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    Tuer n'est pas jouer
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    206 critiques spectateurs

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    Nicolas S.
    Nicolas S.

    77 abonnés 1 519 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 octobre 2021
    J'avais lu que l'ère Timothy Dalton n'avait pas fonctionné car le public n'était pas prêt pour un James Bond plus sombre, plus torturé, que ses prédécesseurs. Cette information a suscité mon intérêt dans la mesure où je considère que la meilleure ère des James Bond est celle de Daniel Craig avec son personnage principal éminemment plus complexe et sombre que les précédents.

    Alors oui, le James Bond de Timothy Dalton est plus sombre que celui de Connery ou de Moore. Mais ne vous imaginez pas non plus un James Bond gothique ou dépressif, loin de là.

    A côté de toutes ses interrogations sur le fait de savoir s'il défend le bon camp et ses doutes persistants, le James Bond de Dalton est aussi friand de bons mots et pas avare en cascades qui se finissent par des vannes.

    En cela, il préfigure ce que l'on pourra trouver en bien plus poussé chez le Bond de Pierce Brosnan.

    J'ai donc trouvé que Timothy Dalton incarnait un 007 très intéressant en ce qu'il mélange à la fois des questionnements éthiques et des répliques drôles qui apportent quelques respirations. Un mélange entre sérieux et fun en somme.

    Et les 2ers tiers du film sont top. Action, Politique, Morale, Séduction, tout est dosé au millimètre. Et s'ils s'étaient arrêté là, ça aurait fait un très bon James Bond, avec des scènes marquantes comme
    """
    l'invasion du domaine où les pontes du MI6 et le général russe exfiltré se cachaient
    """
    .

    Malheureusement, le dernier tiers étire bien trop le film dans sa durée. Le rythme en pâtit, on rajoute des scènes inutiles et le tout tourne vite au ridicule avec des scènes d'action très peu réalistes.

    Pour achever le tout, la seule James Bond Girl du film (ce qui est notable puisque c'est assez rare qu'il n'y ait qu'une seule James Bond Girl) qui jusqu'à présent se contentait de sourire et de sortir des phrases d'une banalité affligeante va montrer l'étendue de sa bêtise en créant des situations plus dangereuses les unes que les autres pour ... rien. C'est peut-être l'une des pires James Bond Girls que j'ai vu. On voit le vent dans son regard, c'est dire ...

    C'est dommage car, comme je le disais ci-dessus, ça avait très bien commencé et on avait un potentiel pour faire un très bon James Bond. "Tuer n'est pas jouer" ou l'art de tout gâcher en prolongeant inutilement son film.
    gizmo129
    gizmo129

    71 abonnés 1 461 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 novembre 2021
    Nouveau reboot pour la saga James Bond, exit le vieillissant Roger Moore et place au très bon Timothy Dalton. Tuer n'est pas jouer n'est pas le plus connu des James Bond mais il est pour l'époque l'un des meilleurs épisodes. On assiste en effet à un vrai film d'espionnage compréhensible, pas d'histoire capillotractée, une très belle et unique James Bond Girl, un héros fidèle et pas coureur de jupons, une belle voiture bien équipée et des gadgets expliqués et utiles. L'histoire est intéressante et ancre son récit dans le réel en prenant une place non négligeable dans l'occupation russe en Afghanistan. Timothy Dalton joue très bien et apporte une touche de sérieux qui manquait à la saga, son occupation du rôle sera fugace mais pour un premier film, c'est très bon !
    Dora M.
    Dora M.

    48 abonnés 479 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 octobre 2021
    James Bond (Timothy Dalton) aide un officier soviétique à quitter la Russie, juste après qu’une violoncelliste (Maryam d’Abo) ait cherché à l’assassiner avant qu’il ne rejoigne Bond. Ce dernier va retrouver la trace de la jeune femme.
    La scène d’introduction, ainsi que la fuite de Russie permettent d’être de suite dans le bain, c’est rythmé et cela annonce le ton du nouveau James Bond. Par contre, ce rythme n’est pas conservé jusqu’à la fin. Le film semble long, en particulier la scène finale en Afghanistan. J’ai trouvé l’intrigue un peu brouillonne, compliquée. Le méchant n’est pas du tout charismatique, encore moins mémorable.
    Le retournement de situation de l’intrigue n’est pas inintéressant et la James Bond girl est pétillante, mais l’ensemble manque de rythme.
    ChauvelCinema
    ChauvelCinema

    14 abonnés 571 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 février 2019
    Comme beaucoup de films d'action des années 1980, ce cru est bel et bien daté, d'autant plus avec un scénario qui se voulait un peu plus réaliste qu'à l'accoutumée pour un James Bond. Plus sombre donc, ce qui va bien avec le côté plus sérieux de Timothy Dalton, pour son premier 007, malgré les qques traits d'humour obligatoires. Mais globalement, l'ambiance est froide et rigide, le casting peu emballant et on s'ennuie un peu. L'un des épisodes que j'aime le moins.
    Eselce
    Eselce

