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    Sibyl
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    Sandy06
    Sandy06

    5 abonnés 103 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 4 mars 2022
    Quel ennui ! Un film long et monotone. Une histoire à dormir debout. Des personnages dépressifs qui pleurent, picolent et parlent pour ne rien dire pendant des heures. Il paraît qu'on appelle ça de la masturbation intellectuelle.... Peu importe. Ce film est un pur navet. Les scènes de sexe sont trop fréquentes, trop longues, trop crues et franchement gênantes. A aucun moment on ne parle d'amour dans ce film. Aucune émotion n'a fait battre mon cœur. Petit film minable et prétentieux : attention aux enfants ou jeunes ados ! Ma fille de 14 ans a voulu voir le film pour Gaspard Ulliel et elle a été très choquée. Je m'en suis mordu les doigts ,je ne savais pas qu'on allait voir V.Effira perdre toute dignité dans des scènes pornographiques aussi trash. Désolant !
    Loïck G.
    Loïck G.

    282 abonnés 1 629 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 mai 2019
    Faut-il en rire ou en pleurer ? Cette histoire tragique donne du fil à retordre à la comédie. On parlera alors de tragi-comédie dans laquelle les personnages transgressent leurs attributions dont l’héroïne psychanalyste qui pioche chez une patiente des idées de roman. Mais la vie n’est pas un roman, et le sujet de l’écriture ( une comédienne enceinte de l’acteur avec qui elle tourne ) ne parvient pas à contrôler la forme et le style de sa vie qui ressemble de plus en plus à la fiction qu’on lui fait jouer. Du scénario écrit avec Arthur Harari Justine Triet tire habilement les arguments pour nous faire adhérer à son film, à cette histoire qui ressemble à une autre histoire. Quand on parle de proposition de cinéma, d’une grammaire du septième art, on peut alors se référer à ce film profond et riche d’enseignements sur l’exigence artistique. Virginie Efira y est exceptionnelle aux côtés d’Adèle Exarchopoulos tout aussi remarquable, Gaspar Ulliel qui signe un beau retour sur nos écrans, Sandra Huller , Niels Schneider… L’affiche est éloquente, le film déjà grand…
    Pour en savoir plus : lheuredelasortie.com
    remyll
    remyll

    150 abonnés 386 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 mai 2019
    Quelle est l’alternative au choix binaire ?
    Choix d’avoir un enfant - ou pas.
    Choix d’être heureuse - ou pas.
    Choix de disposer de son corps - ou pas.
    Choix de vivre ses désirs - ou pas.
    Un film très original où la musique puissante rythme admirablement les différentes scènes.
    Du très grand cinéma, original et séduisant.
    Vincent L
    Vincent L

    12 abonnés 23 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 3 juin 2019
    1h40 d'hystérie féminine, un cauchemar...pourtant le film aurait ou être bien si les comédiens étaient dirigés, maîtrisés et non dans l'excès....tout est désagréable à voir et à entendre. Un film raté.
    Korbô D.
    Korbô D.

    6 abonnés 81 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 31 mai 2019
    Un film de dépressive névrosée. On peut reconnaitre à Triet un vrai talent de direction d’acteurs mais franchement, 2h00 de prise de tête maniaco-dépressives non merci!
    Que Triet aille faire sa thérapie au calme, on en veut pas au cinéma!!
    jean l.
    jean l.

    146 abonnés 224 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 mai 2019
    Après le génial Victoria , une comédie extraordinaire avec un cast formidable
    Je retourne le voir dès que possible
    Jean Lasnier
    Jean Lasnier

