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    Deux Moi
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    Karine S
    Karine S

    10 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 14 septembre 2019
    J'adore Klapisch depuis... le péril jeune. Enchantée et ravie par TOUS ses films. Sauf celui-ci. Long. Sombre. Monté étrangement (une multitude de scénettes sans intérêt mises bout à bout). Une histoire déjà vue 10 fois au ciné (mais traitée 1000 fois mieux genre Sliding Doors). Des acteurs bof bof. Mon compagnon a dormi rapidement. Moi limite. Bref un vraie vraie vraie bouse. La première de Klapisch. La dernière allez !
    LALALALALERE
    LALALALALERE

    13 abonnés 194 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 15 septembre 2019
    c'est étrange, l'histoire du mec et de la fille qui vivent l'un à côté de l'autre sans jamais se croiser, je ne sais pas pour vous, mais j'ai l'impression de l'avoir vu 100 000 fois. Et en mieux car qu'est-ce que c'est poussif ! Tout est laborieux, Klapisch est devenu un cinéaste laborieux. On sort fatigué.
    lionelb30
    lionelb30

    372 abonnés 2 482 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 septembre 2019
    Plein d'acteurs reputes pour un resultat souvent ennuyeux , au scenario improbable ou rien ne fonctionne vraiment et donc grosse deception. Le genre de film ou l'on ne voit pas ce qu'a voulu faire le realisateur.
    Dandure
    Dandure

    150 abonnés 203 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 14 septembre 2019
    Attention, cet avis contient ce genre de spoiler: ah ouais, t'es préparateur de commandes et tu vis dans un 3 pièces de 50m² à Paris, certes gare du nord mais quand même ! Tu deviens opérateur en call-center à la Villette donc t'es à quoi, 20 minutes de ton travail. La vie est belle dis donc.
    En 2011, Gustavo Taretto avec son film Mediarenas captait étonnamment la solitude des grandes villes, les petits ratages de la vie quotidienne qui font les grands doutes existentiels. 2 personnages vivent l'un à côté de l'autre sans se connaître. Ils sont fait l'un pour l'autre. Vont-ils se rencontrer ? Le film tapait juste. 8 ans plus tard, Klapich part exactement du même postulat et passe complètement à côté du sujet.
    Avant, le réal faisait des films générationnels pulsés à l'énergie de l'époque. Ici, les protagonistes sont potentiellement dépressifs. Question énergie, on repassera.
    Le réal va-t-il alors creuser un peu cette fameuse "époque hyperconnectée où l’on pense pourtant que se rencontrer devrait être plus simple" mentionnée dans le résumé du film? Non, à peine. Il est trop occupé à nous vanter les bienfaits de la psychanalyse pour petits blancs bien intégrés. Le drame des personnages est fondamentalement intime et personnel. Rien à voir avec une incertitude collective face à l'avenir, un narcissisme généralisé, une précarité contagieuse ou la déshumanisation des échanges virtuels sur les réseaux sociaux. Une belle façon pour le réal de se défausser avant de nous balancer une morale convenue : il faut être soi-même, tu as droit au bonheur, aime toi toi-même et autres invitations au développement personnel. Allez, avec un peu de chance, dans "deux moi 2", il nous dira comment faire, des fois qu'on se perde entre toutes ces injonctions contradictoires.
    petitbandit
    petitbandit

    72 abonnés 613 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 septembre 2019
    Convenu, mièvre, prévisible, lent, sans saveur, les qualificatifs ne manquent pour ce que je considère comme le plus mauvais Klapisch. François Civil joue toujours de la même manière sous ses airs de chien battu et toujours surpris. Autant, cela fonctionnait dans "ce qui nous lie", autant là il en devient presque agaçant. Anna Girardot s'en sort mieux mais son personnage est tellement cliché qu'on en oublie l'actrice et la performance. 1H50 à attendre qu'il se passe quelque chose pour une fin écrite d'avance avec en toile de fond, l'étude d'une psychothérapie faite par 2 personnes, leur problème, leur angoisset que le destin va réunir. Seulement ça s'appelle juste les épreuves de la vie. Juste un film....
    poet75
    poet75

