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    Climax
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    242 critiques spectateurs

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    karpathakis y
    karpathakis y

    20 abonnés 633 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 11 janvier 2020
    Climax signifie orgasme, point culminant, apogée et bien on est loin de tout ça quand on voit ce film. Etant dans la section "Horreur" j'ai voulu le voir, heureusement que je n'ai pas eu à payer pour ça ! On assiste à un genre de casting de danseurs, dont certains se retrouvent d'ailleurs dans une boîte de nuit. Voilà cette bande d'idiots se met à danser, certains très bien et voila t'il pas qu'ils ingurgitent une boisson frelatée...À partir de la c'est la nullité totale, dialogues affligeants, histoire sans aucun intérêt, intrigue inexistante. Je me demande pourquoi ce film est dans la section Horreur et pourquoi il est interdit au moins de 16 ans ? Les amateurs de musiques et de danses des 80ties apprécieront, certainement pas moi. Après avoir vu le navet qu'est Irréversible, je n'enverrait qu'une critique pour l'assembler de l'oeuvre de Gaspar Noé que je considére comme nulle. Mais comme je dis toujours, il en faut pour tous les gouts...:)
    Rafoxfly
    Rafoxfly

    2 abonnés 106 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 février 2019
    Juste sublimes, j’ai adoré ce film. Je l’ai acheté en blu-ray dès sa sortie le 30 janvier.
    Y’a une magie autour de ce film que je ne pas décrire, les danseurs/acteurs sont parfaitement choisis, les musiques colle parfaitement à l’ambiance du film. Climax n’est ni gore, ni sexuel ni vulgaire, c’est un film transgressif dans sa manière de montrer les choses, dommage cependant que le film soit aussi court (1h40) 2h30 aurait était parfait selon moi. Je suis fan de Gaspar Noé depuis irréversible, l’enfant terrible du cinéma français et de toute évidence Climax est un menu maxi best of de son art. Vraiment génial, bonne idée de film et juste merci Gaspar, j’attends le prochain film avec impatience.
    Marc L.
    Marc L.

    40 abonnés 1 487 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 mai 2020
    Depuis ses premiers faits d’armes à la fin des années 90, Gaspard Noé s’est imposé comme le plus radical des réalisateurs français en activité : il est même l’un des rares dont je me dis systématiquement que ne pas avoir vu ses films sur grand écran devait sans doute diviser leur impact par deux. D’un autre point de vue, ce n’est peut-être pas un mal de parvenir à ce demi-résultat puisqu’il y a rarement de “fond” à proprement parler et que si personne ne remettra en question la virtuosité du personnage et de son chef opérateur attitré, son unique objectif semble être d’étaler ses obsessions, généralement assez voisines de ce que l’humanité peut générer de pire. ‘Climax’ suit les règles des 3 “D” : Dialogues, pour ouvrir le buffet...c’est sans grand intérêt à vrai dire, d’autant plus que comme il ne s’agit pas d’acteurs mais de danseurs et de chorégraphes, il ne faut pas trop compter sur eux pour apporter du relief aux conversations. Danse, ensuite : les mouvements sont impressionnants mais ils se prolongeront peut-être un peu trop longtemps au goût de ceux qui n’éprouvent pas de passion particulière pour ce médium. Défonce, finalement, et c’est là que les choses sérieuses commencent : la caméra continue à virevolter nerveusement, le choc des couleurs s’accentue et s’accélère, la tension augmente, la violence se libère, le volume sonore devient intolérable. Au moins, le film porte-t-il bien son nom, car Noé et Debie se livrent à un travail de sape de haute volée, qui attaque méthodiquement les résistances nerveuses du spectateur sans la moindre pause. C’est le craquage nerveux qui est ouvertement visé et, de fait, il n’y aurait que de bonnes raisons de déposer les armes et d’abandonner la séance en cours de route puisque le film ne raconte rigoureusement rien et se contente de fourrailler dans les tripes du public, comme s’il cherchait le point de rupture où il pourra frapper. Au cinéma, je peux concevoir que la vision de ‘Climax’ doit s’apparenter à une expérience sensorielle de l’extrême, à l’usage de ceux qui ont les nerfs bétonnés. Sur un écran plus petit, il ne reste que le malaise et la question de savoir pourquoi on a poursuivi cette expérience masochiste, mais fascinante je le repète, jusqu’à son terme. Pour ma part, je n’ai pas encore tranché…!
    Hypertension
    Hypertension