    1 critique Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 16 juin 2019
    Ce film pathétique est une tragi-comédie courtelinesque qui met en scène le milieu de la bourgeoisie parisienne du cinéma, démontrant ainsi à son insu qu’il n’est pas forcément plus facile de bien parler de soi que d’essayer de s’intéresser aux autres. Ainsi, la préoccupation centrale des personnages n’est nullement de tenter de survivre dans la France de Macron, ou de savoir si la planète sera encore habitable quand les enfants seront adultes, mais de s’établir individuellement dans la position prestigieuse de l’écrivaine, de l’actrice ou de la réalisatrice. Dès les premiers moments, on constate que la responsabilité sociale de la psychanalyste vis-à-vis de patients qui se confient à elle depuis des années ne pèse pas lourd devant son caprice existentiel, devenir écrivaine, qui semble d’ailleurs n’être qu’une posture puisqu’elle ne trouve rien à écrire. Cela nous est notamment signifié par une scène maniériste où l’écrivaine auto-proclamée en panne d’inspiration est dans son bain, devant la page blanche du traitement de texte de son Macbook, car tout est Apple dans ce film (simple parti pris du chic, ou contribution intéressée à l’éloge des marchandises vedettes ?). Scène qui a l’avantage de montrer l’anatomie de l’actrice principale au public qui après tout vient peut-être pour ça. Car casting prestigieux oblige, il faut bien se préoccuper du retour sur investissement, et il serait malvenu d’ignorer le voyeurisme du spectateur moyen. D’où la multiplication des scènes de sexe parfaitement gratuites et à vrai dire fort peu appétissantes.

    Survient alors l’inspiration en la personne d’une starlette renfrognée consciente qu’il lui faut une bonne couche de maquillage, une bonne coiffeuse de plateau et une robe couture pour paraître ce qu’elle aspire à être, et qui a bien compris qu’il lui faut payer de sa personne pour parvenir à ses fins (toute ressemblance avec des personnages réels est purement fortuite). Dans ce monde où la « common decency » orwellienne n’a évidemment pas cours, chacun s’abandonne à ses instincts sans aucune retenue, et en gère ensuite les conséquences en termes de carrière. C’est ainsi que la starlette, au motif d’une relation passionnelle avec l’acteur principal du film dans le film, à laquelle on n’arrive pas à croire une seule seconde, se retrouve enceinte et confrontée à ce choix cornélien : la carrière ou l’enfant. Dans la frénésie carriériste qui possède les personnages principaux, c’est-à-dire féminins, on connaît d’avance le dénouement. Mais la starlette cherche à se défausser de la responsabilité de cette décision déjà prise, et de plus elle craint la réaction du père, qui s’annonce d’autant plus délicate qu’on ne lui demande pas vraiment son avis. C’est ainsi qu’elle surgit dans la vie de la psychanalyste en mal d’écriture, laquelle y voit une solution providentielle à son absence totale d’inspiration. On se demande bien pourquoi tant la situation est banale et la starlette inintéressante. Passons sur le fait qu’aucun psychanalyste respectable ne se serait fourvoyé dans de tels errements. Sous prétexte de psychanalyse (c’est plus chic), on est en réalité dans un salmigondis de coaching et de développement personnel qui, à défaut de tout corpus théorique repose sur le charisme du coach et son entière adhésion à l’idéologie entrepreneuriale : la carrière d’abord.

    S’ensuit alors une véritable comédie de boulevard à quatre sur l’île de Stromboli, choix dont on se demande s’il s’agit d’une référence érudite mais quand même un peu téléphonée à un prestigieux film dans le film en décor méditerranéen, ou d’un publi-rédactionnel touristique destiné à contribuer au financement du film (remerciements à Air-France, …). Les événements les plus invraisemblables s’enchainent : la psychanalyste entre dans le film dans le film, se substituant à l’acteur principal défaillant, dans le rôle d’un crooner italien, pour dérider la starlette renfrognée, puis à la réalisatrice trompée, qui s’est jetée à l’eau, excédée par ses acteurs (il y a de quoi), désertant un tournage qui fait naufrage comme le film lui-même. Tout cela est tellement ridicule que toute perspective critique devient impossible, arrive un moment où on décroche pour se laisser porter par la fascination du n’importe quoi.