    1 199 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 janvier 2015
    Sympa le début avec les 00 à l'entraînement ! D'ailleurs, 007 a bien rajeuni ! La nouvelle Moneypenny est bien choisie. Les agents secondaires savent ENFIN se défendre de manière crédible, surtout lors de l'attaque du bras droit du méchant. Q a encore de nouvelles inventions sympathiques. J'ai bien aimé les gadgets de la nouvelle voiture et leur utilisation. Seul le personnage de Georgi m'a passablement agacé. Pour finir, j'ai adoré le coup de la chaussure et trouve que T. Dalton est bien en JB.
    Audrey L
    Audrey L

    548 abonnés 2 392 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 juin 2020
    Un James Bond sous le signe du chiffre deux : deuxième film (après la première version de Casino Royale) à porter le même titre en VO que le livre d'Ian Fleming dont il est l'adaptation, avec Timothy Dalton qui ne fera que deux films, qui a deux chansons pour ses génériques (l'unique cas dans la saga) et qui dure un peu plus de deux heures. Et qui obtient, sans aucun rapport, la note de deux, à cause de son intrigue abracadabrante. Un scénario complètement tiré par les cheveux, et trop alambiqué pour qu'on ne se demande pas quelques fois : "comment on en est arrivé là, déjà ?" ou "mais il est méchant ou pas, celui-là, à la fin ?". Retournements de veste et agents doubles/triples/et plus, délocalisation de l'action dans plusieurs pays sans trop de justification, James Bond qui s'allie à peu près à tout le monde... Pour les meilleurs d'entre nous, vous parviendrez à suivre en majorité, pour les autres communs des mortels, on regarde les images en arrêtant de se poser des questions. On peut aussi tiquer sur les forces armées d'Afghanistan qu'aide James Bond, ce qui ressemble plus à une pique des américains aux russes. Et le principal atout sera de constater que dans cet opus, l'espion ne court pas les jupons, puisqu'il doit protéger une belle violoncelliste... Long et tarabiscoté, ce scénario ne passionne pas.
    Roub E.
    Roub E.

    729 abonnés 4 820 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 juin 2022
    Premier film de la trop courte période Timothy Dalton, « Tuer n’est pas jouer » est un Bond qui délaisse le côté loufoque de la période Roger Moore pour un peu plus de premier degré et surtout s’orienter clairement dans l’action typique des 80’s. Et ça marche plutôt bien, le ton trouvé fonctionne entre grand spectacle et une histoire qui tient plus ou moins la route. L’acteur lui aussi arrive à trouver le bon ton entre premier degré là aussi et une légère dérision qui arrive à faire passer le côté n’importe quoi de l’univers Bondien. Dommage que la James Bond Girl ne fasse ici vraiment cruche car dans la plupart des figures imposés de la saga ce Tuer n’est pas jouer s’en sort très bien.
    Ricco92
    Ricco92

    175 abonnés 2 085 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 octobre 2020
    Bond, James Bond. Depuis sa première aventure cinématographique le plus célèbre des agents secrets n’a jamais changé de nom et de matricule en 1987 mais a connu 3 visages différents sur grand écran (à condition de ne pas compter l’adaptation parodique de Casino Royale). Roger Moore devenant trop vieux, il est temps de lui trouver un quatrième interprète : Timothy Dalton !
    Ne voulant pas réitérer l’erreur faite avec George Lazenby qui collait un peu trop à Sean Connery, EON Production a choisi d’opérer un changement radical d’interprétation du personnage. L’humour farfelu typique de Roger Moore est ainsi mis de côté : le Bond de Dalton sera plus orienté vers l’action à l’image des années 80 marquant l’apogée des stars de films musclés comme Sylvester Stallone, Arnold Schwarzenegger, Chuck Norris et consorts.
    Cependant, le scénario ne choisit pas pour autant de rentrer dans le simplisme. En effet, il oublie les méchants mégalomanes et assez irréalistes que l’on pouvait rencontrer régulièrement dans les œuvres précédentes. Nous sommes ici dans le pur film d’espionnage prenant en compte comme rarement dans la série les relations diplomatiques de l’époque : la thématique des réfugiés du bloc soviétique vers l’Ouest étant au centre du récit. Si la Guerre froide a souvent servi de contexte à la série, elle a rarement été aussi capitale dans un James Bond. spoiler: L’utilisation du terme Smiert spionom (mort aux espions en russe) est en outre une référence directe au SMERSH, organisation de contre-espionnage soviétique réelle qui fut utilisée de manière très romancée par Ian Fleming dans les premières aventures écrites de l’agent secret.