    253 abonnés 703 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 septembre 2019
    Deux moi, deux egos, deux solitudes… Dans ce film, Cédric Klapisch a la bonne idée de prendre en compte et d’explorer l’une des réalités cachées et cependant omniprésentes des grands centres urbains, celle des célibataires obligés de supporter plus ou moins bien le poids de la solitude. En l’occurrence, nous voici à Paris, dans le 18ème, où résident, dans deux immeubles mitoyens surplombant des rails de chemin de fer, Rémy (François Civil) et Mélanie (Ana Girardot). Le premier travaille dans une multinationale qui ressemble à s’y méprendre à Amazon, une entreprise qui licencie à tour de bras pour remplacer les hommes par des robots. La deuxième est employée comme chercheuse dans un laboratoire spécialisé dans la lutte contre le cancer. Tous deux sont voisins, prennent parfois les mêmes transports en commun aux mêmes heures, mais ne se connaissent pas. Tous deux souffrent également d’un même mal, la dépression, même si, dans le cas de Rémy, elle a pour conséquence des insomnies à répétition, alors que, dans le cas de Mélanie, elle se manifeste, au contraire, par une tendance à la narcolepsie. Toujours est-il que tous deux, pour se sortir de la neurasthénie, ont recours à une psychothérapie.
    L’autre point commun entre ces deux-là, c’est qu’ils essaient, chacun de son côté, de sortir de la solitude, mais en s’y prenant très maladroitement, lui avec une collègue de travail, elle en pratiquant des rencontres avec des inconnus trouvés sur le site bien connu Tinder. Bien évidemment, toutes ces tentatives se soldent par des échecs. Pour échapper à l’isolement, il faut sans doute trouver d’autres moyens.
    Cédric Klapisch s’amuse à multiplier les passerelles entre les deux voisins qui ne se connaissent pas. Une épicerie de quartier que tous deux fréquentent, une chanson qu’écoute Mélanie dans son bain et qui lui revient comme en écho, un petit chat recueilli par Rémy avant de s’échapper et de se retrouver chez Mélanie, et même un incendie ravageant un appartement du voisinage, autant de lieux, d’événements, semés dans les existences des deux personnages, mais qui ne suffisent pas à occasionner une rencontre effective. On se demande, bien évidemment, tout au long du film, si elle finira par avoir lieu, cette rencontre. Je me garderais de répondre à cette question, d’autant plus que le sujet du film, c’est la recherche du bonheur, plutôt que le bonheur lui-même (s’il est possible de le trouver).
    Tout cela peut sembler quelque peu artificiel, mais, sur l’écran, du fait d’une excellente mise en scène et des prestations remarquables des interprètes, tout fonctionne, tout est plausible et parfaitement convaincant. Certaines scènes sont particulièrement réussies. Ainsi lorsque Rémy essaie de faire comprendre en vain à sa famille médusée qu’il traverse une période de dépression. Ou encore chacune des scènes de psychothérapie, aussi bien de Mélanie que de Rémy : des séances qui ouvrent des chemins de guérison, sans nul doute. « Il faut que vous appreniez à vous aimer vous-même », dit la psychothérapeute à Mélanie. « Il faut que vous sortiez de vous-même pour aller vers les autres, vous avez droit au bonheur », dit le psychothérapeute à Rémy. Ces deux paroles se contredisent-elles ? Non, elles se complètent et autorisent une intéressante fin ouverte à ce film épatant.
    Ismael
    Ismael

    61 abonnés 172 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 septembre 2019
    Depuis Chacun cherche son chat en passant par sa trilogie Auberge Espagnole/Poupées Russes/Casse-Tête Chinois, Cedric Klapisch s’est fait une spécialité du film « dans l’air du temps » censé montrer le spleen et les errements de la jeunesse contemporaine. Et même si cette jeunesse est assez bobo et pas forcément représentative, ses films sont en général plutôt sympas, rythmés et branchés. Brefs agréables à regarder.

