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    Le Tombeau hindou
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    fabrice d.
    fabrice d.

    22 abonnés 1 382 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 janvier 2023
    Ce film est la suite du Tigre du Bengale, on reprend les mêmes et on recommence. D'où les mêmes commentaires.
    Ca a très mal vieilli, les décors sont vraiment kitsch, les scènes d'actions ne sont pas trop travaillées à mon goût.
    Et cela nuit à ce récit d'une histoire d'amour entre un ingénieur français et une danseuse indienne prisonnière d'un maharadja autoritaire.
    aldelannoy
    aldelannoy

    31 abonnés 326 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 janvier 2023
    Bien meilleur que Le tigre du Bengale, film qui n'est que le début de celui-ci et, seul, n'a guère d'intérêt. Ce n'est pas du bon Fritz Lang mais c'est un film correct avec un scénario où il se passe un peu quelque chose, ce qui n'est pas le cas dans le Tigre qui est la première partie de ce diptyque.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 382 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 9 mai 2021
    Ce film d'aventure ringard bien que filmé de façon colorée en Inde n'est jamais à la hauteur. Les personnages sont tous unidimensionnels surtout le héros de l'histoire. Son rôle ne comporte pratiquement aucun dialogue et ses scènes d'action sont faibles et peu convaincantes. La femme principale est belle mais elle a l'air aussi indienne que Michelle Pfeiffer. Les principaux personnages indiens sont pour la plupart des acteurs blancs maquillés. Leurs scènes longues et bavardes vous inciteront à appuyer sur avance rapide. Certaines parties sont bien faites comme la danse du serpent et la grotte des lépreux mais elles ne compensent pas les longues portions de performances en carton. Les dialogues que les acteurs prononcent proviennent d'une bande dessinée de septième ordre. Le personnage du prêtre en chef a une voix ridicule. Bien qu'il ait été réalisé en 1959 par le grand Fritz Lang il ressemble davantage à un petit feuilleton d'aventure simpliste des années 1930. Lang a fait un bide s'il pensait produire une œuvre pour un public adulte. J'ai été très déçu par ce film car il convient uniquement aux enfants et aux inconditionnels de Fritz Lang...
    Attigus R. Rosh
    Attigus R. Rosh

    158 abonnés 2 421 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 janvier 2021
    Le Tombeau Hindou est un film sympathique de Fritz Lang.
    Deuxième et dernier volet du diptyque constitué avec Le Tigre du Bengale ; le film peut tout de même se regarder sans avoir vu le premier volet (même si c'est préférable). Le film a pris un petit coup de vieux pour ce qui de l'aventure (ce qui est normal pour un film ayant soixante ans) mais les décors indiens sont toujours aussi impeccable et immersifs.
    Les acteurs sont corrects (même si c'est bien le charme hypnotisant de Debra Paget qui captive le regard à chaque scène).
    Si le film n'a pas la prétention d'être aussi renversant que les chefs-d’œuvre du cinéaste allemand (Metropolis ou M le Maudit par exemple) ; ça n'en ai pas moins un petit film d'aventure sympatoche et plutôt bien réalisé.
    Musomuse
    Musomuse

    4 abonnés 237 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 décembre 2020
    Dans la continuité du premier chapitre, Le tombeau Hindou exploite ici la situation de départ pour mettre en marche des enjeux moins en surface. En ce qui me concerne j'ai trouvé cette deuxième partie avec des ambitions poussé dans le bon sens. On va plus loin et surtout on divertit moins. L'idée étant de joué sur des cartes plus dramatique que spectaculaire.

