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    Annabelle – La Maison Du Mal
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    Anthony S.
    Anthony S.

    13 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 juillet 2019
    Film plutôt bien fait, Le côté vintage années 70 rien à dire j'adore. Le film est un peu long à démarrer, mais une fois que ça a commencé ça s'arrête plus. Bon petit film d'épouvante. On découvre d'autres petites enquêtes des Warren méconnues.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    581 abonnés 2 749 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 28 septembre 2019
    Annabelle : La Maison du Mal souffre de tous les symptômes d’une maladie qui n’est certes pas nouvelle, mais dont les formes cinématographiques tendent à se multiplier depuis peu : la propension à alimenter une saga avec des produits dérivés aussi incolores qu’inutiles, dans l’unique dessein de prolonger la longévité d’une mémoire culturelle courte dans laquelle les œuvres se suivent, se consomment et s’oublient. D’emblée, le long-métrage prend son spectateur par la main en lui rappelant, au cours d’une introduction fort pénible, cette histoire qu’il a trop vue. S’applique alors le cahier des charges de l’épouvante contemporaine : esthétisation à grands renforts de longs travellings (code James Wan), apparition d’un personnage immobile au milieu d’une cour de récréation (code John Carpenter), grosse bébête tout droit sortie d’un Chair de Poule, violons grinçants, chansons vintage et couleurs pop censées incarner les années 70. Nous apprécierons néanmoins l’honnêteté – involontaire à n’en pas douter – de placer la reconstitution historique (sic) au service d’une illustration de la consommation de masse, ce qu’est Annabelle troisième du nom. Des postes de télévision se multiplient, les rayonnages d’un supermarché fourmillent de produits colorés. Il y a continuité entre la vision topique de ces années et l’avalanche de stéréotypes ; le problème étant que de cette concomitance découle un cruel déficit artistique et dramatique. Horrifiquement pauvre et thématiquement nul, La Maison du Mal ne fait que ménager son suspense et retarder ses chutes, ce qui n’empêche pas celles-ci de tomber si mal que le sursaut laisse vite la place à une lassitude croissante. Une idée, à la rigueur, fonctionne : les pièces de monnaie. Le bruit qu’elles émettent quand elles frappent le sol construit une vague atmosphère de tension. Pour les pièces de monnaie, donc. Le spectateur, en revanche, aurait bien raison de conserver les siennes dans sa tirelire.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 13 juillet 2019
    Très bon flim et un bel hommage a lorraine Warren repose en paix Annabelle est terrifiant trop bien
    2985
    2985

    227 abonnés 931 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 septembre 2019
    Ce film est une plaisanterie, outre les dialogues d'un niveau de CP, on a à faire à des réactions complètement stupides. La saga Annabelle était franchement pas terrible, le 1er était mauvais, le deuxième relevait un peu le niveau et celui-ci réenterre le tout. Les personnages font preuve de débilités permanente, par exemple, quand on lit, défense d'ouvrir sur la vitrine de la poupée et que dans la seconde d'après on s'empresse de l'ouvrir sans là refermer, quand 1 min plus tard on croit voir un fantôme et que l'on se met à le poursuivre seule, alors que juste avant on a entendu un discours sur les esprits, des scènes repompé sur Conjuring 2 notamment celle où la nonne fait le tour de la pièce en ombre ici remplacer par une mariée, ou encore celle où la fillette se fait tiré le pied dans son lit, dans le 1, sa a beau être le Conjuring universe sa n'empêchait pas de faire preuve d'originalité, c'est d'ailleurs dommage que ces films gâche les œuvres originale, la nonne était loin d'être un chef-d'oeuvre également. Niveau ambiance c'est zéro, ni inquiétant, ni terrifiant, ou même angoissant on est tellement loin du niveau et de la subtilité des films de base. La fin qui est porte ouverte au grand n'importe quoi, tout y passe on se croirait chez R.L Stine. Seule point positif la présence de Wilson et Farmiga dans leur rôles respectifs des époux Warren, qui donne les seules bons moments du film. Faudrait penser à arrêter le massacre, mais tant que ces films rapporte... De plus quand on voit le nombre de nouveau compte attribuant la note maxi, on voit tous de suite que ce film bénéfice d'une sorte de protection, à l'inverse les mauvaises notes, se voit automatiquement disliké, après tout si vous encouragé la médiocrité.
    Shephard69
    Shephard69

