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    Une Affaire de famille
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    Galactus
    Galactus

    7 abonnés 353 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 janvier 2019
    Magnifique, sensible et drôle jusqu'à la dernière partie, qui laisse alors découvrir toute la partie dramatique de l'histoire. Les gamins sont excellents devant la caméra.
    Vouivre
    Vouivre

    3 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 18 décembre 2018
    Décevant et surtout ennuyeux. Palme d'or au Festival de Cannes ? Je ne comprends pas. Je comprends encore moins les personnes ou les critiques qui ont qualifié certaines scènes de drôles.
    Pour moi c'est tragique et glauque du début à la fin, avec beaucoup de cynisme de la part de certains personnages.
    J'ai fait un gros effort pour rester jusqu'à la fin, qui évidemment ne résout rien et nous laisse un sentiment d'inachevé. Ne parlant pas japonais, je me suis demandée si les sous-titres n'étaient pas la cause de mon désenchantement. Peut-être ne traduisent-ils pas exactement les mots des personnages ?
    Bref, le film n'était pas pour moi.
    TTNOUGAT
    TTNOUGAT

    516 abonnés 2 526 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 décembre 2018
    Kore-Eda fait partie des plus grands metteurs en scènes vivants, son talent de cinéaste est indiscutable et ‘’Notre petite sœur’’ fut mon film préféré vu en 2016. Je n’ai rien ressenti de comparable à la vision de ‘’Une affaire de famille’’, je m’y suis fort ennuyé malgré la parfaite mise en scène et la grande humanité de certains plans. Quelle idée de départ a t-il eut de prendre le tissu familial comme sujet et de nous montrer ce groupe de personnes n’ayant comme but que de survivre et comme liens des délits, mais pas des moindres? Qu’y a t il de plus dangereux pour une société que le vol et de plus grave que le crime ? Le regard porté sur l’enfance est faussé au profit d’un film, c’est pour moi inacceptable sur un tel sujet. J’espérais un peu de poésie débouchant sur l’espoir, je n’ai senti au final qu’un grand vide qui pousse même Shota à prendre un risque insensé. C’est pour moi un film inutile , triste et qui n’apporte aucun plaisir sur l’instant et ne donne aucune solution pour protéger les enfants. Koré Eda ce grand humaniste à choisit un scénario à contre emploi de son grand talent.
    VILLE.G
    VILLE.G

    48 abonnés 624 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 janvier 2019
    Original mais je ne suis pas rentré dans l’idée. Le décalage culturel peut-être, ou le côté « linéaire » de l’histoire. Tout est en nuance, peut-être trop subtil pour moi. Même la fin n’en est pas vraiment une...
    Humphrey D.
    Humphrey D.

    19 abonnés 17 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 janvier 2019
    Pour moi, occidental européen, le cinéma asiatique souffre souvent d'une imperméabilité qui le rend difficilement lisible de par sa culture très éloignée de la nôtre. Une affaire de famille n'échappe pas à cette difficulté de pénétration, tant la gestuelle des acteurs, leur occupation de l'espace, leur habitus peuvent gêner, voire occulter notre immersion dans l'environnement culturel et social qui est le leur. Bien sûr, le film met en scène des topiques aussi universelles que la Fraternité (même usurpée), l'Humanisme (même biaisé), l'Amour (pseudo-filial ou non) et figure des sentiments et des rapports humains aisément reconnaissables, même par chez nous. Néanmoins, il demeure une part insaisissable propre à l'Empire des signes si cher à Barthes qui empêche ma sensibilité d'adhérer profondément à un cinéma dont l'exotisme a cette couleur d'une étrangeté impalpable et définitivement impénétrable. Ce préambule pour dire que le film n'a pas totalement emporté mon assentiment, au-delà de la sympathie qu'il peut et veut susciter pour ses personnages en rupture de ban.
    Mon entrée dans l'histoire s'est faite progressivement, parfois ennuyé par le pointillisme documentaire de ces exclus affreux, sales et méchants (ah les slurp des repas de nouilles ! ), parfois décontenancé par des inter-relations peu explicites dans cette famille faite de bric et de broc. Puis, passée la première heure, le film s'anime et lève le voile sur les motivations avouées ou cachées des protagonistes. Seule la petite fille "adoptée", quasi mutique, traverse le film dans un "hors là" qui prend à rebrousse poil l'amour un peu forcené dont l'entoure Nobuyo, mère d'emprunt à soigner son désir d'enfant. Elle hérite de cette affection comme un bénéfice de surcroît pour au final renouer avec une passivité mortifère.
    Mais ce que le film construit dans ses 80 premières minutes, à vouloir démontrer que l'amour peut transcender la misère, que la solidarité inter-générationnelle peut insuffler de l'énergie à vivre (ou survivre), à semer les graines d'un humanisme en forgeant un mouvement d'identification aux personnages, il le déconstruit dans la dernière demi-heure en déjouant les bons sentiments par la mise en lumière de leur face cachée. Un couple amoureux, oui mais criminel. Une grand-mère recueillante, oui mais vénale. Une femme maternante, oui mais dont l'amour plonge ses racines dans le narcissisme d'une stérilité désespérée. Des "parents" adoptants, puis abandonnants. Toute cette belle humanité construite touche après touche s'écroule subitement pour s'interroger sur sa véracité et/ou sa facticité. Un malaise naît de ce déséquilibre et donne le sentiment que Kore-Eda a voulu rayer son tableau d'un trait de griffe qui en fait disparaître toute la grâce patiemment édifiée.
    Film bancal donc, pas inintéressant, mais sans atteindre les sommets dont la gratifie une critique dythirambique.
    chrisz_gt
    chrisz_gt

