mais je dois dire que j'ai trouvé l'histoire brillante, il y a côté foisonnant que j'adore, on sent vraiment que ça grouille, qu'il y a plein de tenants et aboutissants, plein d'acteurs qui peuvent faire que la grève (je suppose qu'un Lock out à la NBA c'est une grève) des joueurs de basket continue ou s'arrête. Et j'aime beaucoup la fin qui permet de tout comprendre et de voir comment un seul type a réussi à secouer tout le système en manipulant un peu tout le monde.

    C'est génial !

    Il y a ce côté réellement jouissif de voir tout ça commencer à prendre forme, de voir les pièces du puzzle s'imbriquer et surtout de voir les dimensions que ça prend.

    Mais encore une fois je vois Soderbergh donner une leçon aux films de braquage ou arnaque en ajoutant une dimension sociale, en détournant allègrement les codes, en optant pour les dialogues et l'antispectaculaire...

    Alors évidemment c'est moins marrant que Logan Lucky, le film a un côté assez austère, mais je peux difficilement le retenir de trouver ça réjouissant. Et si on passe outre la forme un peu étrange, c'est un bon film, surtout que les dialogues sont vraiment bons, dynamiques juste ce qu'il faut pour faire sentir la tension de la situation au spectateur. Soderbergh se permet même quelques petites expérimentations avec son iphone et brise par moment la règle des 180°, renforçant une impression de malaise.

    Franchement c'est pas mal du tout, faut juste passer outre la tronche du truc.
    Yves G.
    Yves G.

    1 275 abonnés 3 287 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 mars 2021
    Ray Burke (André Holland, le héros de la série "The Eddy") a réussi à faire de sa passion pour le basket son gagne-pain : il est agent de joueurs. Il a notamment sous contrat Erick Scott, un "rookie" prometteur. Mais le lock-out, la grève qui interdit aux joueurs l’accès aux terrains, met en péril son avenir professionnel.

    Steven Soderbergh est sans doute l’un des plus grands réalisateurs américains contemporains. En 1989, à vingt-six ans à peine, il décroche la Palme d’or à Cannes avec son premier film, "Sexe, Mensonge et Vidéos". Je me souviens de mon enthousiasme à sa sortie devant cet Ovni cinématographique qui soufflait un vent nouveau. Soderbergh a ensuite tissé une carrière originale, zigzaguant entre blockbusters (la trilogies des "Oceans", "Erin Brockovich"…) et films d’auteur (Traffic qui lui vaut l’Oscar du meilleur réalisateur, Solaris…). Il a toujours su s’entourer des acteurs les plus bankables du moment : George Clooney, Matt Damon, Julia Roberts, Benicio del Toro… Annonçant régulièrement sa retraite, mais revenant toujours sur ses annonces, il s’essaie à de nouvelles formes de cinéma : les courts métrages, les séries, les films TV. En 2018, il tourne en dix jours avec un IPhone8 "Paranoïa", un petit bijou schizophrène et claustrophobe. C’est avec le même procédé qu’il tourne "High Flying Bird" dont il assure non seulement la réalisation mais aussi la photographie et le montage.

    Pour comprendre et apprécier son film, sorti directement sur Netflix en février 2019, il faut connaître le basket américain, savoir ce qu’est un "rookie" (un joueur fraîchement émoulu qui effectue sa première année en Ligue), avoir suivi les lock-out, ces parties de bras de fer opposant le syndicat des joueurs, la ligue et les propriétaires des clubs qui ont émaillé l’histoire de la NBA ces trente dernières années.

    Ces références me faisaient défaut. Du coup, le plaisir que j’ai pris à "High Flying Bird" en fut diminué d’autant. J’avoue n’avoir pas accroché à cette histoire dont je ne comprenais pas les enjeux. Son principal ressort ne s’est éclairé pour moi qu’à la toute fin du film. Trop tard !
    RedArrow
    RedArrow

