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    Mon chien Stupide
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    ferdinand75
    ferdinand75

    448 abonnés 3 639 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 novembre 2019
    Un film que l'on aurait voulut aimer et pour lequel nous partions avec un à priori très favorable . Mais le film a du mal a trouver son style, alertant entre la farce grotesque et la comédie de moeurs. On ne croit pas aux personnages ; les enfants trop caricaturaux , et en plus le casting n'est pas bon, A part le jeune Ben qui joue juste, les autres sont à côté de la plaque , la fille et son militaire ridicules. La jeune dévergondée too much..Il y a un air de " déjà vu" dans la crise de la 50e chez cet artiste en mal de création. Rien de neuf et trop de burleqsque inutile.
    Pldu75
    Pldu75

    17 abonnés 13 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 novembre 2019
    Émotions au rendez-vous ! Le livre de John Fante est magnifiquement bien adapté ! Yvan Attal est au sommet de son art ! A voir de toute urgence !
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 5 novembre 2019
    Une comédie dramatique, avec quelques longueurs , ne pas ce fié à la bande annonce qui et comique ! Film moyen .
    Pierre B
    Pierre B

    2 abonnés 40 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 novembre 2019
    Un film sympathique. Beaucoup de clichés dans cette famille.. Bon franchement c est a voir a la télé.. le cinéma en général et de plus en plus désespérant. Entre les films de Bisounours, ou politiquement corrects, de super héros, de suites, il ne reste plus grand chose. Au secours !
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 4 novembre 2019
    Ce film pour moi ne mérite pas ces notes. Je ne suis pas coincée mais l'emploi de mots vulgaires m'a limite tapé sur le système. Je ne connaissais pas l'histoire mais vu le nom je me suis dis on va voir un chien qui ne fait que des conneries bien en faite non. Mise a part vouloir sauter sur des personnes c'est tout ce que le chien fait dans ce film. Un film long sans intérêt bref je regrette bien mes sous
    régine R.
    régine R.

    5 abonnés 67 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 novembre 2019
    "Mon chien stupide" était un film prometteur mais au final décevant par son manque de rythme donc ennuyeux même si la dernière partie relève un peu le tout et donne une meilleure impression.
    tonton29
    tonton29

    20 abonnés 294 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 novembre 2019
    La famille est une petite représentation du Monde . . . Et le Monde est en déliquescence . . . Sans repère, cadre et valeurs. Équilibre difficile entre amour espoir reconnaissance respect construction de soi but dans la vie responsabilité prise de risque confort sécurité ingratitude individualisme esprit commun créativité imagination cohésion confiance . . . Des belles fulgurances côtoient du moyen. Le chien n'est qu'une excuse pour l'introspection. La complexité familiale qu'on se crée. Au moins ce film me conforte dans le choix d'être seul ! Car les mensonges et les prises de tête familiales me sont épargnés. Et contrairement à ce que certains diront, la famille n'est pas nécessaire pour se construire de manière équilibrée. Et si j'avais eu des enfants ingrats comme ça, ils ne seraient pas restés trainasser mollement et de manière irresponsable chez moi ! Ou alors ce sont des caricatures (comme le gendre militaire complètement castré par la fille qui n'a rien fait de beau à 24 ans et qui tape sans pitié du pognon aux parents au lieu de se bouger ! Ou la mère qui sait pondre de belles phrases aux étudiants mais n'est pas pédagogue avec son fils en difficulté scolaire. Et les excuses beauf du manque de créativité reportée sur l'existence de la famille . . . ) Un peu glauque comme analyse, psychanalyse d'un monde qui se meurt. Les valeurs ont été bafouées, voilà ce qu'il en résulte !
    Chris58640
    Chris58640