    2 abonnés 61 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 6 janvier 2019
    Prodigieusement bien filmé et terriblement ennuyant. Film assez long.
    Pour les amateurs de palme d’or.
    Cinemadourg
    Cinemadourg

    676 abonnés 1 416 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 décembre 2021
    Quel ennui !
    Palme d'or à Cannes en 2018 et encensé par la presse, je m'attendais à une bombe émotionnelle, à une explosion de bons sentiments ou à un débordement de sensations.
    Et finalement, rien de tout ça...
    Côté points forts, le film transpire l'authenticité avec des comédiens japonais plus vrais que nature et certains thèmes poussent à la réflexion : le fait d'accoucher suffit-il à devenir mère ? Ne peut-on pas être moralement une maman sans mettre au monde un enfant ?
    Mais alors, quelle réalisation soporifique !!
    C'est mou, lent, j'ai décroché plusieurs fois tant le rythme était paresseux.
    Beaucoup de bonnes intentions sur les notions de famille et de tolérance, mais finalement une oeuvre fastidieuse et insipide.
    Vraiment pas terrible.
    --> Site CINEMADOURG <--
    Ali R
    Ali R

    26 abonnés 41 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 janvier 2019
    Très moyen. Au moins avec son précédent film ''Third Murderer'' sorti aussi cette année, Koré Eda offrait une autre manière de présenter psychologiquement ses personnages. Sur ''Une affaire de famille'' j'ai eu l'impression de faire face à du réchauffé. Problème Identitaire. Mal être familial. Tentative de recomposition et structuration sociale. Recherche de bonheur. Tout ça mélangé de façon brouillonne. Sur ''Tels pères, tels fils'' c'était magnifiquement mise en scène, là perso j'ai décroché au bout de 20 minutes. D'autant plus que 1/3 du film se déroulant au même endroit. ''Burning'' de Lee Chang Dong mérité davantage la Palme d'or pour sa prise de risque.
    Craoux
    Craoux

    19 abonnés 276 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 janvier 2019
    Ce film a un côté quasi documentaire sur le Japon "du bas" .. j'ai été insensible à cette démonstration qui nous est imposée à savoir que la famille de cœur est une force. Je peux reconnaître que la réalisation est sans faille (encore qu'au début du film, on est plus dans le documentaire social que dans une fiction qui nous accroche). Je me suis vraiment demandé à plusieurs reprises si je n'allais pas sortir de la salle. Et je reste interloqué que ce film ait reçu la Palme d'Or à Cannes.
    circusstar
    circusstar

    112 abonnés 713 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 janvier 2019
    Je n’ai pas aimé, l’histoire de cette famille qui s’est choisie, et qui a surtout choisi les petites arnaques et les expédients comporte beaucoup de longueur, je me suis ennuyée.
    C’est tourné sans émotion, sans affect. Évidemment la palme d’or j’aurais du me méfier.
    Eslenya
    Eslenya