    281 abonnés 2 259 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 21 septembre 2019
    Sorti dans un anonymat plutôt relatif, dernier volet en date autour d'Annabelle et septième long-métrage de la saga "Conjuring", un film d'épouvante d'une vacuité abyssale, sans aucune idée tant dans l'écriture que la mise en scène. Un scénario d'une banalité absolue, des personnages lisses, sans la moindre aspérité psychologique et dont le seul intérêt pourrait reposer dans la présence de Vera Farmiga et Patrick Wilson à la distribution mais dont les rôles se réduisent à de simples caméos, le reste du casting étant d'une pâleur sans saveur. Rien de bien effrayant ou dérangeant, plus ennuyeux que distrayant. Avec des idées de plus en plus éculées, un univers cinématographique qui, en dehors des réalisations de James Wan, se délite lentement mais inexorablement pour devenir des produits indigents, ineptes et aseptisés.
    MaCultureGeek
    MaCultureGeek

    1 034 abonnés 1 224 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 27 novembre 2019
    Critique qui révèle certainement quelques éléments de résolution de l'intrigue.

    Même si l'on pourra clairement prétendre que les débuts de l'essoufflement de la franchise Conjuring remontent aux sorties coup sur coup de La Nonne et La Malédiction de la Dame Blanche, le premier volet à n'apporter aucune avancée dans l'intrigue, aucune précision primordiale et non anecdotique sur l'univers enclenché par James Wan n'est autre que ce troisième volet de la trilogie (pour l'instant?) Annabelle, détail en même temps ironique et logique lorsqu'on sait que c'est ce même personnage qui étendit son univers en univers partagé de spin-offs et films officiels.

    Réalisé par Gary Dauberman (scénariste habitué de la saga et de James Wan -il travailla aussi sur sa série Swamp Thing- qui dirige son premier film), La Maison du mal, à défaut d'avoir autre chose à proposer qu'une introduction dans l'univers de nouvelles créatures au design surprenant (et dont certains, s'ils n'apparaissent pour l'instant dans aucun spin-off, représenteront très surement les prochains protagonistes de Conjuring 3), ramène dans son casting Patrick Wilson et Vera Farmiga, acteurs dirigeants la franchise puisqu'ils en incarnent les deux personnages principaux, le couple Warren.

    Arrivés et repartis en coup de vent pour une introduction complètement inutile, ils ont pour principale utilité, outre de placer le film dans l'univers et de lui donner plus de consistance niveau réputation de casting, d'amener en vue du spectateur la nouvelle actrice chargée d'interpréter leur fille, Mckenna Grace, et qu'on ne retient pas plus que cela; sans véritable personnalité, elle n'apporte rien de plus que les apparitions de figurante de Sterling Jerins, la précédente interprète.

    C'est là qu'on attend ce troisième épisode au tournant; si l'on suit des personnages extrêmement caricaturaux qui n'apparaissent dans aucun autre volet (exception forcée de la fille Warren), c'est pour avoir de possibles surprises à l'issu et voir certains de ces adolescents insupportables (et peu nombreux) ne pas y survivre (particulièrement l'agaçante Madison Iseman). Première chose qui déçoit, il n'a jamais le courage de faire ce qu'il est naturel d'attendre et rend tous ses personnages intacts en fin de déroulement, à la différence que tous seront devenus amis avec l'héroïne, particulièrement ceux qui la harcelaient jusqu'alors.

    Et si on le suit sans trop de hargne, c'est aussi parce qu'il parvient à rendre, tout aussi paradoxal que cela puisse paraître, attachant ce groupe de clichés de personnages jeunes; surement est-ce due à la grossièreté du tableau dépeint, balancé au feutre tachant plutôt qu'au pinceau fin. Sans trop savoir pourquoi, on suit avec intérêt ces jeunes aux agissements stupides et seulement justifiables par le fait qu'ils servent à faire avancer l'intrigue.

    Madison Iseman représente le mieux ce sujet objet de Deus Ex Machina : constamment dans l'erreur d'appréciation, de jugement et d'action, elle balance l'intrigue sur un comportement absolument imprudent et vainement rafistolé à l'intrigue par un développement pathos du fait qu'elle ait perdue son père; il y avait plus logique, plus crédible comme manière de libérer ses monstres, et surement plus fin que de jeter la carte fameuse du "ne la blâmons pas, elle l'a fait par amour".