    2 abonnés 183 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 1 mars 2024
    C'est bizzarre après avoir vu ce film de ce dire "j'ai aimé ce film". Car après tout, l'expérience est bien trop malaisante et dérangeante pour qu'on apprécie le moment. Mais n'est-ce pas là justement la réussite du film ? Nous mettre dans une position absolument désagréable et limite de torture psychologique. Si je devais reformuler, je dirais que j'ai détesté regardé "Climax", mais une fois visionné, en y repensant, j'ai adoré l'expérience qu'il m'a procuré.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 4 octobre 2018
    Gaspard Noe fait du Gaspard Noe ni plus ni moins. Des scènes parfois longues, jeu d'acteurs approximatifs, ambiance malsaine voire cauchemardesque. Mais un climat qui lui est propre. Le même qu'Irréversible.
    Son style a lui.
    Pas un grand film loin de là.
    Pas une daube non plus.
    Une autre experience.
    Scénario Catastrophe
    Scénario Catastrophe

    27 abonnés 156 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 septembre 2018
    Climax est avant tout une expérience sensorielle, dont on ne sort pas vraiment indemnes, les yeux un peu affolés et la tête dans les vapes. Cet instant de cinéma est une prouesse, la caméra tournoie et se perd mais les plans sont toujours justes et les plans séquences sont magistraux. C'est à voir rien que pour ça, rien que pour assister à un cinéma qui se distingue du reste, où le générique est reparti dans le film, sert le film, martèle des noms pour finalement nous laisser sur une dernière image, blanche, vaporeuse, comme pour quitter ce film en douceur. Comme dans irréversible, Gaspard Noé chamboule l'ordre du film, commençant par le dramatique et le générique, terminant par l'apaisement général et la renaissance, spoiler: au point que même les morts paraissent délicates
    Ce qui est surprenant, aussi, c'est la chaleur qui se dégage de l'atmosphère face à la froideur des propos, des personnages et de leurs actes. mais on ne sort étonnement pas traumatisé de ce film, bien qu'on assiste au cahos, au déchirement.( Au point parfois de trouver ça ridicule d'ailleurs...), il y a aussi des moments drôles, drôles et dérangeants, quand le réalisateur filme ses comédiens par petits lots. On les voit parler les uns des autres, par un jeu de plans successifs, on comprend toujours de qui il s'agit. Noé réussit à installer chaque personnage alors qu'ils sont une bonne dizaine. Chacun d'eux est très singulier, marqué par une tenue vestimentaire, un trait de caractère fort. Certaines font peur, sont un peu freaks et ajoutent de l'amplitude à la démence.
    jthuil
    jthuil

    9 abonnés 300 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 13 octobre 2019
    Gaspard Noé n'a toujours strictement rien à dire d'intéressant dans cette énième provocation immature et creuse, comme d'habitude. Restent quelques jolis plans séquences en ouverture qui permettent aux critiques de s'extasier.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 8 juin 2019
    Un film à l'image de son pitch : énigmatique et culotté. À savoir une absence d'intrigue assumée, sinon une montée en puissance nous menant tout droit au chaos. La scène d'ouverture place la contextualisation de l'épisode raconté au cœur des années 1990, préfigure les castings de télé-réalité que nous connaîtrons peu de temps après. Ainsi nous place-t-on par le bout de la lorgnette, l’œil sinon pervers, du moins maladivement curieux. Décomposé en trois parties distinctes, notamment discernable par un générique de fin (en l'occurrence de milieu) placé entre la phase de tension naissante et la violente phase finale, comme pour laisser une chance aux plus sensibles de quitter la salle à temps pour échapper à la résolution macabre. Cet OFNI à l'ambiance alternant le glauque et le flamboyant choque moins la morale qu'il ne déclenche de réactions organiques. D'abord bluffé par un numéro parfaitement synchronisé, nous sommes ensuite happés par les rivalités sous-jacentes au sein de ce groupe de danseurs. Unis par leur passion, mais totalement divisés une fois sortis de leurs personnages scéniques, envieux, médisants, manipulateurs ou bornés dans leurs objectifs de conquête. Nous retrouvons fidèles au poste les mouvements virtuoses de la caméra de Gaspar Noé, véritablement actrice en elle-même et partie prenante de l'immersion à laquelle se soumet le spectateur. Le schéma proposé est une sorte d'anti Irréversible puisque celui-ci allait de l'ombre à la lumière quand ce nouvel opus devient saccadé à la mesure de sa plongée dans les abîmes. La bande-son, sorte d'anthologie de l'electro-disco-funk des origines, contribue à nous maintenir dans un état proche de l'hypnose. Qu'importe certains dialogues difficilement audibles, qu'importe le peu d'épaisseur de certains personnages, qu'importe l'explication convenue concernant les effets néfastes de cette maudite sangria, nous sommes tant au cœur de la fête (dans un premier temps) puis du drame que nous rigolons, explosons et souffrons en même temps que les protagonistes. Une expérience cinématographique rare, limite impossible à évaluer autre que sur le plan technique et physiologique, mélange d'oppression et de libération de nos plus bas instincts. Nous regardons une jeunesse s'adonner à une vacuité destructrice et nous écarquillons les yeux de fascination, soit le même état ressenti par beaucoup au moment du premier Loft Story en 2001. Gaspar Noé le cinéaste transgressif ramené à un sous-genre télévisuel adulé par une masse intellectuellement paresseuse ? La comparaison est certes osée, et nettement en-deçà du défi relevé par Climax...
    Cirio
    Cirio

