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    Rafiki
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    31 critiques spectateurs

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    Scénario Catastrophe
    Scénario Catastrophe

    27 abonnés 156 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 octobre 2018
    J'avais très envie de voir ce film, malheureusement le scénario est très médiocre, binaire, inintéressant. Le spectateur n'apprend rien, les scènes sont descriptives et forcées. À chaque fois qu'une scène se déroule, un ou des personnages observent au second plan, et le scénario se base trop sur ces observations pour faire avancer le film. La scène de la bagarre entre les deux filles est digne des meilleures séries américaines pour collégiennes. La rivalité politique n'est absolument pas exploitée, ni la posture des pères par rapport au fille. Le scénario est basic, ne critique rien et ne provoque personne. Ce qui représente une audace au Kenya, n'a pas tellement de sens en France, et, au-delà du film en lui-même, c'est peut-être un point intéressant à retenir.
    Yves G.
    Yves G.

    1 278 abonnés 3 289 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 octobre 2018
    Kena et Ziki vivent dans le même quartier de Nairobi mais tout les sépare. Autant Kena, avec sa poitrine plate, ses pantalons informes et ses loisirs de garçon, est masculine ; autant Ziki, ses tresses afro, ses robes colorées et ses courbes girondes, est féminine. La première est d'origine modeste alors que la seconde appartient à la classe moyenne. Leurs pères s'affrontent aux prochaines élections locales.
    Elles éprouvent l'une pour l'autre une attraction immédiate et irrésistible. Mais l'homosexualité est mal vue au Kenya : elle est punie par la loi et condamnée par l’Église.

    "Rafiki" arrive sur nos écrans précédé d'une réputation sulfureuse. Ce film, programmé à Cannes dans la section Un certain regard puis à Cabourg, a été censuré par la Commission kenyane de classification. La décision administrative a été partiellement censurée par la Haute Cour du Kenya qui a autorisé sa diffusion pendant une semaine dans une salle commerciale - condition nécessaire et suffisante pour que "Rafiki" puisse concourir à l'Oscar du meilleur film étranger.

    Il n'y a pourtant pas de quoi choquer grand monde dans ce film romantique et girly, si ce n'est que le couple qu'il met en vedette est homosexuel. Aucune provocation, aucun prosélytisme. La romance qui les unit est très chaste et aucune scène de sexe n'est filmée, aucune nudité dévoilée. Le film est tous publics en France et c'est justice.

    La réalisatrice Wanuri Kanui raconte une histoire universelle qui pourrait se dérouler sous n'importe quelle latitude. Qui espérait voir (ou revoir) Nairobi serait bien déçu : les décors d'une banlieue sans caractère, ni huppée ni miséreuse, sont à mille lieux de tout exotisme.

    Si "Rafiki" avait été l’œuvre d'un réalisateur européen ou américain, on ne s'y serait pas arrêté sinon pour lui reprocher son manque d'originalité. Mais venant d'un pays dont la production cinématographique est bien chiche, traitant d'un sujet qui y est encore tabou et tombant, pour ce motif, sous le coup d'une censure qui nous semble, vu d'Occident, bien obscurantiste, Rafiki retient notre attention pour des motifs qui n'ont pas grand chose de cinématographique.
    Laurent C.
    Laurent C.

    237 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 octobre 2018
    Le Kenya est un pays de la couleur et de l’amour. Tout est dit dès les premières images du générique qui donnent au film un rythme audacieux, où alternent animations joyeuses et visites de la ville. Une jeune-fille, l’héroïne principale, dévale sur son skate les rues agitées d’une Afrique qui peine encore à lever le nez, économiquement parlant. Et si la croissance prend le bon chemin, demeurent toujours les résistances culturelles et le poids d’une tradition où le droit à la différence est proscrit.

    « Rafiki » veut dire amitié. En réalité, le film parle d’une amitié particulière entre deux adolescentes. L’une est brillante à l’école, elle cherche sa voie, l’autre est belle, sensible, et donne à voir une aisance relationnelle totale. Les deux jeunes-filles s’opposent à travers leurs pères qui mènent un combat politique pour ravir la mairie.

    Mais quelque chose ne fonctionne pas vraiment. Peut-être ces insères de musique qui forcent l’émotion et font ressembler le film à une juxtaposition de clips. Peut-être ces personnages qui manquent de nuance et sont enfermés dans des schémas prêts à penser. Peut-être aussi une linéarité du scénario qui fait perdre au film le rythme du générique.
    Giuliano Roda
    Giuliano Roda

    1 abonné 11 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 mars 2024
    se film est beaucoup trop malicieux pour moi je doit aller le voir jeudi avec mon ecole elemantaire primaire et ma classe de cm2 avec antoine noguer et robin poidevin nous aller nous mettre un petit snus sous la gencive pour que le film soit moins malicieux et guialno qui sort avec 2011 il a pas honte
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