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    Filles de joie
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    63 critiques spectateurs

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    ferdinand75
    ferdinand75

    450 abonnés 3 639 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 22 juin 2020
    Un film complètement glauque mais surtout très méprisant pour la classe ouvrière et surtout pour les femmes . Les 3 jeunes femmes amenées à se prostituer sont de milieu modeste, mais quel arrogance et dédain pour leur classe , que de mépris dans cette réalisation;. Des enfants qui braillent pour Sarah Forestier , des intérieurs crades , des vaisselles pas faites ,une mère dégénérée. Pour Noémie L. une fille hystérique , un mari demeuré ( le pauvre si bon d'habitude Sergi Lopez , ) embarqué dans cette galère atroce . Quelle vision caricaturée du prolétariat , on oublie complètement la "commun decency" et l'empathie humaine. La 3e fille , une belle africaine , tombe amoureuse d'un "très méchant" blanc , jeune cadre dynamique marié. Mais c'est quand même la base de la clientèle des prostituées !!! Elle tombe amoureuse de lui et veut se faire faire une enfant . Mais lui spoiler: l'invite à une partouze , ce qui l'offusque . Mais pour trouver une romance il fallait mieux qu'elle s'inscrive sur M...c. O
    n est dans Cendrillon. Ridicule et méprisant pour les femmes . Ces 3 femmes n'ont pas de libre arbitre , on les voit passives , se laissant battre ,humilier , sans répondre . Tout cela est le résultat d'un monde fantasmé , spoiler: par deux belges , probablement des "bobos"
    qui ne sont jamais aller dans de vraies banlieues , où le peuple a beaucoup de dignité, et où les intérieurs ne sont pas ceux montrés. Quand au milieu de la prostitution il est vu sous un angle caricatural , glauque et sordide. Un film sale dans ses moindres détails. A oublier vite.
    PLR
    PLR

    406 abonnés 1 474 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 29 juin 2020
    Il y a une quarantaine d’années, le septième art traversa une sombre période. Celles de films pour lesquels le scénario minimaliste importait peu pourvu qu’on puisse y placer quelques scènes hard. C’était facile à réaliser, pas compliqué à mettre en scène et ça rapportait. On n’en est certes pas revenu là avec ces « Filles de joie » en raison d’une plus grande tolérance due à l’assouplissement des mœurs mais on n’est pas loin dans la facilité et le contenu glauque. On pensera un peu à « Much Loved » (2015), reprenant à peu-près la même trame de départ autour des personnages principaux. Mais, à la différence ce qui avait servi à une (utile ?) critique sociétale du Maroc, ici la prostitution française pour raisons de survie économique de l’autre côté de la frontière belge semble ne faire ni chaud, ni froid à nos deux scénaristes. Il y avait pourtant un sujet. On sent bien que c’est ça qui devait être traité. C’est même vendu comme ça dans la communication de sortie de ce film. Mais, plouf…
    Fabrice Deabrassart
    Fabrice Deabrassart

    11 abonnés 134 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 21 juin 2020
    Le seul chef d'oeuvre sur la prostitution c'est " la dérobade " ici c est vraiment mauvais , une double vie montrée de nos jours , qui n 'est vraiment pas passionnante et le réal n'as pas voulu le défiler des clients etc .. non un film à oublier très vite
    pgioan
    pgioan

    24 abonnés 133 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 26 juin 2020
    Oui , ce film est nul ....Le scenario est inexistant , même si à un moment il se passe quelquechose , les actrices sont soit pas convaincantes, soit crispante ( S Forestier , bon sang ,elle a fait nettement mieux ) et le thème est traité de manière caricaturale . On s'ennuie ferme , des scènes de sexe vues et revues et tellement convenues . Bref , passez votre chemin !
    Bertrand Barbaud
    Bertrand Barbaud

