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    Deux Moi
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    brisbane78
    brisbane78

    1 abonné 177 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 29 janvier 2021
    Ennui, longueur, lassitude, inintérêt, que dire d'autre pour résumer ce film dans lequel il ne se passe rien. On attend que ça vienne, on attend, et quand ça arrive, eh ben il ne reste qu'une minute et c'est le générique de fin. Cédric Klapish a été bien plus inspiré dans le passé, mais là, erreur de parcours...
    Alice025
    Alice025

    1 510 abonnés 1 303 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 septembre 2019
    Un très joli film, sur la réalité de la vie et plus particulièrement de la solitude des trentenaires dans une ville aussi immense que Paris, drôle de contraste mais terriblement vrai.
    A l'heure où les réseaux sociaux et sites de rencontres sont en pleine gloire, Rémy et Mélanie cherchent plutôt la vraie rencontre, réelle, brute. Tous les deux sont paumés, tous les deux ont besoin d'évacuer. Visites chez le psy, habitudes, travail, galères du quotidien, traumatismes, solitude... Cette histoire, c'est le portrait d'une génération parfois paumée et incomprise mais qui garde tout de même espoir en l'avenir.
    J'ai beaucoup aimé cette narration et le fait que ces deux personnages soient aussi près l'un de l'autre à chaque fois mais ne se voient jamais. De plus, le film se finit sur une jolie note pleine d'espoir, en montrant juste ce qu'il faut, ni trop ni trop peu. Simple mais authentique, drôle et dramatique à la fois, Cédric Klapisch nous livre un très beau film français.

    http://cinephile-critique.over-blog.com
    Ninjaw P
    Ninjaw P

    32 abonnés 299 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 septembre 2019
    Après l’excellent Ce qui nous lie, Deux moi est très bon, Klapisch est vraiment de retour au top pour moi. Si on pourra regretter voire être repoussé par deux trois scènes possiblement ringardes, puisque c'est son style. Le scénario est fascinant, inhabituel, certains pourraient le trouver léger, ce n'est pas mon cas, les acteurs remarquablement touchants, tout comme cette vision et lieux du paris 19e que j'ai bien reconnu. Comme souvent c'est émouvant et très drôle, c'est aussi très beau, enfin ces quartiers pas si beaux de paris sont très bien filmés, quoi. Une chronique de vies parisiennes qui se pose des questions existentielles sur la solitude parisienne, mais aussi le conflit parental, le conflit avec la vie à la montagne, avec un bon morceau de psychologie.
    Claudine G
    Claudine G

    180 abonnés 484 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 septembre 2019
    La solitude dans une grande ville n'est pas chose rarissime, surtout Paris et sa banlieue. Bien interprété (bien que le passage Niney soit inutile), mais quelques longueurs. La psychothérapie est utile lorsque l'on désamorce un ressentiment de souche familiale, c'est le cas pour Rémy et Mélanie, qui, vu la tournure du film, finiront heureux....personnellement j'ai trouvé le temps long....Klapish a fait mieux.
    velocio
    velocio