    Une chose est certaine : à aucun moment on ne quitte le décor des appartements parisiens chics, des villas d’architecte de grand luxe, des voiliers anciens, des plateaux de tournage. On remarque également les traces omniprésentes de tous les avatars de la gauche bourgeoise dont on sait aujourd’hui qu’elle est essentiellement bourgeoise et qu’elle fut accessoirement de gauche : individualisme forcené aux relents d’existentialisme germanopratin, ou encore le « jouissez sans entraves » de ceux qui se firent connaître comme gauchistes soixante-huitards avant de se convertir en masse au néo-conservatisme et/ou à l’ultra-libéralisme. On s’étonne également de quelques manifestations inattendues de mépris de classe qui s’articulent curieusement sur un féminisme politiquement correct de rigueur. Je n’ai pas le souvenir qu’on nous informe à quoi le mari falot, qui est pourtant le seul à soulever la question de la responsabilité de la psychanalyste vis-à-vis de ses patients, emploie son temps. Pire, le vieux schéma phallocratique est reconduit en inversant les rôles : le jeune amant beau gosse est un objet sexuel de la psychanalyste se disant écrivaine qui lui fait délicatement savoir au début du film qu’il ne l’a jamais intéressée (ou ai-je mal entendu ?). On attendra la fin du film, dans une rallonge qui vient comme un cheveu sur la soupe, alors qu’on s’apprêtait à voir défiler le générique, un « dix mois plus tard » qui résonne plus tôt comme un « dix ans plus tard », pour apprendre que le beau gosse n’est qu’un prof de lycée. On se rencontre par hasard grâce à la barbe à papa des enfants, et qu’est-ce que tu deviens, et salut à la prochaine on ne sait jamais.

    Enfin, il est extrêmement significatif que le film n’accorde aucune importance à l’imposture manifeste de la psychanalyste en tant qu’écrivaine qui n’a rien à écrire et se saisit, en violation de toute règle déontologique, des confidences d’une patiente qu’elle enregistre à son insu et dont elle retranscrit littéralement les propos. Comme si la différence entre être écrivain et paraître écrivain, se dire écrivain, n’avait aucune importance. Bref, évitez-vous ce navet, consacrez plutôt ces deux heures à (re)lire « la société du spectacle » (comment l’être se dégrade en avoir, puis l’avoir en paraître), ou encore « la fabrique des imposteurs » de Roland Gori.
    Daniel U
    Daniel U

    2 abonnés 23 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 28 juin 2019
    la palme du commentaire à Première qui parle de comédie jubilatoire !!!! je suis triste pour Sandra Huller inoubliable dans Toni Erdmann. Et puis Virginie qu'on aime bien, nue devant une cheminée....même Marc Dorcel a renoncé...les détours chronologiques sont abscons et on ne dira rien du sort réservé à la pauvre Adèle, égarée dans les mouchoirs du temps.. Un film en pure perte où la psychologie phagocyte la mise en scène. Quant aux rôles masculins ils sont sacrifiés
    stephils
    stephils

    8 abonnés 57 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 7 juin 2019
    J'aimais beaucoup V. EFFIRA mais je crois que maintenant j'éviterais ses films. Celui-ci est d'un ennui mortel surjoué et à la limite de la pornographie à plusieurs moments, attention à ne pas le faire voir à nos enfants. Une histoire sans intérêt sauvé uniquement par des moments avec de beaux paysages et une belle musique. Nous étions 2 spectateurs dans une salle de 350 places.........Cela montre combien ceux qui l'ont vu lui font de la publicité.
    selenie
    selenie

    5 431 abonnés 6 015 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 mai 2019
    Débutant bien façon thriller psychologique, on constate bien vite que la construction narrative est lourde et poussive à cause de flash-backs qui s'avèrent plutôt superflus et trop explicatifs. Le film aurait donc gagné à être plus linéaire. Ensuite il y a deux gros évènements qui finissent par nous sortir du film, d'abord la psychothérapeute qui suit sa patiente de façon bien peu crédible, puis la psychothérapeute qui devient réalisatrice d'un jour de façon complètement invraisemblable. Les deux évènements coup sur coup font qu'on tombe juste dans le n'importe quoi. Le film surnage grâce à ses acteurs, surtout Virginie Efira sensuelle et touchante, et Sandra Hüller dans un rôle un peu ingrat mais terriblement émouvante. Justine Triet signe un film bancal, inabouti et maladroit malgré son ambition.
    Site : Selenie
    pitch22
    pitch22

    146 abonnés 679 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 25 juin 2019
    Ça se regarde mais toute cette histoire semble assez ridicule. On ne sait pas bien où l'on va, alors ça se suit; il y a de l'émotion, certes froide mais ça fonctionne à peu près, essentiellement grâce au jeu de Virginie Efira et, secondairement, d'Adèle Exarchopoulos. Malgré tout, cette histoire de psy perturbée par une ancienne passion et qui s'investit dans l'aide d'une comédienne dépressive au mépris de toute déontologie, c'est assez faible. En fait, ce film n'a pas vraiment de direction. On veut montrer que Sibyl va trop loin, ok; mais bon, et après? Dans quel but? On cherche à plaquer de l'étrange sur une réalité relativement banale et on cherche à véhiculer l'idée de trouble, de délire en employant divers artifices, ce qui donne un résultat pas bien convainquant.
    DestroyGunner
    DestroyGunner