    Ce réalisme se ressent ainsi à travers tout le film. Ainsi, si 007 possède toujours des gadgets impressionnants spoiler: (notamment sur sa nouvelle Aston Martin)
    et se trouve toujours au centre de moments spectaculaires et peu probables spoiler: (la poursuite ski-violoncelle ou la bagarre dans l’avion)
    , les cascades restent malgré tout assez réalistes (dans l’ordre du possible pour un film de ce style) et deviennent donc plus crédibles auprès d’un spectateur plus impliqué.
    De même, l’interprétation de Timothy Dalton reste dans cette optique : il en est fini du détachement que le personnage possédait sous l’air Moore et Bond devient un personnage plus réaliste, encore plus crédibilisé par le talent de comédien shakespearien de son interprète. À ses côtés, Maryam d’Abo compose une James Bond girl tout à fait crédible spoiler: en jeune femme découvrant un nouvel univers (les pays de l’Ouest) et se retrouvant au centre d’une histoire d’espionnage
    . On pourra également noter que, du côté des personnages récurrents de la série, si Robert Brown et Desmond Llewelyn reviennent dans les rôles de M et de Q, Caroline Bliss offre un nouveau visage à Miss Moneypenny mais n’arrive pas véritablement faire oublier Loïs Maxwell qui avait marqué durablement le personnage.
    Malgré ce petit changement un peu décevant mais inévitable (Loïs Maxwell étant désormais âgée de 60 ans), Tuer n’est pas jouer, toujours doté d’un splendide générique de Maurice Binder accompagné par le titre entraînant de a-ha, réussit totalement le renouvellement de ton de la série (dans un style qui sera un peu repris par l’ère Daniel Craig) et offre une des meilleures aventures de l’agent 007.
    maxime ...
    maxime ...

    195 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 août 2021
    The Living Daylight aves ses airs nettement plus sérieux fait un immense bien à cette franchise ! Oh que oui. Non pas que le passé soit à mettre de coté de manière catégorique, figé mais à titre personnel son ton incessamment goguenard ternissait toute initiative et autres bonnes idées développés. Je valide ce changement de cap, 100 fois !

    On ne va pas dire qu'il y'a la révolution non plus, le film est certes plus axé sur son histoire et embraye avec un certain talent sur des questions Géopolitique et se paye le luxe de s'éclaté question action mais vire encore trop parfois à des certitudes lourdes et franchement malaisante. Maintenant que c'est dit, passons.

    Le long métrage signé John Glen se veut plus corrosif, le combat dans la cuisine entre Necros et l'Agent du Palais est un exemple assez parlant sur les nouvelles intentions de la saga. Toute la distribution s'emploie à être dans cette suite à commencé par un Timothy Dalton qui reprend le costume de 007 et le porte avec un charisme et un flegme absolument génial. Il est un James Bond très convaincant. Jeroen Krabbé est quand à lui un machiavel génial. Il reprend à son compte la distraction humoristique et trouve le juste milieu parfais pour rendre son personnage à la fois détestable mais aussi désopilant. Maryam d'Abo est quand à elle affublé du rôle ingrat de la potiche au bras de l'un ou de l'autre. Pourtant son incursion initiale laissait entrevoir un personnage plus étoffé, ce n'est pas le cas et c'est regrettable.

    Un film d'action qui embrasse sa condition. Il fonce et tiens son tempo, tout ce qu'on lui demande en somme. Un pari réussit. J'ajouterai qu'il s'agit jusqu'ici de l'un des touts meilleurs films de la série 007.
    Jonathan M
    Jonathan M

    111 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 novembre 2022
    Timothy Dalton prend les commandes d'un personnage embourbé dans Roger Moore depuis 7 ans. Si le glamour était irréprochable, la crédibilité et le côté kitsch commençait à trop se voir. Dans l'histoire bondienne, il préfigure comme un mal-aimé, mais comme George Lazenby avant lui, c'est galvaudé. Il opère un tournant plus brutal et moins jovial d'un Bond plus en lien avec son époque. Bref, on y croit davantage. Tuer n'est pas jouer en lui même est un peu ronronnant dans son ossature, John Glen ne prend pas de risque de mise en scène. On y découvre néanmoins une des plus belles James Bond Girl : Myriam d'Abo et son sourire irrésistible. Jeroen Krabbé en agent triple vicieux est un méchant crédible. On y visite Gibraltar dans le pré-générique, un tour par Tanger en passant par Vienne. Point gadget : l'Aston Martin V8 Volante est sublime, tout comme son attirail d'équipements.
    ned123
    ned123