    Bourré de jumpscares, l'après libération des monstres pâtit de sa photographie sombre et banale, avec laquelle Dauberman tente d'imiter le style de Wan sans pour autant réussir à instaurer la moindre atmosphère oppressante. Si La Maison du mal fait peur, c'est parce qu'il nous fait risquer l'arrêt cardiaque à chaque moment de tension, parce que le son, hurlement de jumpscare, représente plus l'agression que n'importe laquelle des apparitions de créature démoniaque.

    Fallait s'attendre au fait que ce soit commercial, qu'il n'invente rien et ne tente pas de surprendre; seulement, de là à s'imaginer qu'il se contenterait de pomper le succès des autres sans pour autant apporter le moindre élément supplémentaire de compréhension du background de l'univers de la Warner, le tout laissé sur une conclusion qui n'apporte aucune avancée sur le destin d'aucun personnage (il y en aura bien un secondaire pour avoir fini en couple), il y avait un monde scandaleux qu'on ne pouvait imaginer atteindre un jour dans la franchise de Wan.

    Et si certains comparent l'univers partagé Conjuring à celui de la référence des références en terme de spin-offs faits sur des films-fils, le MCU, c'est oublier que ce dernier tente au moins de faire évoluer ses personnages, son intrigue et possède un but final. La destination de l'oeuvre de Wan semble, dès à présent, conduire droit dans le mur; ne reste plus qu'à évaluer la vitesse d'impact : sera-ce dès la sortie du prochain Conjuring en 2020, réalisé par le désastreux Michael Chaves, ou dans quelques années, quand un nouvel univers aura surgi, ou que le public se sera lassé de voir toujours les mêmes oeuvres commerciales portées par ces mêmes personnages perdant, à chaque film, un peu plus de leur essence originelle?

    On verra.
    Benito G
    Benito G

    585 abonnés 3 159 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 novembre 2019
    un 3ème opus qui suit le principe des précédents en faisant un clin d œil au couple de référence de Conjuring.. Laissant le travail à une jeune actrice qui s en sort assez bien même si j ai noté quelques facilités lors du dénouement aussi prévisible soit il mais jonché de quelques obstacles. On était toutefois habitué à quelques chose d un peu plus retors mais l on va mettre cela sur les débuts de la jeune fille sur les entités et ce qui va avec. On se sent comme familier dans les lieux rapport au opus alliant la fameuse pièce interdite et évidemment la poupée ! Bref un 3ème opus qui reste dans la lignée des autres et qui meme si il utilise les même codes. Parvient à nous divertir. Et pour une suite ou la nouveauté n est automatiquement plus, l ensemble arrive a nous divertir même si le début montre quelques longueurs.
    stallonefan62
    stallonefan62

    237 abonnés 2 470 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 avril 2020
    Sans révolutionner le genre, ce nouvel opus du "conjuring universe " fait son effet avec des bonnes scènes d'angoisses et une mise en scène plutôt efficace !!
    Clémentine K.
    Clémentine K.

    165 abonnés 1 427 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 juillet 2019
    Pour moi, de loin le meilleur de la saga Annabelle. En effet, nous sommes replongés dans l'univers et la maison des Warrens, avec eux sur plusieurs scènes, ce qui redonne une âme à ce spin-off. L'intrigue est facile et déjà-vue, mais j'ai trouvé ce film efficace et donc réussi.
    Fabien S.
    Fabien S.

    457 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 novembre 2022
    L' intrigue entre la baby-sitter Mary Ellen et sa meilleure copine Daniela qui s'occupent de Judy , la gamine des Warren ne vole pas très haut niveau scénario. Le côté horrifique ne fait pas assez peur malgré la poupée terrifiante. Je suis vachement déçu de ce troisième volet malgré que les deux premiers opus m'avait beaucoup plu.
    Yves 4.
    Yves 4.

    91 abonnés 621 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 juillet 2019
    Bof pour les inconditionnels.
    la poupée maléfique reprends du service.
    Enfermé dans sa vitrine de protection du mal , évidemment quelqu'un ouvre celle-ci.
    Et là commence l'enfer....
    Rien de nouveau.
    Brandon B.
    Brandon B.