    183 abonnés 726 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 novembre 2019
    Avec « Mon chien Stupide », Yvan Attal propose un long métrage plein de qualités, mais aussi de quelques défauts, sur la crise de la cinquantaine, la paternité et l’angoisse de la page blanche. On ne peut pas dire que le sujet soit ultra orignal, c’est certain. En choisissant d’adapter un roman de John Fante (pas lu), il nous offre un film agréable, qui dans ses deux premiers tiers fonctionne très bien. On rentre immédiatement dans l’action à l’aide d’une voix of qui a la bonne idée de s’éclipser rapidement. Le rythme est enlevé, l’humour est efficace, on s’attache aux personnages et singulièrement à ces deux époux qui s’aiment encore mais qui n’arrivent plus à communiquer. Les rôles des adolescents sont certes un peu caricaturaux, mais ces 4 gamins (particulièrement gratinés) offrent l’avantage de balayer tout le spectre des poncifs adolescents. Le pauvre couple Mohen a la « chance » de taper dans chaque catégorie : celui qui fume toute la journée et sort avec des bimbos, celle qui fréquente un amoureux de l’ordre et du drapeau, celui qui ne glande rien à la fac et ne pense qu’au sport et le dernier qui fricote avec des activités écolos un peu trop exaltés : le poker gagnant, en quelque sorte ! Le hic, avec « Mon chien Stupide », c’est que le dernier tiers du film, interminable, tourne un peu à vide. Embarrassé d’une musique trop envahissante, le film n’en finit pas de finir. Une fois les 4 adolescents partis, Henri se retrouve au final plus désœuvré que seul, et le film peine à maintenir l’intérêt du spectateur. Mais pris dans son ensemble, « Mon chien Stupide » est un film agréable à suivre, bien réalisé, bien monté et plutôt maitrisé. Yvan Attal et Charlotte Gainsbourg se retrouve à l’écran, dans des rôles qui leur vont bien, eux qui sont en couple depuis plus longtemps encore que leurs personnages. Ils sont parfaits tous les deux, et on se dit qu’ils font un joli couple sur l’écran en plus d’un faire un beau à la ville. Les 4 adolescents sont plutôt bien incarnés aussi, ils ont tous l’occasion, à un moment du film, de faire passer autre chose que leur caractère d’ado insupportable, d’avoir leur petit scène plus intime à eux. Mention spéciale à Panayotis Pascot l’ancien chroniqueur de « Quotidien », que je n’ai pas du tout reconnu sur le moment dans le rôle de Gaspar, ce qui prouve qu’il s’est parfaitement effacé derrière son personnage. Les seconds rôles « hors famille » sont peu nombreux, et n‘ont malheureusement pas beaucoup d’occasion de briller, à part peut-être Sébastien Thiery en joggeur souffre-douleur du chien. Le chien, justement, parlons en un peu… C’est un énorme Mâtin de Naples (c’est la race en question parait-il) qui joue très bien le rôle du molosse baveux et libidineux. Personnellement je n’aurais aucune envie de garder un chien comme celui-là mais j’imagine qu’ils ont leurs amateurs ! Le scénario est adapté de John Fante. Je n’ai pas lu le livre, alors je ne peux juger que du scénario et de sa tentative de jouer sur la corde délicate du politiquement incorrect. Derrière les thèmes repérés d’emblée : la crise de la cinquantaine du type qui roule en Porsche, la page blanche de l’écrivain écrasé par un premier et unique chef d’œuvre, l’évènement perturbateur (ici le chien) qui vient bousculer un quotidien endormi et révèle le quinquagénaire à lui-même, il y a une volonté, plus ou moins réussie, de flirter avec les limites du politiquement incorrect. Quand on prend un peu de recul, ce type est suffisamment égoïste pour s’imaginer que ce sont ces 4 enfants qui l’empêchent d’écrire, de vivre, de se réaliser, alors que ce ne sont que des prétextes qui servent à masquer ses propres limites d’homme et d’écrivain. Ils reprochent beaucoup de choses à ses adolescents mais oublie qu’ils l’on eu lui comme modèle toute leur vie ! Il est injuste avec eux, injuste avec sa femme qui a tout quitté pour lui et s’entiche d’un chien envahissant pour combler le vide abyssal de sa propre vie. Accessoirement, il se sert du caractère du chien pour régler des comptes et même intimider les autres, ce qui n’est pas très glorieux non plus. Attal arrive à rendre sympathique un personnage qui ne l’est pas du tout, quand on prend un peu de recul. Mettre en scène le cynisme, c’est difficile car c’est prendre le risque de laisser pas mal de spectateur en route. Yvan Attal reussi en partie, mais en parti seulement, son pari. On sort de la salle en ayant l’impression d’avoir vu un film drôle et sympathique, mais il est difficile d’en tirer quelque chose sur le long terme : quel est message sous-jacent du scénario, quelle est l’idée directrice du film ? Plus j’y repense et plus j’ai l’impression d’un film inabouti et une peu creux, qui voudrait dire quelque chose mais qui, à l’instar de son personnage principal, n’arrive pas à l’exprimer clairement. Du coup, mon impression est un peu mitigée : j’ai vu un film agréable, bien interprété et assez drôle, mais est-ce que j’ai vu un bon film ? Franchement, je n’en suis pas certaine…
    tony-76
    tony-76