    1 160 abonnés 3 022 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 septembre 2019
    "Si vous voulez qu'on vous aime", commencez par vous aimer vous-même" : conseil de psy à une âme en peine. Dans "Deux Moi", il y a deux âmes en peine : une, Mélanie, qui se réfugie dans des nuits de sommeil de 15 ou 16 heures, l'autre, Rémy, qui est insomniaque, une qui n'arrive pas à se remettre des abandons qu'elle a connus dans sa vie, celui de son père, celui de sa mère, celui de l'homme qu'elle aimait ; l'autre qui a la certitude qu'il a toujours porté la poisse, que ce soit à sa sœur, morte d'un cancer à l'âge de 7 ans, à ses collègues licenciés alors que lui est resté dans l'entreprise, à l'adorable petit chat blanc qu'il a adopté un peu contre son gré et qui a disparu. Ces deux âmes en peine habitent à 4 mètres de distance à vol d'oiseau, mais ils ne se connaissent pas, quand bien même ils peuvent parfois être assis l'un à côté de l'autre dans le métro, quand bien même ils fréquent la même épicerie orientale du quartier où ils habitent. Après son escapade bourguignonne de "Ce qui nous lie", Klapisch retrouve le bitume et le métro parisiens. Il en profite pour revisiter "Chacun cherche son chat" et Renée Le Calm, véritable centenaire au moment du tournage et décédée 3 mois avant la sortie du film; Il se moque gentiment d'un monde connecté où tout le monde s'agite sur les réseaux sociaux, ne serait-ce que pour trouver l'âme sœur, mais ne connait pas ses voisins les plus proches. N'oubliant pas que sa mère était psychanalyste, il conduit les deux âmes en peine chez des psy qui s'avèrent plutôt efficaces. Avec Ana Girardot dans le rôle de Mélanie et François Civil dans celui de Rémy, il retrouve deux des interprètes principaux de "Ce qui nous lie". Il retrouve aussi Zinedine Soualem, très souvent présent dans ses films, et l'immense Simon Abkarian, qui n'avait pas tourné avec lui depuis plusieurs années. Un film intéressant sur l'évolution de la vie dans une grande ville comme Paris, à l'heure des réseaux sociaux. Une ville que Rémy, originaire de La Grave, au milieu des montagnes, a choisi de rejoindre, afin, dit-il, de pouvoir respirer !!
    VILLE.G
    VILLE.G

    48 abonnés 622 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 septembre 2019
    Un film à la gloire de la psychanalyse.
    Deux personnes névrosées par des évènements familiaux retrouvent confiance grâce à leurs psy.
    Pourquoi pas. Mais c'est quand même un chouilla longuet pour ne pas dire plus.
    Et sans grand intérêt.
    Pas grand chose à voir non plus avec cette sois-disant solitude liée aux réseaux sociaux qu'on a essayé de nous vendre.
    cine25 2.
    cine25 2.

    3 abonnés 31 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 septembre 2019
    Le film est lent, on peux trouver qu'il y ait des longueurs mais ça va avec le sujet, on passe un bon moment . Les acteurs sont naturels et François Civil est très bon. Le film est rempli de plein de petites choses très bien vu et on peux s'y retrouver suivant le vécu. Et qd il dit qu'on respire mieux à Paris , c'est bien vu et juste.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 11 septembre 2019
    Klapisch, le spécialiste attitré des trentenaires et de leurs crises en tous genres, livre une fausse comédie romantique qui démarre comme une chronique bien morose de deux quotidiens parisiens, entrecoupée d’apparitions de guests venus faire leur numéro avec plus ou moins de talent (Abkarian manque de crédibilité, Niney est dans un surjeu insupportable, Cottin fait du Cottin... Seul Berléand s’en sort vraiment avec les honneurs). On apprécie l’effort que fait le réalisateur pour montrer au passage les différentes facettes de la capitale, mais sa peinture du Paris multiculturel paraît un peu figée et forcée. Quant aux incursions oniriques dans l’inconscient du couple de protagonistes, les deux séquences de rêves proposées tombent à plat et font regretter la grâce de certaines scènes des Poupées russes, comme cette marche au ralenti dans une rue aux dimensions idéales. En bref, pendant un bon moment, il faut le charisme des deux acteurs principaux pour maintenir Deux moi à flot.

    Pendant son petit tiers central, le récit trouve enfin son rythme de croisière et réussit à montrer de manière assez juste la façon dont ces deux êtres fragiles se laissent chahuter par les événements les plus banals et affrontent leurs dépressions respectives avec des armes aussi dérisoires que touchantes. Mais quel dommage que tout ça soit ensuite canalisé par une fable psy à la morale presque gênante de mièvrerie (« il faut deux moi pour faire un nous »)! Après une demi-heure dans cette veine, à voir s’enchaîner quelques poncifs parmi les plus rebattus (le discours de la jeune fille timide devant un public hostile mais finalement conquis, la révélation et les larmes dans le cabinet de psy, l’enfance obscurcie par un deuil mal digéré, etc.), on se sent obligé de repenser le film comme un petit scénario à concept, inspiré des pires clichés des manuels de développement personnel.

