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    Waves
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    Jorik V
    Jorik V

    1 196 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 décembre 2019
    On sort de la projection les yeux mouillés. Submergé. Par un arc-en-ciel d’émotions. Par un arc-en-ciel de réflexions. Par un arc-en-ciel de sensations. « Waves » fait partie de ces films qu’on n’attend pas forcément mais qui vous marquent profondément, qui vous touchent en plein cœur. Ces films qui vous caressent comme une douce lumière d’été durant un instant et vous glacent le sang celui d’après. Ces films que l’on aimerait garder rien que pour soi tant ils sont uniques et particuliers. Ces films qui réveillent un florilège de choses en nous, des sentiments parfois endormis. Ces films qui touchent à l’universel parce qu’ils convoquent tout ce qui fait que la vie est belle, mais parfois horrible aussi. Ces films qui vous envoûtent dès les premières minutes et vous absorbent la rétine pour ne plus vous lâcher. « Waves » c’est tout ça et bien plus encore. Difficile à résumer alors que son histoire est d’une simplicité qui confine à l’ascétisme. Pourtant, il nous passionne plus de deux heures par sa beauté formelle et les émotions intenses qu’il procure. D’ailleurs, le long-métrage s’ouvre sur un rayon de soleil, symbole du prisme des couleurs de l’arc-en-ciel, et se referme sur sensiblement la même image. Entre temps, on aura justement traversé tout le prisme des images et des couleurs dans notre cœur, dans notre esprit et au plaisir de nos yeux. En passant par tout un panel d’émotions en tous genres.



    Le cheminement et le message en filigrane sont simples et beaux. Et par un habile tour de passe-passe de scénario, un revirement de script très risqué qui voit le film changer de personnage principal en cours de route, « Waves » nous montre que tout ce que la vie peut nous offrir de belles choses, elle peut le reprendre en un instant, que tout ne tient qu’à un fil. Que le bonheur peut voler en éclat à n’importe quel moment. Mais également que du pire des malheur peut renaître le bonheur à nouveau. Ce sublime long-métrage nous parle tout simplement de la vie dans ce qu’elle peut avoir de plus classique, dans toute sa simplicité et sa complexité. Il suit narrativement une courbe émotionnelle basique mais intelligente qui couve une note d’intention positive puisqu’elle nous amène de l’expression du bonheur le plus simple à un cauchemar réaliste pour remonter vers l’apaisement et la lumière retrouvés. Le trauma central au milieu du film est aussi puissant, réaliste et éprouvant que pouvaient l’être, par exemple, ceux de « Requiem for a dream » ou « Irréversible ». En néanmoins bien plus terre-à-terre, trivial dira-t-on, et surtout l’aspect sensationnel en moins. Alors que durant les vingt premières minutes, le réalisateur nous fait une synthèse parfaite et évanescente de la réussite à l’américaine, le drame qui va se nouer petit à petit montre qu’en un instant tout peut voler en éclats. Mais par la force de sa mise en scène, de son script et d’un changement inattendu de point de vue, il conclut son film avec la plus belle des notes d’espoir. C’est beau à en pleurer et difficile à plusieurs instants de contenir ses larmes devant la charge émotionnelle de certaines scènes où des acteurs en tous points parfaits rivalisent de vérité dans leur jeu et de justesse pour nous étreindre le cœur. Que ce soit une sœur qui vient en aide à un frère qui va mal, un père sévère et désemparé qui décide de se confier à sa fille ou encore un adolescent qui pardonne à son père malade, « Waves » entrechoque les destins et les moments déchirants sans jamais forcer le trait mais en nous touchant toujours droit au cœur. C’est fort, c’est beau et ça sonne vrai.