    Deux Moi aussi se veut sympa et branché mais en affichant cette fois un thème qui est celui de la solitude et de l’angoisse…Résultat ça coince.
    Ce n’est pas vraiment la faute des comédiens, ni de la réalisation plutôt fluide, c’est simplement que le film n’a pas la profondeur nécessaire. Klapisch n’est visiblement pas à l’aise avec ce type de sujet qu’il traite de façon beaucoup trop légère. Il aurait fallu quelque-chose de plus sombre et clinique. Ou à l’inverse une vision très singulière et poétique comme Amélie Poulain en son temps. Mais Klapisch n’est ni Houellbecq ni Jean Pierre-Jeunet et son film n’est qu’une sorte de bluette vaguement mélancolique ou l’on beaucoup en rond sans que cela soit spécialement intéressant ni vraiment réaliste.
    D’ailleurs que l’on m’explique comment un jeune ouvrier promu téléconseiller, sans fortune ou réseau particulier, peut se payer un deux pièces avec balcon en plein cœur de Paris.

    Finalement le plus réussi dans Deux Moi ce sont les psys qui tiennent des propos assez intelligents et lucides (et on reste admiratif de leur patience). On croit même, le temps d’une scène, qu’ils vont venir s’approprier les premiers rôles du film… et puis en fait non. Tant pis, ça aurait été sympa.
    Benjamin P.
    Benjamin P.

    2 abonnés 14 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 16 septembre 2019
    Un film long, très long, très très long, qui tourne en rond, qui n'avance pas, qui n'apporte rien. Les scènes passent les unes après les autres, elles se ressemblent, sont sans intérêt. Des gens sont sortis pendant la séance. Après coup, je regrette de ne pas les avoir suivis tellement il ne se passe rien. Les personnages sont attachants quelque part, mais ça irait si cette phase ne durait que 20 minutes, pas 2 heures

    Passez votre chemin si vous cherchez à vous évader, si vous cherchez une comédie romantique ou si vous voulez juste oublier votre quotidien dans le métro / aux vies de quartier parisien (dans le bruit, le monde, etc.)

    C'était tellement long...
    Oriane P.
    Oriane P.

    1 abonné 4 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 11 février 2020
    Le dernier Klapish ou comment perdre 2h dans ta vie. Film i-nu-tile voire pire, pathétique : les petits problèmes des parisiens qui s'ennuient, vont chez le psy pour dire des banalités, des histoires d'amour et parcours de vie d'un plat à mourir, aucune originalité, c'est fade fade faaade. Ennuyeux à dormir...
    Sylvain M.
    Sylvain M.

    8 abonnés 160 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 14 septembre 2019
    C'est long, peu orignal et faussement intelligent. Heureusement que les acteurs sont bons malgré tout. Les clichés permanents sont usants !
    Whimsical
    Whimsical

    2 abonnés 4 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 septembre 2019
    Un film aussi doux qu'un poème : on plonge dans ce film la tête la première, avec la délicieuse impression que tout est à sa place dans ce conte des temps modernes.
    Un éloge à la rencontre, la vraie, celle qui ne passe par aucun type de technologie.
    François Civil crève l'écran et nous arrache des larmes de rire. Ana Girardot quant à elle, déborde de naturel dans ce rôle sur mesure.
    D'autre part, le réalisateur a eu la remarquable faculté de transcrire à l'écran ce qu'il est difficile de montrer. Le passé, la solitude, les malheurs dont on s'accable parfois bien injustement.
    Un film touchant et sans prétention, dont le côté "décalé" fait tout le charme ; quelques longueurs toutefois, bien vite désamorcées par le jeu d'acteur des deux protagonistes.
    Amateurs de poésie, foncez.
    Coach Jordano
    Coach Jordano