    Noble démarche donc. Je dirais aussi que c'est un bien meilleur film que Le Tigre du Bengale. Pour une séquence en particulier. La scène des lépreux qui fait figure d’anecdote mais qui impressionne. Il y a aussi tout le dénouement qui amène l'admiration. C'est très fluide et inéligible. C'est vrai que d'un point de vue de l'histoire on ne déborde pas d’innovation. Après c'est dans la même vague du comte et donc ça n'a pas la prétention de questionner tout un pan de l'humanité. Même si les émotions amené sont forte et énorme.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 29 mars 2020
    Une deuxième partie de ce dyptique de Fritz Lang plus abouti que la première.
    Une histoire mieux construite et qui se laisse facilement regarder même si tout les clichés du genre sont réunis dont notamment la danse du cobra.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 169 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 août 2019
    “Le Tombeau Hindou” est la suite du “Tigre du Bengale”. Après avoir tué le tigre, l'architecte occidentale et la belle Seetha sont en fuite du palais. Poursuivis par le frère du maharadjah, ils sont contraints de se réfugier dans la montagne où ils seront quand même capturés. Le couple d’amants devra alors se soumettre au jugement des dieux et de la danse du cobra. L’avant-dernier long-métrage de Fritz Lang rencontrera un beau succès en Europe. Pourtant l’histoire et la mise en scène accumule nombre de clichés du film d’aventure. A la fois naïf et pas toujours bien joué, “Le Tombeau Hindou” offre néanmoins un florilège d’artifices colorés.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    Yves G.
    Yves G.

    1 278 abonnés 3 288 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 août 2019
    Au début du vingtième siècle, l’architecte Harald Berger a été recruté par le maharadjah d’Eschnapur pour y construire un hôpital. En chemin vers sa destination, il croise Seetha, une danseuse sacrée, et sa garde. Il la sauve des griffes d’un tigre. Entre l’architecte européen et la jeune femme, le coup de foudre est immédiat. Mais Seetha est promise au maharadjah contre lequel son frère fomente une révolution de palais.

    "Le Tigre du Bengale" et "Le Tombeau hindou", deux films d’une heure quarante chacun qui n’en forment qu’un, marque le retour de Fritz Lang en Allemagne, à la fin des années cinquante, plus de vingt ans après son départ pour Hollywood. On sait l’éblouissante carrière du réalisateur allemand et la succession de chefs-d’œuvre qu’il a réalisés avant et après son exil : "Mabuse", "Metropolis", "M le maudit", "La Femme au portrait", "L’Invraisemblable Vérité"…

    De retour en Allemagne, Lang décide de reprendre un vieux projet dont il avait co-écrit le scénario au début des années vingt avec sa deuxième épouse Thea von Harbou. Un film en noir et blanc en avait été tiré en 1938.

    Mais Fritz Lang, fort de sa renommée, entend déployer les grands moyens. La mode est aux péplums : Cecil B. De Mille vient de boucler "Les Dix Commandements", William Wyler tournera "Ben-Hur" et Stanley Kubrick "Spartacus" deux ans plus tard.

    Froidement accueilli à sa sortie, sinon par les fans inconditionnels du maître, le diptyque a mal vieilli, aussi louables soient les efforts pour en ressusciter les chatoyantes couleurs. Il est vrai que les paysages du Rajahstan – que les producteurs de James Bond allaient eux aussi choisir vingt-cinq ans plus tard comme cadre à "Octopussy" – sont exotiques à souhait.

    On en retiendra à la rigueur la sensualité de son héroïne, Debra Paget, dont la danse dénudée dans le temple sacré constitue une scène d’anthologie Mais l’intrigue, qui charrie son lot de clichés colonialistes et sexistes, est trop naïve pour convaincre. Et cette Inde en carton-pâte reconstituée pour l’essentiel dans les studios de Berlin, ces acteurs allemands la peau noircie au charbon pour leur faire jouer des rôles de maharadjah ou de brahmane (comme les acteurs de "Naissance d’une nation" cinquante ans plus tôt) suscitent la gêne depuis "L’Orientalisme" de Edward Saïd et quarante ans d’études postcoloniales.