    Au-delà des émotions et réflexions profondes qu’elle procure, cette œuvre à la fois dure et douce nous met KO par la beauté de ses images. Dès le début où la caméra tourbillonne autour de son personnage principal enchaînant les séquences anodines pour en dresser le portrait, on est captivé par la magnificence de ses plans. C’est seulement le second long-métrage de Trey Edward Shults après le très remarqué et réussi film d’horreur indépendant « It comes at night », déjà visuellement très pertinent et impressionnant. Il réussit ici peut-être la plus belle mise en scène de l’année. Esthétique sans être prétentieuse ou tape-à-l’œil, elle convoque donc les couleurs de l’arc-en-ciel, des plus sombres aux plus lumineuses selon la tonalité des scènes. Le cinéaste ose aussi rétrécir l’écran en largeur ou en longueur pour coller avec ce qui se passe à l’écran, de manière discrète mais probante et en adéquation avec le propos. Il maîtrise des séquences éthérées à la « Virgin Suicides » ou d’autres tellement envoûtantes que Terence Malick lui-même pourrait les lui envier. Tout en les signant de sa patte personnelle, sans singer personne. Il réussit même à faire la synthèse, que dis-je le grand écart, entre l’imagerie de l’univers du clip (aidé par le fait que le film se situe à Miami) et celle du cinéma indépendant américain typique. Un bel ouvrage, un ouvrage d’orfèvre qui participe à la réussite d’un film qui approche le chef-d’œuvre. Ou quand la maestria visuelle se marie à la perfection du propos pour un film juste, fort, jamais prétentieux et tout simplement inoubliable. « Waves » est une chronique de la vie, une tranche de vie(s) qui sera une des perles, si ce n’est la perle de cette année cinéma. De la trempe de « Moonlight » en bien plus fort encore. A ne manquer sous aucun prétexte.


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    Naughty Dog
    Naughty Dog

    797 abonnés 375 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 janvier 2020
    Après Krisha et It Comes at Night, Trey Edward Shults revient chez A24 pour un film plus personnel. Waves se veut être une chronique familiale à la structure singulière. Autant le dire tout de suite, c'est une nouvelle réussite du studio !

    Waves commence telle une coming-of-age story. A l'instar de 90's, autre production A24, le métrage nous invite au plus près d'une vie adolescente en pleine mutation. Mais contrairement aux attentes, Trey Edward Shults scinde son récit en 2, inspiré par le travail de Wong Kar-wai sur Chungkin Express. Telle une vague donc, on assistera avec Waves à une histoire faite de hauts et de bas, avec 2 énergies bien distinctes.

    On suit dans un premier temps Trey (joué par un Kelvin Harrison Jr confirmant une fois de plus son talent après It Comes at Night), ado au comportement plutôt sanguin, toujours poussé plus loin par son père (un Sterling K. Brown excellent). Désireux d'être un sportif de haut niveau mais également écrasé par un modèle paternel imposé, cette première partie nous immerge dans une anxiété adolescente palpable. Son duo avec Alexa Demie apporte par ailleurs une des grandes forces du film, plein d'authenticité.

    Quand à sa sœur Emily (la révélation Taylor Russell), c'est une ado plus réservée et sensible, qui découvrira également son premier amour (un Lucas Hedges qui fait toujours office de valeur sûre) dans une seconde partie à l'énergie plus lancinante et moins électrique. En prenant ces 2 points de vue à tour de rôle, le réalisateur dresse une chronique familiale orchestrée comme une symphonie.


    Waves nous balade constamment via de multiples émotions, et si le risque d'avoir un récit balisé est là, Trey Edwards Shults court-circuite tout cela via une maîtrise dingue de sa narration et sa mise en scène. L'influence à la Malick sur Tree of Life n'est pas loin ! C'est simple, le plaisir pour les yeux est immédiat. La fluidité des mouvements de caméra est par ailleurs sublimée par la photographie magnifique et colorée de Drew Daniels (Euphoria).


