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Fabien B.
2 abonnés
6 critiques
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1,0
Publiée le 23 août 2019
Un sujet " le hasard" mainte fois traitée par Claude Lelouch. On tourne en rond comme sa caméra autour des acteurs: des improvisations laborieuses, une émotion artificielle, un thème musical entêtant omniprésent. Je ne recommande pas...
Vraiment moyen malgré la pléiade de bons acteurs.. ambiance trop légère, dialogues plats, mous. Plutôt mal joué.. intrigue plus que moyenne et décalée. Des scènes de chant et de danse guinguette trop longues ...
Ma maman me disait "Un Lelouch, c'est comme une boite de chocolat, ... il y en a toujours un qu'on aime pas et qui laisse un gout amer " - Le souci, c'est que la boite en contient de plus en plus, et seulement 1 sur 10 est mangeable - Pas celui en tout cas. Ca sonne faux du début à la fin, la camera donne la nausée, la musique omniprésente digne d'une vision bisounoursienne de la vie et des rapports humain. Des sourires aux situations tout est forcé, mal joué, mal fini techniquement, bâclé scénaristiquement... L'utilisation d'un Smartphone est anecdotique et sans intérêt
J’aimerai honnêtement rencontrer une personne pour me convaincre des qualités de ce film s’il y en a. Filmé avec un IPhone, c’était juste un délire du réalisateur car c’est pas bon. Ensuite et bien c’est du cinéma français hors sol, avec tout le gang germanopratin et des revenantes fatiguées comme Béatrice Dalle ou Agnès Soral. C’est long, c’est lourd et c’est mal filmé... S’il était sorti en salle à mon avis, à part dans le 6e arrondissement de Paris, qui serait aller voir ça pendant 1h23 pour 12€ ? Je me pose la question car La Vertu des Impondérables fait partie de ces films hautement financés par le CNC et donc au final, par nos deniers...
L’étoile et pas une demie c’est à cause de S De Groodt. Un film qui fera tout de même tache dans sa carrière
Le film tourne autour spoiler: d'un événement grave mais qui est traité de façon plutôt légère, car le sujet du film c'est surtout spoiler: ce qui peut découler (de bon) à la suite d'un tel événement . D’ailleurs, spoiler: on n'est pas préparé à cet événement car le film démarre en chanson sur une note joyeuse puis il bascule sur un drame... un drame qu'on attendait pas et qui donc nous surprend . Enfin bref, j'ai trouvé l'histoire intéressante et elle m'a embarqué. Par contre, le défaut du film, c'est que c'est souvent mal filmé ! Et ce n'est pas parce que le film est fait avec un téléphone qu'on doit forcément avoir une mauvaise mise en scène ou de mauvais cadrages !
C'est du Lelouch, les acteurs jouent à la Lelouch (le naturel à toutes fins) mais cela donne aussi des moments formidables avec une véritable émotion, un petit côté Lalaland et malgré un sujet parfois difficile une joie de vivre, tout a un sens n'est ce pas ?
Ce film se regarde le coeur serré. Serré parce que l'histoire est nulle , parce que les acteurs jouent faux et que parfois la caméra me donne des nausées . Bref, j'ai eu juste envi que le film se termine vite.
Ca me fait mal de critiquer Lelouch. Si tu me lis Claude tu me déçois rarement mais là ce n'est pas top.
Claude Lelouch sait filmer la vraie vie comme personne, même en smatphone l'émotion est présente... quelquesoit le format le secret et le talent résident dans la sendibilit émotive de l'auteur
c'est vraiment niais, assez risible et un peu malsain. Heureusement que Stephane De Groodt assure un peu. Je suis confus, j'ai l'impression de pas avoir compris ce film du tout. grosse deception
La forme est déroutante. On a l’impression d’un film amateur, joué par des amateurs. Pas mieux qu’un téléfilm de l’après midi en semaine. En gros un nanard. Et pourtant au final ce n’en est pas un. Une sorte de magie opère, les personnages se rendent attachant, l’histoire prend corps et l’on s’habitue à la forme tant bien que mal. Ce dernier point restant pour moi un peu difficile.
Difficile de ranger ce film dans une case particulière. Par son format de réalisation atypique, il chevauche la comédie dramatique et le docu-fiction. Ce parti pris ne nuit nullement au message diffusé, sans néanmoins lui apporter réellement un supplément d'âme. Pourquoi donc ? Peut-être par un stéréotype des personnages au service d'un scénario sans grande ampleur. "La vertu des impondérables" ne me laissera pas un souvenir impérissable.
Tourné entièrement avec des smartphones, le nouveau long-métrage de Claude Lelouch n’est pas sorti au cinéma mais directement sur Canal Play. Cette comédie chantée suit un groupe de personnes le temps d’une fête. Un événement inattendu va chambouler tout le monde et plonger le film dans une ambiance plus dramatique. Béatrice Dalle, Elsa Zylberstein ou encore Marianne Denicourt et Stephane De Groodt sont en roues libres et naviguent selon leur envie dans le scénario. Résultat, le spectateur tourne en rond face à une mise en scène presque dérangeante tellement elle sonne faux. D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
Cette comédie dramatique et musicale plutôt mouvementée nous propose une morale à la fois tragique et pourtant pleine d'espoir sur les aléas de la vie. Avec des conditions techniques étonnantes de tournage, le 39 ème long métrage visualisé de Claude Lelouch, m'a proposé quelques belles scènes d'émotion, une remarquable collection d'acteurs avec Elsa Zylberstein ou Béatrice Dalle,une émouvante participation de Rufus, et une excellente prestation de Marianne Denicourt.
Ce n’est pas parce qu’une idée est transposée au cinéma qu’elle gagne en pertinence. Et faire de tout attentat un acte d’amour, l’expression d’une solitude qui détruit pour mieux enfanter le bonheur par la reconstruction d’un vivre-ensemble semble une thèse idéaliste et naïve qui oublie les motivations haineuses, raciales, nihilistes qui, elles, n’ont rien d’une déclaration d’amour. Le principal défaut de La Vertu des impondérables est, comme souvent dans la filmographie de Claude Lelouch, la propension de tirer de sa réalité brute des leçons de morale sur le monde, pire de plaquer sur une forme, souvent expérimentale et ici digne d’intérêt, un corps de doctrine qui écrase la spontanéité du geste artistique. Car la construction en échos du long métrage, commençant par la tragédie pour mieux la faire résonner et en dévier la trajectoire depuis l’effroi vers l’espoir, suffisait à renouveler modestement le regard porté sur l’attentat, qui continue aujourd’hui de nourrir par ses images les journaux télévisés ; à quoi bon mettre dans la bouche de ses interprètes des tirades pleines de philosophèmes et de sophismes ? Le film louvoie entre une forme à l’état brut qui colle à la peau des personnages et que captent plusieurs smartphones d’une part, une théorie sur le bonheur et le pardon des plus artificielles d’autre part. Restent de bons comédiens et quelques scènes réussies.