Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
7 critiques presse
Libération
par Sandra Onana
Si l’ambition expérimentale du film a de quoi sidérer, l’exploit de Kossakovsky est sans doute celui-ci : trouver une forme dramaturgique avec laquelle investir une matière primitive, dénuée de langage, pour articuler un récit dont la trame se limite ainsi aux surgissements de phénomènes sans auteur ni témoin.
La critique complète est disponible sur le site Libération
L'Humanité
par Vincent Ostria
Un grand film contemplatif et plastique.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Évocation sophistiquée des mille et un visages de l’eau, le film de Victor Kossakovsky propose une expérience esthétique plutôt réussie à laquelle viennent se mêler des séquences nettement moins inspirées. Une œuvre souvent fascinante mais inaboutie.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Victor Kossakovsky célèbre l'eau sous toutes ses formes. [...] Si "Aquarela" est aussi magnétique malgré son aridité, c’est précisément parce qu'il porte en lui la définition du film crépusculaire. C’est-à-dire celui qui a su fixer le moment où la beauté se meurt.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Frédéric Strauss
Mais quand il filme les glaciers qui se disloquent et nous fait entendre le bruit de la mer qui tremble, Victor Kossakovsky réussit son pari de poème visuel, liquide et sensoriel, dédié au maître russe Sokurov.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Consacré à l’eau, ce documentaire à l’ambition louable se noie dans la superposition d’images, certes magnifiques, mais dénuées de fil directeur.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Libération
Si l’ambition expérimentale du film a de quoi sidérer, l’exploit de Kossakovsky est sans doute celui-ci : trouver une forme dramaturgique avec laquelle investir une matière primitive, dénuée de langage, pour articuler un récit dont la trame se limite ainsi aux surgissements de phénomènes sans auteur ni témoin.
L'Humanité
Un grand film contemplatif et plastique.
Les Fiches du Cinéma
Évocation sophistiquée des mille et un visages de l’eau, le film de Victor Kossakovsky propose une expérience esthétique plutôt réussie à laquelle viennent se mêler des séquences nettement moins inspirées. Une œuvre souvent fascinante mais inaboutie.
Les Inrockuptibles
Victor Kossakovsky célèbre l'eau sous toutes ses formes. [...] Si "Aquarela" est aussi magnétique malgré son aridité, c’est précisément parce qu'il porte en lui la définition du film crépusculaire. C’est-à-dire celui qui a su fixer le moment où la beauté se meurt.
Télérama
Mais quand il filme les glaciers qui se disloquent et nous fait entendre le bruit de la mer qui tremble, Victor Kossakovsky réussit son pari de poème visuel, liquide et sensoriel, dédié au maître russe Sokurov.
La Croix
Consacré à l’eau, ce documentaire à l’ambition louable se noie dans la superposition d’images, certes magnifiques, mais dénuées de fil directeur.
Première
Un documentaire qui fait plouf.