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    The Woman King
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    276 critiques spectateurs

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    Bart Sampson
    Bart Sampson

    291 abonnés 543 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 septembre 2022
    Le film "Woman King" est sorti accompagné de critiques défavorables dont un Zéro pointé des amis du Monde ( des fois je me demande pourquoi je le lis tous les jours depuis mes 17 ans !).
    Je suis donc allé me faire ma propre opinion et franchement il est loin d'être inintéressant.
    Il a déjà le mérite de nous faire connaître un pan de l'histoire africaine qui même romancé comporte une part de vérité.
    Les Mino ou amazones du Dahomey furent un ancien régiment militaire entièrement féminin du Royaume du Dahomey (actuel Bénin) qui a existé jusqu'à la fin du xixe siècle. Elles furent surnommées ainsi par les colons occidentaux et les historiens à cause de leurs similitudes avec les mythiques Amazones de l’ancienne Anatolie.
    La plupart des critiques occidentaux étant blancs, mâles et souvent issus des couches bourgeoises, je comprends tout à fait qu'un film respirant l'Empowerment féminin et afro américain n'est pas leur tasse de thé, mais objectivement j'ai trouvé le film honnête dans sa production et son exécution.
    Je n'ai pas apprécié les mauvais accents africains prononcés en américain mais il y a tellement de film hollywoodiens qui font cette erreur ( Les films "House of Gucci" ou "le dernier duel").
    Enfin je me rappelle des films de la Blaxploitation conçu pour un public noir américain qui fréquentait les cinémas car les blancs restaient devant la télé mais dont le niveau artistique était parfois limite et surtout dont la production échappait à la communauté à laquelle ils se destinaient.
    Dans l'amérique actuelle ou l'élite afro américaine (Oprah, Beyoncé, Will Smith) souhaite tourner d'autres histoires que des trucs de bandits et de dealers, ce film est recommandable et même positif pour la jeune génération.
    Donc moi je ne lui mettrai pas un zéro pointé 🙂
    Jorik V
    Jorik V

    1 196 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 septembre 2022
    Difficile de ne pas apprécier ce film généreux et sa puissance de divertissement. Il est certes loin d’être parfait mais ne comporte pas de défauts majeurs empêchant de pleinement l’apprécier et de voyager durant deux bonnes heures. Il ressuscite un certain cinéma d’exploitation à l’ancienne comme on en fait malheureusement quasiment plus et en y ajoutant une bonne dose de modernité et d’inclusion. Du vieux avec du neuf et dans l’air du temps en somme. Mais de la bonne manière, pas à la sauce Netflix en mettant des personnages de couleur dans un film d’époque où il n’est pas censé y en avoir... Ici, même si « The Woman King » prend quelques libertés historiques, tout cela est inspiré de faits réels. Et ce long-métrage palpitant et puissant pourrait devenir le porte-étendard de toute une génération de femmes de couleur en amenant son contenu historique réel à imprégner notre monde actuel. On l’espère en tout cas. Car le « girl black power » n’a jamais été aussi beau, intense et juste que dans cette fresque épique.

    Et pour enraciner cela, il fallait bien sûr des personnages forts et bien écrits. Ils le sont. Et encore plus important, des actrices capables de les incarner de manière flamboyante. Et c’est le cas. Viola Davis, en route pour les Oscars, est impressionnante en chef guerrière et trouve là le rôle d’une vie dans un film grand public qui devrait définitivement asseoir son talent. Tantôt émouvante, tantôt implacable et tantôt combattive (elle manie les armes avec une dextérité surprenante et crédible), elle est sidérante. Mais elle n’est pas seule : Lashana Lynch peut supporter les mêmes éloges et apporte une touche d’humour bienvenue tandis que Sheila Atim est un beau rôle de support. Enfin, la nouvelle venue Thuso Mbedu est une révélation sur laquelle il faudra compter et elle tient la dragée haute à toutes ses collègues plus expérimentées. Mais n’oublions pas Gina Prince-Bythewood derrière la caméra, car cela aurait été illogique de confier la mise en scène d’un tel film à un homme : elle se débrouille aussi bien dans les scènes de combat pleines de fureur que dans les moments plus intimes en plus de gérer une direction artistique opulente et du meilleur effet, bien que quelque peu fantasmée.