    S’il s’agissait d’une série B commise par un quelconque faiseur hollywoodien, on aurait plus d’indulgence. Mais dans l’œuvre si subtile du maître allemand, ce nanar kitsch fait tâche.
    TTNOUGAT
    TTNOUGAT

    516 abonnés 2 526 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 novembre 2018
    Un monument pour tout public. Tout ce qui peut être critiqué par les uns peut être loué par les autres. A commencer par le scénario accessible des l’âge de 10 ans dont pourtant les commentaires philosophiques peuvent se prolonger la vie durant. La plupart des qualités et des défauts humains s’y trouvent y compris le machisme et la misogynie. Sa première qualité est purement cinématographique. Il y a du Ozu dans ce film car la caméra est presque constamment fixée au sol avec chaque fois un cadrage le plus harmonieux qui soit…Les événements y défilent, les cinéphiles se régalent de la beauté des images, des couleurs, des costumes et des décors. Un seul panoramique partant du palais du maharadja fait exception. La direction des acteurs est parfaite malgré la difficulté de réunir 7 acteurs de nationalités différentes (pas un seul français). Les cotés historiques ou géographiques sont fantaisistes (le Bengale est loin, la danseuse sacrée imaginaire, la musique adaptée) pour mieux atteindre l’art et l’universalité des pensées. Deux séquences sont célèbres : la formidable expressivité de Sheeta devant le cobra géant qui permis à Debra Paget d'exprimer sa beauté et ses talents de danseuse professionnelle et le plan final hautement symbolique sur le sabre molissant de Chandra qui a déjà accédé au renoncement..
    Wagnar
    Wagnar

    63 abonnés 1 364 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 mars 2018
    Cette suite est un peu moins prenante et moins bien mise en scène que le film précédent, mais reste plaisante à voir. On se soucie toujours du sort des deux amoureux, le suspense fonctionne, et on a droit à une scène de danse mémorable avec Debra Paget.
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    73 abonnés 1 737 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 décembre 2017
    Deuxième partie du Tigre du Bengale, Le tombeau hindou mêle intrigues politiques, film d'aventures et histoires sentimentales. Plus rythmé que sa première partie, le film voit se dénouer beaucoup d'éléments mis en route au cours du premier épisode. Assez prenant malgré son aspect kitsch.
    Xavi_de_Paris
    Xavi_de_Paris

    231 abonnés 2 851 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 novembre 2016
    "Le Tombeau hindou", c'est le charme des productions d'aventure des films des années 50. Une histoire proche du conte d'aventures dans une contrée exotique, des occidentaux un peu traumatisés par les locaux, et un certain manichéisme général, mis en scène par Fritz Lang. Voilà comment résumer le film, suite directe du "Tigre du Bengale", que j'avais trouvé moins bon. On ne s'ennuie pas, loin de là, grâce à beaucoup d'actions et de péripéties. Un classique à voir.
     Kurosawa
    Kurosawa