    1 010 abonnés 1 410 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 septembre 2019
    AVANT PREMIÈRE avec la présence du réalisateur - Après le succès triomphant du Brio, Yvan Attal s'attaque à l'adaptation du roman Mon chien stupide de John Fante parlant d'un homme (Henri) en pleine crise de la cinquantaine. La vie de cette homme dépressif va basculer lorsqu'un énorme chien fera irruption chez lui dont sa femme Cécile et ses enfants seront en désaccord... Avec Mon chien stupide, Attal fait une sorte de suites à ses anciens longs-métrages tels que Ma femme est une actrice ainsi qu'Ils se marièrent et eurent beaucoup d'enfants de manière assez pertinente en mettant en avant le chien et ses progénitures (dont un est son propre fils Ben). Une trilogie s'est formée de la même façon d'un Klapisch (L'Auberge espagnole, Les Poupées russes et Casse-tête chinois). Dès le début, le ton est lancée sur spoiler: une voix OFF omniprésente du personnage principal racontant sa vie pleine de regrets et d’échecs cuisants...
    D'ailleurs, il compose spoiler: plusieurs chapitres dans son propre film et dans son bouquin qu'il écrit au fil de l'histoire.
    Une première partie du récit amenant à de la comédie pure spoiler: sur la famille et le chien
    puis vient, un second acte spoiler: plus mélancolique misant sur un drame très pessimiste où la vie ne fait parfois pas de cadeau envers tout le monde (la rupture)...
    Le chien en question appelé Stupide en dernière partie est par conséquent, spoiler: moins mis en avant laissant place aux choix
    du protagoniste. On reconnait bien évidemment la pâte du réalisateur avec des dialogues toujours bien placés dans les moments les plus drôles comme avec la présence de ce chien obsédé et spoiler: attirer par les hommes qui ne pense qu'à se frotter - pauvre Sébastien Thiéry !.
    Charlotte Gainsboug - qui était bouleversante dans La Promesse de l'aube - fait son come-back avec Mon chien stupide avec son compagnon Yvan Attal. La chanteuse est convaincante en mère et femme dévouée pour sa famille et toutes les mères peuvent s'identifier à elle. Yvan Attal en tant qu'acteur fait sa crise d'âge comme Guillaume Canet dans l'hilarant Rock'n Roll et ne se laissera pas marcher sur les pieds, spoiler: quitte t'a perdre son entourage...
    Il recrute un ancien acteur de la série marseillaise PBLV à savoir Thibaud Vaneck en avocat éloquent mais aussi la charmante Pascale Arbillot en éditrice sérieuse. Sa réalisation offre de magnifiques plans de Biarritz ainsi qu'une demeure dont le public aimerait bien y habiter ! La musique du pianiste américain Brad Mehldau se veut originale dans l'ensemble jouant sur l'émotion de l'auditoire. Il y a quand même un petit message derrière le nouveau film d'Yvan Attal sur l'accomplissement de ses rêves en fin de parcours, rien n'est jamais trop tard ! Donc, Mon chien stupide est une comédie dramatique à la française plutôt sympathique sur le temps qui passe. On verra si le résultat sera au rendez-vous...
    Yves G.
    Yves G.

    1 275 abonnés 3 287 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 avril 2020
    Henri Mohen (Yvan Attal) est un écrivain quinquagénaire en panne d’inspiration. Il a écrit vingt cinq ans plus tôt, après un séjour à la Villa Médicis à Rome dont il garde la nostalgie, un best-seller. Grâce aux revenus générés par ce roman, il a acheté une villa luxueuse au Pays basque, s’y est installé avec sa femme Cécile (Charlotte Gainsbourg) et y a élevé ses quatre enfants aujourd’hui devenus adultes.
    Mais Henri étouffe auprès de sa femme que la vie loin de Paris a rendue dépressive et de ses quatre adulescents inaptes à prendre leur destin en mains. Incapable d’écrire une ligne valable, Henri retrouve néanmoins goût à la vie lorsqu’y déboule un énorme mastiff bientôt baptisé Stupide.

    Publié en 1985, deux ans après la mort de John Fante, "Mon chien Stupide" met en scène un quinquagénaire aigri. Il n’est pas sans rappeler les héros des romans de Jean-Paul Dubois (dont je parie qu’il recevra le prix Goncourt lundi), notamment celui interprété par Jean-Pierre Bacri dans l’adaptation tournée en 1999 de "Kennedy et moi".

    Il fallait un sacré culot à Yvan Attal pour se glisser dans ce rôle pas forcément sympathique, pour confier celui de son épouse à sa femme et, pour couronner le tout, celui de son fils aîné à l’un de leurs enfants. L’acteur-réalisateur n’en est pas à son coup d’essai. Il avait déjà flirté avec l’autofiction avec "J’ai épousé une actrice" en 2001 et "Ils se marièrent et eurent beaucoup d’enfants" en 2004. Mais la charge est ici particulièrement audacieuse.