    1 526 abonnés 1 490 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 février 2019
    Comme Steven Soderbergh n'est toujours pas décidé à arrêter de faire joujou avec son IPhone 7, on pouvait légitimement se demander ce que pouvait apporter un tel outil comme plus-value cinématographique dans un film s'intéressant au milieu du basket là où, au contraire, le procédé paraissait se justifier dans "Paranoïa" afin de traduire visuellement l'instabilité mentale de son héroïne.
    Dès les premiers instants, le réalisateur répond à nos doutes de la plus belle des manières : aussi fluide qu'immersif, "High Flying Bird" nous plonge instantanément dans l'état d'urgence de son héros, Ray (excellent André Holland), un agent sportif pris dans le tourbillon d'un lock-out paralysant toute l'industrie du basket-ball américain depuis des mois à cause d'un conflit financier entre les représentants des syndicats des joueurs et ceux des propriétaires d'équipes. Totalement concentré sur son sujet et les quelques personnages qui y gravitent, Steven Soderbergh va directement à l'essentiel de son propos dont la densité se suffit en elle-même pour éviter un superflu qui nuirait à son réalisme (la très courte durée du film est d'ailleurs la parfaite traduction de cette approche). Entrecoupé de témoignages forcément forts de vrais joueurs, "High Flying Bird" a, de prime abord, une apparence de film bavard qui pourrait en plus décourager les néophytes à ce milieu sportif mais Steven Soderbergh balaie ce double problème grâce à un ton incisif toujours plus croissant qui ne peut que nous emporter dans son sillage, amateurs de basket ou non. La maîtrise et le calcul dont fait preuve le réalisateur pour faire vivre l'intensité de son discours n'a d'égal que ceux de son personnage principal cherchant à sauver sa tête avec ce qui pourrait être tout simplement le coup de sa vie.
    Par les ressorts utilisés, la construction du long-métrage a même quelque chose du film de casse que Soderbergh affectionne tant. Tel un braqueur, Ray va en effet tenter de reprendre des mains des grands patrons fortunés un sport qu'ils ont complètement dénaturé afin de servir leurs intérêts. Même les rôles de femme fatale poursuivant ses propres desseins (une assistante incarnée par Zazie Beetz) et de plus ou moins conscient "pigeon"(une recrue sportive de Ray jouée par Melvin Gregg) sont aussi présents avec quelques autres pour rappeler cette idée de film de casse encore amplifiée par la dernière partie, très maligne, mettant en lumière les intérêts particuliers poursuivis sous couvert de bonnes intentions.
    Mais, tout comme le choix de l'objectif d'un IPhone 7 comme caméra, ce ne sont encore là que des instruments dont les contours sont empruntés pour être mis complètement au service de l'engrenage dans lequel nous entraîne le film, celui de la situation devenue impossible d'un sport où les termes autour de l'esclavage trouve un emploi toujours dangereusement contemporain, celui du réveil d'un homme oeuvrant depuis trop longtemps dans les artifices de ses coulisses et prêt à renverser une organisation très bien pensée pour se gaver avant tout de billets verts en retournant contre elle ses propres armes médiatiques (Netflix est d'ailleurs ironiquement l'une d'entre elles) et, surtout, celui habilement élaboré dans le but de dénoncer plus largement un système de castes qui perdure et où les plus aisés s'emparent d'un loisir crée par et pour le peuple pour le vider de sa substance et l'exploiter financièrement avec les pratiques les plus corruptrices dont ils ont évidemment le parfaite contrôle.
    À l'image du regard empli à la fois de passion et de révolte d'un personnage lors de l'ultime scène, "High Flying Bird" aura constamment chercher à nous réveiller devant un état des lieux qui ne peut plus durer.

    Pour sa première incursion dans le domaine sportif et ses coulisses ignorées du grand public, Steven Soderbergh met donc un joli dunk à la cupidité d'un système nauséabond bien installé et prouve qu'à part quelques exceptions, seuls les grands noms de la mise en scène réussissent finalement toujours leurs coups sur Netflix. On a même désormais envie de lui racheter une batterie de téléphone pour que son prochain film arrive plus vite, c'est dire...
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    588 abonnés 2 705 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 février 2019
    Mieux vaut être calé sur la NBA pour pleinement apprécier l’incursion de Soderbergh dans ce milieu. Reste que la réalisation a l’iPhone est passionnante et que la maîtrise du cinéaste permet de garder le néophyte a porté de main. On se laisse guider, presque en catharsis, dans des dialogues interminables et incompréhensibles, qui arrivent quand même à capter une attention presque hypnotique. Mais on finit quand même par gentiment s’ennuyer.

    https://www.facebook.com/la7emecritique/
    LeMagduCiné
    LeMagduCiné

    60 abonnés 626 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 février 2019
    Steven Soderbergh s’acoquine avec Netflix pour signer avec High Flying Bird un pamphlet violent sur la réappropriation culturelle et créative des magnats, où il y mêle la sève de son cinéma entre l’étude sociologique des rouages d’une entreprise et un militantisme éclairé au sein d’une habile variation du film de casse. Abscons mais grisant.
    Fréderic Perrinot.
    antony Z.
    antony Z.

    66 abonnés 1 038 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 24 février 2019
    P. Soderbergh qui a mis en scène ce récit aussi ennuyeux qu'improbable?... une mise en scène très insipide, hostaire, lente avec une photographie médiocre... aucun rythme, aucune bande son... l'intrigue n'est jamais captivante tant elle est mal menée. les personnages mal écris etc
    Marjolaine A.
    Marjolaine A.

    113 abonnés 488 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 février 2020
    Entièrement réalisé avec un I-phone : super, ça donne une image bien pourrie, ultra plate. Je ne vois pas bien l'intérêt du procédé. Alors oui, derrière l'I-phone, il y a Soderbergh et forcément la réalisation est superbe. Mais elle est aussi trop démonstrative, et elle finit par faire de l'ombre au film.
    Filmé de façon conventionnelle, ça aurait fait un super film, car l'histoire est intéressante (si vous êtes fan de basket) et les acteurs sont tous au top.
    Dois-Je Le voir ?
    Dois-Je Le voir ?