    17 abonnés 215 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 13 janvier 2020
    Je suis sans mots.. j'ai attendu 1h50 que le film commence... comment tous ces acteurs, en particulier François Civil, François Berleand et Camille Cottin que j'adorent ont pu faire ça? C'est long et plat plat et toujours plat... c'est dans ces moments là que je suis content d'être abonné.. film déjà oublié. Berleand dit dans le film ''je me demande si cela a servi à quelque chose'' moi ça m a servi à perdre 2h de ma vie.
    Yves G.
    Yves G.

    1 251 abonnés 3 262 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 septembre 2019
    Mélanie (Ana Girardot) et Rémy (François Civil) ont trente ans. Ils habitent le dix-huitième arrondissement. Ils sont voisins, ne se sont jamais adressés la parole mais ont des vies parallèles. La solitude les broie, le stress les ronge : elle parce qu’elle doit faire une présentation au comité directeur de son laboratoire, lui parce qu’il vient d’être reclassé dans son entreprise de vente en ligne. Elle est hypersomniaque ; le sommeil le fuit. Ils décident de consulter un psychothérapeute.

    Depuis bientôt trente ans, Cédric Klapisch s’est fait une spécialité de croquer notre époque. Mieux que de pesants traités de sociologie, prenant le parti d’en rire plutôt que d’en pleurer, il en sent l’humeur, en retranscrit les interrogations. Son cinéma est modeste, qui n’ambitionne pas de raconter des drames poignants ou des amours lyriques, ni de prendre à bras le corps d’écrasants « sujets de société ». Mais il est toujours juste.

    "Le Péril jeune", "Chacun cherche son chat", "L’Auberge espagnole" (et ses suites dispensables) : la recette est éprouvée. Et on pouvait légitimement craindre qu’elle se soit usée dans cette énième comédie de « l’ultra-moderne solitude ». Le titre, l’affiche, aussi lourdingues l’un que l’autre, l’histoire prévisible de deux solitaires qui finiront inéluctablement par se rencontrer laissaient craindre que le réalisateur ait perdu sa délicatesse.

    Le scénario n’est pas le point fort du film dont on connaît dès la bande annonce le dénouement. Mais Klapisch a l’honnêteté de l’assumer. L’intérêt de "Deux moi" est ailleurs : dans la richesse des seconds rôles et dans la cocasserie des saynètes qui parsèment la vie des deux héros sur le chemin de leur rencontre.

    C’est un feu d’artifice filmé avec une joie communicative. Il y a de tout : le burlesque pur avec Pierre Niney en volubile copain d’avant et Paul Hamy en amant défoncé. L’ironie avec Simon Abkarian en Arabe du coin (pas arabe pour un sou). La tendresse avec François Berléand et Camille Cottin en psys mutiques mais aidants.

    Et il y a tous ces clins d’œil que les trentenaires ne saisiront pas toujours avec "Chacun cherche son chat". L’intrigue est presque identique – même si son cadre s’est déplacé du 12ème au 18ème arrondissement. Les personnages du film de 1994 font des caméos émouvants : Garance Clavel, Zinedine Soualem et même la centenaire Renée Le Calm (décédée en juin dernier). Ne manque que Romain Duris même si François Civil – dont c’est le quatrième film sorti cette année – lui ressemble décidément beaucoup…
    Catherine d
    Catherine d

    2 abonnés 10 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 12 octobre 2019
    On s'ennuie beaucoup en regardant ce film. On n'est pas du tout pris par l'histoire....
    On ne croit pas aux personnages.
    Je n'ai pas aimé du tout.
    Morgane L
    Morgane L

    13 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 septembre 2019
    certains moments sont très clichés et non surprenants
    cependant on passe un bon moment et les acteurs sont bons
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