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    Ray & Liz
    Note moyenne
    3,4
    20 titres de presse
    • Cahiers du Cinéma
    • Sud Ouest
    • Transfuge
    • CNews
    • L'Express
    • L'Humanité
    • Le Figaro
    • Le Monde
    • Les Fiches du Cinéma
    • Libération
    • Positif
    • Télérama
    • aVoir-aLire.com
    • Les Inrockuptibles
    • Rolling Stone
    • Critikat.com
    • Le Journal du Dimanche
    • L'Obs
    • Première
    • Première

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    20 critiques presse

    Cahiers du Cinéma

    par Vincent Malausa

    Il suffit d’une chanson grésillant dans un transistor reprise en murmures par le vieil alcoolique pour déchirer ce rideau naturaliste et rappeler, tout au bout de cette rengaine d’existences mortes nées, que Ray et Liz est aussi et surtout, peut-être, un grand film d’amour fou.

    Sud Ouest

    par Sophie Avon

    La sobriété de la mise en scène appliquée à un environnement aussi âpre n’empêche pas la sophistication de l’ensemble. Magnifique.

    Transfuge

    par Louis-David Texier

    Les personnages sont scrutés par la caméra, l'écriture est ciselée, le cadrage précis, les décors très travaillés, et le film est porté par des intentions et un phrasé digne des romans de Witold Gombrowicz.

    CNews

    par La rédaction

    Ce premier long-métrage, aussi fort et puissant que les clichés de l’artiste, se décline en trois souvenirs et en trois époques distinctes.

    L'Express

    par Christophe Carrière

    Le parti pris esthétique, avec ses cadres soignés dans un format carré et une lumière blafarde, frise le maniérisme et peut finir par lasser, mais le propos et l'interprétation accrochent et interpellent. Comme toute oeuvre singulière.

    L'Humanité

    par Vincent Ostria

    Si cela rappelle Mike Leigh, dans le fond on trouve aussi des correspondances souterraines entre ce tableau sans pitié de l’Angleterre nue et la poétique trilogie de Bill Douglas.

    Le Figaro

    par Marie-Noëlle Tranchant

    Seul le cinéma britannique a cette touche strictement «matter of fact», pour restituer le monde des prolétaires. Il ne quête ni approbation ni réprobation, recense avec une honnêteté sans coquetterie comme sans apitoiement les moindres détails de ce paysage familial. Belle ambition d’artiste, justement accomplie.

    Le Monde

    par Mathieu Macheret

    En ne dissimulant rien des errements de ses parents, Billingham pose sur eux un regard paradoxal, à la fois tendre et cruel, aimant et impitoyable, qui lui permet d’approcher l’âpreté même de l’indigence sociale, sans avoir à verser dans les écueils répandus du misérabilisme ou de l’édulcoration.

    La critique complète est disponible sur le site Le Monde

    Les Fiches du Cinéma

    par Clément Deleschaud

    Instantanés d’une enfance dans le chaos des années Thatcher, "Ray & Liz"est un portfolio déglingué et formidablement émouvant d’un outre-monde qui se passe bien des sentiments, d’une zone grise du monde trop longtemps refoulée et expulsée par son réalisateur.

    La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma

    Libération

    par Camille Nevers

    Billingham aime ses personnages indignes, ce qui sauve son film. Comme un bouquet, il fait une composition affreuse, belle et méchante de corps, de boutures et de bêtise : greffon humain, floral, animal, amalgame curieux, bestiaire naturaliste.

    La critique complète est disponible sur le site Libération

    Positif

    par Yannick Lemarié

    Loin d'être voyeuriste ou misérabiliste, le film montre un lumpenprolétariat qui vit malgré tout, et pour lequel la solidarité n'est pas un vain mot.

    Télérama

    par Cécile Mury

    Ni colère, ni empathie, ni le moindre autre affect apparent. Juste un regard singulier, unique, une chronique de l’abandon.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    aVoir-aLire.com

    par Julien Dugois

    Une peinture grinçante du prolétariat sous l’ère Thatcher, par le photographe Richard Billingham, qui déborde de tendresse pour la classe sociale de son enfance, et qui parvient de ce fait à nous nous interroger sur notre propre relation au passé et à la famille.

    La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com

    Les Inrockuptibles

    par Ludovic Béot

    Les Billingham sont représentés dans toute leur âpreté, sans pour autant que leur soit confisquée une douceur cachée.

    La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles

    Rolling Stone

    par La Rédaction

    Découpé en trois chapitres retraçant des faits précis à des époques différentes, Ray and Liz souffre d’un rythme très lent et d’un certain manque de fluidité mais l’image façonnée par Billingham, elle, est (forcément) fascinante.

    La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone

    Critikat.com

    par Audrey Planchet

    Billingham tombe régulièrement dans le piège de l’illustration en faisant de son passé un objet de fétichisme.

    La critique complète est disponible sur le site Critikat.com

    Le Journal du Dimanche

    par Alexis Campion

    Les images sont prégnantes mais le récit réduit à une suite d’anecdotes contemplatives.

    L'Obs

    par François Forestier

    La démarche est louable. Mais « Ray & Liz » ressemble à une purge.

    La critique complète est disponible sur le site L'Obs

    Première

    par Thomas Baurez

    Billingham scrute les détails de la vie de ses géniteurs à la manière d’un entomologiste. Mais sa façon de nous donner à voir ainsi ce couple si malsain s’enfoncer dans son malheur nous enferme dans une pénible position de voyeur.

    La critique complète est disponible sur le site Première

    Première

    par Sophie Benamon

    Des séquences de vie de famille aussi déprimantes que grotesques.

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