    1 abonné 34 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 avril 2019
    L’expérience de cinéma la plus viscérale de ma vie, un voyage en entonnoir direction l’enfer. Absolument hallucinant.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    6 192 abonnés 7 235 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 septembre 2020
    Dans la droite lignée d’Enter the Void (2010), qui était rappelons-le un énorme bad trip hallucinatoire & épileptique de 150 minutes ! Autant vous dire tout de suite, que si vous n’aviez pas apprécié celui-ci, vous risquez fort de rester hermétique à Climax (2018), un trip musical & sous acide qui part en vrille crescendo.

    Le film met en scène une troupe de danseurs qui organise une petite fête histoire de décompresser (après une semaine d’intenses répétitions en vue d’un spectacle). La musique 90’s fait déhancher ces jeunes infatigables, l’alcool coule à flot, la bonne humeur se faire sentir, ils dégagent tous de la joie de vivre. Bien évidemment, alcools & drogues ne font jamais bon ménage bien longtemps. Et ils vont vite le regretter…

    La puissance du film réside dans le fait que Gaspar Noé a réalisé son film sous la forme d’un huis clos en temps réel et ce, afin de mieux nous faire vivre de l’intérieur cette expérience musicalo-anarchiste (les membres de la troupe vont consommer à leur insu une substance hallucinogène), transformant la petite fête en un véritable trip d’inconfort, à la fois nauséeux & vomitif pour certains, violent & schizophrénique pour d’autres.

    S’enchaîne alors devant nos yeux ébahis, des plans-séquences à la pelle, tous rythmés au son d’une B.O. aussi bien enivrante que jouissive (Erik Satie, Chris Carter, Marc Cerrone, Patrick Hernandez, Thomas Bangalter, Giorgio Moroder, Daft Punk ou encore Aphex Twin pour ne citer qu’eux !). Des plans de street-dance endiablés où s’entremêle hip-hop, voguing ou encore crump, le tout filmé comme un si vous aviez pris de l’acide juste avant d’entrer au cinéma (lumière saturée, cadrages hasardeux, plans à l’envers, image dégradée et/ou saccadée, …). La camera virevolte et oscille non-stop dans les couloirs de l’école et suit sans discontinue les membres de la troupe, qui tentent ce qu’ils peuvent pour survivre à cette nuit de folie.

    Une mise en scène soignée au millimètre près, des improvisations et des performances qui imposent le respect. Comme à son habitude, Gaspar Noé ne laissera pas indifférent les spectateurs. Que l’on y adhère ou qu’on le conspue, il faut bien admettre que ce type est un génie !

    ► http://bit.ly/CinephileNostalGeek ★ http://twitter.com/B_Renger ◄
    Artriste
    Artriste

    83 abonnés 1 824 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 novembre 2023
    Drame psychologique, écrit et réalisé par Gaspar Noé, Climax est une expérience suffocante de grande qualité. L'histoire se déroule dans une salle isolée en bordure de forêt, et nous fait suivre une troupe de danseurs se lançant dans une fête pour décompresser après trois jours de répétitions intensives. Seulement, très vite, il apparaît que quelqu'un a versé une substance illicite dans la sangria qu'ils buvaient. Ce scénario nous plonge pendant environ une heure et demie, dans une véritable descente aux enfers se déroulant en plusieurs phases. Plus les minutes avancent et plus les effets se font ressentir, aggravant la situation avec le temps. L'ambiance, au départ festive et amicale, va laisser place à une atmosphère horrifique, malsaine, glauque, anxiogène et violente, créant un ressenti viscéral. Cette intrigue, traitant entre autre de l'avortement et de l'inceste, est portée par de nombreux personnages présentés de façon judicieuse afin de faire en sorte qu'ils soient reconnaissables. Des protagonistes aux personnalités bien distinctes, authentiquement interprétés par une distribution comportant de vrais danseurs n'ayant jamais joué la comédie pour la plupart, hormis Sofia Boutella et Souheila Yacoub. Tous ces membres ont une énergie folle, dansant sans fin et de façon endiablée le voguing, le krump et le waacking, dans un état second de transe et de démence. Leurs corps, perpétuellement en mouvement, nous offrent des chorégraphies aussi impressionnantes que dérangeantes, chacun étant plongé dans sa propre folie. Les relations qu'entretiennent tous ces rôles vont peu à peu complètement changer au fil des effets de la drogue ingérée qui provoque des pulsions menant à la déchéance, au chaos, créant la dislocation du groupe. Les dialogues échangés vont se durcir et la complicité va laisser place à la malveillance et l'injure. L'ensemble est très bien réalisé par Gaspar Noé dont on retrouve sa patte unique. En effet, sa mise en scène aérienne, tourbillonnante et hypnotique, nous immerge au cœur de l'action dans une spirale de violence. Comme à l'accoutumé, il nous gratifie également de très longs plans-séquences étouffants, pendant lesquels sa caméra virevolte dans un environnement clos et effrayant aux néons de toutes les couleurs, dans le dessein de soigner sa photographie paradoxalement aussi sombre que colorée. Ce visuel traumatisant est accompagné par une b.o. très présente, aux compositions oppressante de grande qualité. Celle-ci est d'une importance capitale vu le sujet et joue parfaitement son rôle en tabassant les oreilles pour nous ensorceler. Il en va de même pour les nombreux cris entendus créant un sentiment de malaise et de dérèglement mental. Cette soirée arrosée cauchemardesque s'achève sur une fin dont la révélation sonne comme une délivrance, venant mettre un terme à Climax, qui, en conclusion, est une œuvre méritant d'être vécue, même si elle laissera un souvenirs éprouvant.
    El_galu31
    El_galu31

