Avis sur Victor et Célia

En général, j'aime bien les films du réalisateur P. Jolivet.
Cette comédie est beaucoup plus dramatique que comique.
Cela dit, c'est un film agréable, sympathique et réussi qui m'a assez plu.

Un bon film télé... Même si les acteurs principaux font le job, le film manque de relief, limite on s'ennuie un peu, trop superficiel, pas assez rugueux pour un film qui veut mettre en avant les difficultés rencontrées lors d'une création d'entreprise... Moyen donc.

Une petite comédie sentimentale qui se laisse regarder mais qui manque de consistance, même si Victor et Célia sont sympathiques et mignons. Je pense qu’elle aurait pu être le sujet d’un téléfilm.

une comédie romantique service par deux braillants acteurs qui transmettent énormément d'émotions par leurs sourires radieux.
PLV : une soirée agréable

Une comédie romantique, fraîche et sympathique autour de la création d'un salon de coiffure.
Les acteurs jouent assez juste, il y a pas mal d'humour et c'est bien écrit.

très bien. Film qui montre la vraie galère d'ouvrir une société si minime soit-elle en france.......... Sans parler de toutes les taxes une fois ouverte! Petite comédie donc sympa avec bons acteurs et superbe actrice. Agréable moment.

Un film qui se démarque par sa fraicheur avec un duo d'acteurs assez méconnu mais efficace et une histoire simple mais attachante. Rien d'exceptionnel ou de très original mais la preuve qu'il suffit parfois de peu d'ingrédients (des bons acteurs et une histoire qui tient la route) pour faire une bonne comédie dramatique.

Une excellente découverte d’acteurs Alice Belaidi et Arthur Dupont qui apporte fraîcheur et dynamisme à cette histoire originale de création de salon de coiffure. Cette histoire a en tous cas le mérite d’exposer les difficultés de création d’entreprise, normes, administration, voisinage ! Le concept final est plutôt original !

Sous ses allures de premier film inoffensif – ce qu’il n’est pas, puisqu’il constitue le dix-septième film de Pierre Jolivet – se cache un vrai talent pour croquer des personnages. Car il ne saurait y avoir que Victor et Célia, bien que leur couple fasse à l’écran des étincelles ; autour d’eux gravitent des seconds rôles délicieux que nous avons plaisir à suivre dans cette aventure qui prône l’action collective et la persévérance au sein d’une société procédurière. Deux amis infirmiers partagent leurs anecdotes au goût douteux, une grand-mère prépare des petits plats aux dealers du quartier, un banquier que l’on essaie d’amadouer en flirtant avec son homosexualité. C’est tout une galerie d’hommes et de femmes qui se déploie pendant une heure trente, interagit avec nos deux coiffeurs dont le rêve – s’émanciper par le biais d’un salon dont ils seraient propriétaires et gérants – trouve des résonances universelles. Surtout, Jolivet investit un milieu assez peu représenté au cinéma, place sa caméra au niveau d’un artisanat constamment remis en question, qui rejoue chaque jour sa survie. Victor et Célia prouve ainsi que le risque est le prix de la liberté, et que pour le courir, il vaut mieux s’y prendre à plusieurs. Une petite œuvre sympathique qui n’a d’autre prétention que de revisiter la romance dans le monde du travail. Anecdotique mais séduisant.

À l’image de ses protagonistes, Victor et Célia est un film frais et dynamique, aux dialogues croustillants et plein d’humour.

Mélangez les péripéties, les galères qu’attendent les futurs chef d’entreprise dans la réalisation de leur projet avec une histoire d’amour en principe finie mais pas vraiment et deux bons comédiens charismatiques et attachants et vous obtiendrez une bonne dose d’humour et un excellent moment :

Sans oublier la, pour ma part, scène culte du téléphone d’Adrien Jolivet..... Hilarant!)

Comédie sympathique mais un peu plate selon moi. L'attrait vient surtout d'Alice Belaïdi mais ce n'est pas suffisant pour en faire un bon film.

Avec "Victor & Célia", Pierre Jolivet s'amuse des difficultés que l'on peut rencontrer quand on décide de créer son entreprise en France. Un vrai parcours semé d'embûches que les deux personnages vont découvrir au fur et à mesure de leur aventure vers l'ouverture de leur salon. Les banquiers, les investisseurs, le bailleur, les voisins du local, tous vont venir mettre leur grain de seul pour compliquer le rêve de ces futurs gérants. Sur le papier, c'est un film qui ne paie pas de mine, car on peut avoir des doutes sur l'intérêt de l'enjeu principal de l'histoire avec l'envers du décor de la création d'une entreprise, mais c'est finalement un bon petit film grâce à une galerie de personnages sympathiques, à des situations cocasses et des dialogues qui font mouche. De plus, la distribution est réussie avec des acteurs convaincants. Alice Belaïdi est toujours aussi fraîche et pétillante tandis que Arthur Dupont complète bien ce duo qui affiche une vraie complicité et une belle alchimie. Ce n'est pas le film de l'année ni un film inoubliable, mais c'est le genre de film qui fait passer un bon moment.

Un film plutôt plat sans vraiment de relief et d'intérêt. Le scénario marche mais n'intéresse que très peu.

Dans sa filmographie, le cinéaste Pierre Jolivet abordait souvent des sujets comme entreprendre une entreprise, il y eut des réussites comme "Ma petite entreprise" et d'autres moins comme "Zim and Co"", avec "Victor et Célia", il s'en sort avec les chandelles sur le monde des salons de coiffures !! Victor veut monter un salon de coiffure avec un ami en travaillant à leurs manières mais ce dernier meurt. Il essaye de convaincre Célia dont ils ont fait les classes ensemble, ils sont salariés tout les deux dans la vie mais elle accepte avec au fil de l'histoire des contrariétés financières, quotidiennes et vont même tomber sous le charme l'un à l'autre. Pierre Jolivet, scénariste et réalisateur, revient à la comédie en 2019 et nous fait passer un bon moment. Ce long métrage passe du social à la comédie romantique avec deux interprètes principaux de charmes, la pétillante Alice Belaidi coté féminin et Arthur Dupont coté masculin, Bénabar dans un second role de même que le fils du metteur en scène Adrien Jolivet qui signe en plus la musique. Sympathique.