Avis sur Interrail

je note 4 étoiles car hélas ce film fera peu d'entrée et c'est bien dommage
car ce périple de ces 6 amis vaut le détour.
d'abord on voyage en train pour voir Berlin Budapest et bien d'autres endroits.
puis ces jeunes comédiens en devenir méritent toute notre attention.
sans être approfondi le scénario et l'histoire sont très intéressants.
bravo à toute la troupe.

Voilà un road movie français tout à fait sympathique et agréable.
Rien d'extraordinaire mais c'est plaisant à regarder ce voyage de quelques amis de lycée qui viennent d'avoir leur bac et qui partent en voyage en train à travers l'Europe.
C'est prévisible ce voyage et ce qui leur arrive mais ils sont sympathiques ces jeunes et on se met bien à leur place.
C'est un très bon road movie.

Un film qui arrive à l'affiche très discrètement. Pas de matraquage par bande-annonce. Pas d'affichage intensif. Guère de couverture média. Et peu de salles. Mais il arrive parfois que derrière de tel mauvais auspices, le cinéphile découvre une pépite. Cette fois-ci, hélas non. C'est mou, c'est vide. On s'attendait au minimum à davantage d'interactions de ces jeunes en vadrouille dans l'Europe avec les populations des pays traversés. Tant qu'à vouloir découvrir ! Mais le propos du scénario reste centré sur les voyageurs et leurs états d'âme amicaux (plus si affinité). Et leur vie est inintéressante au possible ! De sorte que l'ennui gagne très rapidement. En ce premier jour de sortie nationale, 4 spectateurs dans la salle : un spectatrice sortira au bout d'une heure. J'ai eu le privilège d'être interviewé à la sortie de la salle. Mon intervieweur m'a confié que, selon-lui, ce film ne resterait pas à l'affiche plus d'une semaine. Il faut donc se dépêcher ! Il est quand même étonnant que malgré la faiblesse de son contenu ce scénario ait passé les filtres de la production et des financements.

En attendant Dogman ce week-end, je me suis rabattue sur ce petit film de jeunes faisant un road-trip européen après le bac. Je me suis dit, ça peut être sympa avec ces airs de voyages... Que nenni, je me suis ennuyée à mourir et j'ai hésité à partir de la salle. Aucun charisme dans cette brochette d'acteurs et actrices, leur voyage est ennuyant, leurs vies sont ennuyantes ! On n'a pas vraiment le temps de découvrir les pays, on assiste aux vieilles disputes amicales/amoureuses sans intérêt, bref c'est mou, c'est nul. Des virées de ce genre, on en a déjà-vu de meilleure qualité.

cinephile-critique.over-blog.com

Interrail aimerait chanter l’insouciance de jeunes corps épris de liberté et d’amitié qui trouvent dans leur périple ferroviaire l’occasion d’une redécouverte de soi et de l’autre. Pas de chance pour lui, ne demeure qu’un long et périlleux film de vacances dénué de point de vue et, surtout, de cinéma. Croiser caméra officielle et caméra amateur ne fait jamais sens, s’ajoute à la longue série des effets de mode d’une génération obsédée par le selfie et la mise en scène de soi. Ici tout donne l’impression d’être trafiqué. Le pire étant la propension à ériger cette collection de clichés en parcours symbolique de la jeunesse actuelle, une tranche de vie commune à un âge où il fait bon goûter les plaisirs de la vie avant de se ranger : pour cela, chaque jeune incarne un poncif, allant de l’intello au bobo en rupture avec sa famille. L’aspect clipesque du métrage renforce l’américanisation de la jeunesse française, et insère le voyage dans la mouvance d’autres périples libertaires avec, au programme, drogue, alcool et sexe. Le pire étant la propension à se la jouer Mektoub my Love au cours d’un segment final subitement mélancolique. Interrail voudrait emprunter les chemins sinueux d’une jeunesse curieuse et f(o)ugueuse, mais échoue à ne proposer autre chose qu’un ensemble de situations éculées et étiquetées par destination. On reste à quai.

Interrail est un film réalisé par Carmen Alessandrin, la fille de Lisa Azuelos connu notamment pour le film "LOL " dont elle est réalisatrice. On retrouve d'ailleurs toute son influence dans un film que Lisa Azuelos aurait pu réaliser.