    67 abonnés 336 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 juin 2022
    Film très bizarre, très étrange, film très très violent aussi que j'ai rarement vu avec Love Hunters
    Mais ça se mérite d'être vu parce que c'est un film qui a été primé meilleurs films a Sitges en 2018
    togashikanok
    togashikanok

    17 abonnés 33 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 octobre 2019
    Le film se compose en deux parties. La première partie avec un casting, de la danse et des dialogues est censée introduire les personnages sauf qu'au bout de 45 minutes on ne connait pas grand chose d'eux. Dans les castings ils ne parlent que de la danse et dans les dialogues ça reste ras les pâquerettes. On n'arrive même pas à se souvenir d'un prénom d'un personnage à la fin. Quand arrive la deuxième partie on se moque complétement de ce qu'il peut arriver à ces personnages vu que l'on ne les connait pas. Un film comme Requiem for a dream ou Trainspotting nous amène à être attaché aux personnages ce qu'il fait que quand ils leur arrivent quelque chose on a de l'empathie pour eux, ici ce n'est pas le cas. Pas d'attachement ni une montée en puisssance. Un moment ils vont bien l'instant d'après ils vont très mal. Ce qui fait que les scènes choquantes ne le sont pas vu qu'on a aucune empathie pour les personnages. Pour moi j'ai regardé des acteurs qui jouaient et je n'ai jamais vu des personnes dans une situation.
    Points positifs: C'est bien filmé et l'ambiance est bien rendue.
    sylvain m.
    sylvain m.

    37 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 décembre 2019
    les 20 premières minutes sont superbes je trouve, avec des danseurs et danseuses magnifiques, excellents . Dommage qu'ils s'arrêtent de danser pour basculer dans un very bad trip , sans queue ni tête . 4,5 étoiles pour les 20 premières minutes et 1,5 étoiles ensuite . A noter quand même qu'une actrice ( blonde au carré ) fait une belle performance d'acteur quand la caméra la suit un peu partout dans le local., assez impressionnant .
    Caro W
    Caro W

    5 abonnés 16 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 6 septembre 2019
    Trop décue. J'attendais ce film depuis des mois, je l'ai raté lors de sa projection en salles, et finalement, je suis ravie de ne pas avoir payé de place pour ça. J'ai lu énormément de critiques, j'étais impatiente... et en fait, j'ai vu 1.30h de mecs et de nanas en bad de LSD parce qu'ils en ont trop pris.
    Je ne comprend pas pourquoi il a le droit de porter l'étiquette "horreur". Que dire des incohérences : spoiler: (toute mère en panique va planquer son gosse dans un local électrique, c'est bien connu. Et elle ne reste pas avec lui pour par exemple être sure qu'il est bien et en sécurité, personne ne ferait ça. Par ailleurs, jamais j'irai mettre mon enfant dans un lieu sûr dont les murs de sont pas tapissés de câbles et de prises : du grand n'importe quoi).

    Bref, aucun scénario, effets spéciaux zéro, histoire zéro, seule la musique et les danseurs sauvent le film.
    Les plans fixes qui durent des plombes, la caméra à l'envers ou les génériques disséminés un peu partout sont censés transformer le film en une oeuvre étonnante et grandiose d'originalité, or, non, c'est juste chiant.
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