    Il faut quand même le souligner: on rit souvent et on prend globalement un certain plaisir devant Deux moi. Là encore, le talent de Girardot et Civil y est pour beaucoup. Mais à l’inverse, on pleurerait presque (de désespoir) en entendant Berléand prononcer, sans le moindre second degré, cette réplique improbable : « vous avez le droit de toucher, Rémy ». Deux moi font peut-être un nous, mais on a maintenant la preuve que deux bons acteurs ne suffisent pas à faire un bon film.
    jspl
    jspl

    22 abonnés 231 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 septembre 2019
    Pure perte de temps.!Film sans intérêt aucun et quelle paresse dans les prises de vue et que de clichés. Nombreux sont sortis avant la fin et on les comprend !!!
    Michel C.
    Michel C.

    233 abonnés 1 367 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 septembre 2019
    Un merveilleux Klapisch qui fera fondre les plus récalcitrants..... un petit bijou - même si cela devient une habitude - à savourer délicieusement ! Deux parcours qui résonneront chez la plupart d'entre-nous, une vérité éclatante, un scénario de rêve, et deux merveilleux jeunes acteurs : Ana Girardot & François Civil - une alchimie judicieuse ! Bien entendu, avec des décors Parisiens et de Montagne ravissants mais surtout une musique parfaitement distillée sublimant les scènes des plus simples aux plus abouties ! Et je ne pourrai passer sous silence cette formidable illustration de danse finale, une initiation locale et colorée, étincelle ou miracle - le parallèle à l'explication du moteur à combustion de Remy est amusante ! D'autres scènes avec psy ( F Berleand génial, C Cottin) , commerces cocasses ou perversité des nouvelles technologies et leurs applications + ou - farfelues, tapissent un film émouvant, optimiste et réussi !! **
    gaetan1.arnould
    gaetan1.arnould

    44 abonnés 385 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 septembre 2019
    Trop long à mon goût... Les acteurs ont beau être convaincants (mention spéciale au chat !), l'histoire est trop banale et plate pour avoir de l'intérêt. Ceux qui espèrent voir un film romantique peuvent passer leur chemin, de même que ceux qui ne supportent pas les films sans rebondissement. Ce film de Klapisch sera vite oublié.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 11 septembre 2019
    Alors je vais peut-être aller à l'encontre de certaines critiques dithyrambiques mais pour moi, ce film a été un véritable pensum rempli de poncifs où tout, absolument tout, sonne faux et forcé. En plus, c'est interminable et ce n'est pas en ajoutant de la musique électro par dessus que ça va changer le rythme. Et je ne parle pas des plans caméra qui donnent le tournis. Alors bien le clin d’œil à Chacun cherche son chat peut prêter à sourire mais à peine. En parlant de sourire, rien de drôle dans ce film ni dans les sous intrigues dignes d'un téléfilm mal traité et de psychologie de comptoir. Je serais bien parti avant mais placé où je l'étais, j'aurais dû déranger plusieurs spectateurs (remarquez, on était 10 dans une grande salle et pas un rire n'a fusé).
    mat niro
    mat niro