    169 abonnés 380 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 18 juin 2020
    un film mou et rebattu qui cristallise à lui seul toute la médiocrité de la production hexagonale. Avec une Sara Forestier abonnée aux rôles de fille glauque et une Noémie Lvovsky qui fait peine à voir tant elle est peu crédible. Le film se veut léger et grave à la fois mais il n’est ni léger ni grave. Il ne suscite jamais d’empathie pour ces personnages caricaturaux sortis de l’imagination d’un réalisateur en mal de sensation. Difficile de filmer le commerce des corps sans montrer les corps, les actes, les sombres trafics et la violence des rapports sociaux. En résumé, mieux voir sur internet un documentaire choc sur les filles de Bruxelles plutôt que débourser 11 euros pour ce film racoleur
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    579 abonnés 2 748 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 juin 2020
    Filles de Joie offre un prolongement au film Bande de Filles, son versant adulte en quelque sorte, faisant alors de la cité une terre sans avenir aucun, un lieu d’emblée marginalisé au sein de la géographie urbaine, caractérisé par son architecture en tours, un espace dans lequel les familles tentent de vivre en luttant contre la misère et la violence intestine qui les menacent. Même ancrage social, même destin croisé de plusieurs femmes ici adolescente, jeune mère de trois enfants en rupture avec son conjoint et mère cinquantenaire ; trois âges de la vie contraints de se tourner vers le plus vieux métier du monde pour subvenir à leurs besoins et à ceux de leur famille respective. Néanmoins, le film a l’intelligence de l’antiphrase que porte son titre : il représente des personnages qui simulent la joie – essentiellement la jouissance – tout en étant conscients de leur impossible fuite. Les « filles de joie » sont des actrices : perruques, déguisements érotiques, accessoires, tout cela contribue à dissocier le travail de la vie privée, distinction qu’apprend à ses dépens Conso, interprétée avec puissance par Annabelle Lengronne ; elles sont des spécialistes du désir masculin, capables d’anticiper les comportements, de répondre aux besoins, de satisfaire la demande. Aussi le trajet en voiture vers l’étranger – la Belgique, pays où la prostitution est encadrée par la loi – est-il ambivalent : à la fois aveu d’un échec, celui de ne pouvoir s’élever socialement, et conquête d’un semblant de liberté, puisqu’il traduit le passage d’une prison subie (la tour d’immeuble) à une prison choisie, une prison de luxe dans laquelle – seul avantage véritable, si tant est que l’on puisse parler d’avantage – elles deviennent maîtres à bord, elles gouvernent leurs clients. Le long métrage se plaît à déconstruire les mythes virils qu’érige l’homme pour assurer sa suprématie : les vingt centimètres réglementaires, l’orgasme féminin comme preuve de leur vaillance au combat... Il accorde une place importante aux échanges verbaux entre les « filles de joie », au partage de leur expérience et de leurs anecdotes. Ces femmes disposent d’un pouvoir essentiel, un pouvoir de désacralisation du masculin et de reconquête de leur liberté sexuelle. Elles travaillent l’illusion, adoptent des postures. Mais sont paradoxalement les seules à savoir distinguer l’artefact de la réalité, séparer la fiction et sa concrétisation dans la douleur (à l’opposé d’un personnage comme Yann). En parallèle à cette immersion dans un milieu socio-professionnel, le long métrage de Frédéric Fonteyne et Anne Paulicevich est également un grand film sur l’amitié qui résiste contre vents et marées, s’affirme tel un cocon protecteur constamment sur le point d’exploser – l’arme à feu, la drogue, l’accident – mais toujours là. Malgré ses lourdeurs initiales qui laissaient présager un drame social déjà vu et revu, Filles de Joie est une œuvre surprenante qui a le mérite de convertir la puissance de ses femmes en force de mise en scène : réalisation à mi-chemin entre le documentaire et la poésie, n’ayant pas peur des ralentis (légers), montage qui pense les ellipses, les retours en arrière comme l’assemblage des pièces d’un puzzle identitaire, nappes musicales envoûtantes et mélancoliques, trio d’actrices remarquables, dont il faut, pour finir, rappeler les noms : Sara Forestier, Noémie Lvovsky et Annabelle Lengronne.
    tixou0
    tixou0

