Avis : Fahim - Page 3

Un bon film que j’ai eu la chance de voir en avant première à Vannes avec un passage éclair du réalisateur qui m’a l’air très sympa. De belles émotions dans ce film, de la joie, de l’humour mais qui montre aussi les difficultés que peuvent vivre les migrants en France. Un jeune acteur plein de talent à découvrir ! Un vrai bon moment de cinéma !

Ce film m'a fait passer un excellent après-midi. J'ai apprécié toutes les touches d'humour parsemées ici et là, et l'histoire touchante malgré quelques 'ficelles' un peu voyantes.
Peu de violence, pas de vulgarité, un film que peuvent voir les enfants et les adultes.

Vu en avant première avec la présence du réalisateur.
Très bien réalisé.
Touchant et drôle à la fois.
Une réussite.

vu en avant première aujourd'hui en présence du réalisateur. c'était un super moment. j'ai trouver le film très touchant et très bien réaliser. j'ai passer un bon moment

C'est une agréable surprise et ue grosse claque à la fois. Je ne sais pas si tout s'est passé comme raconté dans le film, mais c'est émouvant et ça permet un autre regard sur les sans papiers.

J’ai eu la chance d’assister à l’avant-première de « Fahim » à Mâcon en présence de Pierre François Martin Laval. Celui-ci change de registre, il s’éloigne de la comédie pour ce rapproché du drame doux et réel. Ce n’est pas la première fois que l’histoire de ce petit garçon est racontée. Sophie Le Callennec en a fait un roman « un roi clandestin ». L’histoire poignante d’un petit garçon qui ne rêve plus de choses d’enfant car ce qu’il souhaite, c’est sauver sa famille.

Fahim, un petit garçon forcé de quitter son Bangladesh natal avec son père afin d’obtenir l’asile politique en France. Ce jeune garçon a un don pour les échecs. À Paris, il fait la rencontre de Sylvain, un des meilleurs professeurs d’échecs de France. Ces deux personnages, malgré leurs différences, vont vivre une histoire d’amitié forte et fusionnelle. Alors que Fahim parvient à participer au championnat de France, la menace d’expulsion arrive de telle sorte que le seul moyen de s’en sortir est de gagner la compétition.

Ce film est émouvant car il est plein de vérités de par l'histoire racontée qui est vraie, mais aussi de par les acteurs. Gérard Depardieu incarne à merveille le personnage de Sylvain. Son physique, son fort caractère, mais également sa gentillesse et sa douceur sont telles qu'on l’imagine dans la vie. Il en est de même pour Assad Ahmed et Mizanur Rahaman qui sont de véritables réfugiés. Ce qui est remarquable dans ce film ? C’est entre autres la performance du réalisateur de ponctuer un récit tragique de délicats et touchants instants d’humour. PEF le dit lui-même : si ce jeune garçon a vécu des périodes difficiles et désespérées lors de son enfance, il y avait toutefois des jours où il riait, où il était joyeux. PEF a su habilement doser les instants de tristesse et les moments de joie. L’intérêt de PEF pour ce jeune garçon est perceptible tout au long du film.

Histoire vraie. C'est le genre de film qui fait prendre conscience que l'exception pourrait aider le plus grand nombre.
Bien filmer la sincérité, la détresse, la noblesse d'âme de certains doit aider la société à progresser.
Filmés par PEF, les regards plein d'humanité de Depardieu, de Nanty et de ce jeune Bengladé font des miracles!

Ce soir nous avons vu un très beau film en avant-première au Sables-d'Olonne : FAHIM. L'histoire d'un jeune clandestin joueur d'échecs. A la fin de la projection le réalisateur PEF est venu nous parler de son film avec humour et simplicité.
Une histoire touchante et réaliste
Un parcours difficile pour toute une famille
Et Isabelle Nanty toujours aussi juste dans l'humanité
Et Gérard Depardieu toujours aussi génial en bourru au coeur tendre
Une très belle soirée
Un très beau film

J'ai la grande chance d'avoir assisté ce 11 juin à une avant première du film à Arras et j'ai été vraiment séduit par le résultat.
Le film est criant de vérité pour qui connaît l histoire et les acteurs extraordinaires. 2 exemples, Depardieu de part son imposant physique, son caractère bourru, sanguin mais qui cache au fond une extrême gentillesse et sensibilité est à l'image du vrai entraîneur Xavier Parmentier. Le papa de Fahim qui n'est pas à la base un acteur est juste fabuleux. Le film est à l'image du livre et ne le trahit pas. Les pointes d'humour des acteurs permettent d'alléger l'histoire et de porter un message plus profond.
J'ai vraiment apprécié, le recommande vivement et attend sa sortie officielle le 16 octobre pour le revoir.