    Et cela tombe bien, car à l'image de la série HBO, on y suivra donc 2 ados perdus, dans 2 histoires d'amour aux issues distinctes, tentant de naviguer entre leurs émotions ou les pressions extérieures. Des thématiques communes avec une grammaire visuelle similaire. Et l'arrivée d'un drame terrible en milieu de film changera le point de vue, amenant une vraie résurrection en 2e partie. Si justement cette dernière sera peut-être moins forte et marquante, Waves reste un film d'une sincérité, d'une force et d'une tendresse rare.


    Abordant à la fois des sujets complexes tels que la famille, l'avortement, la culpabilité ou le pardon, le réalisateur use de tous les outils à sa disposition. Que ce soient des explosions de couleur et de mouvements variés, le format de l'image (comme dans un Mommy de Dolan) ou le son, Waves s'attaque littéralement à nos sens pour véhiculer ses émotions.


    A ce titre, citons une OST atmosphérique par Trent Reznor & Atticus Ross (Watchmen , Mid 90's), comme toujours d'excellent acabit. Trey Edward Shults avait par ailleurs une idée précise des sons qu'il voulait pour la soundtrack de Waves. La playlist, allant de Frank Ocean à Tame Impala en passant par SZA, amène un réel spleen existentiel, où les paroles sont en lien avec les évènements et émotions du film. Preuve de plus que Waves est une œuvre à la composition exemplaire.


    Ne perdant jamais de vue ses personnages et le cœur émotionnel de son récit, Trey Edward Shults livre un film souvent puissant ! On regrettera peut-être une seconde partie un peu plus programmatique s'attardant un peu trop sur un personnage secondaire, mais là encore le réalisateur use de foreshadowing à la signification précise, sans jamais dévier de ce qu'il souhaite raconter.


    Un casting excellent, une réalisation aux petits oignons…Waves est une nouvelle très bonne pioche de A24. Si l'issue du voyage pourra être attendue, le voyage en vaut la peine, nous proposant 2 tranches de vie capturant des sentiments complexes, avec une grâce admirable !
    dejihem
    dejihem

    117 abonnés 659 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 janvier 2020
    C'est un film vraiment trop long pour si peu de choses. Ce film est typiquement chrétien américain avec une histoire idiote d'adolescents. Encore un film surcoté qui ne sert à rien !
    ffred
    ffred

    1 499 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 février 2020
    Nouveau film de Trey Edward Shults qui nous avait bien stressé avec It comes at night. Changement radical de genre et de style pour ce Waves. Sa mise en scène si dépouillée et si maitrisée s'est transformée en un exercice de style aux images léchées et à la bande-son branchouille où l'émotion ne fait jamais vraiment surface. C'est bien tout le problème à mon goût car l'histoire, construite en deux parties bien distinctes, est plutôt intéressante et (parfois) sans concession. Mais aussi plus politiquement correcte qu'elle ne le parait. L'interprétation est de qualité, on s'attache assez bien aux personnages mais il manque quelque chose pour vraiment nous faire vibrer. Que tout soit fait avec beaucoup plus de simplicité très certainement. Quelques jolis moments tout de même, d'autres très durs et d'autres plus (un peu trop ?) pathos. Au final, cela se laisse regarder sans ennui mais cela sera aussi très vite oublié. Pour moi, le réalisateur ne confirme donc pas vraiment les espoirs mis en lui avec son précédent film mais on attend tout de même la suite...
    Yves G.
    Yves G.

    1 281 abonnés 3 289 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 février 2020
    Tyler et Emily sont deux rejetons de la classe moyenne supérieure. La vie pour eux sous le soleil de Floride, dans la splendide maison de leurs parents, pendant les dernières années de lycée, ressemblent à un rêve éveillé. Coaché par son père qui lui impose une discipline de fer, Tyler est un des meilleurs éléments de l'équipe de lutte. Il vie une idylle avec Alexis, l'une des plus jolies filles du collège.
    Mais une ombre pèse sur la carrière sportive de Tyler : une douleur persistante à l'épaule dont il ne réussit pas à se débarrasser.