    Sans doute cette veine vient-elle d’être explorée avec un indéniable succès par Guillaume Canet qui a mis en scène son couple dans "Rock’n roll" et sa bande d’amis dans le dyptique "Les Petits mouchoirs"/"Nous finirons ensemble". Mais cela ne retire rien à l’audace dont le couple Attal/Gainsbourg fait preuve en appuyant là où ça fait mal. Il faut avoir bigrement confiance dans la solidité de son couple pour consacrer un film à l’inexorable délitement que vingt-cinq ans de conjugalité provoquent : baisse de la libido, tracasseries quotidiennes montées en épingle, place envahissante des enfants…

    Alors que des tripotées de films hollywoodiens font l’éloge convenu du noyau familial, bastion ultime contre la violence du monde, c’est avec une joie mauvaise qu’on le voit ici mis en pièce. Henri affiche sans vergogne l’aversion que ses enfants lui inspirent, qu’il accuse de l’avoir privé de son inspiration créatrice. Les enfants d’Yvan Attal et de Charlotte Gainsbourg ont probablement ri jaune à la lecture du scénario en découvrant les traits des quatre enfants (le couple n’en a que trois dans la vraie vie) de Henri et de Cécile : l’aîné est un fumeur de shit subjugué par une cagole, l’unique fille est en couple avec un militaire bas du front, un autre, sans talent, n’a aucune passion sinon celle du surf, le cadet est le moins taré mais son intelligence s’est dévoyée dans l’écologisme radical.

    spoiler: Le problème du film est qu’il ne respecte pas cette ligne là jusqu’au bout.
    Le personnage de Henri est trop antipathique, la détestation de ses enfants trop politiquement incorrecte pour être tenables jusqu’au bout. Yvan Attal est trop cool pour qu’on ne finisse pas par s’attacher à lui – comme on s’attache à son molosse priapique. L’adoration qu’il voue à Charlotte Gainsbourg est trop omniprésente pour que l’éclatement de leur couple soit crédible et leur réconciliation finale évitable. L’amour qu’il porte à ses enfants est trop grand pour que, après le départ des Tanguy du nid familial, le dialogue, plus apaisé, ne soit renoué.

    "Rock’n’roll" avait plus d’audace qui, dans son dernier quart d’heure, poussait la transgression jusqu’au bout.
    Didi F.
    Didi F.

    4 abonnés 25 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 novembre 2019
    Je l'ai vu en avant première. Yvan Attal avait fait le déplacement, ça a été sympa. J'ai apprécié l'avant-première, la salle était pleine, l'ambiance sympa et cool le jeu des questions-réponses. Après, je pense qu'en dehors de l'avant première, je n'aurais pas apprécié le film. C'est un peu lent à des moments et un petit peu vulgaire pour moi.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 5 novembre 2019
    Je n'ai pas du tout aimé ce film! Je suis plutôt ouverte et bon public mais j ai trouvé cela long, pénible et grossier. Désolée pour le travail que cela représente...Les acteurs sont bons heureusement, quelques jolies scènes de complicité et la dernière phrase de charlotte. Tout le reste : poubelle comme les feuilles d un bouquin qu on arrive pas à écrire..dommage!
    colombe P.
    colombe P.

    124 abonnés 695 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 novembre 2019
    Jadis écrivain prometteur, Henri n’a rien produit de potable depuis des années. La faute en incombe, selon lui, à sa femme et ses enfants qu’il accuse de tous ses maux. Lorsqu’un chien entre dans sa vie, il y voit un signe bénéfique du destin.
    Le réalisateur s’interroge, avec humour et autodérision, sur le temps qui passe, l’usure des sentiments, la paternité ou encore la difficulté pour un artiste de concilier carrière et vie de famille. Il le fait avec tendresse et cynisme.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 16 novembre 2019
    Un vrai navet. Il y a longtemps que je n avais pas vu un film aussi mauvais. Bande annonce alléchante, le film n a rien à voir, ce n est pas une comédie, on ressort de la salle avec le moral dans les chaussettes. Aucune moralité
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 5 novembre 2019
    Ennui, ennui, ennui. J'ai eu le sentiment que l'histoire était survolée de toute part. Autant pour les situations "émotions" que pour les scènes plus drôles, rendant le tout à mon goût assez grotesque... Je m'attendais à ce que la place du chien dans la vie de l'ecrivain soit le fil conducteur du film, au final, pas tant. L'intrigue manque de ce fait de quelque chose. Je reste sur ma faim.
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