    Le récit débute sur les chapeaux de roue et on ne se lassera pas de suivre ces amazones africaines dans leur combat. La seconde partie souffre de quelques ralentissements et séquences évitables mais sur un film de plus de deux heures en forme d’épopée guerrière, cela passe. Il souffle dans ce « The Woman King » un grand vent de film d’aventures à l’ancienne qui fait du bien. Les paysages et décors sont à couper le souffle et assure un dépaysement agréable. On déplore quelques passages obligés et sous-intrigues inutiles (la romance entre Nawi et Malik), un côté parfois un peu manichéen et des violons finaux un peu poussifs mais ces travers purement hollywoodiens d’une époque révolue font partie du charme de l’ensemble. Et les discours sur l’esclavage, la liberté et les poussées féministes sont plutôt bien négociés. Du cinéma à grand spectacle rare, exotique et plein de bonnes intentions, confectionné avec soin, sincérité et savoir-faire.

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    Lyah
    Lyah

    334 abonnés 984 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 octobre 2022
    Un mot pour résumer ce pur chef d'oeuvre : PUISSANT ! De loin un des meilleurs films que j'aie pu voir ces dernières années ! Des actrices charismatiques et au top de leur forme, ainsi que des scènes de combats impressionnantes ! Vraiment du très lourd !
    Bak B
    Bak B

    32 abonnés 3 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 novembre 2022
    Très bon film qui a fini sous les applaudissements du public!
    Film qui retrace la force militaire et politique du royaume de Dahomey, Benin actuel. Les femmes guerrières de Dahomey sont un exemple de grandes guerrières du continent africain qui ont su défendre leur royaume face aux autres empires voisins ainsi que face aux esclavagistes blancs venus acheter et troquer des prisonniers. Je recommande à 100%

    Certains commentaires fait sur ce film sont pitoyables, on lit que ce film n'a rien d'historique ? Connaissez-vous l'histoire des empires de l'Afrique de l'Ouest pour écrire cela ou pensez-vous que le continent n'a pas d'histoire comme le raconte l'éducation nationale française ? On lit également que le film présente à tord une Afrique propre, quel commentaire raciste ! Voit-on la saleté et les rats dans les films tournés dans Paris, dites-vous également que ces films sont mensongers et cherchent à favoriser le tourisme ? Pourtant le plus ironique est que la capitale parisienne est tellement sale que des touristes en provenance du Japon viennent nettoyer Paris, d'autres souffrent du "syndrome de Paris"...
    Bdfoucher
    Bdfoucher