    8 abonnés 208 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 janvier 2019
    Une famille recomposée dans le sens le plus atypique du terme qui vit de rapines dans un bidonville. Malgré la pauvreté et la composition très particulière de cette famille, un sentiment de bienveillance émerge vis à vis de tous ces membres. Un beau film.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 13 janvier 2019
    Un presque huit clos réussi et brillant. Magnifiquement filmé, on aime l'histoire, le jeu des acteurs et l'esthétique.
    C'est un très beau film.
    Attigus R. Rosh
    Attigus R. Rosh

    158 abonnés 2 421 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 février 2019
    Une affaire de famille est un film qui m'a moyennement emballé.
    J'admets avoir été un peu perdu dans les relations entre les différents protagonistes (notamment entre Aki et ses parents biologiques, où les motifs de leur séparation sont assez flous).
    Les acteurs sont pourtant franchement convaincants, même les plus petits.
    On ne peut dire non plus que le film relève du cliché du film cannois (ennuyeux, métaphysique et pompeux). Le film nous montre ici le fonctionnement d'une famille pour le moins atypique. Le concept de la morale y est très fluctuant et ambigu (entre enlèvement d'enfants et strip-tease dans les peep-shows). Ce côté fantasque est tabou est particulièrement présent à travers le personnage de la grand-mère, qui a fait des petites magouilles son mode de vie. Même si ce fonctionnement familial n'est pas très moral ni très viable à long terme, on ne peut pas être insensible à la bonne humeur au sein de cette drôle de famille. Toutefois, le caractère tabou de cette famille m'a laissé un peu de marbre. Je n'ai pas vraiment vu où le film voulait en venir spoiler: (car finalement, le modèle décomplexé de film ne s'avère pas viable à terme)
    et sur les deux heures de durée du film, il y a tout de même d'indéniables longueurs.
    Donc, je reste très mitigé sur ce film. D'Hirokazu Kore-eda, j'ai clairement préféré Tel Père, Tel Fils.
    Bernard D.
    Bernard D.

    100 abonnés 604 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 décembre 2019
    J’ai revu « Une affaire de famille » de Hirokazu Kore-eda dont j’avais « massacré » la critique en ne lui mettant que 1,5 et en parlant de la famille Groseille de « La vie est un long fleuve tranquille » de Étienne Chatiliez (1988) ou de celle de « Affreux, sales et méchants » de Ettore Scola (1976) ! En fait et comme souligné récemment dans une interview de Ken Loach, bon nombre d’européens ont du mal avec le cinéma asiatique du fait de la difficulté d’identifier les personnages. C’est bien ce qui m’était arrivé car pendant tout le long du film j’ai essayé de savoir dans cette famille pour le moins hyper recomposée, qui était qui par rapport à tel autre personnage et quel secret non partagé avec les autres les réunissait pour assurer in fine une cohésion dans cette famille peu orthodoxe.
    J’avoue que je n’avais pas capté tout de suite les liens qui se nouent entre le petit Shota qui par ses vols à l’étalage ravitaille la famille et la dernière arrivée, la petite Juri trouvée dans la rue, et que Shota va prendre sous sa coupe pour l’initier à « son futur métier ». Le temps passant, Shota à l’occasion notamment du décès d’un marchand de confiserie qui n’était pas dupe de ce que Shota faisait dans sa boutique, va en quelque sorte se ranger pour que sa petite demi-sœur ne suive pas le même destin de misère que lui. Il va se laisser « capturer » par la police pour partir dans un centre éducatif même s’il regrette la relation qu’il avait avec son beau-père qu’il se décidera enfin d’appeler « papa ».
    Pas facile de voir certains films … selon notre humeur, notre âge, nos préjugés.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    913 abonnés 4 837 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 mai 2020
    On a du mal à apprendre la vérité la fin du film. C'est terrible tous ces mensonges qui au final semblaient tenir le coup au vu de la famille aimante et protectrice.
    La scène de la plage en est un témoignage. La famille est peut-être aussi un leurre pour beaucoup car elle n'offre pas l'amour dont les enfants ont besoin.
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