Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
sam_eclate
5 abonnés
29 critiques
Suivre son activité
1,5
Publiée le 24 novembre 2018
Très grosse déception pour ce film des frères Coen, il n’y a aucune consistance, une suite de scènettes plus ou moins réussies .... on se dit que ça aurait pu être bien mais au final ça ne ressemble à rien !
"La ballade de Buster Scruqqs" est un excellent film de Western avec un scénario atypique qui raconte six petites histoires qui sont trés intéressante. Les six volets sont superbes avec des personnages bien jouent par les acteurs, chaque histoire à un bon scénario dommage que pour certains soit trop courte et d'autre trop longue et surpris de la fin des trois quarts des histoires.
Quelle merveille ! Bien joué, profond, émouvant, souvent drôle, magnifiquement filmé. Les frères Coen prouvent encore une fois la fulgurance de leur talent.
La Ballade De Buster Scruggs est un film Netflix réalisé par les frères Coen. Sans surprise, la réalisation est soigné et livre de beaux paysages et cadrages. Ce film est un western à l'intérieur du quel on y trouve de la comédie (affichant des sourire) et du drame reparti dans 6 histoires différentes qui n'ont aucuns liens et qui dure environ 20 minutes sauf la cinquième. Utiliser un tel procédé peut être dangereux par rapport au personnages et à la compréhension de ces histoires mais finalement les Coen y arrivent parfaitement en mettant tout les codes du western, toutes les histoires (qui normalement ne sont pas réuni en un film) et tous les personnages . Chaques récit à un fond, un message. Un très bon dialogue. Franco, Neeson, Gleeson, ... sont parfaits.
Il y a beaucoup trop de choses à raconter car il faudrait prendre le temps sur chaques histoire mais il vaut le coup d'œil, Excellent.
Et non le western n'est pas mort et c'est une très bonne nouvelle! Après l'indigeste True Grit les frères Coen s'attaquent au film à sketchs (du quasi jamais vu dans le genre) avec ces six belles histoires captivantes et mélancoliques, parfois droles, noires voire même morbides... Les paysages sont magnifiques, l'interprétation et la mise en scène parfaites. Le fait d'avoir un métrage découpé permet de rendre le film intéressant de bout en bout, et de ne pas voir le temps passer. Quand vous voulez pour la suite!
Une réussite totale!Maupassant au Far West.Les prises de vue,les couleurs sont superbes.Tous les acteurs sont au top et est-ce grâce à eux ou au réalisateur que les personnages sont ancrés dans ma mémoire,je ne sais pas.On passe de l'humour à l'émotion ,à la philosophie,à l'écologie.Film que je n'oublierai pas.
Je passerai rapidement sur le premier sketch d'un ridicule absolu, L'histoire numéro deux passe tellement vite que l'on se demande bien si celle ci était vraiment utile, juste rigolote ! La suivante, un mec sans bras spoiler: vite échangé pour une poule savante ... Le chercheur d'or, c'est basique, spoiler: il tue le vilain puis s'en va, la nature reprend ses droits , pouah ! La seule histoire valable et développée est celle du convoi avec des personnages consistants et un véritable scénario abouti et original, vraiment le meilleur des six. Quand au dernier, spoiler: petite incursion dans le fantastique qui ne m'a vraiment pas convaincu, c'est sympa, sans plus. Bref, le cinéma des frères Coen est en chute libre, je ne suis pas hyper fan et ce n'est pas avec celui ci que je le deviendrai.