    Il est difficile de présenter "Waves" dont les quelques lignes ci-dessus ne donnent qu'un aperçu très partiel. Le film réserve bien des surprises et j'invite les spectateurs qui souhaiteraient qu'elles ne leur soient pas dévoilées à passer directement au paragraphe suivant. spoiler: "Waves" est en effet la lente descente en enfer de Tyler qui, par la faute de sa blessure, devra interrompre la pratique du sport et qui, apprenant la grossesse d'Alexis, refusant la décision de la jeune fille de ne pas l'interrompre puis de rompre avec lui, la tuera dans un moment d'hystérie. Le film pourrait s'arrêter à sa condamnation à perpétuité qui laisse derrière elle une famille en miettes ; mais un second film, plus doux, commence, avec Emily, la sœur cadette comme héroïne. On la voit tomber amoureuse de Luke, un camarade de Taylor, et l'accompagner au Missouri pour une dernière visite à son père mourant.


    On comprend alors le vrai sujet de Waves, qui était déjà celui des deux précédents films de Trey Edward Shults ("Krisha", inédit en salles quoique couvert de prix, et "It Comes at Night") : la famille, les poisons qui rongent les membres qui la composent et sa capacité unique à les aider à y faire face ensemble.

    Cette thématique, me direz-vous, n'est pas nouvelle. Elle est terriblement américaine. Et ses relents chrétiens ne peuvent qu'inspirer méfiance aux dangereux laïcards que nous sommes de ce côté-ci de l'Atlantique, plus prompts à vanter les joies de l'adultère que la concorde familiale autour de la dinde de Thanksgiving.

    Certes. Mais ce sujet, aussi banal et horripilant soit-il, est ici servi par une mise en scène hors normes. Les premières minutes du film suffisent à s'en convaincre qui voient le réalisateur nous démontrer toute sa maîtrise avec un panoramique à 360° tourné à l'intérieur de la voiture de Tyler et Emily roulant toutes fenêtres ouvertes, la radio hurlante, face à la skyline de Miami. Le reste du film est au diapason, très stylisé, parfois aux limites de l'ostentation, qui nous emporte néanmoins par son panache.

    Mystère de la distribution, "Waves" sort dans cinq salles parisiennes et n'est pas visible en province : une salle à Marseille, une autre près de Lille, aucune dans la métropole lyonnaise. Quand on sait le triomphe critique et public de "Moonlight", Oscar du meilleur film 2017, auquel "Waves" fait penser par bien des aspects, cette omerta est incompréhensible.
    Aurore S
    Aurore S

    9 abonnés 39 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 6 février 2023
    Franchement quand j’ai lu les avis je m’attendais à un bon film qui me transpercerait le cœur. Mais c’est nul a chier. C’est long, c’est nul, c’est mou. Il n’y a aucune communication entre les parents et leur fils. C’est d’un ennuie profond. J’ai perdu 2h de mon temps.
    Je préfère encore regarder la reine des neiges.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 395 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 1 août 2020
    Waves était si étrange à regarder. C'était comme si l'arrestation et l'incarcération de Tyler était la fin. Ce film n'était qu'un clip de deux heures avec pleurs et musique. Avec presque qu'aucun dialogue du tout. Le film raconte une histoire avec un récit qui va d'excitant à l'ennuyeux. Il y a trop d'éclairs de lumière et c'est comme si quelqu'un ne faisait que jouer avec les couleurs d'une manière inutile. Il y a une grande intrigue mais sans aucun suspense. Dans ce film quand Tyler regardait sa photo en prison ce sentiment était véhiculé sans aucun dialogue. Un concept si populaire mais qui ne m'a jamais atteint pour une raison quelconque. Je n'ai aucune idée de ce que ce film est censé être. Tout ce que je vois est un film extrêmement déprimant sur pas grand-chose...
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 171 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 octobre 2020
    “Waves” est un diptyque de 2h17, qui suit le parcours des membres d’une famille afro-américaine à travers le temps. Dans une mise en scène sublime, cette odyssée nous transporte entre tragédie et tendresse. Chaque personnage vit quelque chose de fort qui saura nous toucher. Cependant, l’abondance de la dramaturgie et l’esthétisme extrême finit par manquer de spontanéité et impose une distance avec son spectateur.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    Gentilbordelais
    Gentilbordelais

