Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Nicholas Elliott
Les doubles portraits de la cinéaste sont des échanges, des dons d’amitié auxquels nous avons le privilège d’assister.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Véritable martyre, le catcheur a subi des viols dans l’enfance, puis accumulé les blessures sur le ring. Ce qui a débouché sur une addiction à la drogue et l’alcool puis à une désintoxication. A la fin du film, ouverte et surréelle, un doute plane sur une rechute possible, mais la poésie du documentaire balaie avec grâce ses côtés obscurs.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Fiches du Cinéma
par Roland Hélié
Le nouveau film de Marie Losier, documentariste rompue à la mise en lumière de l’extravagance, brosse le portrait sans contrechamp d’une star du catch mexicain. Ou comment mettre en scène le corps d’un athlète vieillissant occupé à sa propre mise en scène. Insolite.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Là où le film se fait le plus fascinant, c’est lorsque la cinéaste approche sa caméra des blessures et des cicatrices de Cassandro, dévoilant le coût exorbitant de sa flamboyance, le rapprochant ainsi, d’une certaine manière, de Genesis P-Orridge, héros transformiste de son précédent long métrage, qui voulait dépasser son corps.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
[...] un portrait émouvant et sans esbroufe.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Perrine Quennesson
Le film dresse le portrait d’un athlète exceptionnel, qui trouve sa mission et sa rédemption dans un sport qui a tout d’une religion.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Marie-Hélène Soenen
La réalisatrice rend ce personnage hors du commun incroyablement touchant en le montrant sur le fil, à la fois force de vie fabuleuse et icône fragile, hanté par ses démons et une peur panique de disparaître.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Septième Obsession
par Morgan Pokée
Losier déjoue - avec patience et bonheur - toutes les cases prévisibles.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
On atteint, tout particulièrement dans la dernière partie du film, alors que le personnage s’est cassé la jambe et que son avenir dans la lutte lui apparaît de moins en moins assuré, à un degré supérieur d’émotion.
Positif
par Denitza Bantcheva
Les séquences les plus fortes du film sont celles où Cassandro révèle sa détresse et celle où il "met en scène" sa mort à venir, d'une manière qui produit un effet de vérité saisissant. On apprécie moins l'aspect mystique [...] et les coquetteries du personnage, dont les coiffures et les tenues extravagantes semblent fasciner la réalisatrice, qui s'y attarde au risque de lasser ou d'agacer le spectateur.
Critikat.com
par Clara Tabard
Le style de Marie Losier est certes identifiable mais ses multiples artifices empêchent de pénétrer au cœur d’un sujet poignant.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Cahiers du Cinéma
Les doubles portraits de la cinéaste sont des échanges, des dons d’amitié auxquels nous avons le privilège d’assister.
L'Humanité
Véritable martyre, le catcheur a subi des viols dans l’enfance, puis accumulé les blessures sur le ring. Ce qui a débouché sur une addiction à la drogue et l’alcool puis à une désintoxication. A la fin du film, ouverte et surréelle, un doute plane sur une rechute possible, mais la poésie du documentaire balaie avec grâce ses côtés obscurs.
Les Fiches du Cinéma
Le nouveau film de Marie Losier, documentariste rompue à la mise en lumière de l’extravagance, brosse le portrait sans contrechamp d’une star du catch mexicain. Ou comment mettre en scène le corps d’un athlète vieillissant occupé à sa propre mise en scène. Insolite.
Les Inrockuptibles
Là où le film se fait le plus fascinant, c’est lorsque la cinéaste approche sa caméra des blessures et des cicatrices de Cassandro, dévoilant le coût exorbitant de sa flamboyance, le rapprochant ainsi, d’une certaine manière, de Genesis P-Orridge, héros transformiste de son précédent long métrage, qui voulait dépasser son corps.
Libération
[...] un portrait émouvant et sans esbroufe.
Première
Le film dresse le portrait d’un athlète exceptionnel, qui trouve sa mission et sa rédemption dans un sport qui a tout d’une religion.
Télérama
La réalisatrice rend ce personnage hors du commun incroyablement touchant en le montrant sur le fil, à la fois force de vie fabuleuse et icône fragile, hanté par ses démons et une peur panique de disparaître.
La Septième Obsession
Losier déjoue - avec patience et bonheur - toutes les cases prévisibles.
Le Monde
On atteint, tout particulièrement dans la dernière partie du film, alors que le personnage s’est cassé la jambe et que son avenir dans la lutte lui apparaît de moins en moins assuré, à un degré supérieur d’émotion.
Positif
Les séquences les plus fortes du film sont celles où Cassandro révèle sa détresse et celle où il "met en scène" sa mort à venir, d'une manière qui produit un effet de vérité saisissant. On apprécie moins l'aspect mystique [...] et les coquetteries du personnage, dont les coiffures et les tenues extravagantes semblent fasciner la réalisatrice, qui s'y attarde au risque de lasser ou d'agacer le spectateur.
Critikat.com
Le style de Marie Losier est certes identifiable mais ses multiples artifices empêchent de pénétrer au cœur d’un sujet poignant.