Illustrations des six déclinaisons du western, à savoir le grotesque-spaghetti, le western des hold-up et corde au cou, le recherche frénétique de l’or, le morbide, l’humaniste tragique et enfin le crépusculaire ; tous retracent l’évolution historique du genre, de l’âge d’or à la John Wayne aux recréations et récréations d’un Quentin Tarantino, de la grandiose épopée opposant colons américains et Indiens au gothique d’un Brimstone ou The Salvation en passant par Sergio Leone. Nous commençons et finissons en chantant, le ciel de la première chanson écrasant son interprète au vaste chapeau sous un soleil de plomb, les ténèbres de la dernière avalant la diligence et les mythes qui s’y assirent. Règnent la mort et la conscience d’un tempus fugit. Nous assistons à un crépuscule des idoles ; le cadavre a été sorti de la diligence, la diligence vidée de ses occupants puis réorientée dans le sens inverse comme pour remonter ces routes sinueuses et espérer retrouver le souffle premier. Les Frères Coen réinvestissent les paysages de l’Ouest américain pour justement y chercher leur souffle originel, sous l’astre solaire qui chauffe les esprits et génère la folie, leur folie. La Ballade de Buster Scruggs est une œuvre sur l’incertitude où le hasard mis en scène apparaît comme désamorçage de ce même hasard : ici tout se répète et danse en pas de deux, un trou dans le front dessiné par l’index ou creusé par une balle, une main levée en signe de paix dont chaque doigt explosa plus tôt, des Indiens tuant ou libérant malgré eux. Un même signe, deux comportements, une pluralité de lectures. Le film s’interroge sur les origines du hasard, veut savoir qui de l’œuf ou la poule, du tronc humain ou de la poule voyante, fut là le premier. La réponse est volée dans le nid du hibou, figure mystique qui semble incarner, telle une allégorie, le mystère existentiel. Pas de chance pour le voleur, dans l’œuf nulle réponse : dans la poêle se juxtaposent et l’œuf et le poisson, l’un n’ayant pas encore vu le jour, l’autre ayant donné la vie (cf. le ban de petits poissons) ; en somme, l’œuf et la poule… Le serpent se mord la queue. La pensée humaine épouse le convoi infini de roulottes et de chariots faisant de chaque homme un bohémien errant, l’homme égaré qui ne sait où il va, mu par la seule nécessité d’aller quelque part. Ces six chemins tracés convergent vers un hôtel au curieux tapis rouge, à l’aspect d’un cinéma : nous voilà arrivés au foyer actuel des Coen, ayant éprouvé les routes que leur filmographie déclina de la plus merveilleuse manière qui soit. D’un côté les pécheurs, de l’autre les honnêtes gens. Non, les faibles et les forts. Non, les morts et les vivants. Dualité de l’homo duplex, identité d’un même cinéma pourtant porté par deux frères. « Les homme sont comme des furets », ils échappent aussitôt que l’on pense les contenir. À la manière des réalisateurs qui livrent ici un film choral d’ailleurs chanté qui souffre de quelques longueurs mais qui parvient à imposer une vision cinématographique exigeante, une grammaire confuse de la confusion absurde, cette même absurdité qui guide les pas de chacun et anime le cinéma de deux frères visionnaires, révolutionnaires, en constante réinvention.
Les frères Coen nous offre une nouvelle fois un login métrage génial, on ressent évidemment leur pâte et ça, c'est plaisant. Mais après une première histoire géniale avec Tim Black Nelson, une seconde très cool aussi avec James Franco, la suite est juste pas très bien. Alors certes la mise en scène est toujours géniale, l'ambiance western est formidable, la BO, les acteurs, les costumes et les décors sont aussi très bons, mais les dialogues sont prétentieux et le tout est très long, on a hâte de passer a l'autre histoire, qui n'est pas mieux, la dernière est sûrement la pire. Je ne suis pas en train de dire que c'est mauvais mais je n'ai juste pas aimé. De plus, les transitions entre les différents histoire se fait assez difficilement, ce qui renforce ce côté long.
Je n’ai pas accroché. Chaque histoire aurait pu être développé mais le court métrage a été préféré. Je ne dis pas que c’est nul, juste trop court et mal exploité a mon goût.
Encore un film séparé en séquences indépendantes, ici comme une mini série de 6 épisodes. 6 histoires bien différentes, traitant de 6 situations propre à l'univers des westerns. Toutes sont très bien faites visuellement et bien jouées. Mais toutes les enchaîner est très long, et la diversité du niveau scenaristique nous fait croire que ce sont 6 scénaristes différents qui ont travailles sur le film. La première bien humoristique et bien western 4/5 . La seconde tout aussi sympa 4/5 . La troisième, histoire de spectacle ambulant d'handicapé, même si il y Liam Neeson, c'est très long, très inintéressante et répétitif 2/5 . Histoire d'un chercheur d'or dans des paysages somptueux 5/5. Histoire de pionniers allant dans l'ouest, interminable avec environ zéro personnage charismatique 2,5/5. Voyage en diligence 2/5. Un tout mitigé, film qui traite de tous les sujets agréables de l'ouest mais pas toujours de façon entraînante..
Une série de petites histoires qui n'ont ni queue ni tête , c'est tout juste bon pour un téléfilm. La plupart des histoires finissent en queue de poisson.
J'avais hâte de voir ce film. De bons acteurs, belles images.. mais pourquoi faire ca Je comprends pas le principe de rester sur sa fin à répétition... mauvaise idée pour moi J'ai regardé en plusieurs fois en espérant que ça allait être différent mais rien à faire.