Avis : 6 Underground - Page 8

Ces derniers temps l’industrie cinématographique nous a sevré de films que l’on peut qualifier de daube . Celui ci est l’apothéose !! Du grand n’importe quoi ! Ne perdez pas votre temps avec ce film il est nul de la 1 ère à l’an derniere minute , acteurs catastrophiques, humour d’Eric et Ramzy en bref passez votre chemin ce film est une insulte aux téléspectateurs !

L'impression que le film a été réalisé avec les pied. J'ai jamais vu un film avec un aussi gros budget être aussi peu intéressant et cohérent.

Ouh la la, j'ai mal au crâne... Au bout de 10' je n'en pouvais déjà plus. C'est trop vite, trop fort, trop spectaculaire dès le début... On connaît Michael Bay mais là, trop, c'est trop. Je vais prendre une aspirine et me coucher pour faire reposer mon corps tout entier suite à cette expérience bien trop intense.

D'emblée, avec le nom de Michael Bay à la réalisation, on sait à quoi s'attendre. Et de fait, "6 undergound" n'a rien de cérébral et est un film d'action tout ce qu'il y a de plus classique. Du pur divertissement et "6 undeground" ne se définit que par une succession d'explosions et de gun fights, sans oublier une touche humoristique. L'absence de scénario et la répétition de ces scènes d'action lassent rapidement. Du Michael Bay pur jus.

"Quand je vais au cinéma, je ne veux pas me prendre la tête", "je dépose le cerveau à l'entrée, je le récupère à la sortie", "c'est du divertissement". Ce joker - employé pour couper court à la discussion - on l'a tous déjà utilisé puisque chacun a son propre plaisir coupable.
Prenons Michael Bay (au hasard, bien sûr), l'un des illustres bénéficiaires de ce type de grâce inexplicable. Sa carrière est principalement constituée d'objets cinématographiques à base de bim-bam-boum, d'images carte-postale et de stupidités en tout genre.
Techniquement, le cinéaste est à des années lumières d'un John McTiernan, d'un George Miller ou d'un John Woo. À un moindre niveau, feu Tony Scott (d'ailleurs précurseur dans l'esthétique ultra-cut) me parait bien plus compétent pour raconter une histoire et donner une âme à ses films.
De son côté, Bay est devenue l'emblème d'un cinéma d'action chaotique et décérébré et qui en est fier. Après tout, pourquoi pas ? En soi, l'homme est devenu un auteur en la matière. Il a son style (reconnaissable), il a ses motifs récurrents. Un auteur, oui.
Bon, j'ai beau respecter le réalisateur, je dois avouer que je méprise la majorité des films qu'il a tournés. Et 6 Underground représente un cap que j'avais espéré ne jamais retrouver.
Ne parlons pas de l'histoire, puisqu'elle est - comme souvent chez Michael Bay- complètement accessoire. Les personnages réduits à de purs archétypes, définis par leur sexe ou leur humour. Ils sont vides.
Là où le constat devient critique, c'est que techniquement le long-métrage est d'une laideur impensable. La narration est complètement explosée, entre le montage à 200 plans/minute, la lecture de l'espace bazardée et les faux raccords à la mitraillette. C'est une véritable épreuve qui commence dès l'introduction. Bay ne cherche même plus à nous immerger dans l'action puisqu'elle rendue illisible par le montage indéchiffrable. Et ne parlons pas des blagues, aussi drôles qu'un infarctus. Le pire, c'est que ça ne va pas en s'arrangeant bien au contraire.
En gros, 6 Underground évoque le travail d'un épileptique en pleine crise, ou d'un adolescent qui expérimente l'overdose, ou les deux à la fois. Ça passerait presque pour de l'abstrait tant RIEN dans ce film n'a de sens. Ni l'histoire, ni les enchainements, ni les transitions; rien de rien. En comparaison, les productions Asylum recèlent de purs délires cartoonesques, entre les scripts de 3 lignes et les SFX à vomir. Là, tout a été mis en œuvre pour rendre la séance douloureuse. Dieu sait que je n'aime ni Armageddon, ni The Island et que je répugne à revoir ne serait-ce qu'un seul Transformers, mais au moins ils contiennent quelques scènes plaisantes. Ce nouveau Bay réussit la prouesse d'annihiler toute trace d'efficacité où que ce soit.
150 millions de dollars de budget, c'est beaucoup.
Moi, ça me parait cher payé pour un film qui fait tout ce qu'il peut pour saboter toute ambition artistique. Même pour un plaisir coupable, ça relève presque du masochisme de s'infliger une chose pareille.

