Avis : L'Enfer du dimanche - Page 9

Je vais être un peu réducteur mais il faut beaucoup aimer le football (américain) pour apprécier le film. Ne pas être dégouté par son système - qui est le système des sports médiatiques actuellement - et aimer les réalisations pompeuses, tape à l'œil. Pour moi, l'un des plus mauvais film d'O. Stone.

Enfin un film "complet" sur le football americain ou ils essayent de montrer tous les aspects de ce sport sans pitier. La réalisation colle parfaitement au film, on peut ressentir toute la tension des enjeux des matchs, vraiment un très bon film avec de plus de bons acteurs.

Tres bon film sur l'univers du football US.On y découvre Jamie Foxx et surtout Al Pacino et son charisme impressionnant.

Film a voir uniquement pour la maestria avec laquelle les matchs de football americain sont filmés. Sinon, c'est bling bling a donf, pacino en fait des tonnes, et l'histoire est sans interet. Si l'envie de vous faire un clip MTV pendant 2h30 vous prend, regardez ce film.

malgré la bonne prestation d'al pacino, le film n'est qu'un long clip de deux heures trente,
il faut être passionné par le football américain pour aimer ce film bruyant et mal construit,
ce n'est certes pas l'une des meilleurs oeuvres d'oliver stone

Un réalisateur d'une grande renommé, des acteurs que l'on ne présente plus, un sujet d'une grande ampleur, puisqu'il s'agit du monde du football américain, sport numéro 1 au USA. Et le film passe malheureusement à coté de son potenciel, et donc a coté du chef d'oeuvre. Les scènes de match sont certes filmés avec grand moyen et beaucoup d'effets visuels impressionnants, mais font parfois pensé à un clip interminable avec une musique agréssante, bruiyante, et sans l'intensité voulue, car la tension mis en place est étouffé par une issue trop prévisible, et donc par un suspense quasi inexistant. Dommage car Oliver Stone avait exploité avec expérience le coté finance ainsi que le monde des affaires (dirigé par une Cameron Diaz qui ne parait pas à sa place) seulement voila, Wall Street, c'était il y a douze ans, et tout ne tourne heureusement pas autour de l'argent. Le film parvient tout de même à remonter la pente avec une scène final palpitante, bercé par une émotion décontenançante, porté par des répliques d'un Al Pacino qui semble tirait les ficelles à lui seul. Sans véritable intrigue, un film qui reste agréable et divertissant. Du beau spectacle !

L'ambiance est tellement bien faite qu'on se croirait dans un documentaire! Malheureusement, ceci n'a pas que des avantages car les musiques , cris des spectateur,ambiance sonore,... sont tellement puissantes par rapport aux voix des acteurs que l'on comprend a moitié les dialogues ( c'est vraiment très ennuyant).Le scénario est bien construit sans pour autant être extraordinaire. Al Pacino joue vraiment bien de même que Dennis Quaid et Cameron Diaz.Finalement, on retiendra de "L'enfer du dimanche" une excellente réalisation de Oliver Stone et un bon jeux d'acteur mais aussi une bande son désastreuse et on notera aussi une durée un peux trop longue.

Avant ce film, je ne comprenais rien au foot US … après non plus d'ailleurs. Toutefois, j’ai trouvé cet "Enfer du Dimanche" intéressant. On vit l’action au cœur du jeu et des vestiaires, les caméras étant au plus près des joutes de ces gladiateurs des temps modernes. Bien que l’histoire ne soit pas des plus originales, ça transpire la tension et l’adrénaline, les rivalités et les magouilles, sans omettre les enjeux financiers et publicitaires. Au delà des (trop) nombreux "flous" et ralentis racoleurs, le montage est hyper nerveux et la bande son juste énorme. En passionné, Oliver Stone a réuni un casting prestigieux : Al Pacino, Cameron Diaz, Jamie Foxx, Dennis Quaid, James Wood, Aaron Eckhart, LL Cool J., Jim Brown, Matthew Modine, John C. McGinley, Lauren Holly, Ann-Margret et Charlon Heston.

Un très bon film d'Oliver Stone. Sa réalisation est comme d'hab excellente, le casting est suprenant mais fonctionne à merveille. L'univers du foot américain, en dehors et sur la pelouse.
seul bémol, un montage parfois trop saccadé. Mais rien de bien méchant.

Oliver Stone réussi l'exploit de nous intéresser au football Américain et au-dessous de son sport avec "L'Enfer du Dimanche". Sa mise en scène si atypique avec tous ses effets de style et son montage nerveux ne m'ont pas forcément déplu et permettent de nous plonger dans l'enfer qu'il nous décrit. Le scénario est plutôt bien écrit, nous proposant des bons rebondissements et au final le film est captivant. Les interprétations sont excellente et en premier lieu un très grand Al Pacino. Un bon film, surement l'un des derniers de Oliver Stone, malgré que ce soit assez loin de ses plus grandes œuvres tels que J.F.K ou Platoon.

Comment rater ce monument de conneries ; et puis il y a tous ces gens si fabuleux, le dimanche... ( Touch me. )

Un film qui se laisse regarder. Mais il ne faut pas à en attendre plus

Avec L'enfer du Dimache, ce que réalise Oliver Stone n'est pas seulement un film sur le sport, sur le milieu du sport, sur les enjeux moraux, financiers et médiatiques du sport, c'est avant tout un défouloir, avec des images virulantes, des musiques qui pètent, des acteurs énorments (Jamie Foxx, Al Pacino, Cameron Diaz...) et des matchs de football Americain qui en mettent plein les yeux. Durant près de deux heures et demi, le spectateur est comme au coeur d'un match de football, avec tous les accôtés de ce sport (richesses, buisness, média...). Une véritable claque visuelle et un choc cinématographique signé une fois de plus par un grand Oliver Stone. Grandiose.

Un film sur le base ball sans grand intérêt.
C'est long, répétitif, ennuyeux...
Le sujet n'est pas emballant.
Il n'y a pas trop d'histoire c'est plus une biographie ou un documentaire.
La caméra n'est pas toujours bien placée durant les matchs.
Oliver Stone me déçoit une fois de plus après "Alexandre"
et je commence à me demander si je ne me suis
pas trompé sur son compte.
Il nous a habitué a tellement mieux avec "Tueurs nés" car ce fait film
dénonçait la presse. Mais avec "l'enfer du dimanche" cela fait
de lui un réalisateur débutant.

Oliver Stone livre, au travers d'un film sur le football, le portrait subtil de son pays.
Au final, un bien beau film sur les valeurs du sport, le business, le respect du passé, la vacuité de la jeunesse. Et le sport n' avais jamais été filmé comme ça!