    45 abonnés 94 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 octobre 2022
    Film original, plein de fureur et d’action, qui retrace le combat héroïque des unités militaire féminines du royaume du Dahomey au prise avec celui d’Oyo, sous le long règne du roi Ghezo (1818-1858). Gina Prince-Bythewood, la réalisatrice, n’a pas ménagé sa peine (budget de 50 millions de dollars) pour restituer l’épopée de ces femmes spartiates noires dévouées à leur cause et à leur roi et conduite par la générale Nanisca (Viola Davis), sélectionnées durement et entraînées à l’art du combat et du tir (fusil danois achetés par la traite). Sous le monarche Dahoméen, sorte de roi-sergent à la prussienne, l’armée du royaume était composée de 4 à 6000 femmes et constituait le tiers de l’effectif de l’armée du Royaume. Dans le film, la générale Nanisca, entourée de Izogie (Lashama Lynch) et de Amenza (Sheila Atim) cherchent à renouveler les effectifs des redoutables amazones ( les Agojie) décimées par les derniers combats. Parmi les recrues se trouve Nawi (Thuso Mbedu) , pleine de hargne, dont le père adoptif s’est débarrassé car trop difficile à marier. L’histoire nous apprendra qu’elle est la fille de Nanisca. Tout le film narre l’histoire des combats menées contre les assaillants du royaume du Dahomey qui décide de mettre fin à la traite et refuse de payer tribut au royaume d’Oyo et à son général Obo Ade qui fut l’un des tortionnaires de Nanisca jeune. L’action est trépidante et les scènes de combat superbement orchestrées, tellement bien qu’on en oublie l’idylle naissante entre Nawi et un portugais mulâtre, Malik , qui découvre la terre de sa mère et refuse de suivre son frère dans une traite dont il paie de sa vie le prix. Tout rentre dans l’ordre. Ouidah, le port du trafic, est brûlé, Obo Ade tué en combat singulier par Nanisca et le royaume sauvé . Nanisca pour sa bravoure est élevée au titre de femme roi. Les guerrières feront parler d’elles encore longtemps puisque leur corps ne sera dissous qu’en 1894 après de terribles pertes contre la légion étrangère qui s’empare du Royaume à cette date. La dernière amazone disparaît en 1978. Elle s’appelait Nawi précisément. Beau film même si la romance, très mièvre, en affaiblit le propos qui est la femme guerrière impitoyable, domaine réservé à tort aux hommes puisque les héroïnes dans ce domaine sont nombreuses. Boadicée en Angleterre qui combattit les légions romaines, Tomyris, la reine des Massagètes, qui tua Cyrus le grand ou encore l’amirale Artemise en Grèce ne nous sont guère connues. On pourrait aussi citer Zénobie, Amanishzkéto et tant d’autres sans oublier notre Jeanne.
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    590 abonnés 2 705 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 février 2024
    Grosse claque The Woman King. Délicieux mélange entre "film à Oscars" et gros divertissement hollywoodien, c'est une puissante aventure humaine et féministe. C'est narrativement très solide et les interprètes sont au top de leur forme, Viola Davis en tête.

    https://www.cineserie.com/news/cinema/the-woman-king-decouvrez-lhistoire-vraie-des-agojie-5418798/

    https://www.cineserie.com/critiques/cine/the-woman-king-un-seduisant-melange-de-cinema-intimiste-et-de-production-grand-public-5418787/
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 29 septembre 2022
    Hollywood, pour faire tourner la boutique, doit constamment rechercher des personnages ou symboles forts et lucratifs.
    Ce sont les "amazones du Dahomey" qui ont la momentanée faveur de Tinseltown cette fois. De rudes guerrières qui ne rigolaient pas du tout, se battant farouchement pour leur honneur, contre les ennemis de leur peuple, les ennemis de leur roi et surtout les esclavagistes blancs. Voilà ce que le spectateur est enjoint de croire, ce film étant "basé-sur-de-vrais-évènements-super-importants-qui-ce-sont-vraiment-passés-juré-craché". Bon.

    C'est assez spectaculaire et pas trop mal fichu. Les scènes de bastons aux bondissantes furies bodybuildées et huilées qui éclatent moult crânes en hurlant à pleins poumons font leur petit effet. L'actrice principale est indéniablement intense. Sorti de là, et même si des moyens ont été mis pour faire quelque chose de propre (les paysages de l'Afrique du Sud ne gâtant rien), l'histoire est tout de même mollassonne des genoux et pleine de clichés bancals, palais et habitations font un poil carton-pâte comme dans les péplums lourdingues d'antan.

    Abordons maintenant le sujet qui semble fâcher pas mal de monde: la vérité. Là, subitement, ça coince un peu. Nous acceptons tous une trêve de l'incrédulité quand nous entrons dans les salles obscures. C'est le jeu. Cela peut le faire avec les comédies, l'anticipation ou le fantastique. Même l'horreur. C'est plus tendu quand il s'agit d'Histoire. Mieux vaut être précis lorsqu'on en fait un film. Et ne rien oublier au passage sinon on peut présenter Pol Pot comme un pionnier de la décroissance bien intentionné qui aimait le jardinage.