Michael Bay ne s’est jamais autant affranchi de la narration et de la caractérisation des personnages (allant même jusqu’à les appeler un, deux, trois, quatre...), ne s’intéressant qu’à sa façon de filmer et de monter l’action. Il en résulte une œuvre presque expérimentale regorgeant de plans grandioses mais ne racontant rien.

Du pur Michael Bay , un bon divertissement bourré de cascades et explosions en tout genre !! Le scénario est assez léger mais l'ensemble est bon grâce à ces scènes d'actions omniprésentes pendant 2h !!

Voilà le nouveau film de Michael Bay est disponible sur la plate-forme Netflix, le réalisateur qui depuis quelques années est focalisé sur sa franchise Transformers, veut tenter par ce film de renouer avec ses anciennes réalisations qui ont fait sa renommée (ex: Bad boys) mais encore une fois, Michael Bay rate la marche et peine à nous convaincre, voulant trop en faire et rends le film très “brouillon”. Tout commence par une idée de départ, somme toute classique, mais qui avait pourtant de quoi éveiller notre curiosité :
Un milliardaire (interprété par Ryan Reynolds) décide de se faire passer pour mort aux yeux de tous pour agir dans l’ombre et combattre le mal. Pour cela il va réunir une équipe de plusieurs personnes, chacun possédant des capacités spécifiques, leur but étant de fomenter un coup d’état et de destituer du pouvoir un véritable tyran qui domine son pays par la violence et la haine. Le tout raconter en voix off par son acteur principal.
Le concept de base nous rendait curieux, comment cette équipe allait-elle faire pour arriver à ses fins ? Plutôt à la Mission Impossible ? Ou plutôt comme Expandables ? La réponse allait très vite arrivée.
Le spectateur est plongé dans l’ambiance dès les premières secondes du film avec une longue scène de course poursuite, on sent tout de suite que le film risque d’être long avec des explosions à tout va, sans trop de réflexions scénaristiques. Et malheureusement cela se confirme par la suite, l’histoire en devient tellement prévisible que le scénario peine à nous offrir ne serait-ce qu’un minimum de suspens.
Le jeu d’acteur est franchement moyen, Mélanie Laurent en espionne sexy et “badass” c’est franchement moyen Et pour ce qui est du personnage principal (interprété par Ryan Reynolds), Michael Bay a dû adorer Deadpool car son acteur principal passe le plus clair de son temps à balancer des blagues lourdingues, ce qui n’est pas sans rappeler l’anti-héros.
Pour clôturer le tout, beaucoup de faux raccords viennent entacher le film, il vaut mieux fermer les yeux sur certaines scènes.
Néanmoins 6 Underground, reste divertissant par ses scènes d’actions et ses quelques plans, qui ont le mérite d’être à la hauteur du réalisateur, le tout sur une bande son qui colle parfaitement au film.
En bref, on retrouve du pur Michael Bay, si vous souhaitez regarder un film sans trop réfléchir, avec de l’action et bourré d’explosions, prenez le pop-corn et installer vous, ce film est fait pour vous.
Si vous rechercher un scénario bien ficelé et histoire qui tient la route, passer vite votre chemin

J'ai trouvé pas mal, bon après quelques petites bévues, l'Alfa qui percute le camion, et puis après séquence suivant, intact, puis après, il manque le rétro conducteur, qui ré apparaît quelques séquences suivantes. Un coup la voiture est intacte, et la séquence suivante criblée de balles. Cinq qui reçoit une "giclette de sang " de Deux, dans l’œil, le plan suivant plus rien, puis ensuite, juste une trace sur la joue et l'arcade. Y a pas mal d'action, de belles bagnoles, des filles sublimes. C'est divertissant, les cascades assez époustouflantes. Pas mal de belles bagnoles qui partent à la casse ? Quel gâchis ! Dans l'ensemble, ça laisse présager une série, ou peut-être bien, une suite. A voit, il est assez réussi.