    265 abonnés 2 795 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 juin 2020
    Une chronique qui montre l'équilibre d'une famille qui vole en éclat. Des thèmes comme la fragilité des choses de la vie, le pardon, la culpabilité et surtout les rapports entre parents et enfants sont évoqués avec subtilité. L'intelligence, l'alternance de dynamisme et de délicatesse de la caméra de T. E. Shults en sont un réel atout. Ajoutons à ce drame traité en deux parties via le regard d'un frère puis de sa soeur, un casting bien dirigé où K. Harrison Jr en tête, brille.
    ned123
    ned123

    124 abonnés 1 662 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 mars 2021
    J'ai vu un film... qui est un drame moderne très moderne, sur les malaises de l'adolescence dans un monde post-moderne de famille recomposée. C'est un film sur la banalité de la pression qui pèse sur un monde trop difficile pour les adolescents, bien loin d'être adultes, et sur des adultes souvent trop adolescents. Cette famille oscille, vacille, et tombe pour espérer trouver les ressources pour remonter, malgré les drames qu'elle traverse. Les comédiens habitent leurs personnages et si l'on suit une famille, il y a deux histoires dans cette histoire, et on souffre, on espère, on ressent... Il y a un drame, et un conte... une mise en abîme et une résurrection... Il y a de beaux moments sur la vie des humains, mal dans leurs peaux... et qui ne trouve plus les ressources pour se parler, et sans parole, on s'enfonce... On passe un moment fort avec cette famille, avec le rôle de témoin... très belle mise en scène de Trey Edward Shults.
    Ufuk K
    Ufuk K

    465 abonnés 1 399 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 février 2020
    " Waves" qui a reçu un avis mitigé de la presse et quasi sortie d'une manière anonyme en France est un drame social envoûtant. En effet la première partie est très réussit avec une superbe photographie et bande sonore géniale décrivant comme une famille américaine peut vaciller en abordant des thématique dense et importante, la seconde partie est moins prenante celle ci se suit comme une romance avec des thématiques sociale intéressante. Belle prestation des jeunes acteurs du film en devenir pour le futur.
    defleppard
    defleppard

    304 abonnés 3 243 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 juin 2020
    Une photographie soignée.... un semblant de musique à la "Blade Runner"..... une deuxième partie amorphe.... 2 étoiles et demie.
    Fabien S.
    Fabien S.

    456 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 janvier 2023
    Un très bon film dramatique et romantique américain réalisé par Trey Edwards Shults avec Taylor Russell.
    Acidus
    Acidus

    618 abonnés 3 648 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 juin 2022
    Quel grand écart entre "Waves" et "It comes at night", le précédent long métrage de Trey Edward Shults. On passe certes d'un film d'anticipation horrifique à un drame mais c'est surtout dans la qualité d'écriture et de la réalisation que l'on remarque le gouffre qualitatif entre ces deux films.


    Si ce drame ne présente guère de surprises dans son scénario ni dans les thématiques abordées, il se distingue toutefois largement par une incroyable réalisation. Tout y est soignée, inventif avec une sublime photographie et une excellente BO. Cette forte touche stylisée n'anesthésie aucunement les émotions ressenties qui sont ici extrêmement importantes et présentes.


    Beau, riche en émotions, bien incarné par les acteurs, ce drame américains au message (il faut le dire) fortement évangélique est une pépite. Ne passez pas à côté.
    Hotinhere
    Hotinhere

    419 abonnés 4 737 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 février 2022
    Un drame familial puissant et captivant, transcendé par une mise en scène hypnotisante, même si le réal a tendance à se regarder un peu trop dans la glace, et porté par une interprétation remarquable. 3,25
    Les meilleurs films de tous les temps
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