Dès les premières minutes ce film vous prend les tripes tout est parfait le format écran le son et la musique et surtout l'interprétation. A voir d'urgence

Petit film gentil, très bon choix pour le rôle des enfants, que ce soit les deux dans le centre d'accueil des migrants, ou tout ceux du club d'échec.

Émotion et espoir étaient au rendez-vous.....
Un rendez-vous avec ces personnages tellement touchants
Un rendez-vous avec soi même,dans ses valeurs et ses idéologies
Attention,âmes sensibles...vous allez être impactés !!

Une belle histoire.Les interprètes et surtout les enfants sont formidables.Beaucoup d émotion. Il y a l histoire de FAHIM mais des faits aussi qui sont malheureusement toujours d actualité(exp les camps dans Paris).A voir absolument.

Un beau film qui raconte le parcours atypique d'un petit bengladais joueur d'èchecs incroyable devenu SDF sans papier, et champion de France des jeunes! C'est bien contè par Pierre-François Martin-Laval avec un vrai rèseau de solidaritè qui s'organise autour du prodige et de son père! L'èvidence sincèritè de Gèrard Depardieu et de son jeune partenaire forcent la sympathie! Un entraîneur d'èchecs qui va contribuer à sauver la vie de Fahim, et qui, lui-même, va retrouver un sens à la sienne! Le parcours administratif de Fahim est long, très long, et que ne faut-il pas pour sortir du territoire et allait jouer dans des tournois en France! Les dèmarches administratives sont bien expliquèes dans le film, et peuvent ègalement entraîner des complications chez les traducteurs! A noter que PEF s'inspire d'une histoire vraie, celui du bel ouvrage, « Un roi clandestin » publiè aux èditions Les Arènes! Film et ouvrage se valent et ont vraiment quelque chose à dire...

L’ancien Robin des bois PEF avait commencé sa carrière de réalisateur avec une sympathique et originale petite comédie lunaire, « Essaye-moi ». Depuis, il a surtout réalisé des comédies à l’humour bien lourd, un humour qui passe ou pas selon le caractère de chacun et l’humeur, comme pour « Les Profs » et sa suite qui ont néanmoins cartonné au box-office. On est donc étonné de retrouver le réalisateur à la barre de ce drame inspiré de faits réels qui conjugue un peu le rire avec la carte tendresse. On est tout aussi étonné de voir que le cinéaste a retrouvé un peu de punch et de maîtrise dans sa mise en scène, comme dans son premier film, abandonnant relativement les cadrages plats et les champs/contrechamps.



Avec « Fahim », il s’empare d’une belle histoire et lui rend honneur même si le film est loin d’être génial et inoubliable. Le prologue d’une dizaine de minutes montrant la vie du petit Fahim et de sa famille au Bangladesh puis leur périple pour rejoindre la France est trop elliptique et ne rend pas assez compte des conditions de vie dans ce pays, ni du contexte politique. Et on ne comprend pas exactement les raisons de ce choix. Il n’empêche, c’est réalisé avec soin et respect. En revanche, les quelques flashbacks qui reprennent place au Bangladesh en plein milieu du film sont mal amenés et maladroits. Et, encore une fois, le jeu d’échec n’est vraiment pas le sport le plus facile à filmer ni le plus palpitant. Il faut malheureusement avouer que PEF ne parvient pas à transcender cet écueil. Pour qui ne joue pas à cette discipline, ce n’est guère intéressant. Mais cela n’accapare pas trop de temps sur le long-métrage, le script se focalisant plus sur les côtés récit initiatique et relations humaines avec une petite pointe de politique.



En effet, le long-métrage se penche sur le sort des réfugiés politiques mais ce n’est pas non plus le côté le plus réussi, PEF prenant de manière trop engagée parti pour l’accueil de ceux-ci sans nuancer le propos. Mais il montre bien que la façon de traiter les réfugiés et les sans-papiers sur le territoire au niveau administratif est kafkaïenne et que la réponse policière est inadaptée. Ce qu’on aime en revanche dans « Fahim » c’est la tendresse sincère envers les personnages. Ils sont tous ou presque dépeints avec une bienveillance loin d’être naïve, une bienveillance salutaire et qui fait du bien. Il y a quelques moments comiques qui fonctionnent sans jamais forcer le trait. On pense notamment au bagout d’un Depardieu sobre et touchant qu’on n’avait pas apprécié comme cela depuis un bail. Il y a aussi de petites touches d’humour bienvenues en rapport avec le fossé culturel comme lorsque Fahim ne comprennent pas la dame qui les prend pour des mendiants et leur donne une pièce. « Fahim » est un film touchant, qui fait même verser sa petite larme à la fin, mais trop convenu et imparfait pour qu’on y adhère totalement.



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