    630 abonnés 1 969 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 23 juin 2020
    Voilà "Axelle" (un bien joli prénom, qui lui va bien mal), milieu de trentaine, cas social (séparée, trois gamins et une mère à charge) qui améliore son RSA officiel en se prostituant dans un bordel belge, aux heures de bureau... Cette frontalière besogneuse part au turbin les jours ouvrables avec "Dominique", milieu de cinquantaine (il y a des amateurs pour les travailleuses du sexe seniors...) et "Conso", une autre trentenaire, africaine, qu'elle véhicule, depuis la cité du Nord où ces dames vivent - même genre de "profils". "La chair est triste, et j'ai lu tous les livres"... Jamais illustration (ici cinématographique, cependant) n'a été aussi pertinente, avec ce sinistre "Filles de joie" ! Pas d'histoire (à une amorce près, dans les dernières minutes du film - bien qu'annoncée dès l'entame...pluvieuse), cadre moche, montage moche, images mal éclairées, son la plupart du temps inaudible, pas de mise en scène.... Crapoteux, voire sordide.... Distribution à oublier (Sara Forestier, Noémie Lvovsky...). Gageons que le boboland va A-DO-RER (du même tonneau qu'un "Party Girl", par exemple) ! Pour ma part, cet opus belge (à deux : Anne Paulicevich et Frédéric Fonteyne), je vais m'empresser de l'oublier, peu attirée par l'esthétique de la laideur. Surtout quand elle tourne à vide.
    Makimax74
    Makimax74

    3 abonnés 125 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 juin 2020
    pas de vrai scénario , juste quelques scènes intéressantes , des la première scène on connaît le déroulement de l'histoire . problème avec les mecs, leurs enfants.et le cadre des cités... quelques scènes de nu et de sexe ne suffisent pas.en dehors du personnage de N.lovesky les autres sont fades ou clichés.
    Alain D.
    Alain D.

    492 abonnés 3 204 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 juillet 2020
    " Filles de joie" un film écrit par Anne Paulicevich et réalisé avec Frédéric Fonteyne. Le duo de cinéastes franco-belge nous propose un Drame social dans lequel les mères et filles de joie ne rigolent pas tous les jours. Le ton très noir de ce film aborde la violence conjugale et évidemment la prostitution évoquée par les filles dans des dialogues on ne peut plus salaces.
    La réalisation nous propose également un casting solide avec une présence remarquée dans un second rôle pour Sergi López et les excellentes prestations de Sara Forestier et Noémie Lvovsky. Dommage que le scénario ne propose qu'une scène d'humour avec les orgasmes simulés façon " Harry rencontre Sally"
    Cinemadourg
    Cinemadourg

    676 abonnés 1 416 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 juin 2020
    Ce drame, mettant en scène trois françaises se prostituant dans une maison close derrière la frontière belge, aurait pu nous émouvoir et nous toucher tant la détresse sociale de ces femmes nous renvoie douloureusement à une dure réalité trop actuelle.
    Malheureusement, si le fond se veut engagé, la forme laisse totalement à désirer : l'histoire est sordide, la réalisation est relativement laide et l'ambiance toxico-vulgaire plutôt dérangeante.
    Bref, malgré des comédiens assez inspirés (mais que vient faire Sergi Lopez dans ce guêpier??), peu d'émotions ne transpirent de ce film.
    Pire, on ressort presque de la salle avec un arrière goût nauséabond en tête...
    Médiocre et terne.
    Site CINEMADOURG.free.fr
    Dois-Je Le voir ?
    Dois-Je Le voir ?

    304 abonnés 1 696 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 juin 2020
    Je suis déçu de vous dire que j’ai trouvé ce film de reprise pas terrible. Il y a une très bonne idée sur la thématique choisie. La prostitution ne fait pas partie des sujets habituellement abordés, et là d’autant plus que c’est un travail réglementaire comme il se fait dans un pays où c’est autorisé. Malheureusement, je n’ai pas aimé la façon dont c’était creusé. En effet, la psychologie des personnages est seulement survolée. On ne va pas dans le fond du problème qui pousse une femme à aller jusqu’en Belgique pour vendre ses services. C’est en partie due à la construction que j’ai trouvée brouillonne. On va passer en zigzag d’une fille à l’autre sans vraiment accrocher. À aucun moment je ne suis réellement rentré dedans. Plus d’attention sera tout de même donnée à Sara Forestier. Si autant de précision avait été faites sur les trois, ça aurait été largement mieux. Surtout que les trois actrices sont relativement bonnes. Sara Forestier tient bien la corde avec une hargne intéressante. Autant d’énergie sera déployée par Noémie Lvovsky et Annabelle Lengronne. Elles arrivent à tenir l’attention malgré tout. Je dois cependant préciser que je n’ai pas trop apprécié le remplissage fait par les scènes de sexe. Alors oui, vu le thème je m’attendais à en voir, mais là on dirait plus que c’est pour combler les vides. J’aurais préféré que plus de temps soit consacré à l’histoire afin de lui donner de l’intérêt.
    kyu f
    kyu f