Dés les premières secondes du film, le spectateur rencontre des personnages totalement archétypes qui seront exagérés tout au long du film. Les dialogues n'apportent rien à la narration et au développement des personnages, qui pour certains sont mal joués. Il n'y a donc aucune évolution et pourtant certaines pistes été bien trouvées. Lle triangle amoureux qui est quand même le conflit central du groupe commence bien mais ne va pas jusqu'au bout des choses (les deux filles passent très très vite à autre chose alors que la trahison est relativement forte).

L'histoire personnelle de Lou est bâclée alors que nous nous attendons à comprendre pourquoi ce stage est si important pour elle, à quel point elle aime le journalisme et tout l'émancipation qu'elle essaye d'avoir vis-à-vis de sa mère. Sa caméra, qui est pourtant un élément très intéressant, n'est pas suffisamment mis en valeur pour comprendre le dur geste qu'elle va devoir faire pour gagner un peu l'argent.

La relation entre Malik et son frère qui est une très bonne piste nous laisse sur notre fin... bref toute ses bonne idées ne vont pas jusqu'au bout.

Sur le plan de l'évolution narrative le spectateur ai dépourvu de toute évolution. Les obstacles se resolves avec une facilité déconcertante qui en devient ridicule.

Très bonne surprise . Une belle histoire de vie d’ados qui diffère des autres films . On passe un excellent moment .

Entre 2 matches de coupe du monde, j'ai trouvé le temps d'aller au cinéma, et je ne l'ai pas regretté... Interrail est un film très fin, qui ne tombe dans aucun des poncifs du teen-movie ou du road-movie... loin des problématiques artificielles façon "Les affamés" (je n'ai pas vu le film, je ne veux pas trop en parler, mais la jeunesse qui se met en grève, ça fait un peu fabriqué), le regard porté sur la jeunesse est constamment juste, peut-être parce que la réalisatrice a 25 ans ! On est en plein dans la génération Y, ultra connectée, mais qui n'en fait pas une affaire (c'est juste là, comme l'air qu'on respire), et ce qui frappe pourtant, c'est la profonde nostalgie qui se dégage du film, comme si cette génération avait intériorisé, avec un peu de fatalité mâtiné d'un fond de tristesse, la fin de cet âge d'or (le plus "bel" de la vie ?), l'imminence des difficultés à venir. Rien n'est manichéen, rien n'est définitif, que ce soit dans le rapports amoureux, d'amitié, tout est subtil et dosé, authentique - autant que peut en juger quelqu'un dont les 20 ans sont bien loin :-)

Fraîchement bacheliers, une bande de copains décide de faire le tour de l’Europe en Interrail, avant de prendre chacun une voie différente. Amours, ennuis, disputes, joies, alcool… « Interrail » est un éternel clip de voyage où la jeunesse se divertie. Nous on s’ennuie.
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Film tres frustrant car cela aurait pu etre un tres beau film sur l"apprentissage de la vie a travers ce voyage en europe.
En plus les actrices sont tres bien et les acteurs correct mais les histoires dans les differends pays sont sans grand interet et ce parcours initiatique vraiment pas abouti.

Frais, jeune, film qui m’a fais évader.. dans l’insouciance et le genre bohème, on vie littéralement leurs voyage (bien que simple) les jeune acteurs sont très naturel et l’ambiance est vraiment la, en plus en Grèce .
un savoureux film sur l’expérience et la découverte de soi même.

Léger, frais, pétillant et vivant. Ce film nous emmène voyager pendant 1h30 au rythme des histoires de ce groupe d'amis. J'ai vraiment adoré. Un grand bravo.

Très moyen, beaucoup trop gentillet, très clichés à tous points de vue. Une bande d'ado sans grande originalité.

J’ai decouvert ce film par hasard... flash back de mes premiers voyages a l’étranger entre amis! Que de bons souvenirs qui restent gravés a jamais! Film tres frais!

Un film bien joué dont la cible est un public plutôt jeune. Le sujet est intéressant cependant le film est bien loin d’être passionnant, je diaprais même qu’il est anecdotique, mais pas trop désagréable à regarder.