    Il s'avère donc que les vertueuses combattantes de la liberté ici présentées de manière presque énamourée étaient en fait sélectionnées, entraînées puis employées par un régime de castes extrêmement autoritaire qui devait sa puissance et son immense fortune à la traite industrielle d'êtres humains. Aïe!

    Un peu de patience et quelques clics de souris permettent de beaucoup en apprendre sur ces dames pas patronnesses du tout, comme le fait qu'elles étaient elles-mêmes esclaves avant de devenir de zélés et très privilégiés tortionnaires, avec force détails fâcheux format sacrifices massivement opérés pendant certaines célébrations ou pratique courante du cannibalisme. Fermez le ban.

    On peut comprendre que certaines causes "méritent d'être défendues" [sic] et qu'un peuple veuille protéger "son mode de vie" mais la pilule est tout de même dure à avaler quand de si terribles actes semblent avoir été délibérément ignorés pour ne faire la part belle qu'à de fantasmagoriques femmes-noires-qui-bottent-des-postérieurs-mieux-que-les-hommes tellement dans l'air du temps. Parce c’est de cela dont il s’agit. Rien d’autre.

    Difficile de croire que les personnes à l'origine du projet ou celles qui ont donné le feu vert à celui-ci aient pu penser un seul instant que le commerce triangulaire et son cortège de vilenies allaient purement et simplement passer à l'as. Livres et documents ne manquant pas, le film se fait évidemment cartonner par des historiens et spectateurs tatillons.

    Le "buzz" a fonctionné cependant. La polémique fait rage. Accusations de toutes sortes fusent. Mauvaise foi et quasi-fanatisme rivalisent de fiel. Il n'y a pas de mauvaise publicité, parait-il. Vous m'en direz tant.

    Au bout du bout, chacun verra ce qu'il a envie de voir dans une soupe formatée pour être oscarisable moins divertissante que politique.

    Qu'est-ce qui ne l'est pas aujourd'hui?
    Fred Skywookie
    Fred Skywookie

    7 abonnés 21 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 4 octobre 2022
    Aaaaah le révisionnisme, que ferait Hollywood sans ça de nos jours.
    Le problème c'est que quand Tarantino fait un film qui s'annonce comme un conte, là on peu, et encore avec quelques haut le coeur, accepter que l'histoire soit réécrite.
    Mais là, le film s'annonce inspiré de fait réel, et ment ouvertement aux spectateurs, tout ça dans l'optique de servir un film progressiste.
    Non, les Dahomey n'affrontaient pas l'esclavage, elles y contribuaient et même plus longtemps que beaucoup d'autre pays.
    Prendre des monstres, et en faire des héros, en se basant sur l'ignorance des spectateurs c'est immonde.
    Pour un film qui se veut dans la lignée de la culture"Woke", ils comptent sur l'ignorance en tentant d'endormir les spectateurs à coup de belles images et de mensonges, c'est minable.
    Ce film mériterai un énorme Mea Culpa de l'équipe du film, tant au niveau du discours véhiculé que du mensonge atroce qu'il véhicule.
    lmc-3
    lmc-3

    226 abonnés 431 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 octobre 2022
    Un film plaçant son histoire en plein Afrique noir à l’âge de l’esclavage, dans une tribu où des femmes sont employées en tant que guerrières afin de vaincre ennemis, abordant sujets lourds et blablabla… que nenni! Ce n’est pas du tout le ton du film! On avait juste besoin d’un décor pour des héroïnes de couleurs badass, bien plus vendeuses aujourd’hui que les mâles blancs, l’histoire n’étant en réalité rien de plus que quelque chose de bien banal et de bien scolaire… mais surtout de bien « tout public ».
    C’est dingue, le film fait l’affront de s’aventurer sur des sujets graves, tout en étant accès grand public avec des aspects très poussé de comédie, le tout pour une expérience des moins banals: une salle en rire devant des personnages abordant le sujet du viol du corps et de l’esprit…
    Si les scènes de dialogues et d’entrainements font le taf, les combats, bien que très bien chorégraphiés, extirpent rapidement le spectateur du film tant ils manquent de crédibilité: La présence de blessures et de sang c’est entre deux plans que ça se passe le temps de maquiller acteurs et équipements: et en aucun cas pendant le tournage d’un plan.
    Seulement deux moments émouvants au milieu de tout ce cirque.
    Bien qu’édulcorée par la présence de beaux paysages et de beaux costumes: la toile de départ est beaucoup trop vide.
    Ni grand spectacle, ni grande leçon de vie: seulement dans la suffisance.
    Fabien S.
    Fabien S.