    23 abonnés 85 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 août 2019
    Annabelle est un film réussi ! un très bon film d'horreur ! l'un des meilleurs de la saga Annabelle.
    Greg A.
    Greg A.

    42 abonnés 455 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 juillet 2019
    Ce troisième film sur la poupée maléfique manque clairement d’audace , proposant une lecture assez prévisible et trop trop long au démarrage pour au final 10 minutes « d’action » correct mais très insuffisante ... le deuxième opus ( le meilleur ) était une petite éclaircie au milieu de cette saga trop brouillonne . Ma note : 9/20
    Goudu A
    Goudu A

    12 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 juillet 2019
    La poupée la plus terrifiante est de retour, cette fois l’intrigue se passe après Conjuring 1 et Annabelle 1 lorsque les Warren prennent la poupée pour la mettre chez eux (ils prennent la poupée aux deux aides soignantes (première scène de Conjuring 1)) La poupée attire pleins d esprits après avoir été libéré par Daniela, une amie de la Baby-sitter de Judy,la fille des Warren qui est très curieuse de découvrir tous les secrets de la pièce consacrés aux esprits, elle les libère donc et le cauchemar commence... Le film est assez long à démarrer mais les 30 dernières minutes sont très intenses, bon scénario, des personnages assez bien explorés, une pointe d humour et une romance, beaucoup d éléments sont tout nouveaux pour la saga (humour,romance) et beaucoup d esprits sont également nouveaux (le passeur, la mariée...) Excellent film qui dépasse ses prédécesseurs mais qui n’égale toujours pas les deux Conjuring !
    mlight
    mlight

    20 abonnés 355 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 11 juillet 2019
    Après avoir scénarisé Annabelle premier et deuxième du nom, La nonne mais aussi Ça, Gary Dauberman se lance malgré l'expérience accumulée au cours de nombreux films dans sa première en tant que réalisateur. J'avais trouvé le premier opus pas à la hauteur, le second déjà bien meilleur quoique toujours pas une expérience marquante comme ont pu l'être Conjuring 1 et 2, j'y suis donc allé sur la pointe des pieds, le coeur rempli d'espoir et l'envie de voir quelque chose qui allait me faire passer un bon moment et m'apporter les frissons tant espérés. Comme ça a déjà été expliqué à de nombreuse reprises, faire un film d'épouvante avec comme bestiaire une poupée et des démons est assez complexe, le réalisateur fait le choix de ne montrer cette fameuse Annabelle qu'à de rares occasions et concentre l'effroi sur tous les objets maudits dont regorge cette maison. Après une brève apparition des Warren au début du film, nous suivons en fait plutôt leur petite fille qui va préparer son anniversaire avec sa babysitter à la maison et évidemment, tout ne se passera pas comme prévu. Le scénario ne va pas beaucoup plus loin et je dois admettre d'emblée que je ne pensais pas être plus déçu que par les précédents volets, pourtant, je me suis ennuyé fermement. Les choses se mettent en place avec une lenteur épouvantable et encore, si ça avait été pour mettre en place un contacte bien particulier ou une atmosphère insoutenable, il n'y aurait pas eu de souci, mais pas ici, je retiens peut-être deux scènes à la hauteur qui nous surprennent un peu et nous font réagir sinon, tout le reste est du vu et revu mais sans cette touche supplémentaire qui nous fera y croire, ou être immergé dans l'ambiance, aucune touche Jameswanesque à l'horizon, de l'ennui, des événements prévisibles, aucune mise en danger des personnages, la tension ne se fait plus ressentir tant tout est toujours le même, une porte qui grince, un objet qui bouge pour 15 minutes de "frayeur" vers la fin, non vraiment ça n'arrive pas à la cheville d'un conjuring et encore moins d'un Hérédité par exemple. Même pour les jumps scare, ça ne prend même plus la peine d'essayer de nous surprendre, on les balances comme ça et advienne que pourra, sans les trouver réellement bons, je n'avais pas eu cette impression de moquerie complète dans les premiers numéros, il y avait réellement quelqu'un qui ronflait dans la salle.. Bref, c'est la déception totale pour ma part, je regrette d'avoir laissé une nouvelle chance à cette saga et surtout de l'avoir vu au cinéma, Toy Story 4 m'aurait probablement fait plus peur..
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