Un running gag sur les répliques très drôle, des dialogues croustillants et visuellement réussis, des ingénieuses scènes d'action (et d'explosion) très efficaces et relativement violentes, des acteurs d'une efficacité redoutable...Tout cela aide à être moins regardant sur le scénario et le coté hautement improbable des scènes d'actions (Tiens, c'est du Michael Bay!). Bienvenue dans un mix Ocean's Eleven/Mission Impossible, gros budget chez Netflix, plutôt réussi dans sa globalité!

Depuis la saga “Transformers”, Michael Bay ne peut plus se retenir de faire vibrer nos fauteuils avec des explosions à tout va et des effets spéciaux à outrance. Il va aller encore plus loin avec l’exclusivité Netflix “6 Underground”. Ryan Reynolds, Mélanie Laurent ou encore Dave Franco se partagent l’affiche dans le rôle de… on a pas bien compris en fait. Chacun s’est vu attribuer un numéro et a une faculté. Tandis que l’un est un super tueur, l’autre conduit les bagnoles comme personne. L’une peut soigner en plein danger, tandis que l’autre fait des cascades. Bref, l’équipe a une cible et ils ne laisseront rien les empêcher de l’atteindre, quitte à détruire une ville et tuer moult individus. Loin d’avoir un scénario qui envoie du rêve, “6 Underground” est un film à grand spectacle avec des scènes d’action qui n’en finissent plus. Le rythme est tellement soutenu qu’on souhaite souvent que cela cesse, histoire de respirer un peu. Michael Bay est un professionnel des procédés technologiques, mais à trop vouloir en faire, il nous fatigue plus qu’autre chose.
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Michael Bay régale pour Netflix en laissant exploser toute sa créativité sans aucun frein. On a juste l'impression qu'il s'est tapé un délire et qu'on l'a laissé faire, tant mieux ! Pas de code, une ambiance déjantée, un casting de feu, des cascades dignes de la saga Fast and Furious, le mec s'est lâché mais n'en garde pas moins un fil conducteur, son scénario est malin, ses flashbacks appropriés, en outre le montage hyper dynamique ne nous laisse aucun répit. Dès le départ c'est le feu et l'ensemble ne lèvera jamais le pied. Réalisation et mise en scène sont assez époustouflantes et les nombreuses idées en tout genre fourmillent, il ne faut clairement pas cligner des yeux sous peine de rater une fulgurance. Un rythme effréné donc et un Ryan "Deadpool" Reynolds en grande forme une fois encore, et pour l'occasion notre frenchie Mélanie Laurent n'est pas en reste ! Très franchement le moment est délicieux, c'est drôle, décomplexé, sans limite et à 100 à l'heure, le résultat final n'en est que meilleur et autant le dire de facto, on se moque éperdument des incohérences et autres énormités. C'est juste un kiffe, alors on s'assied, on se détend et on se régale !

De grosses d'action au montage serré, du pur Michael Bay. Le casting est à la hauteur de l'ensemble.

Pas le meilleur Michael Bay, mais un film divertissant, une démarrage en trombe puis un gros creux par la suite, et un final complètement déjanté. Ryan Reynolds toujours dans son style action et vanne pourrie, des morts assez violentes a la pelle, encore une fois ça divertit sans être inoubliable

Des abus comme beaucoup de films américains de notre époque mais il passe quand même assez bien. Je ne me suis pas ennuyé et c'est le principal