    512 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 septembre 2015
    Suite directe du "Tigre du Bengale", "Le Tombeau hindou" lève le voile sur une histoire qui conjugue lutte pour le pouvoir et rivalité amoureuse. Personnages emprisonnés, courses-poursuites dans les souterrains ou encore cachette dans une grotte sont au programme de ce très bon film d'aventure, dont les codes sont parfaitement maîtrisés par un cinéaste qui use là d'une mise en scène loin d'être impressionnante mais toujours en mesure de donner une grande lisibilité à l'action. Les rebondissements sont formidablement pensés et le suspense fonctionne à merveille, tant sur l'ensemble du film que sur des scènes précises, comme ce moment assez génial de la danse face au serpent. Encore plus enthousiasmant que le premier film du diptyque, "Le Tombeau hindou" est une belle réussite aux défauts mineurs.
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    111 abonnés 1 577 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 juin 2015
    A l’issue de « Le tigre de Bengale », nous avions laissé l’architecte français et la belle danseuse métis dans le désert. A leurs trousses, les troupes du Maharadja ; ils sont aussi pistés par le frère du Maharadja qui compte bien se servir d’eux pour renverser le régime à son profit… Et au centre des débats, les amours entre la belle Sïtha et l’élégant architecte français.
    Fritz Lang, taxé de kitch avec ce dytique, réalise une aventure riche en rebondissements dans laquelle toutes les intrigues s’imbriquent parfaitement… et ceci dans en seul centre névralgique : les galeries sous le palais. Belle photo avec exploitation absolue du Technicolor. Kitch, un peu ; mais il ne faut pas s’y tromper, Lang exploite à fond le feuilletonesque et le graphisme BD. Nous sommes proches de Tintin et d’Indiana Jones. On peut regretter un jeu un peu appuyé de certains acteurs, surtout dans ce second opus.
    Par contre, l’envoutante Debra Paget offre à nouveau une danse d’un érotisme osé pour l’époque et qui fera des émules. Face au serpent se dressant devant elle, si peu vêtue, se contorsionnant avec volupté ; cette scène alliée à son pendant du premier film font regretter qu’elle arrêta sa carrière cinématographique prématurément.
    Un bon film d’aventure familiale sans aucune prétention.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 006 abonnés 4 090 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 juin 2015
    Comme beaucoup d'autres réalisateurs vétérans de l'âge d'or d'Hollywood (Siodmak, Wilder, Mann), Fritz Lang a du s'exiler vers l'Europe pour pouvoir continuer à tourner au détour des années 1960. C'est de retour chez lui en Allemagne pour ce que les historiens du cinéma nomment sa "seconde période allemande" que Lang se voie proposer par Arthur Brauner l'idée de faire quelques remakes de ses plus célèbres films. Mais Lang qui avait fait en 1956 un voyage en Inde avec en tête l'idée de réaliser un film sur le Taj Mahal, propose en hommage à son ex-femme Thea von Harbou de reprendre le diptyque qui avait été tiré de son livre en 1921 par Joe May (Fritz Lang s'était fait voler la réalisation) puis repris toujours en diptyque en 1937 par Richard Eichberg. Doté de moyens importants (4 millions de marks) le film tourné en studios à Berlin et pour les extérieurs en Inde, échappe assez radicalement à l'univers habituel de Lang, laissant entrevoir chez le réalisateur, père de l'expressionnisme, âgé de 70 ans un goût pour le kitsch qu'on ne lui connaissait guère. Toute l'expérience emmagasinée à Hollywood est ici en partie restituée, notamment l'esprit des serials, construction purement hollywoodienne. Cette longue saga de plus de trois heures cumulant tous les clichés du film d'aventures exotiques et à la construction narrative très prévisible sans parler des décors en carton-pâte dignes des péplums de Cineccita ou du jeu des acteurs assez monocorde (y compris la sublime Debra Paget) ne peut apprécier si l'on ne parvient pas à laisser ressurgir son âme d'enfant. Derrière ce décorum assez pesant teinté d'un érotisme torride symbolisé par la parfaite plastique de Debra Paget exposée lors de deux scènes de danse lascive très suggestives on peut distinguer quelques-unes des thématiques chères à Lang comme l'obsession du pouvoir ou l'oppression des masses (les lépreux enfermés dans les souterrains). Observé au microscope les deux films cachent mal leurs grossiers défauts mais toute la magie de Lang réside dans sa capacité tels les grands peintres à donner sa cohérence à son œuvre au fur et à mesure que l'œil se place à bonne distance. Le film a bien sûr été diversement apprécié à sa sortie, notamment en Allemagne où l'on attendait certainement autre chose du créateur de "Métropolis" pour son retour sur ses terres. Le film a été beaucoup mieux accueilli en France, les jeunes turcs de la Nouvelle Vague vouant une admiration sans borne à Lang. Par la suite, le film a rejoint les classiques du réalisateur et a fait des émules chez des réalisateurs comme Spielberg dont on ne peut s'empêcher de penser qu'il avait en tête "Le tigre du Bengale" quand il s'attaqua aux "Aventuriers de l'Arche perdue" (1981). Idem pour George Romero et sa "Nuit des morts-vivants" (1968). Quant à la fameuse danse de Salma Hayek dans "Une nuit en enfer" de Robert Rodriguez (1995) difficile de ne pas y voir une similitude troublante avec celle de Debra Paget.
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