    304 abonnés 1 694 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 mars 2020
    Normalement, je suis plutôt adepte des films concernant le sport mais celui-ci ne m’a pas convaincu. Déjà pour commencer, le gros point négatif est que n'a aucun moment on ne voit d’image de basket. On ne ressent pas le sport dans ce film. J’avais plus l’impression de voir quelque chose sur le business et qui aurait pu se transposer sur n’importe quel domaine. Il va donc falloir s’accrocher pour suivre l’histoire car par moments ça sera assez technique. J’adore regarder la NBA mais par contre tout le système qui gravite autour des joueurs m’est totalement inconnu, et ce film ne m’a pas permis d’en savoir plus. C’est très mal expliqué pour un néophyte. Après, en elle-même l’histoire n’est pas mauvaise mais manque un peu d’âme. J’ai eu du mal à m’identifier à ce récit où j’ai eu l’impression qu’on nous disait qu’un joueur NBA qui gagne plusieurs millions, n’est pas si bien payé que ça. Par contre, les courtes interventions de véritable joueur NBA en interview noir et blanc va donner une prestance au récit. Elles interviennent durant le film à des moments clés bien choisis. Concernant le casting, il n’est pas horrible mais ne soulève pas non plus les foules. Andre Holland ne semble pas trop dans son personnage. Melvin Gregg qui fait son poulain a un manque flagrant de charisme. Celle qui s’en sort le mieux reste surement Zazie Beetz. L’apport de l’expérimenter Bill Duke est un vrai petit plus car il donne une valeur ajoutée à ses scènes.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 16 février 2019
    Ce film est vraiment pour les spectateurs qui s'y connaisse en Basket et donc conviendra parfaitement au publique américain. mais personnellement j'aime le basket donc c'est un bon film qui montre spoiler: ce qui se passe dans la vie des rookies pendants un lock out
    Smalpox
    Smalpox

    3 abonnés 39 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 février 2019
    Alors pour les non-initiés, c'est le brouillard pendant 1h30 de blabla insoluble, sans comprendre qui fait quoi, qui est qui, pourquoi et où. Je m'attendais à une sorte de "Les remplaçants" en 2000 mais non, y a rien. Des persos pas attachants pour un sous, pas d'action, pas de jeu, Rien.
    Oui le film est bien filmé, c'est propre, esthétique, mais l'histoire... On comprend mieux "Draft Day" 2014 même si on connaît rien au football américain !
    Là pour le coup, on regarde se dérouler un film avec des allusion totalement alambiquée sur l’esclavage, Dieu et un conflit entre patron et distributeur TV sur les droits (et encore, en filigrane) ... Entrecoupé de témoignage de débutant de NBA qui parle de leur début en période de crise... Wtf ?!
    Un monde opaque, et une fin... spoiler: "Tadam, j'ai tout planifié avec mon portable !"
    N'attendez pas grand chose de ce film.
    Laurent S.
    Laurent S.

    2 abonnés 121 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 février 2019
    Je m'attendais à un film avec du basket, c'est surtout un film sur les coulisses du basket. 1h30 de dialogues interminables, des "négociations", un lock-out auquel je n'ai pas compris grand-chose, et des références douteuses sur l'esclavage et la ségrégation raciale...Bref je me suis ennuyé profondément. Si le sujet de départ est prometteur, autant regarder un documentaire sur l'histoire de la NBA.

    Parmi les points positifs, Bill Duke a un rôle intéressant d'entraineur blasé. La référence à Netflix, véritable mise en abyme d'un trublion voulant bousculer le système traditionnel, est le point le plus malin du scénario.
    elisaphoto
    elisaphoto

    6 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 13 février 2019
    Franchement pas à mon goût.
    Il y a des dialogues entiers où j'étais complètement larguée, impossible d'accrocher.
    Les persos ne sont pas attachant (c'est peut être le mauvais doublage qui y est pour quelque chose, je conseille la VO).
    Au moins ça à le mérite d'être court donc la souffrance ne dure pas trop longtemps!
    J'aime pas du tout la fin : spoiler: on nous fait passer le truc en mode "il avait tout calculé il est trop fort" et d'ailleurs le perso fini par une phrase que je qualifierais de "gros méchant" (j'ai pas eu le droit de mettre le gros mot violent à cause du modérateur) en mode "maintenant dégage tes fesses de ma chaise, je prends ta place", OK c'est exactement pour ça que je disais que les perso ne sont pas attachant. En fait je crois juste que ce sont tous des méchants (deuxième gros mot refusé).

    Voilà ma jolie conclusion : film inintéressant, avec des perso qui sont insupportables, la cible est clairement un public américain et non européen je pense.
    A vous de vous faire votre avis, 1h30 c'est pas horrible non plus.
    Point positif : très beau visuellement
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