    456 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 septembre 2022
    Un très bon film historique sur les amazones du Dahomey avec Viola Davis en femme guerrière face à l'esclavage au XIXe siècle.
    Kalidou C.
    Kalidou C.

    2 abonnés 13 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 septembre 2022
    Très bon film possédant de très beaux décors.
    Viola davies toujours juste dans ses interpretations.
    Enfin des héroïnes noirs qui nous représentent dans le bon sens du terme.
    Si vous aimez l'action vous serez servi!!!
    Des libertés historiques bien sûr,mais on comprend vite que le film est basé sur du girl power et de l'action.pour ceux qui s'attendent a un film historique ce n'est pas le cas c'est du hollywood dans la veine d'un black panther.
    laurent baggio
    laurent baggio

    2 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 septembre 2022
    Comprend pas du tout la note moyenne à l'heure ou j'écris de 2,6 ! Viens de le voir avec un ami . On à vraiment bien aimé ! Les acteurs , le casting parfait ! La jeune femme je la trouve excellente ! Alors oui pas un chef d'œuvre, quelques petite longueurs mais l'histoire, les combats ...rien que pour cela à voir !
    selenie
    selenie

    5 437 abonnés 6 016 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 septembre 2022
    Pour commencer le film n'a rien d'historique, et c'est bien là son premier grand défaut. Son seul point historique est d'avoir abordé comme sujet les Amazones du Dahomey le reste est complètement fictif, romancé et imaginaire. Et pas que sur les faits militaires ou chronologiques. Ce qui frappe lorsque le film démarre et qu'on nous plonge dans le Dahomey c'est l'incroyable "propreté" de l'Afrique, une vraie pub de propagande pour le tourisme africain voir même un film révisionniste ! Le film avance que cette armée était une chance et que le volontariat était la norme alors que c'était aussi une forme d'esclavage, que la plupart étaient enrôlées de force, ou que l'autre choix était d'entrer au harem du Roi. Grâce à ce côté aventure et action women à dose féministe homéopathique le film reste un divertissement pop-corn sympathique, malheureusement sans autre portée symbolique et/ou importance culturelle tant la dimension hollywoodienne a arasé tout réalisme historique de près ou de loin. Dommage... Note très indulgente !
    Site : Selenie
    dahbou
    dahbou

    175 abonnés 2 186 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 1 octobre 2023
    Viola Davis est surement l'une des meilleurs actrices du moment mais The Woman King se se perd dans les clichés de sa trame narrative et d'une vision de l'Afrique cliché vu par Hollywood.
    Xavier T
    Xavier T

    14 abonnés 110 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 octobre 2022
    Ce film est un chef-d'œuvre empli de leçon à tirer pour les problèmes que recontre le monde moderne.

    Il y a une vraie polysémie, et s'il est mal noté, c'est parceque ceux qui notent mal ne veulent pas voir se scénario se réaliser.

    La présidence d'un pays assuré par un homme et une femme, mélanoderme de surcroît, une femme forte et sensible, respectée et admirée, blessée mais résiliente, une femme conquérante et qui n'a pas peur.

    Ce film est un chef d'œuvre je vous le dis et ceux qui ne le comprennent pas, c'est parcequ'ils ont peur que cela se réalise
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