    75 abonnés 430 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 30 juin 2020
    ya rien qui va .... les ateurs sont passables mais le reste ... déja on pourait dire au caméraman de dézoummer ?? on comprend pas ce qui se passe une fois sur 2 tout est zoomé a fond c'est indigérable . le scenes qui s'enchaine n'ont defois aucun sens , ou alors on comprend rien . chaque personage est débiles . pas un seul est apréciable , plus débiles tu meurt . des moments dégeullase aussi , que sa sit dans les paroles ou autres .. filles de joie est un mélange de pleins de film nul . qui donne un film giga nul . je regrette d'avoir payé pour cette daube . a éviter
    Elisabeth P.
    Elisabeth P.

    1 abonné 3 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 27 juin 2020
    Film noir, violent , envie de quitter la salle à la moitié du film.....
    je pensais passer un bon moment , je ressors énervée et je regrette fort mon billet.
    FaRem
    FaRem

    7 398 abonnés 8 816 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 juin 2020
    Pour leur premier film réalisé ensemble, Frédéric Fonteyne et Anne Paulicevich racontent la vie secrète de trois femmes, mères au foyer du soir au matin, et «filles de joie» durant la journée. Après avoir lu un article à ce sujet, Anne Paulicevich a eu l'idée de cette histoire et est allée directement au plus près de ces filles en les côtoyant de nombreux jours sur leur lieu de travail. Les deux réalisateurs font une description de ce milieu et dressent surtout un beau portrait de ces femmes. Dans une interview, Anne Paulicevich a fait le parallèle avec des actrices qui une fois sur le plateau jouent un rôle. C'est la même chose avec ces femmes qui patientent et qui une fois dans la chambre avec le client jouent un rôle en incarnant leur fantasme. Un point assez juste, car une grande partie du film se déroule dans cette «salle d'attente» où les femmes redeviennent elles-mêmes. On suit plus particulièrement Axelle, Dominique et Conso, et l'histoire est racontée à travers le point de vue de chacune d'elle. On découvre donc une facette de l'histoire avant d'en voir une autre sous un autre angle lorsque c'est une autre femme qui est au centre du récit. Des femmes fortes qui se battent au quotidien et pour lesquelles on finit par avoir beaucoup d'affection. Les trois actrices sont superbes, mais Sara Forestier et Noémie Lvovsky sont vraiment au-dessus du lot. Cette dernière est même excellente dans la partie qui lui est réservée. Sans rien apporter de nouveau au genre et sans être particulièrement original, "Filles de joie" est un bon petit film porté par de formidables actrices.
    traversay1
    traversay1

    3 090 abonnés 4 623 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 juin 2020
    Deux d'entre elles sont mères de famille, une autre est engagée dans une relation toxique avec un homme marié. Toutes les trois passent chaque jour la frontière belge pour gagner leur vie, à la sueur de leur corps. Filles de joie délivre clairement un message féministe mettant en lumière la solidarité entre travailleuses du sexe et, plus globalement, entre femmes face à des hommes présentés sans ambigüité comme des ennemis à abattre. Pour faire passer le message, Frédéric Fonteyne et Anne Paulicevich usent du naturalisme le plus cru, rendant le film parfois scabreux et glauque, en tous cas peu agréable à voir (presque complaisant) et à entendre. Derrière une construction narrative maladroite, Filles de joie a pour volonté de créer un malaise qui s'étend bien au-delà de la condition de prostituée, vers la condition féminine, en général, et dans les cités,en particulier, tout le scénario étant conçu pour souligner le courage de ces "héroïnes", qui n'hésitent à utiliser des moyens radicaux pour se défendre. En dépit de ses excès, de son hystérie occasionnelle et de son absence de subtilité, et c'est un euphémisme, impossible de ne pas saluer les trois comédiennes principales du film, Sara Forestier, Annabelle Lengronne et surtout Noémie Lvovsky, impeccable en toutes circonstances, y compris dans les passages les plus choquants.
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