    124 abonnés 1 661 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 octobre 2016
    J'ai vu un film... qui introduit enfin un nouveau James Bond en la personne de Timothy Dalton, un peu plus sérieux et plus constant que Roger Moore...On quitte l'humour british pour de l'action intense, et un James bond un peu moins volage... La période peut-être....Le méchant n'est pas vraiment charismatique et Miss Moneypenny est vraiment cruche, tout comme le personnage de la violoncelliste tellement nunuche... Sinon, il y a des rebondissements, des l'aventure et des voyages à travers le monde (un sacré James Bond, pour ça :) !. On replonge dans l'ADN de James Bond avec le bon vieux conflit de la Guerre Froide qui se réchauffait en Afghanistan... et la façon chevaleresque dont le conflit était traité... La scène la plus marquante me concernant : celle dans le restaurant de la fête foraine... la licence se renouvelle sur ce film...
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    111 abonnés 1 577 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 avril 2020
    Grand soulagement, Roger Moore est remplacé… 7 films et pas grand-chose à sauver, surtout sur la fin où il incarnait un Bond peu alerte. Le 4ème larron sera celui qui 18 ans plus tôt refusa de succéder à Connery se trouvant trop jeune : Timothy Dalton. Les lecteurs d’Ian Fleming félicitent l’acteur pour sa composition proche du personnage des romans : réaliste et humain. Même si Sean Connery reste la référence pour moi, Timothy Dalton sec, froid et pragmatique tranche franchement avec le dandy comique troupier de Moore. Daniel Craig sera son héritier. Donc le comédien est l’atout majeur de cet opus car il réhabilite 007 dans un rôle d’agent secret réaliste et par son dynamisme offre de belles séquences d’action. Sa relation avec la James Bond girl par ailleurs un peu potiche est atypique et révèle son côté humain ; « normal ». James Bond a de l’affection pour elle ; on lui voie un réel attachement, il est même romantique !!! Myriam D’Abo est aussi si peu érotisée qu’elle paraît être « Mme Tout le monde ». Ce réalisme forcené s’inscrit aussi dans un scénario complexe mais crédible aux accents de thriller politique ; des méchants et des ventes d’armes. Après, avec des méchants normaux ou ridicules (un agent du KGB trouillard et un militaire raté jouant aux soldats de plomb), une James Bond Girl gentillette et peu sexy, des gadgets pas transcendants, un James Bond faillible et normal ; il fera parler les pissefroids… oups les amateurs de la série. Mais à mon sens, ce film est un souffle nouveau et donne un nouvel élan à une franchise tombée dans le « n’importe quoi » sur les derniers opus.
    tout-un-cinema.blogspot.com
    Charlotte28
    Charlotte28

    90 abonnés 1 726 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 2 janvier 2013
    J'ai vu quasiment tous les James Bond et celui-ci est particulièrement peu crédible... C'est d'autant plus dommage que l'intrigue de fond est intéressante et assez originale. Par contre, pour le reste... Non seulement Timothy Dalton manque cruellement de charisme, mais les gadgets sont utilisés jusqu'à écoeurement, les cascades sont aberrantes (eh oui: une voiture jetée d'un avion, accrochée à un parachute, tombe au sol sans dommage et redémarre sans difficulté...) et enfin la crédibilité psychologique des personnages laisse à désirer...
    cris11
    cris11

    48 abonnés 970 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 avril 2013
    Tuer n'est pas jouer marque un virage important de la saga des James Bond aussi bien au niveau de l'ambiance beaucoup plus sombre, du personnage de James Bond plus violent et avec une face plus sombre, et évidemment au niveau de l'acteur (Timothy Dalton) qui tranche avec un Roger Moore qui avait endossé le rôle de James Bond à 7 reprises et avait façonné ce rôle. Cependant, malgré ce côté un peu plus noir, ce film propose de nombreuses touches d'humour qui permettent clairement de rester dans l'esprit de la saga. J'ai eu également un petit coup de coeur pour Maryam D'Abo qui est l'une des plus belle James Bond girls. Enfin un mot sur Timothy Dalton qui a donc la très lourde charge de succéder à Roger Moore. Et c'est bien ça le problème: il est arrivé dans la peau de ce personnage avec l'envie d'apporter un côté plus sérieux là où Roger Moore en avait fait un personnage fun et sympathique. Le public n'était sans doute pas encore prêt à avoir ce changement (alors que ça a fonctionner pour Daniel Craig près de 20 ans plus tard). Il n'en demeure pas moins que Tuer n'est pas jouer" reste pour moi un bon James Bond.
    gregbox51
    gregbox51

    28 abonnés 1 032 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 mars 2016
    Un bon Bond malgré quelques cascades approximatives. La gracieuse D'abo par contre semble un peu légère dans la peau de la Bond's Girl....
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