    291 abonnés 1 717 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 septembre 2019
    Je ressors de cette projection légèrement déçu par le dernier Klapisch. Ce chassé-croisé dans la capitale entre François Civil et Anna Girardot ne manque pas de charme pourtant. Et cependant, cette histoire de dépression chez les deux acteurs souffrant de la solitude parisienne dans une société où les gens ne se parlent plus, est parfois un peu ronronnante. Il manque un peu de fantaisie à cette histoire agréable où l'on se doute que les deux solitaires vont être amenés à se rencontrer. Quand? Comment? C'est sympa à suivre mais il manque au réalisateur la folie douce de ses meilleurs films.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 21 septembre 2019
    Deux mois. On peut en construire des choses en deux mois, et même avec deux sois.
    Film sur la déprime de deux trentenaires des plus ordinaires et qui comme tout le monde, se pose des questions sur le pourquoi du comment. Une routine ennuyeuse, des applis de rencontres pour passer le temps et un travail pas toujours passionnant. Encore un film qui respire la "happy end" et là-dessus pas la peine de s'arrêter longuement, pas besoin d'être savant pour comprendre. En revanche le casting est plutôt bien réussi. Nos deux déprimés visent juste, idem pour les "je vois quelqu'un" que sont François Berléand et Camille Cottin. Peut-être un brin trop long et bizarrement on s'attache aux sourires en fin de film (oui oui il y en a quand même quelques uns). Les plans sont intéressants, Alors, quelle est la morale ? Y aurait-il un peu de blanc dans le noir ?
    Et le verre comment est-il ? A moitié vide ou...
    Jake S.
    Jake S.

    67 abonnés 231 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 octobre 2020
    Un monde toujours plus virtuel, des relations à distance, des réseaux sociaux qui nous isolent plus qu'ils nous rassemblent... tant de faux-semblants qui développent une certaine aliénation de chacun des "moi", cette action de devenir autre que soi.

    "Deux moi" de Cédric Klapisch nous rappelle à quel point il est difficile de s'y retrouver aujourd'hui avec les nouvelles technologies et les réseaux sociaux. Alors certes, il n'est pas le premier à le faire, mais son approche reste foncièrement bonne en choisissant deux jeunes trentenaires avec une situation somme toute banale qui se rapprochent petit à petit d'une dépression. Travail mais surtout amour, voilà les deux éléments qui façonnent notre mode de vie au quotidien. Rémy et Mélanie ont un travail, l'une est peut-être plus épanouie que l'autre mais il n'empêche que quelque chose leur manque : sans doute l'amour ou du moins, trouver cet autre "moi" qui les comprenne et avec qui ils pourraient tout partager ensemble. Alors oui, les rencontres qui suivent avec les psychothérapeutes sont bourrées de formules rabâchées maintes fois comme "aimez-vous un peu plus pour aimer les autres". Il n'en demeure pas moins qu'elles restent globalement véridiques.

    L'idée du long-métrage est aussi de redonner de l'espoir aux gens qui n'y croient plus ou qui sont faussement désabusés de leur situation. On dramatise parfois bien vite. Le problème de notre société réside dans le fait que le "moi" est finalement trop présent. Se dire sans cesse que l'on a pas confiance en soi revient à dire qu'on ne voie pas plus loin que le bout de son nez, ou qu'on se regarde un peu trop le nombril, pour reprendre des expressions toutes faites. Tout cela est notamment imagé par les applications de rencontres qui paraissent nocives au plus haut point pour notre société tant elle reflètent notre incapacité à développer des relations sociales, amicales et amoureuses qui ne partent pas toujours que du physique. On tombe dans le faux, l'imposture et l'apparence, celle qui nous plait de prime abord alors qu'elle est trompeuse sur le long terme. Tandis qu'à l'inverse, une relation qui débute de façon neutre mais en rencontre physique peut déboucher sur quelque chose de beaucoup plus fort. Chacun possède son avis sur la question comme la psychothérapeute jouée par Camille Cottin. L'essentiel dira-t-on, c'est d'être "heureux et épanoui".

    Loin d'être parfait, ce nouvel opus de Klapisch me plait car il peut parler à tout le monde. Il ne s'égare pas dans une philosophie trop profonde et ambiguë. Il cherche avant tout à "décoincer" le monde qui nous entoure et libérer les non-dits. Sans doute y a-t-il trop de banalité et un léger manque de rythme, mais le sujet reste terne il faut dire ; donc quitte à rester en phase avec ce dernier, autant le faire sur le fond et la forme.

    spoiler: Et que dire de la fin ? Je dois dire que je le sentais arriver, sinon il y aurait eu un sentiment d'inachevé ! Le psychothérapeute parlait de scénario positif, de repenser sa vie et de déclencher des opportunités. On peut dire que nos deux personnages ont franchi de cap !
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