    22 abonnés 865 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 juin 2019
    Un scénario qui part dans beaucoup de sens, mais conserve le cap, sans que l'on ne puisse reprocher de nous égarer vers de mauvaises directions. 1h40 qui passent très peu vite tant la densité du récit est intense. On a un peu l'impression d'avoir été manipulés par la réalisation, sans faille. Acteurs vraiment exceptionnels. V. EFIRA campe (à nouveau) une femme en proie aux doutes et torturée par des démons intérieurs mais qui s'en sort, vaille que vaille ; sa présence est absolument splendide. A. EXARCHOPOULOS est très convaincante. Les autres acteurs sont bons. A l'arrivée, on est très impressionnés et un peu perdus. Un film puissant d'émotions contenues mais superbement exprimées. A revoir, probablement, pour en goûter tout le sel. J'avais aimé "la bataille de Solférino" et Victoria, le talent de la réalisatrice se confirme et s'amplifie.
    ffred
    ffred

    1 498 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 mai 2019
    Troisième film pour Justine Triet et troisième film à Cannes, cette fois en compétition officielle. Victoria m'avait laissé assez perplexe, cela ne s'arrange pas avec celui-ci. A vouloir faire complexe et mystérieux, la réalisatrice finit par nous perdre en route (enfin moi personnellement). Tout se mélange, la réalité entre passé et présent, la fiction entre littérature et cinéma. Et beaucoup trop de thèmes abordés. Le scénario n'est, par conséquent, pas très plausible (sans parler du manque de déontologie de la psy). Tout cela, du coup, empêche toute émotion ne serait-ce que d'effleurer. En conséquence, beaucoup de mal à m'attacher aux personnages. Sans surprise, on se fiche pas mal, bien avant la fin, de ce qui va pouvoir leur arriver. Seul point positif, un très beau casting, parfaitement dirigé. Virginie Efira trouve à nouveau un très beau rôle sous la houlette de la réalisatrice. Tous les autres actrices et acteurs sont tout autant convaincants. Mais cela n'a pas suffi à me convaincre. Je sors donc du nouveau Triet encore plus déçu que par le précédent. Son meilleur film reste à mes yeux son premier La bataille de Solférino...
    ferdinand75
    ferdinand75

    450 abonnés 3 639 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 mars 2024
    Un tentative complément raté , beaucoup trop compliqué et alambiqué. Le personnage de cette psy, paumée, tordue n'est absolument pas crédible . La triple mise en abîme est complètement loupée , n'est pas Godard qui veut, et on ne réalise pas le "Mépris " si facilement. Un scénario qui aurait pu être intéressant mais qui part complément en vrille au bout d'une demie-heure. Reste deux beaux moments de cinéma : la scène de rapport enter Efira et Schnedier, est d'une sensualité réaliste ( et on devine bien sûr que les deux acteurs sont de vrais amants) C'est un peu la même intensité que dans " Irréversible" entre V. Cassel Le jeu devient (presque) réalité et l'érotisme est torride, probablement une grande émotion d'exhibitionnisme pour le couple à la ville. .Et puis la scène sur le bateau où cette fois c'est Adèle A. qui arvie a jouer une scéne d'amour avec intensité et passion. Décidément est très efficace pour filmer le plaisir et le plaisir féminin tout particulièrement. mais le film est trop long et le double twist final est insupportable .Invraisemblable la crise de parano lors de l'avant première, et raté le montent de vérité avec le fils , à ce stade cela n'a aucun sens , C'est la fin du film et une autre histoire qui commence ?. Absurde.
    PLR
    PLR

    406 abonnés 1 474 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 juin 2019
    Un scénario somme toute assez confus, dans lequel on a bien du mal à saisir le fil conducteur. Prises individuellement, plusieurs scènes sont intéressantes sur le plan du jeu d’acteurs/actrices. Mais ça manque singulièrement de clarté sur l'assemblage.
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